L’inversion de la pilule abortive a lieu au Canada et des vies sont sauvées
Par Shanelle Pettigrue — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
Le 9 août 2022 (Campaign Life Coalition) — Une « course contre la montre » est l’expression qui décrit le mieux l’histoire d’une agente immobilière de 24 ans qui a commencé un avortement chimique, a changé d’avis et a tenté de sauver la vie de son bébé.
Cette femme, qui subit des pressions pour avorter à neuf semaines de grossesse, a fait des heures de route depuis chez elle pour se procurer la pilule abortive. Elle avale la pilule et commence à rentrer chez elle. En conduisant, elle voit des panneaux d’affichage pro-vie le long de la route. L’un d’eux indique : « Il y a un battement de cœur à 18 jours ». La femme continue de conduire, sa décision commençant à peser lourd sur son cœur. Elle tombe alors sur un autre panneau d’affichage qui dit : « Ta mère a choisi la vie. Tu devrais faire de même. »
La jeune femme commence à regretter d’avoir pris la pilule d’avortement.
Elle sort immédiatement de l’autoroute et commence à faire des recherches en ligne pour voir s’il y a un moyen de sauver son bébé. Elle tombe sur un site internet qui offre à son bébé une « seconde chance de vie ».
« Avez-vous pris la première dose de la pilule d’avortement ? », indique le site d’inversion de la pilule d’avortement. « Regrettez-vous votre décision et souhaitez-vous pouvoir inverser les effets de la pilule abortive ? Nous sommes là pour vous », ajoute-t-il.
La femme appelle immédiatement l’organisation. Celle-ci la met en contact avec un médecin pro-vie qui lui envoie une ordonnance pour les pilules d’inversion à retirer dans sa ville le jour même. Six heures après avoir ingéré la pilule d’avortement chimique, la femme commence le processus d’inversion et elle est ravie, une semaine plus tard, de découvrir que son bébé a toujours des battements de cœur.
L’avortement chimique a échoué.
Son bébé est sauvé.
Lire la suiteSon sauvetage et celui de son bébé, après une tentative d’avortement illégal, ont changé le cœur d’une maman
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Le Dr Thomas Hilgers est un gynécologue-obstétricien qui exerçait avant Roe v. Wade. Il a suivi une formation à la faculté de médecine de l’Université du Minnesota, puis une résidence à Mayo Graduate School of Medicine.
Dans son livre publié en 2020, « The Fake and Deceptive Science Behind Roe v. Wade » [« La science fausse et trompeuse derrière Roe v. Wade »], Hilgers témoigne que, malgré les affirmations des partisans de l’avortement selon lesquelles les avortements illégaux étaient courants avant Roe, il n’a rencontré, au cours de toutes ses années de pratique, qu’une seule femme ayant tenté de provoquer un avortement illégal.
L’incident, écrit-il, a eu lieu en 1972, alors que la femme était enceinte de 18 semaines. Elle s’est présentée aux urgences une nuit avec une fièvre de 103,6 °F et des douleurs et une sensibilité abdominales. Hilgers écrit : « Les signes et symptômes ─ ainsi que la fièvre ─ sont caractéristiques d’une chorioamnionite aiguë ─ une infection présente dans les membranes et dans l’utérus entourant la grossesse ».
Hilgers voulait savoir si le bébé était encore en vie. Il a utilisé un appareil Doppler pour vérifier les battements de cœur du fœtus. Il a découvert que le cœur du bébé battait toujours. Il écrit :
Honnêtement, je ne savais pas quoi faire à ce moment-là. On nous avait enseigné ─ et j’ajouterais que les jeunes médecins le font encore aujourd’hui ─ que le seul traitement était de vider l’utérus. Je savais donc que l’approche serait de commencer par lui donner du Pitocin, de la mettre en travail et de vider l’utérus.
Cela aurait signifié la mort du bébé.
Mais l’état de la femme, bien que grave, était stable, et Hilgers voulait essayer de sauver le bébé. Il l’a admise à l’hôpital et lui a administré une forte dose d’antibiotiques, tout en gardant son état sous étroite surveillance. Le lendemain matin, la fièvre de la femme avait disparu et son abdomen était moins sensible. Hilgers écrit : « Cela m’a donné espoir que ce traitement pourrait réussir ».
