Une femme recourt à la contre-pilule abortive et sauve la vie de fille
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
De nombreuses mères faisant face à une grossesse non planifiée ont recours à l’avortement chimique par peur ; peur de ce que leur famille pourrait dire ou de la réaction de leur partenaire face à la grossesse, ou peur de ne pas pouvoir s’en sortir seules si elles choisissent la vie pour leur enfant.
Mais comme l’idée derrière la chanson de rock chrétien « Fear is a Liar » (« La peur est une menteuse »), LaToya a fait l’expérience directe des mensonges de la peur et a vu chaque mensonge être démoli avec le temps.
Sa relation avec un homme qui n’avait pas révélé qu’il était marié était construite sur des mensonges. Après avoir découvert sa tromperie, puis qu’elle portait son enfant, la peur est venue avec d’autres mensonges.
« Il ne se souciait pas de ce que je faisais », se souvient LaToya, « que je garde le bébé ou non. Je lui ai laissé entendre que j’allais me faire avorter. Il a proposé d’être là pour m’aider ».
LaToya s’est rendue à Planned Parenthood et a reçu la pilule abortive avec la consigne de prendre la deuxième pilule dans les 48 heures.
Le premier médicament d’un avortement chimique, la mifépristone, déstabilise la grossesse de la mère. Le second médicament, le misoprostol, généralement pris un jour ou deux plus tard, provoque le travail et l’accouchement de l’enfant décédé. Les deux médicaments d’avortement chimique sont associés à des crampes et à d’autres effets secondaires négatifs.
« Quand je suis rentrée chez moi, je me suis assise et je me suis dit, si ce produit me fait me sentir si mal, comment le bébé se sent-il ? » raconte LaToya. « Alors, j’ai regardé sur internet pour voir ce qui se passerait si je ne prenais pas la deuxième pilule abortive. »
« Quand j’ai fait ça, un site internet est apparu dans la recherche appelé APR Abortion Pill Reversal », dit-elle. « Je n’avais jamais entendu parler de cela. Je n’avais jamais su qu’on pouvait inverser les effets de la pilule abortive. »
Le réseau Abortion Pill Rescue® Network (APRN) est disponible 24 heures sur 24, comme LaToya l’a découvert.
L’inversion de la pilule abortive (APR) est une application plus récente d’un traitement vieux de plusieurs décennies pour prévenir les fausses couches. La progestérone est administrée selon un protocole pour contrer le premier médicament abortif. Si une mère prend la pilule abortive, éprouve des regrets et agit assez rapidement, il peut être possible de sauver son enfant à naître.
Lire la suiteDes militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteCe bébé a été sauvé de l’avortement lorsque des pro-vie ont aidé sa mère devant l’avortoir
Kairo.
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 mars, 2022 — Anniyah était déchirée lorsqu’elle s’est présentée à son rendez-vous pour un avortement à Cherry Hill, dans le New Jersey, en octobre dernier.
« Une partie d’elle ne voulait pas être là », a déclaré Claire, la responsable locale des 40 jours pour la Vie. « Mais elle n’avait pas de travail... et les gens lui disaient qu’elle ne devrait pas avoir [un bébé] ».
Anniyah est sortie du centre d’avortement lors d’un appel avec sa mère, qui encourageait Anniyah à parler avec une personne extérieure — quelqu’un qui n’était pas proche de la situation d’Anniyah et qui pourrait lui offrir une opinion impartiale.
C’est alors que Marie a fait signe à Anniyah de venir et lui a dit : « Tu n’es pas obligée de faire ça aujourd’hui ».
Marie lui a expliqué l’abondance des ressources qui pourraient permettre à Anniyah de choisir la vie et de s’épanouir... et elle a décidé de garder son bébé !
L’équipe de Cherry Hill l’a mise en contact avec toutes sortes d’aides : transport vers les rendez-vous chez le médecin, fournitures pour bébé, repas — et même nettoyage de tapis !
Récemment, Anniyah a donné naissance à un magnifique petit garçon de 2,72 kg appelé Kairo, grâce aux prières de Marie, Claire, de toute l’équipe de Cherry Hill et de vous !
Lire la suiteEn Russie, des adolescents sauvent un nouveau-né abandonné par une température glaciale
Par Amanda Vicinanzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un nouveau-né abandonné en Russie par une nuit glaciale de -20 degrés Celsius a été sauvé par deux adolescents qui l’ont trouvé dans la neige profonde dans une boîte en carton utilisée pour stocker des œufs. Après ce sauvetage héroïque, les parents de l’un des garçons ont commencé des démarches pour adopter le bébé.
