Après avoir pris une pilule abortive, elle change d’avis, prend un traitement pour la contrer et sauve ses bébés
Par Micaiah Bilger (LifeNews.com) — traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a environ deux ans, Samantha a failli mettre fin à la vie de ses jumeaux à naître lors d’un avortement [par pilule abortive].
Samantha (nom d’emprunt), collégienne à cette époque, raconte avoir pris la pilule abortive RU-486 et l’avoir immédiatement regretté. Cette femme de Pennsylvanie a récemment raconté son histoire à ABC 27 News.
Grâce aux médecins qui l’ont traitée avec une nouvelle procédure, permettant d’annuler les effets de la pilule abortive, Samantha a aujourd’hui deux jumeaux en bonne santé.
« Je suis très heureuse d’avoir choisi de continuer la grossesse », dit Samantha.
Lire la suiteDes jumeaux miraculeux, nés à 23 semaines auraient pu mourir faute de soins
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Ces jumeaux nés à 23 semaines seulement, au Royaume-Uni, ont été appelés des miracles après leur naissance. On croit qu'ils font partie des bébés Britanniques qui ont survécu à une naissance aussi prématurée – et ils sont nés une semaine juste avant la limite de l’âge auquel ils auraient pu être avortés.
Shona Jeffery, âgée de 27 ans, est entrée en travail alors qu’elle n'était qu’à 22 semaines et six jours de grossesse. À l'origine, les médecins lui avaient dit que ses enfants étaient trop jeunes pour survivre – par un seul jour – et qu'ils ne pouvaient pas intervenir. « Ils ont dit qu'il n'y avait rien qu'ils pussent faire pour nous et, ils regrettaient que nous allions perdre nos bébés alors qu'ils étaient en-dessous de 23 semaines », a-t-elle rappelé. « Ils n'avaient pas d'installations pour les aider s'ils étaient arrivés. Ils nous les auraient simplement remis une fois nés. Ils nous ont mis dans une pièce pour se faire ».
Mais d'une façon ou d'une autre, les bébés - maintenant surnommés « Twinvincible » (les jumaux invincibles) par British news – […] [sont restés dans le ventre de leur mère] tout au long de la nuit, en mettant Jeffery à 23 semaines de grossesse. Et grâce à ces seules 24 heures, les médecins ont déclaré qu'il y avait une faible chance que les bébés puissent être sauvés. Jeffery a demandé aux médecins de faire tout leur possible pour garder les jumeaux en vie. Les médecins lui ont donné une injection de stéroïdes pour aider les poumons des bébés, puis ils ont transporté la mère à l'hôpital de Brighton en ambulance, où les spécialistes étaient prêts à prendre les bébés dans l'unité de soins néonatals intensifs.
Lire la suiteCette mère essaya d’avorter son bébé sans succès, aujourd’hui elle aime son fils sans réserve
Par Micaiah Bilger (LifeNews.com) traduit par Campagne Québec-Vie
Kirsten Hay veut que les jeunes mères en difficulté sachent qu’il y a des gens prêts à les aider lorsqu’elles se sentent seules.
Hay qui devint enceinte à 19 ans, en sait quelque chose de par son vécu personnel. Elle dit avoir essayé d’avorter son fils; après l’échec de l’avortement, elle a lutté contre une sévère dépression post-partum, rapporte The Sun.
Mais aujourd’hui, cette Écossaise dit qu’elle aime tellement son fils Oscar, à tel point qu’elle ne peut imaginer la vie sans lui. Elle dit qu’Oscar et elle se portent bien à cause de l’excellent soutien reçu autour d’eux.
Hay déclare s’être rendu compte de sa grossesse lorsqu’elle n’avait que 19 ans et [ne se sentait] n’était pas prête à être mère. Lorsqu’elle fut à 12 semaines de grossesse, elle eut un avortement, dit-elle; mais la procédure échoua et Oscar survécut. Hay n’a pas donné les détails de la procédure; elle pourrait avoir pris des abortifs, lesquels sont moins efficaces quand la grossesse est avancée.
Lire la suiteIl y a dix ans de cela, Jessica s'est presque fait avorter. Aujourd'hui mère et fils propagent une passion pour la vie
Bonne nouvelle : la clinique d'avortement dont il est question dans cet article va fermer ses portes incessamment. – N.D.E.