Il a poursuivi le traitement, tout en surveillant de près l’état de la femme chaque jour. Au neuvième ou dixième jour de son hospitalisation, elle s’est rétablie. L’infection avait disparu. Le cœur de la femme s’était également adouci envers le bébé. Elle a décidé de poursuivre la grossesse et de garder son enfant.
Lire la suiteLe bébé de Katie n’a ni bras ni jambes, mais elle a trouvé la paix en choisissant la vie
Katie Whiddon et son fils Camden.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : katiewhiddon/Instagram
Enceinte à 18 ans et dans une relation conflictuelle, Katie Whiddon pensait qu’avoir un bébé la sauverait de la violence de son petit ami. Puis un diagnostic difficile l’a conduite sur un chemin sombre, vers l’avortement, avant qu'elle ne trouve la paix et la joie dans sa vie.
Au début, la grossesse semblait rapprocher le couple, mais ils se sont vite éloignés l’un de l’autre. Puis, lors de l’échographie vers 20 semaines de grossesse, elle a reçu une nouvelle qui a tout changé. Tandis qu’elle déplaçait la baguette à ultrasons, l’échographiste s’est tue et elle a commencé à essayer de faire bouger le bébé. Puis elle est partie chercher le médecin.
« Mon infirmière est entrée et mon médecin a suivi », a écrit Whiddon dans un essai pour Love What Matters. Dès que mon médecin est entré dans la pièce, il a dit : « Les choses ne se présentent pas bien. Les choses se présentent très mal. »
« Je ne me souviens pas des mots exacts de mon médecin après cela, mais alors qu’il regardait mon bébé avec l’échographie, il nous a dit qu’ils n’arrivaient pas à trouver les bras ou les jambes de mon bébé », a écrit Whiddon. « Je ne pouvais plus entendre. Tout mon corps était engourdi. J’avais l’impression que je ne vivais même pas. C’était les limbes. Des limbes cruels. »
Pendant qu’elle pleurait, le médecin a fixé un rendez-vous avec un spécialiste pour confirmer le diagnostic. Lorsque le couple est rentré chez lui, la discussion sur l’avortement du bébé a commencé. Le petit ami de Whiddon la suppliée d’avorter, disant qu’il serait « cruel » d’avoir un bébé qui serait un « monstre » sans bras ni jambes, « SURTOUT si c’est un garçon ».
Whiddon est convaincue qu’elle doit avorter et accepte de le faire si le spécialiste confirme le diagnostic. Le lendemain, Whiddon et son petit ami, ainsi que son père et sa belle-mère et la mère et la grand-mère de ce dernier, rencontrent le spécialiste qui leur annonce que les bras du bébé s’arrêtent au niveau du coude et qu’il n’a pas de jambes du tout. Il ajoute que les organes du bébé pourraient défaillir et qu’il n’y a aucun moyen de savoir si son cerveau fonctionne correctement. On dit à Whiddon qu’elle pourrait « donner naissance à un légume ».
Lire la suiteUne mère a manqué quatre rendez-vous pour un avortement et a ensuite choisi la vie pour son bébé
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 juillet 2022, Ramona, Californie (LifeSiteNews) — Dans un moment de confusion, de chagrin et d’obscurité, Lauren Long pensait que l’avortement était sa seule issue à une grossesse non désirée. Après un divorce qui l’avait dévastée, et s’occupant de deux petites filles de 5 et 2 ans, elle aspirait désespérément à la compagnie et à l’amour.
« Dans ma quête d’“amour” et de liberté, j’ai abusé des deux et je suis tombée dans une crise plus profonde », a-t-elle déclaré dans un essai publié le mois dernier dans le San Diego Union-Tribune. « Je me suis retrouvée enceinte d’un enfant que je n’avais pas les moyens d’entretenir et dont je connaissais à peine le géniteur. »
À l’époque, Lauren suivait une charge complète de cours de niveau supérieur en orthophonie et travaillait tard le soir dans un restaurant pour subvenir aux besoins de ses deux filles. Ne sachant pas comment elle pourrait continuer à faire tout cela tout en ayant un autre enfant, elle a décidé de se faire avorter. Cependant, Dieu avait d’autres plans.
Quatre rendez-vous consécutifs sont tombés à l’eau. Lauren a plus tard remercié Dieu pour cette « bénédiction déguisée ».