Selon le Mirror UK, le bébé a été trouvé près d’un village isolé de Sibérie le jour de Noël, que les orthodoxes russes célèbrent le 7 janvier. Les garçons se promenaient lorsqu’ils ont entendu un couinement. Ils sont tombés sur une boîte en carton et s’attendaient à y trouver des chiots. Au lieu de cela, ils ont trouvé une petite fille.
« Elle était couchée là comme une petite poupée, si petite », ont commenté les garçons. « Nous étions tellement abasourdis que nous n’avons même pas su pendant quelques secondes quoi faire, et où courir. Elle n’avait aucun vêtement sur elle, elle était enveloppée dans un morceau de tissu, avec une bouteille à côté d’elle. »
Renat Litvinov, 16 ans, s’est immédiatement mis en action et a appelé ses parents à l’aide. Les parents de l’adolescent se sont précipités à l’endroit où le bébé avait été trouvé et l’ont emmené à l’hôpital. Miraculeusement, le bébé ne présentait aucun signe d’engelure et était en bonne santé bien qu’il ait été abandonné dans des conditions aussi glaciales. Ils ont estimé que la petite fille était âgée de deux à trois jours.
Selon la police, le nouveau-né a probablement été laissé intentionnellement à mourir de froid et une enquête pour tentative de meurtre a été ouverte. Commentant l’affaire, le président du Parlement russe, Viatcheslav Volodin, a déclaré : « Cette histoire dans la région de Novossibirsk ne s’est pas terminée en tragédie uniquement grâce aux soins des jeunes hommes. »
Lire la suitePlanned Parenthood l’a poussée à avorter, mais elle a choisi la vie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Dans une tribune récente publiée dans Newsweek, Jessica Riojas, une Californienne, a raconté une histoire beaucoup trop courante : s’étant retrouvée enceinte de façon inattendue pendant ses études, elle a consulté un centre de Planned Parenthood (PP) pour discuter des options qui s’offraient à elle. Mais au lieu de lui donner des conseils, les responsables du centre lui ont dit que sa seule « option » était l’avortement.
Riojas explique :
... J’ai découvert que j’étais enceinte. Comme la plupart des autres étudiantes dans ma situation, je me suis sentie seule, effrayée, incertaine de mon avenir et incroyablement mal préparée. Je me suis rendue au centre local de Planned Parenthood, où un conseiller a essayé de me convaincre que j’étais irresponsable, que je n’étais pas prête à être mère et que l’avortement était ma seule option.
Heureusement, quelque chose en elle lui disait que l’avortement n’était pas vraiment le seul choix qu’elle avait. Riojas a expliqué que, bien que ne se considérant ni pro-vie ni pro-choix à l’époque, elle avait pris dans un stand d’information de Students for Life l’image en relief d’un enfant à naître à 12 semaines de grossesse. Cette figurine lui plaisait et elle la gardait dans sa voiture. Après avoir parlé avec les conseillers de PP, elle a de nouveau contemplé la représentation grandeur nature d’un enfant à naître et elle a su qu’elle garderait son enfant.
Mme Riojas affirme qu’elle était la cible parfaite pour l’industrie de l’avortement : elle n’avait pas beaucoup d’argent et elle espérait terminer ses études. Les défenseurs de l’avortement affirment que les femmes dans cette situation sont incapables d’élever un enfant, mais Mme Riojas était mieux placée pour le savoir et elle leur a prouvé le contraire. Elle a déclaré qu’au cours du semestre où elle a donné naissance à sa fille, elle a obtenu une moyenne de 4,0 GPA. Elle a terminé son diplôme de premier cycle à l’université et a enchaîné avec une maîtrise en orthophonie. Elle travaille maintenant à plein temps comme orthophoniste, tout en étant mère.
Lire la suite« J’ai vu votre pancarte et je garde mon bébé »
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Saskatoon, Saskatchewan, 23 novembre 2021 (Campaign Life Coalition) — Une jeune femme enceinte de la Saskatchewan a décidé de ne pas avorter son bébé après avoir vu un défenseur pro-vie témoigner de la vie à l’extérieur d’un hôpital provincial où sont pratiqués des avortements.
Barney Sullivan, 71 ans, a raconté à Campaign Life Coalition qu’il se tenait à l’extérieur de l’hôpital municipal de Saskatoon, où des avortements sont régulièrement pratiqués, lorsqu’une jeune femme qui semblait avoir une vingtaine d’années s’est approchée de lui et a voulu lui parler.
