Sans-abri et enceinte à 17 ans, Renee apprend maintenant la sonographie
Par Jen Taggert (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tasha/Pixabay
(Pregnancy Help News) — Renee était seule et effrayée lorsqu’elle est devenue enceinte de « Maggie » à l’âge de 17 ans, il y a presque dix ans. L’homme avec qui elle avait conçu son enfant l’avait abandonnée et elle savait que ses parents religieux n’accepteraient pas que leur fille adolescente ait un enfant.
Envisageant l’avortement, Renee s’est tournée vers le Centre de grossesse de Greater Toledo (Pregnancy Center of Greater Toledo), au nord-ouest de l’Ohio.
« J’espérais que c’était quelque chose que je pourrais garder caché et que personne ne le découvrirait, » dit Renee. « Que je pourrais retourner vivre ma vie, que personne ne me jugerait pour avoir été enceinte à 17 ans et que je pourrais continuer à aller à l’église le dimanche matin. »
Lorsque l’infirmière du Centre a confirmé à Renee qu’elle était enceinte de dix semaines, elle lui a montré un modèle de ce à quoi son bébé Maggie ressemblait à cet âge.
Lire la suiteUn séminariste anglais participe au sauvetage d'un bébé aux 40 Jours pour la Vie, puis le revoit
David Donaghue, diacre et séminariste.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Birmingham, Royaume-Uni, 11 septembre 2018 (LifeSiteNews) — Un séminariste catholique et anglais a aidé à sauver un bébé lors d'une veillée des 40 Jours pour la Vie et a ensuite pu le rencontrer.
Le diacre David Donaghue, dans sa dernière année d'études, rapporta à LifeSiteNews par courriel que les séminaristes de l'Oscott College participaient régulièrement au 40 Jours pour la Vie devant la clinique Marie Stopes à Birmingham.
«Nous offrons des brochures aux hommes et aux femmes qui entrent dans la clinique», a-t-il expliqué. «Nous respectons pleinement ceux qui refuse, mais beaucoup de femmes et d'hommes souhaitent parler.»
Au mois d'octobre de l’année dernière , lors des 40 Jours pour la Vie, Donaghue a approché un homme se tenant devant la clinique Marie Stopes et entama une conversation avec lui.
«Sa femme était dans la clinique planifiant un avortement», se rappelait le séminariste. «Il s’est avéré qu’ils étaient pauvres et qu’avec d’autres enfants à la maison, ils [estimaient qu’ils] n’avaient pas d’autre choix. J'ai pu l’encourager dans sa paternité et offrir de l'aide. C'est là que les autres entrent en ligne de compte.»
Lire la suiteElle se serait fait avorter si un message d'espoir ne l’avait arrêtée
Par K.V. Turley — traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, 5 juillet, 2018 (LifeSiteNews) — Une journée d’hiver en 2009, une jeune femme roumaine marchait le long d’une rue de Londres en direction d’une clinique d’avortement.
Elle était enceinte de 8 semaines.
Les semaines précédant sa décision d’aller là avaient été traumatisantes.
Le 3 octobre, elle avait découvert qu’elle était enceinte. Elle avait téléphoné au père de son enfant, la réponse de celui qui était son « copain » à l’époque avait été immédiate : « “Tu dois avoir un avortement.” ». Mais elle n’en voulait pas. Instinctivement, elle savait que c’était mal et elle souhaitait poursuivre sa grossesse.
Elle insista davantage : « Est-ce que tu vas être un père pour cet enfant ? ». Elle était troublée. Il lui a alors dit quelque chose qu’elle ignorait : « Je ne peux pas avoir un autre enfant. ». Avec cette nouvelle information, la femme enceinte comprit qu’elle était toute seule, et de plus d’une façon. Lorsqu’il réalisa qu’elle allait continuer sa grossesse, il commença à se moquer de sa situation au téléphone.
Quelques semaines plus tard, le même « copain » réapparut dans la vie de cette femme, cette fois-là avec son cousin. Ensemble, ils essayèrent de la convaincre de se faire avorter.
Lire la suiteSauvée de l’avortement, la petite Destiny change déjà le monde autour d’elle
Par Jay Hobbs (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(Pregnancy Health News) — Dans un hôpital de Miami, une fille née lundi matin [6 mars 2017] a reçu de sa mère le nom […] Destiny (« Destin ») […] l’entrée de cette fille au monde un jour au début du mois de mars n’a rien d’anodin ; la petite réunit déjà sa famille d’une manière dont elle ne pourra se rendre compte qu’après plusieurs années.
