Trump signe un décret exécutif pour protéger les bébés survivant à l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels
Trump a signé le 23 septembre un décret exécutif destiné à assurer à tout bébé né vivant, même dans le cadre d’un avortement raté, même s’il devait rester handicapé, les soins nécessaires à sa survie. Aux États-Unis comme ailleurs, plusieurs hôpitaux et médecins refusent les soins aux bébés avortés ayant survécu à l’avortement, ou aux bébés naissant avec un handicap ou venant au monde prématurés bien que d’un âge viable. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteLe président Donald Trump a signé vendredi un décret afin de garantir que tous les bébés nés vivants, y compris après des tentatives infructueuses d’avortement, reçoivent les soins médicaux nécessaires à leur survie.
« Tout enfant né vivant, quelles que soient les circonstances de sa naissance, a la même dignité et les mêmes droits que tout autre individu et bénéficie des mêmes protections en vertu du droit fédéral », soulignait Trump.
Il avait d’abord annoncé son décret lors du National Catholic Prayer Breakfast de mercredi [21 septembre].
Le président fit référence à un certain nombre de lois destinées à « protéger les bébés nés vivants contre la discrimination dans la prestation de traitements médicaux, y compris les bébés qui ont besoin de traitements médicaux d’urgence, qui sont prématurés ou qui sont nés avec un handicap ».
Madeline fut mise au monde à 22 semaines pour sauver sa mère, jamais les docteurs ne suggérèrent l’avortement
Madeline Kane.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Kane family/Facebook
Une grande majorité des lois pro-vie permettent l’avortement jusqu’à la naissance afin de protéger la vie ou la santé de la mère [ce qui fait qu’elles ne sont pas vraiment pro-vie, mais moins pro-choix]. À première vue, l’exception paraît raisonnable, mais en réalité elle est injustifiée. Tim et Renee, parents de six garçons, ont vécu cette situation [qui permettrait l’avortement selon les pro-avortement] lorsque Renee était enceinte de 22 semaines de leur unique fille, Madeline.
Madeline était le cinquième enfant du couple qui comptait déjà quatre garçons. Quand Renne sut qu’elle était enceinte et elle voulut attendre pour connaître le sexe du bébé.
Pendant la douzième semaine de grossesse, Renee eut des saignements, mais les médecins surveillèrent sa situation et déterminèrent qu’aucune précaution additionnelle n’était nécessaire. Quelques mois plus tard, ils voyagèrent à l’étranger pour visiter la famille et avancer leurs démarches de l’achat d’une entreprise. À ce moment, Renee a commencé à ressentir beaucoup de fatigue, surtout en tenant et transportant son petit garçon de treize mois.
Renee dit à Life Action news « J’avais peine à respirer. Nous faisions les courses et je pouvais à peine marcher et pousser le chariot. Je me suis dit que je passerais au travers et que j’en parlerais à mon médecin la prochaine fois. »
Dimanche 15 février 2015, toujours à l’étranger et rendue à 22 semaines de grossesse, Renee ressentait beaucoup de fatigue et décida donc de s’allonger. Peu de temps après, elle se sentait fébrile. À la toilette ce même après-midi, elle remarqua des saignements et de gros caillots sanguins. Effrayée pour son bébé, elle se rend à l’urgence.
« Ils m’ont envoyé immédiatement à la salle de travail et d’accouchement », dit Renee. « Ils m’ont mis dans une pièce de triage. Les médecins me demandaient ce qui se passait et je dus leur raconter toute mon histoire, car ils ne connaissaient pas mes antécédents. »
Lors de l’arrivée de Tim, Renee se tordait de douleur. Les médecins firent des prises de sang ainsi qu’une échographie et le couple fut rassuré de voir que le bébé allait bien. Cependant, Renee avait des contractions et son taux de globules blancs était très élevé. Incertain de la cause de cet état, ils lui administrèrent du magnésium afin d’arrêter les contractions. Les médecins avertirent Renee que si elle continuait de montrer des signes d’infections, ils devraient procéder à l’accouchement du bébé. Malheureusement, l’hôpital n’était pas équipé d’une unité de soins intensifs néonataux (USIN) adéquate, et pour que le bébé eût une chance, Renne eut besoin d’être transférée dans un hôpital plus grand. Une décision qu’ils ont acceptée.
