Elle était dans la salle d’attente d’un avortoir, mais quand son nom a été appelé, elle est partie — aujourd’hui, son fils est adulte
Nelly Roach.
Par Virginia Allen (LifeNews, originalement paru sur The Daily Signal) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Choose Life Marketing
À l’âge de 18 ans, Nelly Roach s’est retrouvée dans une clinique de Planned Parenthood avec 246 dollars en poche pour payer un avortement.
« Je me suis retrouvée là, comme beaucoup de gens, dans une situation où j’avais l’impression de ne pas avoir d’autre choix », explique-t-elle.
Mme Roach est née dans une famille catholique sur la petite île de Palau, dans l’océan Pacifique. À l’âge de 13 ans, sa famille a déménagé dans le Missouri pour qu’elle puisse bénéficier d’une meilleure éducation. Elle dit avoir été élevée avec le sens de la responsabilité culturelle d’aider et de servir sa famille et son peuple, connu sous le nom de Palauans.
Dans la salle d’attente de l’avortoir, se souvient Mme Roach, son esprit s’est emballé. Elle sentait qu’elle devait se faire avorter pour « le grand bien » de pouvoir un jour aider ses compatriotes de Palau, mais aussi que ce qu’elle s’apprêtait à faire était « mal, mais peut-être que je m’en moque ».
Lire la suite« Linda Gibbons, grand-mère pro-vie emprisonnée, m’a aidée à choisir la vie. Aujourd’hui, je la soutiens au tribunal »
Photo : Maria avec sa fille Dora, quelques mois après sa naissance en 1994.
Pete Baklinski (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Alors que Linda Gibbons, grand-mère chrétienne, est en procès pour son témoignage pacifique et de prière en faveur de la vie devant un centre d’avortement de Toronto, une femme s’est présentée et a raconté comment Linda l’a aidée à choisir la vie pour son bébé il y a 30 ans.
Cet été, Linda a été accusée d’« interférer » avec l’activité de la clinique d’avortement de Toronto, qui s’enrichit en tuant des bébés à naître. Alors que les propriétaires de cliniques d’avortement à but lucratif détestent Linda parce qu’elle les empêche de faire des bénéfices, les femmes qu’elle aide n’ont que de l’amour et du respect pour elle.
L’une de ces femmes est Maria Odete Nunes.
Il y a trente ans, en 1994, le mariage de Maria, qui durait depuis 18 ans, était en train de se briser. Son mari était alcoolique et violent. Maria, âgée de 39 ans, avait déjà tenté de le quitter à plusieurs reprises, mais était toujours revenue. Elle a alors décidé de le quitter définitivement, avec leurs deux enfants, âgés de 11 et 15 ans.
Trois mois après la séparation, Maria a été présentée à un homme lors d’une fête d’anniversaire de sa cousine. Ils ont entamé une relation. De fil en aiguille, Maria s’est retrouvée enceinte de cet homme.
Lire la suiteNombre record de bébés jumeaux sauvés de l’avortement lors des 40 Jours pour la Vie
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Art man/Adobe Stock
Imaginez l’échographiste de Planned Parenthood, formé pour minimiser l’effet émotionnel de l’échographie. La procédure standard consiste à détourner l’écran de la femme, à indiquer l’âge gestationnel du fœtus et à confirmer une grossesse in utero normale.
Mais lorsque deux bébés apparaissent à l’écran, comment l’échographiste signale-t-il la présence d’un fœtus supplémentaire ? L’échographiste peut annoncer « deux fœtus », mais la patiente interprétera quand même la déclaration comme étant des jumeaux.
Un nombre record de jumeaux sauvés a été célébré par 40 Jours pour la Vie ce printemps. Le précédent record était de trois duos de jumeaux, ce printemps il était de cinq.
« Les jumeaux humanisent les enfants à naître », a déclaré Shawn Carney, président et directeur général des 40 Jours pour la Vie, à Pregnancy Help News.
« Dans tous ces cas — qui se situent dans des endroits très divers —, les femmes étaient allées se faire avorter », a expliqué Carney. « Elles ont ensuite découvert qu’elles allaient avoir des jumeaux et c’est ce qui a déclenché l’idée qu’elles ne pouvaient pas aller jusqu’au bout ».
M. Carney a souligné l’état d’esprit qui consiste à considérer l’avortement d’abord comme une simple « procédure », puis tout à coup comme « vos enfants ».
« C’est vraiment magnifique », a déclaré Carney.
« C’est arrivé au Kansas, en Indiana et en Croatie », dit-il. « Il y a eu également des jumeaux sauvés en Colombie, ce qui fait que les lieux sont très diversifiés, et ce sur une période de 40 jours ».
Lire la suiteArgentine : le médecin sauve la vie d’un enfant à naître : 14 mois de prison !
