L’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
Lire la suiteL’Administration Biden considère les pro-vie comme des « extrémistes violents nationaux »…
Voici une redoutable pro-vie, maintenant classée « extrémiste violente nationales »...
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Students for Life America/Facebook
On se demande bien pourquoi l’Administration du président Bidon a inclus les pacifiques pro-vie sur une liste d’« extrémistes violents nationaux », si ce n’est qu’elle est pro-avortement et qu’elle voit là un moyen de plus pour nuire au mouvement pro-vie. Selon LifeNews :
L’administration de Joe Biden a inclus les militants pro-vie sur une liste d’« extrémistes violents nationaux » dans un nouveau rapport du Bureau du directeur du renseignement national.
[...]
Le rapport ne nomme pas de groupes ou d’individus spécifiques, mais il identifie plusieurs « catégories de menaces » d’extrémistes, notamment les pro-vie et les militants de l’avortement, les militants des droits des animaux, les groupes anti-gouvernementaux et anarchistes, et les groupes racistes.
[...]
L’administration Obama avait également décrit les pro-vie comme des terroristes nationaux dans un rapport de 2012 du ministère de la Sécurité intérieure.
Tout ceci relève de la propagande la plus pure et d’une intention malveillante. Les pro-vie sont très largement pacifiques et ne promeuvent en rien la violence. Ils en sont plutôt victimes de la part des pro-avortement.
Biden réautorise le financement des promoteurs internationaux d’avortements
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
Le douteux président des États-Unis a abrogé hier la « politique de Mexico » qui empêchait les organismes internationaux promouvant ou pratiquant l’avortement de bénéficier des subsides fédéraux. Cette politique, précédemment réinstaurée et élargie par Donal Trump, avait soustrait aux griffes des promoteurs de la culture de mort environ 7,3 milliards de dollars. Selon The Epoch Times :
Le président Joe Biden a signé le 28 janvier un mémorandum présidentiel annulant l’interdiction du financement américain des organisations internationales à but non lucratif qui fournissent des conseils ou des orientations en matière d’avortement.
Le président Donald Trump avait rétabli et étendu cette interdiction, connue sous le nom de « politique de Mexico », dès les premiers jours de son mandat en 2017. Elle avait été précédemment annulée par les présidents Barack Obama et Bill Clinton.
Cette politique a été annoncée pour la première fois en 1984 sous l’administration Reagan et a été annulée et rétablie selon la ligne des partis depuis. Cette politique exige des organisations non gouvernementales qu’elles certifient qu’elles ne « pratiqueront pas ou ne promouvront pas activement l’avortement comme méthode de planification familiale » si elles veulent bénéficier de l’argent du contribuable américain pour des initiatives de santé mondiale.
La politique de Mexico n’interdisait malheureusement pas la promotion de la contraception. Mais maintenant ce sera pire…
Plus de 73 millions avortements ― des enfants à naître tués ― auraient été pratiqués chaque année dans le monde entre 2015 et 2019, selon l’OMS, rapporte The Epoch Times…
« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
*
Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteDonald Trump nomme Amy Coney Barrett à la Cour suprême : elle est catholique, pro-vie et mère de sept enfants
Amy Coney Barrett, juge à la Cour d'appel du 7e circuit des États-Unis.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Rachel Malehorn/smugsmug.com/Wikimedia Commons
Le président Donald Trump vient d’annoncer officiellement son intention de nommer le juge catholique pro-vie Amy Coney Barrett pour pourvoir le siège laissé vacant de la Cour suprême des Etats-Unis par le décès de Ruth Bader Ginsburg le 18 septembre. Il reste au Sénat de confirmer la nomination de cette brillante magistrate de 48 ans, mère de sept enfants. Elle prendra alors la place d’une femme qui a soutenu la culture de mort de toutes ses forces à la Cour suprême depuis 1993, exerçant au demeurant un pouvoir démesuré dans la mesure où cette Cour a outrepassé son droit et son devoir de contrôle de constitutionnalité des lois américaines pour devenir elle-même créatrice de droit.
Dans son discours dans la roseraie de la Maison-Blanche, Donald Trump a confirmé ce que divers médias, dont le New York Times et The Hill, annonçaient déjà avec confiance vendredi.
« Je me tiens devant vous aujourd’hui pour remplir l’une de mes plus hautes et plus importantes fonctions », a déclaré le président des Etats-Unis. « C’est vraiment pour moi un moment de grande fierté. »
Trump a salué en Mme Barrett l’« une des plus brillantes et talentueuses juristes de notre nation ».
« C’est une femme qui a connu des réussites sans pareilles, à l’intelligence hors pair, aux compétences remarquables », a-t-il déclaré, soulignant également sa fidélité envers la Constitution américaine.
Barrett, mère de sept enfants, dont deux adoptés, sera la première femme pro-vie à la Cour suprême. Elle sera également la seule femme ayant des enfants à exercer la fonction de juge à la Cour suprême.
Sonia Sotomayor, nommée par le président Barack Obama, est divorcée et n’a jamais eu d’enfants, tandis qu’Elena Kagan, également nommée par Obama, ne s’est jamais mariée.