Malheureusement, Renee est devenue fébrile deux jours plus tard et a été diagnostiquée avec une chorioamniotite, une infection intra-amniotique. Les médecins croyaient que ceci était dû aux saignements, ce qui aurait créé une ouverture permettant à la bactérie de s’infiltrer à l’intérieur et autour de l’utérus. Les médecins croyaient aussi à la possibilité que le bébé fût touché par l’infection et dirent au couple que les chances de survie d’un bébé prématuré avec cette infection étaient minces.
Lire la suiteLettre au président du CMQ : « Tuer un enfant viable dans le sein de sa mère n’équivaut-il pas à tuer un prématuré ? »
Par Solange Viau — Photo : Sharon McCutcheon/Unsplash
Solange Viau, diplômée en enseignement des sciences au secondaire de l’UQAM, a écrit la lettre suivante au président du Collège des médecins du Québec, le Dr Mauril Gaudreault, suite au rapport d’un comité du CMQ recommandant la création d’un centre spécialisé en avortements tardifs afin d’en permettre la possibilité à toute Québécoise désireuse de s’en procurer un, trouvant que trop souvent ces femmes se faisaient refuser ce qu’elles demandaient par les médecins (qui ne veulent pas tremper dans un pareil crime). — A. H.
Objet : centre spécialisé pour les avortements tardifs
Dr Mauril Gaudreault,
C’est avec consternation que nous avons appris par les médias qu’un Groupe de travail en « éthique » clinique du Collège des médecins du Québec recommandait un plus grand accès aux avortements tardifs, cela par la mise sur pied d’un centre spécialisé pour ce type d’avortements. Alors qu’on manque tant de médecins et d’infirmières pour soigner les malades, comment peut-on consacrer de si précieuses ressources à de telles pratiques ?
En 1987, la chasse aux bébés phoques a été interdite au Canada parce qu’elle a été jugée cruelle. Le Groupe de travail en « éthique » clinique du CMQ n’aurait-il pas dû lui aussi arriver aux mêmes conclusions en ce qui concerne les avortements des fœtus du troisième trimestre, dotés d’une sensibilité encore plus grande que celle des bébés phoques ? En effet, des recherches médicales récentes ont démontré que les fœtus et les prématurés sont dotés d’une très grande sensibilité à la douleur, plus grande que celle des bébés naissants. « Le système qui véhicule la douleur est fonctionnel dès le troisième trimestre de grossesse tandis que le système inhibiteur se développe plus tard. » (Le Monde, Marion Solletty, « Les prématurés, très sensibles à la douleur, doivent faire l’objet de soins plus doux », 5 juin 2010) [je rajoute que les enfants à naître peuvent possiblement sentir la douleur après la 12e semaine — A. H.].
Tuer un enfant viable dans le sein de sa mère n’équivaut-il pas à tuer un prématuré ? Un petit bébé innocent de toute faute et qui se bat de toutes ses forces pour survivre ? Si une personne décidait d’enfoncer une aiguille pleine de poison dans le cœur d’un prématuré pour le faire mourir, on la jugerait comme dépressive ou psychopathe ou comme étant un tueur à gages sans scrupules. Comment peut-on mandater un médecin québécois, bardé de diplômes, payé à grands frais, en sarrau blanc, seringue à la main devant l’échographie de sa jeune victime innocente et pleine de vie, pour commettre un crime semblable ? Voilà la face obscure de ce que l’on ne dit jamais à la population lorsqu’on parle d’élargir l’accès aux avortements tardifs.