Dr Leandro Rodriguez.
Par Pauline Mille (reinformation.tv) — Photo : X (Twitter)
Il n’y a pas que les finances qui ont été ruinées par la gauche en Argentine : les mœurs et le droit aussi. Témoin l’histoire extraordinaire de ce médecin, Leandro Rodriguez, qui vient de passer plus d’un an en prison pour avoir sauvé la vie d’un enfant à naître. Pour cet acte, il avait aussi fait l’objet d’une interdiction d’exercer la médecine de deux ans et quatre mois, qui s’est achevée voilà trois mois, le 30 janvier. L’enfant, lui, a sept ans et se porte bien. L’affaire met en lumière un tel délabrement moral de l’institution judiciaire que l’on ne s’étonne plus que le nouveau président de la République, l’homme à la tronçonneuse qui semble efficace en matière économique, se prononce à fond contre l’avortement, fait rare à ce niveau de responsabilité.
Le médecin écope de prison pour entrave à l’IVG
L’histoire commence très simplement, comme le raconte le médecin lui-même : « En 2017, je travaillais à l’hôpital public de la ville de Cipolletti, en Patagonie ; j’ai reçu une patiente en mauvais état général en raison d’une grossesse avancée ; un processus de naissance prématurée était en cours, que j’ai décidé d’interrompre, et d’améliorer l’état de santé de la patiente. » Sainte simplicité ! Leandro Rodriguez n’avait pas pensé à la manière dont ce geste médical tout simple, de précaution, allait être interprété. On l’a traîné en justice et les tribunaux, le pouvoir judiciaire de la province du Rio Negro ont décrit son acte comme une entrave à la volonté de la patiente d’interrompre sa grossesse ! Il a donc été condamné en 2019, aux peines qu’il vient de purger.
Lire la suiteUn bébé sauvé par la première boîte à bébé du Tennessee... 30 minutes seulement après sa naissance
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews)— Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
Un bébé âgé de seulement 30 minutes a été déposé en toute sécurité dans une boîte à bébé Safe Haven à Knoxville, dans le Tennessee, tôt samedi matin. Il s’agit du tout premier dépôt dans la boîte à bébé de l’État depuis l’installation de celle-ci en février.
Selon WATE, trois membres de l’équipe de la station 17 du service d’incendie de Knoxville ont répondu à l’alarme de la boîte, qui s’est déclenchée juste après minuit. Ils ont trouvé le petit garçon moins de deux minutes après qu’il y ait été placé.
L’organisme Safe Haven Baby Box installe des boîtes à température contrôlée dans des lieux tels que les casernes de pompiers. La boîte permet à un parent de se prévaloir de la loi sur la zone de refuge de son État, qui lui permet de remettre légalement son enfant dans un délai précis après sa naissance. Lorsque l’enfant est placé à l’intérieur, une alarme silencieuse se déclenche et les secours arrivent en quelques minutes, comme ce fut le cas pour cette remise à Knoxville. La loi du Tennessee autorise la remise de l’enfant dans les deux semaines qui suivent sa naissance.
« Le but de cette boîte est d’être une ressource pour notre communauté, afin qu’une mère ou un parent en situation de crise et qui ne sait pas quoi faire de son enfant, ait un endroit où aller », a déclaré le chef adjoint Mark Wilbanks du KFD.
Wilbanks a également noté que la conception de la boîte confère délibérément l’anonymat aux parents.
« Lorsqu’ils ferment la porte, cela prend une minute pour que la caserne soit alertée ; c’est l’aspect anonyme de la boîte elle-même, elle ne nous alerte pas immédiatement sur le fait qu’il y a un bébé dans la boîte, et cela donne à la personne le temps de quitter la caserne sans que nous sachions qui elle est », a déclaré Wilbanks.
Il a également fait l’éloge des boîtes à bébés, qui ont pour but de contribuer à réduire le problème de l’abandon des nouveau-nés.
« Cela peut sembler un peu difficile à dire, mais nous ne voulons pas qu’ils mettent l’enfant à la poubelle ; nous préférons qu’ils le placent dans cette boîte où il est en sécurité et où il a une chance de s’en sortir », a déclaré M. Wilbanks. « Il s’agit donc simplement d’une ressource pour la communauté et nous sommes ravis de savoir qu’elle a fait du bien dans les trois mois qui ont suivi son installation ».
Elle a vu l’échographie de son bébé à l’avortoir et a décidé de garder son bébé
Courtney Garaguso et ses enfants.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Garaguso est devenue enceinte de son premier enfant à 15 ans.
