La propriétaire d’un avortoir accusée d’agression, une vidéo montre qu’elle faillit renverser des pro-vie avec sa voiture
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 février 2022, Little Rock, Arkansas (LifeSiteNews) — La propriétaire d’un centre d’avortement de l’Arkansas a été arrêtée pour agression après avoir apparemment essayé d’écraser des pro-vie en prière.
L’une des propriétaires de Little Rock Family Planning Services, Natalie Tvedten, a été inculpée de deux chefs d’accusation d’agression au premier degré, selon des documents du département de police de Little Rock obtenus par Family Council mardi via la loi sur la liberté d’information.
La vidéo de la caméra municipale de l’incident du 13 juillet 2021 montre les deux femmes pro-vie, Denise Shewmake et Kimberly Puska, debout au bord d’une voie d’accès de l’établissement d’avortement. Shewmake a déclaré que Puska lui avait dit de faire attention, qu’elle s’était alors retournée et avait vu Tvedten franchir le bord du trottoir, la heurter presque et la forcer à reculer pour éviter d’être touchée.
Le rapport de police indique que la voiture de Tvedten « a roulé partiellement sur la bordure et le trottoir ». Sur la vidéo, on peut voir Tvedten s’approcher des femmes avec un angle linéaire direct, au lieu de s’engager dans l’allée avec un virage à droite ordinaire.
Selon le rapport de police, Tvedten a déclaré qu’elle « ne les a pas vues lorsqu’elle a failli les percuter, disant qu’elle leur avait déjà dit à plusieurs reprises de ne pas rester dans l’allée ».
Cependant, Shewmake a déclaré à la police que Tvedten « conduit fréquemment près d’elle et d’autres personnes » et qu’elle « a menacé de renverser des gens dans le passé ». Elle a également déclaré à un inspecteur, lors d’un autre entretien, que Tvedten « leur criait et leur jurait qu’elle les écraserait s’ils se trouvaient sur son chemin ».
Lire la suiteLes dangers de la Loi C-3 pour les activistes pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : University of Toronto Students for Life/Flickr
Le 16 janvier dernier, est entrée en vigueur la loi C-3 qui rajoute au Code criminel du Canada le crime de provoquer l’« état de peur » dans le but d’empêcher quelqu’un d’accéder à des soins de santé. Le fait est que la nouvelle loi pourrait bien faire de la rédaction d’un article pro-vie ou d’une vigile pro-vie un acte criminel d’« intimidation », en ce qu’il pourrait provoquer un « état de peur » chez la femme qui songerait à se faire avorter — car l’avortement est considéré comme un « soin ».
Le Code criminel modifié se lit comme suit :
Intimidation — services de santé
423.2 (1) Commet une infraction quiconque agit de quelque manière que ce soit dans l’intention de provoquer la peur :
a) soit chez une personne en vue de lui nuire dans l’obtention de services de santé fournis par un professionnel de la santé ;
b) soit chez un professionnel de la santé en vue de lui nuire dans l’exercice de ses attributions ;
c) soit chez une personne dont les fonctions consistent à appuyer un professionnel de la santé dans l’exercice de ses attributions en vue de lui nuire dans l’exercice de ces fonctions.
Empêcher ou gêner l’accès
(2) Commet une infraction quiconque, sans autorisation légitime, empêche ou gêne intentionnellement l’accès légitime par autrui à un endroit où des services de santé sont offerts par un professionnel de la santé.
Peine
(3) Quiconque commet une infraction prévue aux paragraphes (1) ou (2) est coupable :
a) soit d’un acte criminel passible d’un emprisonnement maximal de dix ans ;
b) soit d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.
Moyen de défense
(4) Nul n’est coupable de l’infraction prévue au paragraphe (2) du seul fait qu’il se trouve dans un endroit visé à ce paragraphe, ou près de cet endroit, ou qu’il s’en approche, aux seules fins d’obtenir ou de communiquer des renseignements
Dans le cas de l’obstruction à l’accès à un avortoir, par exemple, il devrait être assez facile de se poster à proximité d’un avortoir pour prier, manifester et informer les femmes enceintes sans commettre cette sorte d’infraction — surtout si vous êtes là pour donner de l’information, ce qui est l’un des buts des 40 Jours pour la Vie.
Lire la suiteReprotection : un organisme pro-vie lutte pour fermer les avortoirs
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
L’histoire de Reprotection débute lorsque Cathie Hambarger fut témoin de négligences inquiétantes dans l’un des avortoirs du fameux Ulrich Klopfer en Indiana. Devant les violations de nombreux codes médicaux, elle décida de passer à l’action.
La PDG de Reprotection « et son équipe ont déposé plus de 2000 plaintes contre l’avorteur Klopfer, entraînant la fermeture de ses trois centres d’avortement dans l’Indiana », rapporte le site. L’œuvre ne s’est pas arrêtée là. « Cela a conduit à des enquêtes sur l’industrie de l’avortement à travers le pays et sur la manière dont elle continue d’échapper à l’examen que la loi exige. Il fallait réagir au niveau national. »
Lancé en janvier 2020, l’organisme pro-vie mène des enquêtes légales pour dénoncer les crimes de l’industrie de l’avortement et « la tenir responsable devant les autorités ».