Par Rachel Leigh (Pregnancy Help News) traduit par Campagne Québec-Vie
Lorsque Jessica Ricke a mis les pieds dans un Women’s Choice Center en 2005, c’était dans l’intention de mettre fin à la vie de son enfant à naître au moyen de l’avortement.
Aujourd’hui, soit une douzaine d’années plus tard, Ricke est maintenant directrice du développement du centre, jouant un rôle clé dans l’obtention de 1,2 millions de dollars depuis octobre 2015, [somme] dont la majeure partie a été consacrée à l’achat d’une unité médicale mobile.
Bien sûr, la vie de Ricke aujourd’hui contraste beaucoup avec celle qu’elle vivait à 21 ans, alors qu’elle était célibataire et faisait face à une grossesse non planifiée.
« Je n’étais pas en relation avec le père de l’enfant, » a affirmé Ricke. « En ayant grandi dans la foi catholique et étant contre l’avortement, lorsque j’ai eu ma grossesse non planifiée, je me sentais apeurée et voulais régler le problème, toutefois en ignorant comment y procéder. J’ai donc regardé dans les Pages Jaunes pour un avortement. La première chose qui a capté mon attention fut l’annonce du Women’s Choice Center. »
Lire la suiteDes parents encouragent leur fille à choisir la vie, et son bébé est sauvé de l’avortement
Par (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
(SaveTheStorks) – 2013 fut l’année où ma vie se transforma pour toujours. J’avais 18 ans et je menais une « vie normale ». Je venais d’obtenir mon diplôme du secondaire et je vivais avec ma famille. J’avais deux boulots et un copain sympathique.
Un matin, je me levai afin de m’apprêter pour le travail et je ressentis des nausées. N’y prêtant pas beaucoup d’attention, je m’en allai au travail comme d’habitude. Tout au long de la journée, j’avais envie de manger des plats inhabituels et je souffrais de maux de tête. En rentrant à la maison, je m’arrêtai chez Walmart où j’achetai un test de grossesse. J’ai passé le test une fois à la maison.
J’attendis; deux petites lignes apparurent. J’étais enceinte. J’avais des nœuds dans l’estomac et je me mis à pleurer.
Je ne savais pas quoi faire. Je me débarrassai du test et me comportai comme si rien ne s’était passé. J’appelai mon copain et le rejoignis chez lui, là nous discutâmes de ma grossesse.
Lire la suiteGardant son bébé après avoir été violée, une jeune femme trouve l’espoir et rejette l’avortement
Par Nancy Flanders (Live Action News) traduit par Campagne Québec-Vie
Washington (district de Columbia) – PJ* n’avait que quatorze ans lorsque dans le temps de Noël 2010, des amis lui ont présenté l’homme qui allait la violer. Militaire, celui-ci était en congé pour Noël au village d’à côté. Les parents de PJ n’avaient pas coutume de permettre à leur fille d’être avec des gens qu’ils ne connaissaient pas, mais ils étaient eux aussi une famille militaire, et leur aînée venait de terminer son entraînement dans l’armée. Pour autant ils jugeaient cet homme digne de confiance. Mais dans le sous-sol de ses parents, entourée de plusieurs témoins qui garderont le silence, PJ fut violée.
Cinq mois plus tard, PJ découvrit qu’elle était enceinte. Jusque-là elle n’avait rien dit à ses parents ; quand elle le leur a tout dévoilé, ses parents, bouleversés, furent remplis de colère mais se sentaient aussi responsables. Angela, la mère de PJ, considéra alors l’avortement comme option pour sa fille. Elle explique :
Lire la suite« Je pensais vraiment qu’il fallait que je l’emmène pour un avortement. J’étais pro-vie, mais avec des exceptions. Je ne voulais pas le faire, mais j’avais appris que c’était la chose à faire en cas de viol. Mon mari, par contre, m’a dit qu’il ne voulait aucunement prendre part à la mort d’un enfant – que c’était tout de même une vie humaine. Mais partout où nous allions, la réponse d’amis aussi bien que de personnes de foi était catégorique : il fallait interrompre la grossesse. »
Violet fut sauvée de l’avortement lorsque sa mère quitta la clinique de Planned Parenthood
Ally et son bébé Violet
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Cela lui prit beaucoup de force et courage, mais Ally, qui avait fait l’objet de pression pour qu’elle se fasse avortée, sortit de la clinique où elle avait un rendez-vous pour un avortement.
