Des jumelles nées à 22 semaines n’avaient que 50 % de chances de survie ― elles se portent à merveille
Loren (la mère), Billie et Bonnie (ses jumelles) Lyon.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― (LifeNews)
Les jumelles prématurées Billie et Bonnie, originaires d’Écosse, sont nées quatre mois avant terme et n’avaient que 50 % de chances de survie. Dix-neuf mois plus tard, ce sont des bambines heureuses et en bonne santé.
La mère, Loren Lyon, de Falkirk, n’a pu tenir dans ses bras ses chères jumelles que plusieurs semaines après leur naissance.
Billie et Bonnie sont arrivées quatre mois d’avance et ne pesaient que 2 lb 2 oz à elles deux. Elles étaient les plus petites jumelles d’Écosse.
Après leur naissance, les deux filles ont été placées dans des sacs spéciaux pour maintenir leur chaleur corporelle. On leur a donné une chance « très faible » de survie.
Loren se souvient : « La première fois que je les ai vues, elles avaient l’air si mal en point. Je me souviens avoir pensé : “Vont-elles s’en sortir ?” Elles étaient si petites ».
Pendant leurs 89 jours d’hospitalisation, les jumelles ont lutté contre des infections et d’autres complications liées à leur naissance prématurée qui comportait notamment une rupture de la membrane [de la mère].
Lire la suiteUn bébé né à 25 semaines, à qui on ne donnait que 50 % de chances de survie, se porte bien
Henry Augustus Truhill.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Henry Augustus Truhill vint au monde à 25 semaines le 1er février 2021 après que sa mère fut amenée d’urgence pour subir une césarienne, car Nicole, la mère, et Henry étaient tous deux en danger.
Selon le Média local Tucson, Nicole avait été diagnostiquée d’un décollement placentaire ce qui est une complication dangereuse lorsque le placenta se détache de la paroi utérine. Dans une telle situation, les deux vies sont à risques, car le bébé est privé d’oxygène et la mère peut faire une hémorragie.
Sur la page GoFundMe de cette famille, on mentionne que Nicole avait déjà une pré-éclampsie, une complication qui inclut une très haute pression artérielle et c’est ce qui exige une césarienne d’urgence. C’est la raison pour laquelle Nicole fut transportée par hélicoptère au Centre Médical Tucson, tandis que son époux Kyle, s’y rendit en voiture, parcourant 78 miles de distance. Une fois arrivée alors que l’équipe médicale s’affairait à préparer la mère, les médecins disaient ne donner que 50 % de chance de survie au bébé. Dans la salle opératoire, il y avait une telle tension à la naissance du bébé, car tous attendaient fébrilement d’entendre son cri, ce qu’il finit par faire à leur grand soulagement.
L’équipe médicale fit une conférence de presse pour dire qu’Henry est maintenant stable après avoir reçu plusieurs transfusions sanguines afin d’augmenter sa capacité respiratoire et donc son taux d’oxygène, ce qui fait que le bébé pouvait désormais respirer par lui-même. Alors l’équipe de spécialiste espère bien pouvoir les laisser sortir en juin prochain. Même Kyle put dire : « je n’aie jamais vu de toute ma vie quelque chose d’aussi beau et d’aussi petit et fragile, au moment de la naissance je fus submergée par l’émotion, la gratitude, la sensation d’un miracle, un grand soulagement, mais aussi la peur bleue de le perdre. Alors cette semaine je peux dire que je n’aie jamais autant pleuré de ma vie, on veut juste que notre bébé vive ! »
Sur la page GoFundMe familiale, on apprend qu’Henry fut nommé ainsi en l’honneur de son arrière-arrière-grand-père et qu’il a gagné 7 oz depuis sa naissance, que la mère se porte bien.
