Le bébé prématuré d’une maman a survécu à 23 semaines. Aujourd’hui, elle défend ceux des autres
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christianabella/Pixabay
C’était Thanksgiving 2019, et Crystal Odom préparait la voiture pour des vacances relaxantes avec sa famille. Mais ce jour-là, Odom, enceinte de son deuxième enfant, a commencé à éprouver ce qui ressemblait au début d’un travail prématuré à seulement 17 semaines de grossesse. Abandonnant leurs projets de Thanksgiving, elle et son mari Alex se sont précipités à l’hôpital de l’Université d’Alabama à Birmingham.
Odom avait en fait commencé le travail prématurément en raison d’une incompétence du col de l’utérus, une condition qui entraîne une ouverture prématurée du col. Le bébé n’étant pas assez développé pour survivre en dehors de l’utérus, l’équipe médicale a dû faire quelque chose pour empêcher Odom d’accoucher. Ils ont procédé à un cerclage du col de l’utérus, qui consiste à mettre un point de suture autour du col pour le maintenir fermé. Cela a permis de retarder la naissance du bébé jusqu’à la 23e semaine, moment où les chances de survie étaient les plus élevées. Odom a donné naissance à une petite fille, qu’elle a appelée Everleigh. Avec sa naissance prématurée, Everleigh avait 50 % de chances de survie, mais elle a reçu les meilleurs soins médicaux et elle a maintenant deux ans.
Everleigh a connu diverses conséquences de sa naissance prématurée. Elle a subi plusieurs opérations chirurgicales pour ses organes sous-développés et, plus récemment, on lui a diagnostiqué une paralysie cérébrale. Ses parents ont dû apprendre à se battre pour les soins de leur enfant, et ils remercient également le personnel hospitalier pour sa volonté d’aider Everleigh. « Je suis tellement reconnaissante d’avoir eu Everleigh ici [à l’UAB] et d’avoir maintenant la chance de la voir s’épanouir à la maison grâce à leur volonté d’aider les bébés à un si jeune âge gestationnel », a déclaré Mme Odom.
Malheureusement, toutes les personnes souffrant d’une incompétence du col de l’utérus ne bénéficient pas d’une telle attention. En fait, un autre bébé né à 22 semaines de grossesse en raison de ce problème n’a pas reçu de soins médicaux et n’a survécu que quelques heures. Mais, comme pour beaucoup d’autres bébés prématurés qui ont survécu à une naissance précoce, l’expérience d’Everleigh démontre qu’il est possible à des bébés aussi jeunes de survivre en dehors de l’utérus s’ils reçoivent les soins et l’attention appropriés.
Pendant cette épreuve, Odom a partagé les progrès d’Everleigh avec ses amis et sa famille via les médias sociaux. À sa grande surprise, cela lui a ouvert la porte pour aider d’autres parents dans des situations similaires, en particulier les parents d’enfants handicapés. Ses efforts de sensibilisation ont été remarqués et Mme Odom a été nommée par le gouverneur Kay Ivey au Governor’s Interagency Council du système d’intervention précoce de l’Alabama pour la période 2022-2023. Au sein de ce conseil, Mme Odom sera mieux à même de partager ses expériences, de fournir une aide aux parents et aux prestataires se trouvant dans des situations similaires et d’aider à déterminer où les fonds de l’État seront le mieux utilisés. « C’est une bénédiction qu’ils nous aient choisis », a-t-elle déclaré.
Mme Odom donne ce conseil aux parents qui pourraient se trouver dans une situation similaire : « Dès le début, il ne faut pas avoir peur de poser des questions, de s’impliquer avec l’équipe de soins et d’essayer de comprendre ce qui se passe pour pouvoir défendre les intérêts de son enfant. »
Des militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteLa réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.
Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.
Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :
- Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
- Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
- Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.
Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.
HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.
Lire la suiteUn bébé atteint d’un grave spina bifida a été opéré dans l’utérus de sa mère
Helena et sa fille Mila.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un bébé a subi une intervention chirurgicale « révolutionnaire » avant sa naissance, dans l’utérus, pour le soigner de son spina-bifida. À seulement 23 semaines de gestation, le bébé Mila — abréviation de Milagro, ou miracle, en espagnol — a subi une opération complexe réalisée par une équipe de 25 chirurgiens pour réparer sa moelle épinière exposée et refermer le trou dans son dos.