À ce moment-là, M. Sullivan se tenait juste devant l’entrée de l’hôpital avec une grande pancarte pro-vie sur laquelle on pouvait lire : « Les bébés à naître comptent » : « Les bébés à naître sont importants ».
« Je me tenais juste là, tout seul. Et cette dame voulait me parler. Et d’habitude, c’est plutôt négatif », a déclaré M. Sullivan qui, depuis deux ans, se tient chaque jour pendant plus d’une heure devant l’entrée de l’hôpital avec ses panneaux pro-vie, en priant tranquillement.
Elle m’a dit : « J’ai vu votre pancarte et je garde mon bébé ».
Selon Sullivan, la jeune femme a dit qu’il était prévu qu’elle se fasse avorter, mais quand elle a vu l’homme avec son message pro-vie se tenant juste à l’extérieur de l’hôpital, elle l’a interprété comme un signe qu’elle devait faire un choix différent.
Elle a dit : « Vous savez, j’allais me faire avorter, mais, a-t-elle dit, c’est un signe pour moi que je dois garder mon bébé », a raconté M. Sullivan au sujet de sa conversation avec la jeune femme.
Lire la suiteUne mère et son fils ont eu une seconde chance grâce au protocole de renversement de la pilule abortive
Par Lisa Bourne (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trendsetter Images/Adobe Stock
(Pregnancy Help News) Une maman qui a pris la pilule abortive et qui a regretté ce choix est « éternellement reconnaissante » à l’Abortion Pill Rescue® Network (APRN), car c’est grâce à l’aide cruciale de l’APRN qu’elle a pu inverser avec succès son avortement chimique et donner naissance à un petit garçon en bonne santé au début du mois.
Comme beaucoup de mamans, Judith n’était pas sûre de sa décision d’avorter son enfant et comme beaucoup de mamans, elle a eu des regrets juste après avoir entamé le processus d’avortement chimique.
Mais elle a trouvé l’APRN et une organisation d’aide aux femmes enceintes (PHO) et a reçu des deux ce qu’elle dit être exactement ce dont les femmes dans cette situation ont besoin ─ de l’aide et des encouragements positifs. Et maintenant, Judith dit à d’autres mamans qui ont commencé un avortement chimique et qui ont des regrets, de s’arrêter et de chercher de l’aide ─ il y a de l’espoir pour une autre chance de sauver votre enfant.
« Je regarde mon bébé et je me dis : “Wow, quand je pense que j’allais mettre fin à sa vie” », dit-elle, « mais heureusement, je ne l’ai pas fait et on m’a donné une seconde chance ».
« Je suis si heureuse et éternellement reconnaissante pour ce site internet (APRN) car il a sauvé la vie de mon bébé et la mienne », a déclaré Judith.
« Donc, si vous vous demandez si vous devez poursuivre le processus d’avortement, ne le faites pas », a-t-elle ajouté. « Cherchez de l’aide ».
L’avortement chimique, également connu sous le nom d’avortement médical ou médicamenteux, est un traitement à base de deux médicaments, la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone, le premier médicament, bloque la progestérone, l’hormone naturelle de l’organisme de la femme nécessaire au maintien de la grossesse.
Lire la suiteLes centres pro-vie canadiens d’aide aux femmes enceintes sont en danger
Par David Cooke (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Valerii Honcharuk/Adobe Stock
Signez notre pétition : « Ne retirez pas le statut charitable aux centres pro-vie d'aide aux femmes enceintes »
Je veux vous parler d’une menace très sérieuse pour les centres de grossesses critiques au Canada — et pour toutes les femmes et bébés à naître qu’ils servent !
À la page 4 de la plateforme électorale libérale de 2021, les libéraux de Trudeau ont publié une condamnation générale de tous les groupes pro-vie au Canada. Ils ont faussement prétendu : « les organismes pro-vie* travaillent activement à la diffusion de fausses informations sur l’avortement, mettant ainsi en péril la santé et la sécurité de jeunes et de femmes vulnérables ».
Sans aucun fait pour étayer leur diffamation, les libéraux font cette promesse : « Un gouvernement libéral réélu s’engage à : ... Ne plus accorder un statut d’organisme de bienfaisance à des organisations antiavortement (par exemple, les centres de crise de grossesse) qui fournissent des services de consultation malhonnêtes aux femmes au sujet de leurs droits et des options qui sont à leur disposition à toutes les étapes de la grossesse. »
Si M. Trudeau parvient à ses fins (et il y arrive souvent !), des dizaines de centres grossesses critiques et des centaines de groupes pro-vie à travers le pays risqueront de fermer. Et les milliers de bébés qu’ils sauvent de l’avortement chaque année risquent de ne jamais voir la lumière du jour !