Il faut dire que dans ces dernières années, le taux de survie des bébés prématurés s’est amélioré, au point qu’il y en a qui viennent au monde à 21 semaines et s’en sortent quand ils reçoivent des soins médicaux. Mais en dépit de ces nouvelles encourageantes, il reste encore bien des hôpitaux qui eux refusent de mettre au monde des bébés de moins de 24 semaines. À ceux concernés, vous pouvez vérifier sur la carte de Twenty-Two Matters s’il existe près de chez vous un hôpital qui accepte de soigner les prématurés de moins de 22 semaines.
Un hôpital québécois sépare un nouveau-né de sa mère pendant 10 jours, car les deux ont été déclarés « positifs » au covid…
Site Glen du CUSM, Centre universitaire de santé McGill, hôpital Shriners pour enfants.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons
Décidément, aucune considération n’arrête les fanatiques des mesures « sanitaires ». Ainsi, un nouveau-né et sa mère ont été séparés par l’hôpital qui prend soin du bébé prématuré, parce que les deux ont été déclarés « positifs » au covid-19, pour la durée de dix jours qu'aura passés la petite fille là-bas. La raison en est que, le bébé ayant été déclaré « positif », il devait rester dans une partie isolée de l’hôpital, et que la mère, également « positive », ne pouvait rester en isolement avec son enfant pour la fichue raison qu’il n’y avait pas de chambre isolée avec toilettes ! Selon LifeSiteNews :
Un nouveau-né a été retiré à ses parents contre leur gré et placé en isolement pendant dix jours, dans le but, selon l’hôpital, d’empêcher la propagation du coronavirus. Auparavant, les parents et l’enfant avaient été déclarés positifs au covid-19.
La petite Olivia Santos Sforza, fille de la Brésilienne Geovana Silva Rodrigues dos Santos et de l’Italien Sebastiano Sforza, est née le 15 mars à l’hôpital Pierre Boucher de Longueuil, au Québec. Sebastiano a déclaré à LifeSiteNews que, bien que la grossesse de sa femme ait été normale, Olivia est née prématurément, à 36 semaines.
La mère et le bébé ont été immédiatement séparés et n’ont jamais été réunis car, lors de son admission à l’hôpital, Geovana a été obligée de passer le test COVID-19, qui s’est révélé positif.
« Le bébé, cinq heures après sa naissance, a été transféré au CUSM [Centre universitaire de santé McGill] à Montréal, cet établissement étant censé être mieux équipé pour effectuer les tests nécessaires à l’état du bébé », déclare Sebastiano à LifeSiteNews par courriel. « Geovana, ayant reçu un résultat positif au test covid, a dû rester à la maison pendant dix jours à partir du 15 mars ».
« J’ai également passé un test qui est revenu positif, et j’ai donc également été confinée à la maison. Ainsi, malheureusement, notre bébé n’a eu aucun contact avec ses parents, surtout sa mère, depuis sa naissance. »
Comme Olivia a elle aussi été déclarée positive au virus, elle est en isolement. Ses parents ont supplié le Centre universitaire de santé McGill de permettre à Geovana de rester isolée avec son bébé à l’hôpital, mais la réponse du CUSM fut que cela était impossible, car il n’y avait pas de chambre isolée avec des toilettes. Sebastiano a trouvé cela difficile à croire, étant donné le statut du Canada en tant que pays classé premier monde, entièrement développé.
Le couple devrait récupérer son enfant aujourd'hui. Les deux parents songent à intenter une poursuite contre le CUSM.
Né à 23 semaines, James est maintenant un enfant de 5 ans en pleine santé
James.
Par Nancy FLanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Michael et Rachel attendaient leur premier bébé en 2015 lorsque Rachel a perdu ses eaux à seulement 22 semaines. C’est à ce moment-là que le couple a appris pour la première fois qu’il attendait des jumeaux, mais les très prématurés nés à 22 semaines n’ont que 21 % de chances de survivre. Malheureusement, le bébé Ian n’a pas survécu, mais son frère jumeau James, né à 23 semaines, a maintenant cinq ans.