« J’ai pris au moins quatre rendez-vous pour me faire avorter », a-t-elle avoué. « Deux étaient pour obtenir la pilule abortive, et les deux autres étaient pour des avortements en clinique. Mais ma situation financière était compliquée, et je n’avais les moyens de donner suite à aucun de ces rendez-vous. Rétrospectivement, c’était une bénédiction déguisée ».
Lauren a ensuite pensé à donner son enfant en adoption.
« J’ai pensé à l’une de mes relations les plus proches, ma cousine, qui faisait partie de ma vie uniquement parce qu’elle avait été adoptée », a-t-elle expliqué. « J’ai pensé aux couples qui rêvaient d’avoir une famille : les hommes qui espéraient laisser un héritage durable dans un enfant et les femmes qui aspiraient à être mères et qui éprouvaient un énorme chagrin parce qu’elles ne pouvaient pas le faire. »
Lire la suiteOn lui a dit qu’elle allait mourir si elle n’avortait pas, mais elle a quitté le centre d’avortement et a sauvé son fils
Cameron Barker.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Peu après que Kirk et Chass Barker aient appris qu’ils attendaient leur premier enfant, la foi du couple a été mise à dure épreuve. Chass était tombée très malade au cours des 2 premiers mois de sa grossesse et son médecin avait conseillé l’avortement. C’était un conseil qu’ils pensaient être prêts à suivre, jusqu’au moment de signer les papiers... et Dieu est intervenu.
« J’étais extrêmement malade », a-t-elle raconté à Live Action News. « Je ne pouvais rien avaler. Je vomissais sans cesse. Je perdais cinq kilos par semaine et le médecin m’avait d’abord fait hospitaliser pendant deux semaines parce qu’il disait que j’étais gravement déshydratée. Je suis sortie de l’hôpital et je suis retombée très malade, alors j’ai été hospitalisée beaucoup plus longtemps. À ce moment-là, j’avais perdu 42 livres en un mois. »
Cameron Barker à 15 ans.
Le médecin n’a pas demandé d’analyses sanguines, ce que l’infirmière a dû lui rappeler, et Chass n’a jamais reçu de diagnostic officiel ni de raison pour son extrême maladie. Elle allait pourtant sortir de l’hôpital, mais pas avant que le médecin n’ait donné son avis, qui allait marquer sa vie.
« Le médecin est entré et m’a demandé comment j’allais. Je lui ai dit que j’étais encore très malade et il m’a dit que je devais me faire avorter parce que j’allais mourir si je ne le faisais pas », relate Chass Barker. « Mon père était avec moi à ce moment-là et il a demandé s’il y aurait des complications [de l’avortement] et si je pourrais encore avoir des enfants. Le médecin m’a dit qu’il n’y aurait pas de complications et que je pourrais avoir des enfants, et il a fait comme si c’était une chose normale qui arrivait tous les jours. Ce n’était pas quelque chose que nous voulions faire, mais j’étais malade et je lui faisais confiance, et j’avais peur et j’étais vulnérable. »
Cette peur et cette vulnérabilité, combinées à la confiance en son médecin, ont conduit les Barker vers un centre d’avortement. À l’extérieur, sur le trottoir, ils ont parlé avec des conseillers pro-vie qui, selon eux, étaient très gentils, mais le couple a continué dans la clinique.
« Je n’étais pas du tout heureux de voir la femme que j’aime malade », raconte Kirk Barker. « Nous avons donc dû prendre une décision : la vie de la femme que j’aime ou notre enfant. Ce n’est pas une décision que l’on veut prendre et nous avons choisi ma femme plutôt que notre fils. Quand j’y repense maintenant, cela me déchire le cœur de savoir que nous avons pris la décision de tuer notre fils. Nous pensons que c’est notre devoir en tant que parents, en tant que maman et papa, de protéger notre enfant en toute circonstance. »
Lire la suiteUne mère a renoncé à l’avortement après avoir entendu les battements de cœur de sa fille : « Ce n’est pas un simple amas de cellules ! »
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda productions/Adobe Stock
Lorsqu’Andrea, 19 ans, a entendu battre le cœur de son minuscule bébé alors qu’elle était allongée sur une table dans un centre d’avortement, elle a su qu’il n’était plus question d’avorter.