C’était à la mi-octobre 2016 lorsque la mère de Destiny, Melissa, a reçu la nouvelle que son bébé avait reçu un diagnostic du syndrome Noonan, trouble qui, selon le site genome.gov, aboutit à des traits inhabituels et une stature anormalement petite, des troubles cardiaques dès la naissance, des hémorragies, des retards dans le développement, et la mauvaise formation de la cage thoracique.
Une peur a donc saisi Melissa, épouse et mère de deux enfants, et enceinte de 21 semaines — peur qu’elle n’avait jamais ressentie, qu’elle n’avait pas connue lors de la grossesse de ses deux premières filles. Mais si ce n’était que cela, sa mère a immédiatement fait pression sur elle afin qu’elle avorte le bébé plutôt que de s’obliger ainsi que sa jeune famille d’accueillir un enfant déficient.
Melissa aurait pu succomber à la pression et avorter Destiny, mais sa sœur, Joanna, collaboratrice de longue date du groupe Heartbeat de Miami, organisme pro-vie qui possède quatre cliniques à Miami, s’est avancée, devenant championne pour sa nièce à naître.
Lire la suiteLe printemps fleurit tôt avec Campagne Québec-Vie !
La photo n'est pas celle de la mère ou de l'enfant dont il est question dans le présent article.
Par Jeunesse Québec-Vie — Photo : PublicDomainPictures/Pixabay
Nous avons récemment contacté Joanie, la mère d’Isabelle (les noms ont été modifiés par respect à l’anonymat). Il y a un an, Isabelle était enceinte et envisageait un avortement. Étant encore étudiante, elle pensait qu’une grossesse surprise serait la fin de ses projets pour une vie heureuse.
Cependant, avec le soutien de Campagne Québec Vie, Isabelle a pris la décision courageuse de donner une chance à sa vie et de sauver son bébé Emilien. Ce 6 février, nous avons célébré une année de la vie de ce petit garçon, une année de nouvelles opportunités, de nouvelles joies et de nouvelles façons d’aimer!
Nous n’avons pas pu parler à Isabelle elle-même, car elle était à son université. Vous voyez, avec notre soutien et celui de sa mère, Isabelle a pu poursuivre ses études. Joanie nous a raconté comment le travail de CQV a donné à sa fille l’occasion de faire le meilleur choix et de donner à elle-même et à son bébé une chance dans la vie. En fait, ce soutien a fourni les nécessités de base pour élever un bébé. Cela a également permis à Isabelle d’embaucher une nounou pour qu’elle puisse étudier et travailler.
Lire la suiteCette femme choisit la vie après avoir parlé avec des pro-vie à l’extérieur d’un avortoir
Anna.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie — YouTube
Londre, Angleterre, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le bébé d’Anna est vivant aujourd’hui grâce à la présence du Good Counsel Network (Réseau du bon conseil) dans le quartier d’Ealing.
Le Good Counsel Network fait l’objet d’attaques, depuis 19 mois, de la part du groupe pro-avortement Sister Supporter et du député Rupa Huq. Sister Supporter et Huq accusent les témoins pro-vie d’harceler des femmes à l’extérieur de la clinique Marie Stopes (Ealing). Cependant, les femmes qui voulaient une alternative à l'avortement et pensaient qu'elles n'avaient pas d'autre choix que d'avorter racontent une autre histoire.
Dans la vidéo, « Anna », une étudiante étrangère, explique comment elle était effrayée quand elle a découvert qu'elle était enceinte. Elle se sentait sous pression. Toutes les personnes à qui elle a parlé de la grossesse lui ont dit que l’avortement du bébé serait la meilleure décision pour elle. Elle a dit à son médecin généraliste qu'elle garderait le bébé, mais elle ne savait pas comment elle pouvait se le permettre. Désespérée, elle a trouvé la clinique Marie Stopes sur Google. Mais quelqu'un l'attendait quand elle est arrivée.
« La dame est allée vers moi et m'a dit : “Vas-tu te faire avorter ? Je peux t'aider si tu ne veux pas le faire.” Et j'ai dit “Quoi ? Tu peux m'aider ?” Et puis il m'a fallu une seconde pour dire : “OK! J'irai avec toi.” »
Lire la suiteUne femme s’écrie, alors qu’elle réalise que l’avorteur lui avait menti — « Attendez ! C’est un battement de cœur !? »
Par SaveTheStorks — Traduit par Campagne Québec-Vie
Abby se rendait à l’avortoir pour la seconde fois en quatre mois. Combien de fois encore cela arrivera-t-il ?