À 23 semaines et deux jours, James ne pesait qu’une livre et deux onces, et il avait tout un combat devant lui. Il a fallu six jours avant que sa mère ne le tienne dans ses bras pour la première fois. Et tandis que ses parents disent que les deux premières semaines après la naissance se sont déroulées sans heurts, après cela, James a commencé à faire face à de nombreux problèmes médicaux.
« James a tellement souffert. Il a reçu une intubation [trachéale (?)], puis il est passé au CPAP [ventilateur] et est revenu à l’intubation et toutes ces différentes choses. Et il a traversé tellement de choses », a déclaré Michael dans une vidéo YouTube.
À trois semaines, James a subi une chirurgie PDA pour fermer une ouverture dans le cœur entre l’aorte thoracique et l’artère pulmonaire. Il a bien traversé l’opération, mais à deux mois, ses poumons ne se portaient pas aussi bien qu’on avait espéré et il continuait d’avoir besoin d’une assistance respiratoire. Il est resté à l’hôpital à l’unité de soins intensifs néonataux jusqu’à l’âge de quatre mois environ. Après sa sortie de l’unité des soins intensifs néonataux, il est resté sous oxygène pendant des mois à la maison.
Lire la suiteL'avortement, la loi du double effet et la vie de la mère
Par Charles Robertson ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
21 octobre 2020 (LifeSiteNews) ― Lors de la fête de saint Joseph de l’année 2016, ma femme et moi avions pris entre nos mains pour la dernière fois notre bébé. Elle naquit ce matin-là par voie de césarienne et avait été placée immédiatement sous ventilation assistée. Nous ne pûmes la voir que quelques fois pendant cette journée dans l’UNSI (Unité néonatale de soins intensifs). Ma femme passa proche de la mort quand nous allâmes la première fois à l’UNSI après sa césarienne, aussi n’était-elle pas avec moi pendant le baptême et la confirmation du bébé auxquels procéda l’aumônier de l’hôpital.
Nous savions que la petite n’allait probablement pas survivre. Ma femme était enceinte depuis 24 semaines quand ses contractions commencèrent, après avoir passé 3 semaines à l’hôpital à la suite d’une rupture prématurée des membranes à 21 semaines. Les médecins nous dirent que ces 3 semaines étaient essentielles pour le développement des poumons du bébé. Le liquide amniotique constitue un rôle essentiel dans ce développement et notre bébé, lui, en manquait.
En fin d’après-midi de cette journée dédiée au patron de la bonne mort, notre fille commença à avoir des complications. Une sédation palliative lui fut administrée et le ventilateur lui fut retiré alors elle mourut entre nos mains après quelques minutes. On l’enterra quelques jours plus tard, le mercredi de la plus douloureuse Semaine sainte de notre vie. Le fait de savoir que notre Crescentia Anastasia s’éleva à la vie éternelle nous a tellement consolés (ce qui est la signification de son nom).
Je me rappelle souvent de ces tristes moments de ma vie, non comme un père endeuillé, mais aussi comme un philosophe qui s’est spécialisé en bioéthique. Je me souviens que malgré ma spécialisation en bioéthique catholique, je ne savais pas comment évaluer les options que les médecins m’ont présentées au début de notre séjour à l’hôpital. L’anxiété, la tristesse et le désir d’en finir avec cette épreuve étaient très intenses, ce qui m’a empêché de réfléchir calmement.
En fait, quelques conseils qui nous ont été suggérés ne respectaient pas les principes de la bioéthique catholique et ceci n’était pas surprenant vu que l’hôpital n’était pas catholique. Mais ce type de problème peut être rencontré même dans des hôpitaux catholiques. Alors, j’ai décidé d’écrire cet article pour aider d’autres parents qui se trouvent dans une situation semblable à la nôtre et ceci en développant quelques questions morales qui peuvent affronter ces derniers.