S’adressant à Live Action News, Andrea a expliqué qu’elle avait cherché à avorter parce qu’elle avait honte d’être enceinte à un jeune âge, d’être célibataire et de ne plus avoir de relation avec le père.
Je me suis dit : « Oh mon Dieu. Ce n’est pas une bonne situation », a-t-elle déclaré à Live Action. Ses amies qui avaient avorté « ne semblaient pas en être gênées. Alors je me suis dit : “Peut-être que ça ne me dérangerait pas non plus” ».
Lorsqu’elle en a parlé à ses parents, ils ont réagi avec amour et soutien, et son père l’a invitée à habiter chez lui après la naissance du bébé. Ils ne l’ont pas fait se sentir coupable ou honteuse ; ce sont des sentiments qu’elle s’imposait à elle-même. D’autres membres de la famille et des amis l’ont encouragée à envisager l’adoption, mais le père de son bébé voulait qu’elle avorte, se souvient-elle. Alors, malgré le soutien de sa famille et de ses amis, elle avait pris rendez-vous dans un centre d’avortement.
Ce qui s’est passé ensuite est inhabituel. Les échographies sont des procédures de routine avant un avortement, mais de nombreuses femmes ayant subi un avortement et d’anciennes employées de centres d’avortement affirment que ces derniers découragent les femmes de regarder l’image de leur enfant à naître.
Dans le cas d’Andrea, cependant, cela s’est passé différemment, et cela a sauvé la vie de sa fille.
Lire la suiteGrâce à la loi du Texas, des femmes n'ont pu avorter leurs bébés — elles ne le regrettent pas
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Marira Korneeva/Adobe Stock
Cela fait près de dix mois que le Texas a réussi à mettre en vigueur une loi protégeant l’enfant à naître dès que leurs battements de cœur sont détectables. Malgré toutes les poursuites dont elle a fait l’objet elle est toujours en place, sauvant des bébés de l’avortement. Mais qu’en disent les femmes qui, pour certaines, ne peuvent se rendre à l’avortoir le plus proche ou trouvent que cela présente trop d’inconvénients ? Certaines ont décidé de ne pas mettre fin à leur grossesse devant la longueur du voyage à faire, des centaines de dollars à dépenser, ou tout simplement qu’elles ne pussent pas s’absenter de leur travail.
L’une d’elles, Brooke Alexander, voulait un avortement, mais voyant son bébé sur l’échographe, ou plutôt ses bébés puisqu’il s’agissait de jumelles ! elle changea tout à fait d'avis. Elle ne peut qu’être effrayée maintenant à la pensée qu’elle aurait pu perdre les deux trésors qu’elle chérit, si la loi ne l’en avait empêchée. Selon Le Salon Beige :
Brooke a eu une paire de jumelles. En regardant ses filles, Brooke a du mal à exprimer ses sentiments sur l’avortement. D’un côté, dit-elle, elle croit absolument que les femmes devraient avoir le droit de choisir ce qui est le mieux pour leur propre vie. D’autre part, elle savait que, sans la loi texane, ses bébés ne seraient peut-être pas là.
« Qui peut dire ce que j’aurais fait si la loi n’avait pas été en vigueur ? Je ne veux pas y penser. » « C’est vraiment effrayant de penser que je ne les aurais pas ».
La directrice générale du Pregnancy Center of the Coastal Bend, un centre pro-vie où Brooke s’est présentée lorsqu’elle était enceinte, raconte que Brooke, accompagnée de sa mère, était en colère. Mais dès qu’elles ont vu l’échographie, tout a changé.
« Le moment où nous avons posé la baguette sur son joli ventre et où deux bébés sont apparus… ça les a fait fondre. »
L’année dernière, 583 femmes désireuses d’avorter ou vulnérables à l’avortement ont choisi de poursuivre leur grossesse après avoir visité leur établissement.
Brooke ne regrette pas : elle a deux bébés qu’elle aime plus que tout au monde.
Et cela parce que des législateurs pro-vie ont cru en l’humanité de l’enfant à naître et de son droit à la vie.
Des médecins sauvent un petit garçon à naître d'une femme enceinte tuée par balle
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tomasz Zajda/Adobe Stock
La réaction rapide des policiers de Philadelphie à une fusillade tragique survenue cette fin de semaine a permis de sauver la vie d’un bébé à naître.