Sa mère, Helena, a appris que son enfant était atteinte de spina bifida lors de l’examen médical effectué à 20 semaines.
« Il y avait une très grosse lésion dans son dos et la moitié de sa colonne vertébrale était exposée. Ils ont dit qu’il était probable qu’elle soit paralysée, incontinente et ait besoin d’une dérivation pour drainer le liquide de son cerveau plus tard », dit-elle.
« J’étais hors de moi quand ils m’ont dit toutes les conséquences possibles de cette maladie et je n’ai pas pu m’arrêter de pleurer ».
« Ils m’ont dit que la probabilité qu’elle marche ou bouge ses jambes était très, très faible — c’était absolument dévastateur ».
Cependant, quelques jours après, Helena a appris qu’elle et sa fille pouvaient bénéficier d’une intervention chirurgicale pendant que sa fille était encore dans l’utérus. À 23 semaines, elle a été envoyée dans un hôpital spécialisé en Belgique, qui travaille en partenariat avec le NHS, où elle a été opérée.
« Je suis tellement reconnaissante »
Le spina bifida touche environ 1 500 bébés chaque année. Souvent, une partie de la moelle épinière est exposée et ne peut se développer correctement. Cela peut entraîner une paralysie, des problèmes d’intestin, de la vessie et des reins. Mais si les chirurgiens peuvent opérer entre la 22e et la 26e semaine de grossesse, au lieu de le faire après la naissance, cela signifie un bien meilleur résultat pour le bébé.
Lire la suite«Des meurtres ont été commis»: les pro-vie demandent justice pour les cinq bébés tardivement avortés, trouvés à Washington
Terrisa Bukovinac (à droite).
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 avril 2022, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Les défenseurs de la vie se sont rassemblés vendredi devant le bureau du médecin légiste de Washington, D.C., pour demander justice pour les cinq bébés avortés presque à terme dont les corps démembrés ont été découverts par des militants pro-vie à la fin du mois dernier à l’extérieur d’une infâme clinique d’avortement de D.C.
Plusieurs groupes pro-vie ont collaboré à l’organisation d’une conférence de presse et d’un rassemblement devant le bâtiment, demandant au maire de Washington, Muriel Bowser, et au médecin légiste de la ville de procéder à l’autopsie des bébés morts, qui, selon certains experts, pourraient avoir été victimes d’infanticide après des tentatives d’avortements bâclés.
La police de Washington a trouvé les corps des bébés dans l’appartement de la militante pro-vie Lauren Handy, après que le FBI ait fait une descente à son domicile et l’ait arrêtée la semaine dernière pour des accusations liées à un « sauvetage traditionnel » qu’elle a mené avec huit autres pro-vie en octobre 2020.
Lauren Handy et Terrisa Bukovinac, une autre militante pro-vie, affirment avoir obtenu une boîte contenant les corps d’un chauffeur de camion anonyme qui aurait chargé des boîtes provenant de la clinique d’avortement Washington Surgi pour les transporter au centre d’incinération de déchets médicaux de Curtis Bay. Les pro-vie ont ramené les bébés avortés à l’appartement de Handy afin de leur offrir un « enterrement correct » et des funérailles.
Entre-temps, bien que l’on ait suggéré que les bébés auraient pu être tués en violation de la loi fédérale, qui interdit aux avorteurs d’assassiner les bébés nés vivants après un avortement raté, les autorités de D.C. ont déclaré qu’elles ne lanceraient aucune enquête ni ne procéderaient à des autopsies sur les nourrissons, car elles affirment que les bébés ont été « avortés conformément à la loi de D.C. ».
Lire la suiteUne mère a refusé d’avorter son bébé atteint de spina-bifida — « Pas une option, je l’aime déjà »
(De gauche à droite) Michelle, Michael et Lacey Grace Bower.
Par SPUC (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère qui a courageusement défié le conseil de son médecin d’avorter sa petite fille célèbre son petit miracle.
Michelle Bower et son mari, Michael, ont été incités à avorter après avoir reçu un diagnostic de spina bifida pour leur enfant à naître. Heureusement pour la petite Lacey Grace, ses parents se sont accrochés à sa vie et ont refusé de céder au défaitisme du personnel médical.