Honteuse et embarrassée, elle a trouvé le courage d’en parler à ses parents, qui ont réagi avec compassion et soutien. En tant que chrétiens pro-vie, l’avortement n’était pas une option, écrit Mme Garaguso dans une chronique publiée cette semaine par le New Jersey Star-Ledger.
Puis, à l’âge de 19 ans, elle est de nouveau devenue enceinte. Ce qui était autrefois impensable [l’avortement] lui a alors traversé l’esprit.
« Comment pouvais-je — toujours célibataire et vivant toujours à la maison, avec un enfant de 4 ans — refaire cela à mes parents, qui avaient tout sacrifié pour moi et avaient déjà connu tant de souffrances ? »
Mme Garaguso explique qu’elle se sentait paralysée par la peur à l’idée d’élever un autre enfant en tant que mère adolescente célibataire. Elle pensait aux choses qu’elle voulait offrir à sa fille, Eliana, mais qu’elle ne pouvait pas se permettre, comme de beaux vêtements et des fêtes d’anniversaire.
Sur le moment, ses craintes et ses inquiétudes l’ont emporté sur le soutien massif qu’elle avait reçu de ses parents, de son église et de son centre local de ressources pour la grossesse, Choices of the Heart à Turnersville, au cours de sa première grossesse.
Lire la suiteLes « Défenseurs de la vie sur le trottoir » ont sauvé plus de 20 000 bébés de l’avortement en moins de dix ans
Sidewalk Advocates for Life.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 avril 2023 (LifeSiteNews) — Un apostolat international de conseil sur le trottoir a sauvé plus de 20 000 bébés de l’avortement depuis sa création il y a moins de dix ans.
Sidewalk Advocates for Life (Défenseurs de la vie sur le trottoir) est une organisation pro-vie dont « l’objectif est de former, d’équiper et de soutenir des équipes de Défenseurs de la vie dans tout le pays — et au-delà — afin qu’elles assurent un travail de proximité pacifique, dans la prière, l’amour et le respect de la loi, à l’extérieur de chaque établissement pratiquant l’avortement et de chaque établissement conseillant l’avortement ».
« Les défenseurs de trottoirs fournissent des ressources qui confirment la vie aux clients qui entrent dans ces établissements, éliminant ainsi la demande et, en fin de compte, mettant fin à l’avortement », a déclaré Lauren Muzyka, fondatrice, présidente et directrice générale de l’organisation, à LifeSiteNews par courrier électronique.
Au cours des neuf années qui se sont écoulées depuis la création du groupe, Sidewalk Advocates for Life a sauvé 20 105 bébés de l’avortement. Selon le site internet de l’organisation, le témoignage des défenseurs a également incité 86 employés de l’industrie de l’avortement à démissionner et 32 centres de mise à mort à fermer leurs portes.
Des mères et des bébés ont été épargnés de la tragédie de l’avortement grâce aux efforts de « plus de 230 équipes dans tout le pays (y compris en Alaska et à Hawaï), ainsi qu’à Mexico, à Porto Rico et en Colombie ».
« C’est par la grâce de Dieu que nous avons franchi cette étape miraculeuse », poursuit M. Muzyka. « Mais en plus de cela, je remercie nos Défenseurs de trottoir qui ont donné leur OUI à cette grande mission et se sont prévalus de notre formation complète, de nos outils et de notre programme de soutien ».
Lire la suiteUn premier bébé sauvé grâce à une boîte à bébé Safe Haven nouvellement installée dans le Kentucky
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Campagne Québec-Vie
Un bébé a été déposé anonymement dans une boîte à bébé Safe Haven [Havre sûr] dans le Kentucky la semaine dernière, moins de deux mois après l’installation de la boîte.
L’organisation Safe Haven Baby Box installe des boîtes surveillées, à température contrôlée et munies d’une alarme, où les parents peuvent remettre un enfant en toute sécurité et de manière anonyme, conformément à la loi sur les refuges de chaque État. Les boîtes sont installées dans des lieux tels que les casernes de pompiers, les commissariats de police ou les hôpitaux, afin que les services d’urgence puissent s’occuper immédiatement de l’enfant.
Monica Kelsey, fondatrice de l’organisation Safe Haven Baby Box, a tenu une conférence de presse pour parler du dépôt de l’enfant dans la boîte à bébé de Bowling Green, dans le Kentucky. Elle a fait remarquer que les premiers intervenants se sont occupés de l’enfant dans les 90 secondes suivant la remise du bébé.
« Cet enfant a été laissé en toute sécurité et légalité dans cette boîte “Havre sûr” afin qu’il puisse en être retiré de l’autre côté par le pompier », a déclaré Kelsey. « Les pompiers ont agi en tout point conformément à leur formation, et cela a parfaitement fonctionné ».