Lire la suiteLes militants du climat : les citoyens doivent rester en «mode d’urgence» pour contrer le «changement climatique»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : luis_molinero/Freepik
Évidemment, les réchauffistes n’auraient pas manqué de profiter de la situation actuelle, autrement dit le problème du coronavirus ou ce qu’on en fait, ne manquant surtout pas d’en souligner ce qui est selon eux d’une extrême gravité, mais prenant le soin de faire du « changement climatique » une question bien supérieure. D’après eux, le « mode d’urgence » est le meilleur moyen de rétablir le climat, autrement dit, instaurer un « mode d’urgence » permanent, ce qui s’apparenterait tout simplement à de la dictature, quelque chose comme Justin Trudeau avec les pleins pouvoirs pour un temps indéterminé, jusqu’à ce que la planète soit sauvée…
Plusieurs personnages politiques, politisés ou militants comme Margaret Klein Salamon, l’activiste en herbe Greta Thunberg, l’ex-président des É.-U. Barack Obama, la directrice du groupe Climate Mobilization Margaret Klein Salamon, le secrétaire général de l’ONU António Guterres, etc., s’accordent tous pour comparer le coronavirus au « changement climatique », selon LifeSiteNews :
Les alarmistes du climat font l’éloge des blocages nationaux et des déclarations d’urgences nationales lancées dans le monde entier en réponse à la pandémie de coronavirus comme modèle de réponse au « changement climatique ».
« Nous essayons depuis des années de faire sortir les gens du mode normal et de les mettre en mode urgence », déclare Margaret Klein Salamon, directrice du groupe Climate Mobilization.
« Ce qui est possible politiquement est fondamentalement différent lorsque beaucoup de gens se mettent en mode d’urgence — lorsqu’ils acceptent catégoriquement qu’il y a un danger, et que nous devons faire tout notre possible si nous voulons être en sécurité. En outre, c’était intéressant de voir cette théorie validée par la réaction au coronavirus », déclare-t-elle.
« Maintenant, le défi consiste à maintenir le mode d’urgence activé en ce qui concerne le climat, où les dangers sont d’une amplitude plus grande. Nous ne pouvons pas penser que nous allons “revenir à la normale”, parce que les choses n’étaient pas normales ».
Greta Thunberg, l’adolescente militante du climat qui s’est bâti une réputation l’année dernière, déclarait à la Fondation Thomson Reuters, la semaine dernière, que si le coronavirus est un phénomène terrible, « il montre aussi une chose : qu’une fois que nous sommes dans une crise, nous pouvons agir pour faire quelque chose rapidement, agir vite ».
Le journaliste et commentateur conservateur Matt Walsh a publié sur Twitter en début de semaine qu'il "semble probable" qu'un futur président démocrate "déclarera le changement climatique ou la violence par balles comme "urgence nationale" et s'en servira comme excuse pour restreindre drastiquement les libertés civiles, en citant la riposte au coronavirus comme précédent".
Des personnalités politiques appellent «adorateurs de Pâques» les victimes chrétiennes des attentats au Sri Lanka !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : fsHH/Pixabay
Plusieurs attentats à la bombe ont été perpétrés par des musulmans contre des chrétiens le jour de Pâques, faisant 320 morts et 500 blessés, selon de récentes estimations. Trois églises ont notamment été visées. Et au milieu de cette douloureuse nouvelle, plusieurs personnalités politiques dont Barack Obama et Hilary Clinton n’ont rien trouvé de mieux que de parler d’« adorateurs de Pâques » (Easter worshippers). Serait-ce pour éviter de dire « chrétiens » ou « catholiques » (la majorité des chrétiens au Sri Lanka sont catholiques) ? Plusieurs habitués de Twitter, dont Brittany Pettibone, n’ont pas manqué de remarquer l’étrangeté de la chose.
Whoa ! C’est plus répandu que je ne le pensais.
Chers frères et sœurs chrétiens, il semble que les démocrates sont en train de nous rebaptiser en « adorateurs de Pâques ».
Qu’est-ce qu’un adorateur de Pâques ?
Le terme que ces gens se donnent tant de mal à éviter est le mot « chrétien ».
Obama: Les Églises devraient cesser de se concentrer autant sur la protection de la vie et du mariage
Par Fr. Mark Hodges de LifeSiteNews - traduit par Dominic Larkin pour Campagne Québec-Vie
WASHINGTON, DC, le 18 mai 2015 - En basant ses commentaires sur «ma propre foi chrétienne», le président Obama a déclaré au Sommet du leadership catholique-évangélique que les Églises devraient passer moins de temps à se concentrer sur l'avortement et le «mariage» des personnes de même sexe.
Lors d'une table ronde sur la pauvreté à l'Université de Georgetown, mardi dernier, Obama a critiqué des Églises pour la façon dont elles s'engagent politiquement, en se concentrant sur les «questions controversées» telles la protection de la vie et la préservation du mariage.
Le président a déclaré: «Quand il s’agit de ce pour quoi vous êtes prêt à lutter au corps à corps, de ce qui est la question déterminante, quand vous parlez dans vos congrégations, quelle est la chose qui va vraiment mettre en évidence l’essence de ce qui nous sommes en tant que chrétiens, ou en tant que catholiques, ou de ce que vous avez, [la pauvreté] est souvent vue comme une «valeur qui passe bien» par rapport à une question comme l'avortement ».
Lire la suite