Mme Bower, originaire de l’Indiana, aux États-Unis, a déclaré : « Nous avons rencontré le médecin juste après l’échographie et avons entendu pour la première fois les mots “anomalie du tube neural”, “tête en forme de citron” et “spina bifida” pour décrire notre fille. »
« Nous étions complètement désemparés. Les larmes n’ont pas cessé de couler pendant quelques jours. »
Le spina bifida signifie que le canal rachidien du bébé ne se ferme pas complètement lors de son développement, ce qui entraîne de graves lésions des nerfs de la moitié inférieure du corps, pouvant conduire à un handicap.
« J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps »
Mme Bower a été orientée vers un médecin spécialiste qui lui a dit que l’état de Lacey Grace était grave, et lui a fortement conseillé d’avorter.
« J’ai pleuré à chaudes larmes à cette évocation. À travers mes larmes, j’ai dit : “Ce n’est pas une option, je l’aime déjà !” »
Lire la suiteUne mère s’est battue pour ses jumelles en danger de mort alors que les médecins suggéraient l’avortement
Lydia Crandall et ses filles jumelles.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lydia Crandall, 29 ans et déjà mère de deux enfants, fut ravie lorsqu’elle découvrit qu’elle était enceinte. Malgré son mariage en difficulté, période assez turbulente, elle se réjouissait de la nouvelle vie qui grandissait en elle. À sa grande surprise, elle a développé un ventre de grossesse dès le début et elle s’est demandé si elle ne portait pas des jumeaux. Une échographie réalisée à neuf semaines de grossesse a confirmé qu’elle attendait bien deux bébés, mais elle a aussi révélé quelque chose d’inquiétant.
Les médecins lui ont recommandé à plusieurs reprises d’avorter, mais elle a refusé
Mme Crandall a déclaré à Live Action News : « Au début, on m’a dit que mes bébés avaient des marqueurs du syndrome de Down, mais il a été confirmé par la suite qu’ils étaient atteints du syndrome de transfusion gémellaire (TTTS), un trouble du partage du sang dans lequel un jumeau ne reçoit pas assez de nutriments et l’autre en reçoit trop. Il s’agit d’une maladie grave qui affecte les deux bébés ».
À la suite du TTTS, le jumeau donneur a souffert d’un collapsus de la vessie et le jumeau receveur a eu une attaque dans l’utérus à cause d’un flux sanguin trop important.
Les médecins ont dit à Mme Crandall que l’état des jumeaux était fatal à 80-100 % et lui ont conseillé d’avorter. Cette option n’était pas acceptable pour Mme Crandall, qui a toujours cru au caractère sacré de la vie. Elle était déterminée à mener ses bébés à terme. Mais les spécialistes lui répétaient que la situation était grave et qu’elle devait envisager l’avortement.
Elle a tenu bon, et ils lui ont finalement parlé d’un traitement délicat, effectué in utero sur le placenta, qui consiste à sectionner les veines et les artères à l’origine de la maladie.
Une délicate intervention in utero pourrait sauver les jumeaux
L’opération était relativement nouvelle à l’époque et seul un petit nombre de chirurgiens la pratiquait dans tout le pays. Désespérée de sauver la vie de ses bébés, Mme Crandall s’est rendue à l’hôpital pour enfants de Philadelphie pour y subir l’intervention.
Lire la suiteCes jumeaux nés à 22 semaines de grossesse rentrent maintenant chez eux
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les jumeaux Harley et Harry Crane sont sortis de l’hôpital ce printemps, des mois après que les médecins aient prédit qu’ils n’avaient « aucune chance » de survivre.
Le Mirror rapporte que les jumeaux sont nés prématurément à 22 semaines et cinq jours de grossesse et ont passé 140 jours à l’hôpital. Le 14 mars 2022, leurs parents, Jade et Steve Crane, ont amené leurs bébés à la maison pour la première fois.
« Je suis tellement fière de mes bébés. Ce sont de petits combattants. Ils se portent à merveille. Ils font toutes les choses qu’on nous avait dit qu’ils ne feraient pas. Ils pleurent, ils survivent », a déclaré leur mère.
Harley et Harry seraient les plus jeunes jumeaux prématurés à avoir survécu au Royaume-Uni, et leurs vies sont des miracles à plus d’un titre.