Lire la suiteElle quitte l'Hôpital général juif et annule l'avortement tardif de son fils à 22 semaines
Samuel David à 9 mois avec les 3 autres enfants et sa famille
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Catherina David
Catherina David est une mère au foyer de quatre enfants qui nous a contactés pour partager un beau témoignage au sujet de son plus jeune enfant, Samuel David. Elle nous a d’abord contactés pour obtenir des prières et du soutien pendant sa grossesse. Aujourd’hui, elle souhaite partager avec nous, en détail, comment son histoire s’est déroulée. Elle a découvert qu’elle était enceinte à presque 9 semaines de grossesse alors qu’elle déménageait du Québec à l’Ontario.
Au départ, elle était très excitée et heureuse d’être de nouveau enceinte. À 5 mois de grossesse, son médecin lui a demandé de faire un test supplémentaire qui a révélé que son bébé était atteint de trisomie 21 (syndrome de Down).
Après avoir donné naissance à trois enfants en parfaite santé, ce fut certainement un grand choc pour elle. Elle admet qu’elle était dévastée et ne savait pas comment réagir. Elle a pleuré toute la journée en apprenant la nouvelle, puis toute la semaine suivante.
Lorsqu’elle a rencontré son médecin après avoir appris la nouvelle, celui-ci lui a dit : « Je vous laisse décider si vous voulez garder le bébé, si vous voulez ou non poursuivre la grossesse. Et si vous voulez l’interrompre, nous ferons en sorte que ce soit aussi facile que possible pour vous, mais vous devrez aller à l’hôpital pour un accouchement normal [provoqué] ».
Elle s’est rendue à l’hôpital général juif pour l’avortement, puis elle a changé d’avis et décidé de garder le bébé. Catherina a été guidée par sa foi et par un rêve qu’elle a fait, qui, selon elle, venait de Dieu, et l’a aidée à résister à la tentation de mettre fin à la vie de son enfant.
Lire la suiteUne mère a annulé son avortement après avoir entendu les battements de cœur de sa fille
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda productions/Adobe Stock
Il y a 25 ans, Andrea âgée de 19 ans a découvert qu’elle était enceinte alors qu’elle se trouvait aux urgences d’un hôpital pour recevoir des soins médicaux après un accident de voiture. Avant de faire des radiographies, on lui a dit que les médecins devaient écarter la possibilité d’une grossesse. Elle n’avait encore eu aucune interruption de ses règles, mais le test est revenu positif. Immédiatement, elle s’est sentie envahie par la culpabilité et la honte.
« J’ai pensé : “Oh ! misère. Ce n’est pas une bonne situation dans laquelle se trouver. ” Je n’avais pas dans de relation stable avec le père. Je n’étais pas mariée. C’était la tempête parfaite », confie-t-elle à Live Action News. Elle connaissait des amies qui avaient eu recours à l’avortement et elle a pensé : « Cela ne semble pas les déranger. J’ai pensé que peut-être ça ne me dérangerait pas non plus. »
Au cours des deux semaines suivantes, Andrea a partagé la nouvelle de sa grossesse avec ses parents, des amis de la famille et le père du bébé. Elle a décrit les réponses qu’elle a reçues comme étant « très variées ». Son propre père et plusieurs de ses cousins avaient été adoptés. « Des amis de la famille m’ont tout de suite dit que je devais donner le bébé à l’adoption », a-t-elle expliqué. Le père du bébé, quant à lui, a clairement fait savoir qu’il n’avait pas l’intention d’être parent et voulait qu’Andrea avorte.
La mère et le père d’Andrea ont offert la réponse que, selon elle, toute jeune femme qui se retrouve enceinte de manière inattendue espère recevoir de ses parents : un amour inconditionnel. « Ils ont été compréhensifs et indulgents », dit-elle. Son père a proposé d’accueillir Andrea et le bébé chez lui pendant la première année. Andrea se sentait toujours mal à l’aise, mais en repensant aux réponses de ses parents, elle a réalisé que « ce sentiment de honte ne venait pas de l’extérieur ».
Deux semaines plus tard, Andrea a traversé une ligne de manifestants pour entrer dans un centre d’avortement. C’était à la fin des années 1990, et elle se souvient : « Il y avait une forte présence de manifestants, et traverser cette [foule] statique était intense. Il y avait un sentiment de colère qui ressemblait à de la haine. Cela me submergeait et j’avais l’impression d’avoir encore plus honte. » Elle a poursuivi : « Aujourd’hui, il semble que les choses soient un peu plus paisibles, aimantes, douces et priantes. Mais à l’époque, [je les sentais] contre moi. Ils n’étaient pas à mes côtés, ni utiles, ni aimants. » La colère « m’a presque donné envie d’aller plus loin [dans l’avortement]. C’était comme une rébellion contre cette colère qui était dirigée contre vous », dit-elle.
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