Dans le rapport de votre Groupe en « éthique » clinique, il ne semblait pas y avoir mention des procédures qui seraient utilisées lors de ces avortements, des souffrances endurées par les fœtus, des dangers physiques et des séquelles psychologiques possibles chez ces mères. Voilà pourtant ce qu’en a dit le Dr Warren Hern, médecin américain spécialisé dans ce type d’avortements : « Un avortement de troisième trimestre est une décision sérieuse, une opération chirurgicale complexe. La vie des femmes est en jeu… Il faut compter quatre jours pour l’intervention, de l’injection intracardiaque pour arrêter le cœur du fœtus à l’expulsion de celui-ci, en passant par la pose de tiges laminaires (qui aident à dilater le col) et le déclenchement des contractions. » (Avorter aux États-Unis, Mylène Tremblay, Châtelaine, mars 2013.) Dans le rapport, il ne semblait pas y avoir non plus d’informations sur la manière dont les corps des enfants à naître seraient disposés (déchets médicaux, donnés ou vendus pour la recherche ou à d’autres fins ?) On ne pouvait rien lire sur ces aspects tragiques des avortements du troisième trimestre dans l’article du journal La Presse (Avortements de troisième trimestre, Gabrielle Duchaîne, 5 février 2020).
Pour la sécurité des femmes, le Dr Morgentaler désapprouvait lui-même les avortements après 24 semaines de grossesse. Il suggérait aux médecins d’expliquer aux femmes les dangers d’un avortement tardif, de leur conseiller de poursuivre leur grossesse et d’avoir recours à l’adoption. (La Presse, « Pour le Dr Morgentaler, après six mois, c’est non », Louise Leduc, 27 janvier 2008.) Dans l’arrêt Morgentaler, des juges de la Cour suprême du Canada ont aussi fait des recommandations en ce sens. Et comme le dit si bien la chanson que tant de Québécois aiment entendre ou fredonner : « Ne tuons pas la beauté du monde… » Le sort de ces enfants à naître est entre vos mains et ils comptent sur votre compassion et votre protection pour pouvoir vivre, grandir et se retrouver possiblement dans les bras de parents adoptifs, si heureux de les combler de leur amour.
Veuillez agréer, Dr Gaudreault, l’expression de mes sentiments respectueux.
Solange Viau, enseignante à la retraite
Diplômée en enseignement des sciences au secondaire de l’UQAM
Un bébé prématuré devenu 32 ans plus tard médecin en soins néonataux pour aider les bébés
Par SPUC — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme qui avait été un bébé prématuré miracle est devenue médecin 32 ans plus tard, déterminée à aider des enfants, vulnérables comme elle l’avait été. SPUC dit que l’histoire de Sabina est un « exemple merveilleux de la prise de soin des tout petits bébés dès les premières étapes de leur vie ».
En 1986, Sabina Checkett est née dangereusement prématurée, deux mois et demi d’avance. Pesant moins de trois livres, elle pouvait tenir dans la paume de la main de son père et avait 50 % de chances de survie.
Après trois mois à l’hôpital pour enfants de Norwich, Sabina était suffisamment forte et est rentrée chez elle.
Maintenant âgée de 32 ans, Sabina travaille à l’Evelina Children’s Hospital à Londres en tant que médecin en soins néonataux, consacrant sa carrière à sauver des bébés vulnérables.
Sabina dit qu’en raison de son propre combat dans sa jeunesse, elle a un lien spécial avec les bébés dont elle s’occupe.
Margaret Akers, agente de recherche de campagne de SPUC : « C’est merveilleux que Sabina ait le même dévouement pour protéger d’autres petits prématurés. »
« J’étais comme eux il y a des années »
Sabina explique : « Mon école avait mené une collecte de fonds pour notre unité néonatale locale, et parce que l’école savait que j’y étais né prématurément, je suis allé la visiter. Après avoir marché dans l’office et vu tous les nouveau-nés dans leur lit, je suis rentrée à la maison et j’ai dit à ma mère que je voulais devenir médecin. »
« J’étais comme eux il y a tant d’années et maintenant, j’aide à prendre soin d’eux. »
Taux de survie croissants chez les bébés prématurés
Les données fournies par le professeur de pédiatrie néonatale, John Wyatt, montrent qu’un bébé né à l’âge de 23 semaines a 50 % de chances de survivre. Son témoignage montre que voilà 30 ans de cela, moins de 20 % des bébés nés avant 28 semaines de gestation survivaient. Cependant, les progrès des soins médicaux destinés au début de la vie ont transformé les perspectives de survie des bébés prématurés.