NBC Philadelphia rapporte que la mère enceinte du bébé, Matayah Haynes, 19 ans, de Camden au New Jersey, est morte après avoir été abattue dans une rue, tôt samedi matin à Philadelphie.
Lorsque les agents ont réalisé qu’elle était enceinte et que son bébé à naître était vivant, ils l’ont immédiatement transportée en urgence à l’hôpital universitaire de Temple, a déclaré le département de police de Philadelphie. Là, les médecins ont retiré le bébé prématuré de 34 semaines de l’utérus de sa mère, sauvant ainsi la vie de l’enfant, selon l’article.
Les actes des policiers et des médecins témoignent de la valeur de la vie des bébés à naître.
Lundi, la police a déclaré que le petit garçon était dans un état critique, mais stable, selon les nouvelles locales. LifeNews n’a pas pu trouver d’autres informations récentes sur son état.
Il n’est pas clair si le bébé a été blessé en conséquence directe ou indirecte de la fusillade. Les bébés prématurés nés à 34 semaines ont de fortes chances de survie.
De plus en plus de bébés prématurés survivent et s’épanouissent grâce à la médecine moderne. En novembre, les Records du monde Guinness ont reconnu un garçon de l’Alabama, né à 21 semaines, comme le plus jeune bébé prématuré à survivre. Curtis Means est né à 21 semaines et un jour en juillet 2020, pesant 14,8 oz. En 2017, la revue Pediatrics a souligné l’histoire d’une autre fille qui a survécu après être née à 21 semaines et quatre jours de grossesse.
Une femme recourt à la contre-pilule abortive et sauve la vie de fille
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
De nombreuses mères faisant face à une grossesse non planifiée ont recours à l’avortement chimique par peur ; peur de ce que leur famille pourrait dire ou de la réaction de leur partenaire face à la grossesse, ou peur de ne pas pouvoir s’en sortir seules si elles choisissent la vie pour leur enfant.
Mais comme l’idée derrière la chanson de rock chrétien « Fear is a Liar » (« La peur est une menteuse »), LaToya a fait l’expérience directe des mensonges de la peur et a vu chaque mensonge être démoli avec le temps.
Sa relation avec un homme qui n’avait pas révélé qu’il était marié était construite sur des mensonges. Après avoir découvert sa tromperie, puis qu’elle portait son enfant, la peur est venue avec d’autres mensonges.
« Il ne se souciait pas de ce que je faisais », se souvient LaToya, « que je garde le bébé ou non. Je lui ai laissé entendre que j’allais me faire avorter. Il a proposé d’être là pour m’aider ».
LaToya s’est rendue à Planned Parenthood et a reçu la pilule abortive avec la consigne de prendre la deuxième pilule dans les 48 heures.
Le premier médicament d’un avortement chimique, la mifépristone, déstabilise la grossesse de la mère. Le second médicament, le misoprostol, généralement pris un jour ou deux plus tard, provoque le travail et l’accouchement de l’enfant décédé. Les deux médicaments d’avortement chimique sont associés à des crampes et à d’autres effets secondaires négatifs.
« Quand je suis rentrée chez moi, je me suis assise et je me suis dit, si ce produit me fait me sentir si mal, comment le bébé se sent-il ? » raconte LaToya. « Alors, j’ai regardé sur internet pour voir ce qui se passerait si je ne prenais pas la deuxième pilule abortive. »
« Quand j’ai fait ça, un site internet est apparu dans la recherche appelé APR Abortion Pill Reversal », dit-elle. « Je n’avais jamais entendu parler de cela. Je n’avais jamais su qu’on pouvait inverser les effets de la pilule abortive. »
Le réseau Abortion Pill Rescue® Network (APRN) est disponible 24 heures sur 24, comme LaToya l’a découvert.
L’inversion de la pilule abortive (APR) est une application plus récente d’un traitement vieux de plusieurs décennies pour prévenir les fausses couches. La progestérone est administrée selon un protocole pour contrer le premier médicament abortif. Si une mère prend la pilule abortive, éprouve des regrets et agit assez rapidement, il peut être possible de sauver son enfant à naître.
Lire la suiteDes militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
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