Pendant plus d’une décennie, les Crane ont lutté contre l’infertilité, et ils ont perdu trois bébés à naître à la suite de fausses couches avant que Jade ne devienne enceinte de Harley et Harry, selon le Liverpool Echo.
Jade Crane a déclaré qu’elle s’est inquiétée tout au long de sa grossesse de perdre également les jumeaux.
« J’avais tellement peur de faire une fausse couche ou que quelque chose se passe mal. J’étais encore incrédule lorsque nous sommes arrivés à 20 semaines... », se souvient-elle. « J’avais acheté quelques vêtements mais j’ai pensé que je ferais mieux de garder les étiquettes, au cas où. Je n’arrivais pas à y croire. »
Lire la suiteLes parents de jumelles conjointes séparées avec succès disent que l’avortement n’a jamais été une option pour eux
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Castle/Facebook
Dwight et Stephanie Castle disent qu’avoir mis au monde des bébés jumeaux conjoints est la chose la plus difficile qu’ils aient jamais faite. Pourtant, pour eux, l’avortement n’a jamais été une option, et ils continuent de croire que Dieu les aidera à s’en sortir.
Les Castle étaient déjà parents de trois enfants lorsqu’ils ont appris qu’ils attendaient de nouveau un enfant ; quelques semaines plus tard, ils ont découvert que c’étaient des bébés jumeaux. Mais lors de leur rendez-vous à 12 semaines, ils ont appris que les bébés jumeaux étaient conjoints. « Nous n’avons rien dit pendant très longtemps », a raconté Dwight, qui est pasteur. « Nous avons simplement pleuré ». confie-t-il à WORLD
L’avortement n’était « même pas une pensée dans leur tête », mais cela ne voulait pas dire qu’ils n’avaient pas peur. « J’essayais de croire à la bonté de Dieu dans tout ça », a poursuivi Dwight. « Je crois en sa puissance, en sa capacité à sauver, en sa souveraineté sur tout. Mais comment cela pouvait-il être bon ? »
Pour Stephanie, c’est le soutien de leurs amis qui les a aidés à traverser cette épreuve. « Et c’est comme ça que ça s’est passé », a déclaré Stephanie. « Quand nous sommes faibles, les autres autour de nous sont forts ».
Originaires de Birmingham, en Alabama, les Castle ont été envoyés à l’hôpital pour enfants de Philadelphie (CHOP), un établissement qui reçoit des jumeaux conjoints du monde entier. À 34 semaines, les jumelles — Elizabeth et Susannah — sont nées. Après la naissance, AL.com a rapporté que les filles avaient chacune un cœur bien distinct, ce qui facilite les chances de séparation.
Lire la suiteCe bébé a été sauvé de l’avortement lorsque des pro-vie ont aidé sa mère devant l’avortoir
Kairo.
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 mars, 2022 — Anniyah était déchirée lorsqu’elle s’est présentée à son rendez-vous pour un avortement à Cherry Hill, dans le New Jersey, en octobre dernier.
« Une partie d’elle ne voulait pas être là », a déclaré Claire, la responsable locale des 40 jours pour la Vie. « Mais elle n’avait pas de travail... et les gens lui disaient qu’elle ne devrait pas avoir [un bébé] ».
Anniyah est sortie du centre d’avortement lors d’un appel avec sa mère, qui encourageait Anniyah à parler avec une personne extérieure — quelqu’un qui n’était pas proche de la situation d’Anniyah et qui pourrait lui offrir une opinion impartiale.
C’est alors que Marie a fait signe à Anniyah de venir et lui a dit : « Tu n’es pas obligée de faire ça aujourd’hui ».
Marie lui a expliqué l’abondance des ressources qui pourraient permettre à Anniyah de choisir la vie et de s’épanouir... et elle a décidé de garder son bébé !
L’équipe de Cherry Hill l’a mise en contact avec toutes sortes d’aides : transport vers les rendez-vous chez le médecin, fournitures pour bébé, repas — et même nettoyage de tapis !
Récemment, Anniyah a donné naissance à un magnifique petit garçon de 2,72 kg appelé Kairo, grâce aux prières de Marie, Claire, de toute l’équipe de Cherry Hill et de vous !
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