Les données indiquent maintenant que 35 % des bébés nés prématurément de quatre mois et âgés de 22 semaines survivent maintenant s’ils sont traités.
Un bébé prématuré né à 25 semaines rentre chez lui après 150 jours d'hospitalisation
Kaliie Bender.
Par Anne Maie Williams (LiveActionNews)
Née 15 semaines plus tôt en mai de cette année, la petite Kallie Bender de Phoenix, en Arizona, a reçu son congé de l'hôpital avec sa famille le lundi après 150 jours d'hospitalisation.
Pendant sa grossesse, la mère de Kallie, Ebonie, avait consulté un médecin pour cas à haut risque à cause d'hypertension artérielle, aussi appelée hypertension liée à la grossesse. L'hypertension artérielle chez une femme enceinte peut être dangereuse pour le bébé en raison de la diminution du flux sanguin dirigé vers le bébé via le placenta ; c'est également appelé insuffisance placentaire. Avec le temps, une diminution du débit sanguin du bébé peut empêcher celui-ci de grandir correctement (médicalement, c'est ce qu'on appelle une restriction de croissance intra-utérine) et entraîner des problèmes de développement pulmonaire et gastro-intestinal.
Quatre jours avant la naissance de Kallie, une échographie effectuée lors d'un rendez-vous d'urgence a montré qu'en raison d'un faible débit sanguin placentaire, également appelé débit diastolique terminal absent, Kallie n'avait presque aucun liquide amniotique autour d'elle. La mère d'Ebonie a été admise à l'hôpital et l'enfant est née par césarienne le 24 mai 2019, à 25 semaines de gestation. Elle pesait moins d'une livre et était plus petite qu'une poupée Barbie placée à côté d'elle dans son incubateur.
Au début, Kallie avait besoin d'une machine pour l'aider à respirer et d'une sonde pour la nourrir. Peu après sa naissance, elle a subi une opération visant à corriger une anomalie cardiaque courante chez les bébés très prématurés, appelée persistance du canal artériel. En fait, elle avait 37 jours quand sa mère et son père, Dameon, ont pu la tenir.
Becky Cole, l'une des infirmières de soins primaires de Kallie à l'unité de soins intensifs néonatals, se souvient de cette journée. Elle a dit : « Je n'ai pas pu être là quand Dameon l'a tenue pour la première fois, mais j'ai pu aider Ebonie à tenir Kallie pour la première fois. C'était vraiment un moment incroyable, et il a fallu quelques-uns d'entre nous. Ce n'était pas facile. »
Le Dr Vinit Manuel, directeur médical de l'unité de soins intensifs du Dignity Health St. Joseph’s Hospital and Medical Center où Kallie est née, a noté qu'« aucune technologie ne peut remplacer l'utérus » et que « la participation de la famille aux soins de ces enfants est cruciale ».
Pendant son séjour à l'hôpital, les parents et les frères de Kallie lui ont lu des histoires à voix haute, ce qui, selon les recherches, améliore les progrès généraux pour les tout petits bébés et diminue les complications de l'hospitalisation. Maintenant, Kallie pèse trois kilos et prospère. Elle est rentrée chez elle lundi avec de l'oxygène et une sonde d'alimentation, avec l'objectif de ne plus avoir besoin des deux à l'avenir.
Des histoires comme celle de Kallie deviennent de plus en plus courantes à mesure que la technologie médicale permet aux bébés de survivre à un âge gestationnel de plus en plus précoce en dehors du ventre de leur mère. Vingt-quatre semaines est largement considéré comme l'âge de la viabilité, l'âge auquel un bébé a une chance sur deux de survivre en dehors de l'utérus avec un soutien médical important, mais des histoires de survie comme Cullens, 22 semaines, Lylas, 21 semaines et Elioras, 21 semaines sont aussi là.