Même si à travers le monde des organismes pro-vie, tels que Reprotection, luttent courageusement pour la défense de la vie et la fin de l’injustice qu’est l’avortement, leur combat est souverainement méprisé par l’élite de gauche au Québec.
Récemment, la ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest, a excusé les dons de deux députés à des organismes pro-vie comme étant une erreur de « bonne foi » qui « ne se reproduira plus ».
TVA Nouvelles rapporte que « Selon une enquête réalisée par Urbania, deux députés caquistes... ont fait des dons à des organismes pro-vie œuvrant sous le couvert de centres de grossesse depuis 2018. »
Suite à l’enquête, Isabelle Charest a « réitéré que tous les députés du gouvernement étaient “résolument pro-choix”. » De plus, « une note leur sera envoyée à tous pour leur rappeler l’importance d’effectuer des vérifications approfondies avant d’accorder des dons à des organismes, a ensuite précisé son attachée de presse. »
Ainsi, deux simples dons ont été utilisés comme prétexte pour réaffirmer et renforcir la haine de nos dirigeants envers un combat qui défend la dignité des plus petits.
La Chambre basse d'Espagne adopte un projet de loi pour mettre en prison les pro-vie qui prient devant les cliniques d’avortement
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les voix pro-vie sont de plus en plus réduites au silence dans le monde entier.
Jeudi, le Congrès des députés espagnols a adopté un projet de loi qui punirait de prison les conseillers pro-vie de trottoir qui tendent la main aux femmes enceintes à l’extérieur des centres d’avortement, rapporte Spanish News Today. La législation a été adoptée par 204 voix contre 144 à la chambre basse et doit maintenant être examinée par le Sénat.
Les militants de l’avortement prétendent que son objectif est d’empêcher le harcèlement des femmes qui cherchent à avorter, mais les conseillers pro-vie de trottoirs sont en grande majorité pacifiques.
Même la prière à l’extérieur des centres d’avortement serait criminalisée si la loi était adoptée. Selon l’article, « ... les personnes qui harcèlent les femmes entrant dans les centres d’avortement ou le personnel qui y travaille “par des actes offensifs, intimidants ou coercitifs”, comme les railleries ou la prière » pourraient être punies d’une peine de prison.
« La prière n’est pas une liberté d’expression si le résultat final est la coercition », selon une déclaration d’un groupe féministe pro-avortement qui soutient le projet de loi, rapporte Spanish News Today.
Le projet de loi n’exige pas non plus qu’il y ait une plainte de la femme demandant un avortement pour que le pro-vie soit poursuivi, indique l’article. Cela signifie que les pro-vie pourraient aller en prison pour avoir aidé des mères enceintes qui apprécient les informations et le soutien qu’ils fournissent.
Lire la suiteDes lycéens pro-vie prient chaque semaine devant Planned Parenthood pour sauver des bébés de l’avortement
Étudiant de la Chesterton Academy à Hopkins priant devant un avortoir de Planned Parenthood à St. Paul, le 5 janvier 2022.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dave Hrbacek/The Catholic Spirit
Chaque semaine, des lycéens du Minnesota bravent le froid glacial et les remarques désagréables des militants de l’avortement pour prier devant un centre d’avortement Planned Parenthood à St. Paul.
Malgré des conditions peu propices, les élèves de la Chesterton Academy, une école catholique de Hopkins, prient avec enthousiasme pour les mères et leurs bébés, rapporte The Catholic Spirit.
Ils sont tellement impatients d’avoir un impact sur la vie que de nombreux élèves arrivent à l’école plus tôt que prévu afin de pouvoir s’inscrire pour obtenir l’une des rares places disponibles, selon l'article.
« Les adolescents ont souvent l’impression qu’il n’y a rien qu’ils puissent faire réellement, tangiblement, pour changer le monde », a déclaré Kalley Yanta, conseillère de trottoir pro-vie et parent d’élève de la Chesterton Academy. « Mais ceci est très tangible, surtout parmi des gens comme eux qui comprennent le pouvoir de la prière ».
Leur enthousiasme illustre la passion de la génération pro-vie, des jeunes qui réalisent la valeur de chaque vie humaine et la dévastation causée par l’avortement. En Amérique, des dizaines de millions de lycéens manquent à l’appel parce qu’ils ont été avortés. Depuis 1973, plus de 63 millions de bébés à naître ont été avortés aux États-Unis, et ce total augmente de près d’un million chaque année.
Lire la suiteLa Californie : « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
En panique devant un possible renversement de Roe vs Wade, les pro-avortement tentent de renforcer leurs campagnes de mort.