Lire la suiteNé à 21 semaines, ce bébé prématuré du Wisconsin passera Noël à la maison
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Beth et Rick Hutchinson de Somerset, au Wisconsin, ont obtenu un miracle de Noël précoce cette année. En début de semaine, ils ont ramené leur fils Richard, âgé de six mois, de l’hôpital. Richard est né à seulement 21 semaines et deux jours, après que Beth eût entamé un travail précoce le 5 juin. Il pesait un peu moins d’une livre, plus léger qu’un sac de carottes pour bébé.
Les Hutchinson ont déclaré à la chaîne locale d'ABC News que le pronostic de survie de Richard semblait complètement désespéré au début. « Quand il est né, ils lui ont donné zéro pour cent de chance de survie », racontait son père.
Comme prévu, les deux premiers mois du bébé Richard ont été les plus difficiles. « Le premier mois, ils n’étaient même pas sûrs qu’il allait s’en sortir. C’était vraiment difficile. Vous savez au fond de votre tête [et] de votre esprit que ses chances n’étaient pas très bonnes », affirma Beth.
Richard eut d’abord besoin de ventilation mécanique avec un appareil respiratoire et d’être nourri par intraveineuse. Ses parents ont lentement commencé à voir des lueurs d’espoir alors qu’il faisait de petites améliorations. Beth dit à KSTP Eyewitness News avec un sourire : « Il est devenu plus fort chaque mois et a montré qu’il allait réussir. Nous avons appris tout au long de ce processus que Richard a son propre programme ».
Lire la suiteLors d’une grossesse à haut risque, une mère refuse d’avorter son bébé qui nait à 23 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère italienne partage son histoire de foi et d’espoir face à une grossesse à haut risque où sa vie et celle de sa petite fille étaient en jeu. Bien que les médecins lui aient proposé un avortement, elle a refusé, et maintenant sa petite fille est à la maison avec sa famille après des mois à l’hôpital.
« On m’a proposé un avortement thérapeutique », a déclaré Jessica à Avvenire.it, « mais j’ai immédiatement refusé ». Elle a ajouté : « J’aurais accepté ma fille avec n’importe quel problème. »
À 23 semaines, Jessica a dû subir une césarienne d’urgence à cause d’un décollement placentaire. Nicol Vittoria est née le 8 mai, ne pesant qu’une livre et mesurant environ 11 pouces. Elle a dû être réanimée et a reçu une canule nasale pour lui permettre de respirer, mais elle a finalement dû être intubée et placée sur un respirateur pendant deux mois. Nicol avait également un problème cardiaque commun aux prématurés, une septicémie staphylococcique et une rétinopathie. Elle a surmonté tous les obstacles.
« J’ai reçu de la force par la prière », a dit Jessica, « ainsi que par les paroles toujours réconfortantes des médecins et des infirmières, en particulier les sourires rassurants du Dr Viviana Cardilli qui a soigné Nicol ».
Jessica ne pouvait passer que quatre heures par jour avec Nicol pour lui tenir la main et lui parler de ses frères et sœurs, de son père et de sa grand-mère qui l’attendaient à la maison. Les précautions [inutiles*] prises à cause de la COVID-19 ne leur ont pas permis de passer beaucoup de temps ensemble et ont empêché d’autres membres de la famille, comme ses frères et sœurs, de lui rendre visite. La prière a aidé Jessica à « oublier les mauvaises pensées de son esprit ». Au bout d’un mois, elle a enfin pu tenir Nicol dans ses bras.
Lire la suiteUn bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père
Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.
Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.
Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.
Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.
Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »
Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.
La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.
« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.