Mais, chose désolante, les bébés encore plus avancés que Kallie ne l'était à la naissance sont toujours visés par l'avortement. C'est la volonté, et non les possibilités de la technologie scientifique, qui détermine s'ils vivent ou meurent.
Un beau bébé né prématurément « plus petit qu’un paquet de lingettes » à 24 semaines
Par LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie
29 avril 2019 (Society for the Protection of Unborn Children) — Le plus petit bébé du Royaume-Uni à être né en seize ans est retourné vivre chez ses parents, Kim Brown et Ryan Evans, dans le village de Tewkesbury, après avoir défié les probabilités médicales qu’il avait de survivre.
Isabella Evans était plus petite qu’un paquet de lingettes pour bébé lorsqu’elle est née prématurément à l’âge de vingt-quatre semaines seulement — la limite actuelle de temps pour avorter au Royaume-Uni. Ne pesant que douze onces, les médecins ont donné à Isabella une mince chance de survie de cinq pour cent. Cependant, la minuscule fille prématurée dont les mains étaient plus petites qu’une pièce d’un penny refusait de renoncer à la vie.
Décrivant Isabella comme « leur petite combattante », la mère d’Isabella, Mme Brown, a subi une césarienne d’urgence après que les médecins eurent découvert qu’Isabella avait cessé de se développer à 21 semaines, son rythme cardiaque commençant à ralentir.
Les médecins ont averti les parents de la faible chance de survie de leur fille. S’adressant à ITV News, Mme Brown a déclaré : « C’était la première fois qu’on entendait dire qu’elle pourrait ne pas s’en sortir. Ils ont dit que s’ils nous l’amenaient pour un câlin, elle ne survivrait pas. C’est à ce moment qu’il a été clair qu’elle pourrait ne pas [survivre]. »
À sa naissance, Isabella pesait moins qu’une boîte de jus et a subi deux opérations. Pendant la première semaine de sa vie, les parents d’Isabella ne pouvaient la tenir une couverture que pendant cinq minutes à la fois. Cependant, les parents, Kim et Ryan, étaient déterminés à ce qu’elle « devienne comme n’importe quel autre enfant ».
Lire la suiteNé à 23 semaines, un bébé minuscule bat les pronostics
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : GoFundMe
George est né en juillet 2018, son arrivée étant plutôt prévue pour le mois d’octobre. Sa mère était à seulement 23 semaines de grossesse lorsqu’elle a accouché, et le bébé ne pesait qu’une livre et cinq onces. Il n’était pas plus grand qu’une seringue. Malgré les prédictions des médecins disant qu’il allait mourir, il est récemment sorti de l’hôpital.
Selon le site internet Mirror, Hannah Rose et Daniel Bownes, les parents de George, qui est né une semaine avant la limite de l’avortement au Royaume-Uni, se sont fait dire par les médecins qu’il avait une chance sur un million qu’il survive.
« J’étais convaincue qu’il allait mourir alors c’est vraiment un miracle qu’il soit avec nous aujourd’hui », a mentionné Hanna au Mirror. « Chaque jour que nous passons avec lui représente une vraie bénédiction. »
Le monde d’Hanna « s’est effondré » lorsqu’elle eut des contractions à un peu plus de cinq mois de grossesse. Quatre jours passèrent avant de donner naissance à George, à 23 semaines et 6 jours de grossesse. Puisque le bébé n’avait pas encore 24 semaines, les médecins n’allaient pas intervenir pour lui sauver la vie. Hanna avait peur de donner naissance à un bébé mort-né.
Lire la suiteNée prématurée à 29 semaines, Hannah Joy s’est bien développée contre vents et marées
Hanna Joy.