Elle devait se rappeler sans cesse que c'était seulement « Un amas de cellules ». Que c’était tout simplement comme un autre rendez-vous. « Entrer, sortir. Amas de cellules. Tout le monde le fait. »
Elle conduisait en se répétant ce slogan comme elle l’avait fait pendant la semaine passée, à chaque fois qu’un doute entrait dans esprit. Comme elle marchait vers la clinique, quelqu’un tapota sur son épaule. Elle se retourna pour voir le sourire amical d’une femme. Elle semblait être d’un âge proche du sien, et, remarqua Abby, se tenait devant un grand autobus, sur le côté duquel elle pouvait lire : « Échographies et test de grossesses gratuits ! »
Lire la suiteUne application a sauvé la vie d’un enfant à naître de 33 semaines
Par Jay Hobbs (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(Pregnancy Help News) — Des nouvelles palpitantes de l’Iowa, où Jeremy et Emily Eekoff (photo avec leurs enfants Liam et Ruby) organisent leur vie avec leur deuxième enfant.
Il y a juste un mois, Ruby le nouveau-né de la famille, a été sauvé, d’après les dires des médecins, de ce qui aurait dû se terminer en mort à la naissance in utero à 33 semaines. Ce qui a permis le sauvetage est une application gratuite appelée, Count the Kicks (Compter les coups de pied).
Les Eekoff ont déjà publié leur histoire cette semaine [la semaine du début de juillet] sur ABC Good Morning America. Emily avait téléchargé l’application — qui surveille l’activité du bébé à naître — à 28 semaines et elle a remarqué une diminution importante des mouvements de Ruby à 33 semaines et cinq jours.
Suivant les mouvements de Ruby depuis les cinq dernières semaines, Emily savait qu’elle devait obtenir de l’aide tout de suite, et d’avoir les données sous la main lui a permis de donner aux médecins de l’hôpital local suffisamment d’informations pour agir à temps pour faire naître Ruby en avance par une césarienne.
Lire la suiteÂgée de 19 ans et enceinte, elle choisit la vie pour son bébé, en dépit des conseils de Planned Parenthood
Alexa et sa fille.
Provient de SaveTheStork — traduit par Campagne Québec-Vie
Cette histoire vraie a été proposée à SaveTheStork par Alexa.
Un mois après mon 19e anniversaire, j'ai appris que j'étais enceinte. Je n'étais pas prête à avoir un bébé. Je n'étais prête ni émotionnellement ni financièrement.
J'étais prise dans une relation brutale et dominante, et je me sentais déjà comme une ratée. J'étais en situation d'échec à cause de mes mauvaises notes et je me demandais comment je pourrais compléter mon diplôme de soins infirmiers avec un bébé.
Mon copain a tout de suite dit que je devais me faire avorter.
Jusqu'alors, j'étais pro-choix, donc j'ai décidé d'évaluer les options que j'avais. À ce moment-là, je n'avais pas d'assurances, alors je me suis tournée vers l'endroit où je pouvais examiner mes options sans avoir besoin d'assurances. Le site internet promettait des soins, et promettait de m'offrir des choix, alors j'ai pris un rendez-vous. Même si j'étais pro-choix, je pensais que ce choix comprenait l'option de la vie pour mon bébé.
Lire la suiteUn bébé de 35 semaines survit à l’avortement ; il fut sauvé par une infirmière qui l’a entendu pleurer dans un sac en plastique.
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Des nouvelles en provenance de Chine nous racontent l’histoire d’un petit bébé ayant survécu à l’avortement.
La Chine est l’un des pires pays en termes de violations des droits humains, surtout en ce qui concerne l’enfant à naître. Elle fait partie de la poignée de pays qui autorisent des avortements tardifs ; les politiques de régulation démographique ont fait que les femmes chinoises sont soumises aux avortements forcés, à la stérilisation ainsi qu’à d’autres abus. Cet état de fait est largement imputable à la politique restrictive chinoise des deux enfants – précédemment c’était la politique de l’enfant unique – les couples doivent toujours d’abord obtenir une autorisation. Si cela leur est refusé, ils risquent de payer des amendes, de perdre leurs emplois, d’être littéralement traînés dans la rue et d’être forcés à l’avortement. Le gynécide est très répandu en Chine et on estime que plus de 23 millions d’enfants à naître y sont avortés chaque année.
Avec tant d’avortements, il est inévitable que certains de ces bébés survivent. Mais que se passe-t-il quand ils survivent? Dans ce cas du moins, le bébé a été placé dans un sac en plastique afin qu’il meure asphyxié. Mais le bébé fut secouru et il survécut.
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