Le drapeau LGBT+ comprend-il maintenant la bestialité ?
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete/Flickr
J’ai des nouvelles profondément troublantes à partager avec vous au sujet d’une leçon d’éducation sexuelle LGBT qui a été donnée à la fin du mois de mars à des élèves de 9e année en Australie.
En quoi cela concerne-t-il les parents et grands-parents canadiens ?
[Cela nous concerne] parce que le système éducatif canadien, tout comme celui de l’Australie, a été pris en main par les idéologues LGBT.
Nous avons également des sociétés similaires qui suivent presque à l’identique les tendances de la société occidentale.
Ce qui se passe dans un pays en termes de développement moral et social tend à se produire très rapidement dans l’autre.
Il est donc légitime et nécessaire de craindre que ce que je vais vous raconter, qui vient de se dérouler aux antipodes, ne fasse un jour son apparition dans les salles de classe canadiennes sous les auspices de l’éducation LGBTQ+.
Je vais vous raconter les détails, mais je dois vous avertir qu’ils sont écœurants...
Des parents indignés se sont adressés aux médias et ont retiré leurs enfants du collège Renmark, en Australie-Méridionale, après qu’un éducateur en sexualité LGBTQIA+ se soit présenté le 22 mars et ait enseigné la bestialité aux élèves de 9e année, d’une manière approbatrice, laissant entendre que les relations sexuelles avec des animaux étaient une pratique acceptable au sein de la communauté LGBT !
Lire la suiteLa clique LGBT continue à persécuter Mike Del Grande pour sa défense de la morale catholique
Michael Del Grande.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Mike Del Grande, un conseiller scolaire catholique du district de Toronto, est persécuté par le lobby LGBT et les conseillers scolaires anticatholiques de son propre conseil.
Qu’a-t-il fait pour s’attirer l’ire de la clique arc-en-ciel ?
Motivé par sa foi catholique, le conseiller Del Grande a osé s’opposer à l’ajout de l’« identité de genre » et de l’« expression de genre » au code de conduite du conseil scolaire en tant que « motifs protégés contre la discrimination ». Deux autres termes, « statut familial » et « statut marital », devaient également être ajoutés.
Ses persécuteurs LGBT ont traîné son nom dans la boue dans la presse nationale, l’accusant d’être la pire sorte d’être humain dans tous les grands journaux, émissions d’information télévisées et émissions de radio.
Ils lui ont interdit de siéger dans des comités de la commission scolaire, lui ont ordonné de participer à un camp de rééducation LGBT et lui ont demandé de s’excuser auprès de la communauté LGBTTIQ2S+ pour l’avoir offensée. Par principe, il a refusé et se bat contre toutes ces sanctions devant les tribunaux.
Mike ne rampera pas.
Il ne ploiera pas le genou.
Il ne renoncera pas à sa foi.
De plus, un militant pro-LGBT a déposé une plainte auprès de l’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario (OCT) pour tenter de révoquer la licence d’enseignant de Mike, ce qui n’a rien à voir avec son travail de conseiller scolaire élu. Mike est également défendu par un avocat à l’OCT, où il a déjà eu six jours d’audience, la prochaine étant prévue pour le 19 juillet.
En bref, les intimidateurs LGBT cherchent à détruire totalement Mike Del Grande.
Je pense que c’est pour faire de lui un exemple pour les autres conseillers scolaires du Canada. « Ne vous avisez pas de vous opposer à notre programme, ou cela vous arrivera aussi », voilà le climat qu’ils veulent instaurer dans tous les conseils scolaires du Canada.
Lire la suiteDes étudiants d’Oxford veulent la peau d’un professeur : John Finnis, catholique, a critiqué l’homosexualité
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : David Illif/CC-BY-SA 3.0/Wikimedia Commons
![]() |
John Finnis. |
A 77 ans, John Finnis, professeur émérite de droit et de philosophie du droit dans l’une des plus prestigieuses universités au monde n’a plus rien à prouver sur le plan de l’érudition et du savoir. Mais des étudiants d’Oxford réclament son licenciement — il enseigne toujours — en raison de propos « discriminatoires » qu’il aurait tenus à l’égard de l’homosexualité. Cet enseignant catholique, assurent ces étudiants de la génération « flocon de neige », constitue par sa présence sur le campus une menace pour les gays. John Finnis est « particulièrement connu », paraît-il, pour son « homophobie » et sa « transphobie ». Il « a même conseillé au gouvernement des Etats-Unis de ne pas offrir de protection légale aux personnes LGBTQ+ qui souffrent de discrimination ».
Près de 500 étudiants ont à ce jour signé la pétition demandant le départ de John Finnis, accusé pour le simple fait d’avoir affirmé — en 1994 et 2011 notamment — la loi naturelle dans des écrits universitaires. Loi naturelle conforme à la doctrine catholique, forcément. Etant donné, donc, qu’il affirme simplement la loi naturelle et la morale catholique, cela veut bien dire que ce sont elles qui sont en réalité dans le viseur des nouveaux censeurs.
Lire la suiteLa pratique de la bestialité au Danemark est légale...
Sur le site de Haïtipolitik du 24 mars 2014 :
(Photo : lab604 sur flickr.com, licence creative commons)
Au Danemark, il est permis de prostituer un animal pour qu’il ait des rapports sexuels avec des humains « à condition que l’animal ne souffre pas » précise la loi qui considère comme parfaitement légal d’avoir des rapports sexuels avec toutes sortes d’animaux.
Ainsi, selon le journal danois 24timer, il existe un commerce florissant de clients qui payent pour du sexe tarifé avec des animaux.
(...)
Les humains ont cette capacité de choisir l'enfer et de faire de leur vie un enfer...