Par Susan Michelle-Hanson (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Quand Hannah Joy est née, elle était prématurée n’ayant seulement que 29 semaines, elle pesait moins de deux livres et son cri ressemblait plus à celui d’un chaton qu’à celui d’un bébé, raconta sa mère, Melody, à Live Action News. Ce petit cri était un véritable miracle de la vie.
Melody et son mari John étaient ravis de découvrir qu’elle était enceinte d’Hannah Joy. Son échographie prise à 20 semaines a confirmé que Melody portait un bébé fille en bonne santé, et la vie qui s’épanouissait en elle rendait les vomissements quotidiens et les autres difficultés de la grossesse comme une épreuve qui en valait la peine à chaque instant pour Melody, qui souffrait d’hypertension chronique. Malheureusement, ce n’est que six semaines plus tard, 26 semaines après le début de sa grossesse, lorsqu’elle dut quitter le travail avec un terrible mal de tête et de la fatigue, que ses problèmes ont commencé. La probabilité de donner naissance à un bébé prématuré était devenue très réelle.
Hannah Joy, née à 29 semaines de grossesse,
au centre de soins intensifs néonataux.
Un bébé né avec un poids de 268 g sort de l’hôpital en bonne santé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voilà une mère qui doit être heureuse, car les enfants prématurés ayant un poids en dessous de 300 g ont peu de chances de s’en sortir, surtout s’il s’agit de garçons. Et dans ce cas-ci, ce serait le plus jeune bébé prématuré jusqu’à ce jour ! Malheureusement, dans de nombreux endroits dans le monde, des bébés d’un âge semblable et même près de naître sont avortés, pour toutes sortes de raisons, voire les plus futiles, qui ne peuvent tenir devant le caractère sacré de la vie d’un innocent enfant ; le Canada fait partie des pays où une telle barbarie est permise. Extrait de 20 Minutes :
Un nourrisson né prématurément et pesant alors 268 grammes a rejoint son domicile en bonne santé. Son poids a plus que décuplé après 5 mois en unité de soins, a annoncé l’hôpital universitaire Keio, à Tokyo. Jamais au monde un garçon aussi petit au moment de l’accouchement n’avait quitté la maternité sain et sauf, selon les données connues.
La naissance de ce fœtus avait été provoquée à 24 semaines d’aménorrhée (ou 22 semaines de grossesse), en raison d’un arrêt de croissance. Il était alors si petit qu’il tenait dans la paume de la main d’un adulte.
[…]
Après cinq mois passés en service de néonatologie, il pesait 3 238 g à sa sortie de l’hôpital la semaine dernière et buvait normalement du lait…
Elle refuse d’avorter : on l’accuse d’être «inhumaine»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les médecins de Hannah Morris lui avaient prédit que ses jumeaux mourraient ou naîtraient avec d’horribles déformations, ce qui n’arriva pas, et que de ne pas avorter était « incroyablement inhumain et la pire chose à faire ». Encore une bande d’Esculapes ne proposant au prime abord que l’avortement et ne projetant sur l’avenir que de sombres tableaux. Extrait de Gènéthique :
A seulement 16 semaines de grossesse, Hannah Morris a perdu ses eaux suite à une infection à l’E. coli. Les médecins lui ont alors déclaré qu’il y avait « 100 % de chances que ses bébés ne survivent pas » ou naissent handicapés. Comme seule solution, ils lui proposent un médicament pour provoquer le travail. La jeune maman raconte avoir réagi d’« instinct ». « J’ai dit que si je devais les perdre, je les perdrais naturellement et je laisserais la nature suivre son cours », explique-t-elle […] Ils lui ont prédit « que leurs poumons ne se développeraient pas, ni leurs reins », ajoutant que ne pas avorter était « incroyablement inhumain et la pire chose à faire ».
[…]
Contre toute attente, Hannah Morris atteint les 34 semaines et donne naissance par césarienne à George et Alfie. « Bien qu’Alfie soit né avec des trous dans le cœur et que George ait un système immunitaire affaibli en raison de sa naissance prématurée », les deux enfants âgés de quelques mois sont maintenant en pleine forme.