Bébé et nouvelle maman
Selon Pregnancy Care Canada, plus de 30 000 femmes ont eu accès à de l’aide l’année dernière dans leurs 80 centres de soins de grossesse affiliés. Plus de 7 000 clientes ont reçu de l’aide matérielle telle que des couches, du lait maternisé et des vêtements. Plus de 600 femmes ont demandé et reçu un soutien post-avortement.
Nous devons veiller à ce que ces organisations vitales, ainsi que leur personnel et leurs bénévoles dévoués, qui apportent aide, espoir et guérison aux femmes enceintes et à leurs bébés à naître, soient protégés des fanatiques pro-avortement et de leurs alliés politiques de gauche.
Lire la suiteL’administration Biden poursuit le Texas sur sa loi interdisant l’avortement dès les battements de cœur
Merrick Garland, procureur général des États-Unis.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Washington DC., 9 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’administration Biden a enclenché une poursuite fédérale contre l’État du Texas, alléguant que sa Loi sur les battements de cœur violerait à la fois la loi fédérale et un précédent judiciaire de longue date, mais qui, dans les faits, interdit l’avortement après six semaines de vie du fœtus.
Le 1er septembre, la loi Texas Heartbeat est entrée en vigueur dans l’État de l’étoile unique. Signée en mai par le républicain Greg Abbott, cette loi oblige les avorteurs à détecter les battements de cœur du bébé et interdit l’avortement si un battement de cœur peut être entendu (généralement dès six semaines), avec des exceptions uniquement pour les urgences médicales.
Au lieu que l’État poursuive les contrevenants, la loi habilite « exclusivement » les citoyens à engager des poursuites civiles contre les avorteurs. L’avorteur encourt une peine minimale de 10 000 dollars d’amende par avortement et toute mesure injonctive supplémentaire jugée « suffisante pour empêcher le défendeur de violer le présent chapitre ou de se livrer à des actes qui favorisent ou encouragent les violations du présent chapitre ».
Ce mécanisme d’application unique a été considéré comme responsable de la surprenante décision de la Cour suprême des États-Unis de ne pas bloquer l’entrée en vigueur de la loi, ainsi que des décisions des chaînes d’avortement Planned Parenthood et Whole Woman’s Health de suspendre temporairement les avortements au-delà de six semaines de grossesse au Texas.
Lire la suiteGoDaddy rejette le site de Texas Right to Life qui permet de signaler les violations à la loi du Texas sur l’avortement
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
3 septembre 2021, Texas (LifeSiteNews) — GoDaddy, le géant de l’hébergement de domaines internet, est en train de retirer de sa plateforme le site internet prolifewhistleblower.com, géré par Texas Right to Life. Ce site permettait aux gens de signaler des violations de la nouvelle et robuste loi pro-vie de l’État du Texas qui protège de l’avortement les bébés dont le cœur bat.
Un porte-parole de GoDaddy a déclaré dans un courriel adressé au New York Times et à The Verge : « Nous avons informé prolifewhistleblower.com qu’ils ont 24 heures pour passer à un autre fournisseur car ils ont violé nos conditions de service. »
« Dommage pour la foule [des anti-vie] : nous ne serons pas réduits au silence », a répondu Texas Right to Life. « Les anti-vie nous détestent parce que nous sommes en train de gagner. Nous transférons nos données à un autre fournisseur et le site sera restauré dans les 24-48 heures. Revenez bientôt. »
Depuis que la loi texane sur les battements de cœur est entrée en vigueur mercredi dernier, les utilisateurs et les codeurs de TikTok ont inondé le site prolifewhistleblower.com de fausses informations. Les trolls ont prétendu que le Gouverneur républicain Greg Abbott avait violé la loi et ont envoyé des signalements au sujet de personnages fictifs de bandes dessinées.
Une panique généralisée s’est emparée des partisans de l’avortement depuis que la Cour suprême des États-Unis a autorisé l’entrée en vigueur de la loi qui permet aux particuliers de poursuivre les avorteurs ou toute personne aidant ou encourageant l’avortement d’un bébé dont le cœur bat. Le refus de la Cour suprême de bloquer la loi a effectivement mis fin à tous les avortements après six semaines dans le deuxième État le plus grand et le plus peuplé des États-Unis.
Ce soir, un juge de l’État du Texas a également empêché temporairement Texas Right to Life de se prévaloir de la loi contre Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement d’Amérique.
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