Ally découvrit qu’elle était enceinte après avoir pris un test gratuit de grossesse au Ventura County Pregnancy Center (Centre de grossesse du comté de Ventura). Les gens du centre lui ont montré également une échographie de son bébé et lui ont parlé de ses options et du développement du fœtus. Ally se sentit bouleversée et décida de s’en aller. Elle a affirmé que les personnes du centre de grossesse lui assuraient qu’elles seraient là pour elle, peu importe ce qu’elle choisirait de faire.
Lire la suiteUn bébé sauvé de l’avortement après que sa mère l’ait vu bouger sur l’échographie
Un bébé bien vivant
Par LiveActionNews traduit par Campagne Québec-Vie
Une absence de règles. Un test de grossesse maison donnant deux faibles lignes. Lorsque je découvris il y a quatre mois que j’étais enceinte, j’ai paniqué.
Je n’avais pas peur pour les mêmes raisons pour lesquelles une femme enceinte de 21 ans pourrait avoir des peurs. Oui je suis jeune, mais j’ai une relation d’amour, je suis financièrement stable, j’ai une famille qui est là pour moi et qui me supporte. Si j’avais peur, c’est que cette grossesse pouvait être dangereuse pour moi.
Il y a trois ans de cela, mon petit ami, Darren fut diagnostiqué avec le cancer des testicules. Le traitement par radiations, avec lequel on l’a soigné, lui a sauvé la vie, cependant ce traitement pouvait lui causer de sérieux problèmes pour avoir des enfants. Il a été prévenu que s’il venait à en avoir, qu’il pourrait naître avec des déformations et que la mère de cet enfant, pourrait être lésée par cette grossesse.
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Nous avions 100 raisons pour choisir l’avortement, mais mon copain et moi avons choisi la vie
Par Live Action News traduit par Campagne Québec-Vie
La gynécologue a mis sa main sur la mienne et m’a annoncé que j’étais enceinte. J’étais en état de choc. Je ne pouvais pas avoir un bébé en ce moment, avec tout ce qui se passait dans ma vie – une grande charge de travail, l’état de santé de ma mère, et peut-être un mariage dans le futur. Et je pouvais compter 100 autres raisons pour ne pas avoir un bébé.
Mon copain Dan et moi avions été élevés dans des familles chrétiennes. Et bien que nos parents nous aimaient et étaient pour nous un grand soutien, personne ne serait très heureux de voir apparaître un bébé à ce moment de nos vies, et avant notre cérémonie de mariage. On nous avait appris à faire les choses « comme il faut », et nous savions que cette grossesse ne rentrait pas dans cet ordre des choses. Jusqu’à ce jour, je jouais le rôle de la « fille idéale » et de la « Chrétienne idéale ».
Lire la suiteRencontrez 12 bébés sauvés de l'avortement en 2016
Par Kristi Burton Brown (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
L’année 2016 a été remplie de nouvelles choquantes, il y a eu trop de morts, et beaucoup des mauvaises surprises. Cependant, nous ne pouvons pas laisser passer l'année sans s'arrêter pour célébrer les vies qui ont été sauvées et les personnes qui ont été aimées cette année. Il y a plus que nous ne les saurons jamais, mais allons rencontrer 10 beaux bébés qui ont été sauvés de l'avortement en 2016:
1.Le bébé d'Esther
Esther est venue aux États-Unis du Nigeria et a vite découvert qu'elle était enceinte. Elle avait déjà subi deux avortements dans son pays d'origine et pensait que cette fois, elle ferait le même choix. Cependant, Esther a trouvé le Centre des Femmes de Birmingham, où on lui a donné l‘amour, du soutien et la vérité. Au centre, Esther a regardé des vidéos montrant les procédures de l‘avortement préparées par Live Action (y compris celle ci-dessous), où l'ancien avorteur Dr. Anthony Levatino décrit ce qui se produit réellement durant les différents types d'avortement. Esther a été choquée et attristée, et après avoir vu une échographie de son propre bébé au centre, elle a choisi la vie.
Avortement médical du 1er trimestre: pilules d‘avortement