Lire la suiteUn bébé né à 22 semaines et demie rentre à la maison après trois mois à l’hôpital
Harper Rose Schultz.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Covenant Healthcare/YouTube
Une petite fille née à 22 semaines et demie seulement et pesant moins d’un kilo lors de sa naissance est sortie de l’hôpital après y avoir passé plus de trois mois. Harper Rose Schultz naquit le 29 juin au Covenant HealthCare de Saginaw [aux États-Unis] et est le plus petit bébé à avoir été réanimé à l’unité régionale de soins intensifs néonataux du Covenant HealthCare.
« Elle est une telle bénédiction et nous sommes tellement reconnaissants », déclarait sa mère Emille Wendzik aux journalistes en quittant l’hôpital. Le père de Harper, Patrick Schultz, ajoute : « Ce n’est rien moins qu’un miracle ».
Schultz explique dans une vidéo sur la chaîne YouTube de l’hôpital que lui et Wendzik étaient allés à l’hôpital parce qu’elle avait des douleurs abdominales. Ils ne s’attendaient pas à ce que le bébé Harper naquît, mais Wendzik dut subir une césarienne d’urgence. Les mini-prématurés sont des bébés qui pèsent moins de 1 500 grammes à la naissance. Harper pesait 320 grammes et son taux de survie était faible, les bébés nés à cette taille n’ont que 20 % de chance de survie. Elle fut mise sous respirateur.
« C’est le plus petit bébé que nous ayons jamais réanimé, et la voir grandir depuis où nous avions commencé pour finalement rentrer à la maison en assez bonne forme est ahurissant pour nous », affirme le Dr Martin Nwankwo, néonatologiste au Covenant HealthCare. « Nous n’avions jamais fait cela auparavant. Et, pour être honnête avec vous, la moitié des hôpitaux des États-Unis ne l’auraient pas tenté. »
Le Dr Nwankwo a raison. Le groupe TwentyTwoMatters a créé une carte de tous les hôpitaux américains fournissant ce niveau de soins pour les mini-prématurés. Sur cette carte, il n’y a que 100 hôpitaux aux États-Unis qui ont la volonté et les moyens de traiter des bébés nés aussi petits et jeunes. La plupart des USIN ne disposent pas de l’équipement nécessaire pour aider ces petits bébés, mais ce n’est pas le cas du Covenant HealthCare.
Bien qu’Harper ait toujours besoin d’oxygène et d’une alimentation spéciale, elle se porte remarquablement bien.
« Ce n’est rien moins qu’extraordinaire, honnêtement, ce sont des soins extraordinaires », s’exclame Schultz. « Tout le monde s’y est mis et le fait qu’ils puissent prendre quelque chose d’aussi petit pour le maintenir la vie n’est rien moins qu’un miracle, pour être honnête avec vous. »
Trump signe un décret exécutif pour protéger les bébés survivant à l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels
Trump a signé le 23 septembre un décret exécutif destiné à assurer à tout bébé né vivant, même dans le cadre d’un avortement raté, même s’il devait rester handicapé, les soins nécessaires à sa survie. Aux États-Unis comme ailleurs, plusieurs hôpitaux et médecins refusent les soins aux bébés avortés ayant survécu à l’avortement, ou aux bébés naissant avec un handicap ou venant au monde prématurés bien que d’un âge viable. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteLe président Donald Trump a signé vendredi un décret afin de garantir que tous les bébés nés vivants, y compris après des tentatives infructueuses d’avortement, reçoivent les soins médicaux nécessaires à leur survie.
« Tout enfant né vivant, quelles que soient les circonstances de sa naissance, a la même dignité et les mêmes droits que tout autre individu et bénéficie des mêmes protections en vertu du droit fédéral », soulignait Trump.
Il avait d’abord annoncé son décret lors du National Catholic Prayer Breakfast de mercredi [21 septembre].
Le président fit référence à un certain nombre de lois destinées à « protéger les bébés nés vivants contre la discrimination dans la prestation de traitements médicaux, y compris les bébés qui ont besoin de traitements médicaux d’urgence, qui sont prématurés ou qui sont nés avec un handicap ».