Selon Radio-Canada, « … une coalition de fournisseurs de service d’avortement, soutenue notamment par le gouverneur démocrate de l’État, veut faire de la Californie un refuge pour les femmes d’États conservateurs qui se verraient interdire d’interrompre leur grossesse. »
Le gouverneur Gavin Newson, « Disant souhaiter étendre les protections au droit à l’avortement … a affirmé que son État pourrait devenir un “refuge” non seulement pour les Californiennes, “mais aussi pour les femmes et les filles de tout le pays”. »
Cet état, l’un des plus « progressistes en matière d’avortement », deviendrait alors le lieu de rassemblement de ceux qui s’apprêtent à tuer volontairement des êtres innocents. Comme l’a dit la présidente de Live Action, Lila Rose, la Californie serait « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire ».
Non seulement la Californie accueillerait des femmes voulant avorter mais elle les aiderait aussi financièrement. Les implications concrètes de ce projet seraient, « l’augmentation du financement des cliniques d’avortement, la création d’un programme de subventions dédié à la formation dans des régions mal desservies et la mise en place de protections légales des cliniciens qui fournissent un avortement à des patientes, y compris celles qui viennent d’États restreignant le droit à l’avortement. » De plus, « les patientes originaires d’autres États n’auraient pas à assumer des frais comme l’hébergement et le transport. »
Le temps, l’énergie, l’argent, et la passion déréglée que ces pro-avortement sont prêts à consacrer à cette cause ne font que prouver leur aveuglement. Tout cela pour encourager le meurtre d’innocents ? Tout cela alors qu’ils pourraient l’utiliser pour financer des centres pour femmes enceintes, pour développer des centres d’adoption, pour aider ces femmes à accepter le don précieux qu’est un enfant, ou tout simplement pour défendre la vie plutôt que de combattre pour la mort ?
Un projet de loi qui limiterait l’activisme pro-vie autour des lieux d'avortements en Saskatchewan
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBN News/YouTube
15 novembre 2020, Hamilton, Ontario (LifeSiteNews) — Campaign Life Coalition (CLC) a dénoncé la province canadienne de la Saskatchewan concernant un projet de loi qui rendrait illégal le fait de manifester contre l’avortement près des installations qui pratiquent cette forme d’infanticide.
En effet, le projet de loi propose la création d’un rayon de 50 mètres autour des hôpitaux afin d’interdire aux pro-vie de manifester, de faire du piquetage, de protester ou d’interagir de toute autre manière avec les femmes qui envisagent de se faire avorter.
« La Loi de 2021 modifiant la Loi sur la santé publique (projet de loi 48 sur l’accès sécuritaire aux hôpitaux) priverait les défenseurs de la vie de leur droit démocratique de témoigner librement et pacifiquement du caractère sacré de la vie humaine à l’extérieur des hôpitaux de la Saskatchewan où sont pratiqués des avortements », a déclaré Jeff Gunnarson, président national de Campaign Life Coalition. « Les lois de type “zones-bulles” censurées privent les citoyens canadiens de leurs droits et libertés et n’ont pas leur place dans une société libre et démocratique. »
Le projet de loi 48, qui a été présenté à l’Assemblée législative de la Saskatchewan le 10 novembre, vise à rendre illégale les manifestations, pour quelque raison que ce soit y compris contre l’avortement et les vaccins COVID-19 contaminés par l’avortement, dans un rayon de 50 mètres (150 pieds) autour de tous les hôpitaux de la province. La seule forme de manifestation acceptée par le projet de loi serait le piquetage syndical.
Lire la suiteIrlande du Nord : un projet de loi pourrait empêcher les pro-vie d’offrir de l’aide ou même de prier à proximité des avortoirs
Par Right to Life UK (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bound4LIFE Fort Myers/Facebook
Un certain nombre de députés qui se disent « pro-vie » ont voté en faveur d’un projet de loi qui, s’il était adopté, rendrait illégal en Irlande du Nord le fait d’offrir de l’aide, des conseils ou même de prier devant des cliniques d’avortement et des hôpitaux proposant des avortements.
Le projet de loi, présenté par Clare Bailey, chef du Parti vert, a été adopté en deuxième lecture par 58 voix contre 29. Si le projet de loi est adopté, le fait d’« influencer une [femme souhaitant avorter], que ce soit directement ou indirectement », dans une « zone d’accès sécurisé » constituera une infraction pénale.
Contrairement à d’autres tentatives visant à créer une zone de censure autour des cliniques d’avortement, ce projet de loi ne précise pas les paramètres exacts en mètres. Il stipule que la zone de censure comprend « la zone publique située devant le [lieu où les avortements sont pratiqués] et à proximité immédiate » de ces locaux.
Les propositions de Mme Bailey ont été présentées au palais de Stormont, siège de l’Assemblée législative, dans le cadre d’un projet de loi d’initiative parlementaire et font peser sur le ministère de la Santé la responsabilité d’établir ces zones de censure qui ne permettent pas les protestations, aussi pacifiques soient-elles, ni les offres d’aide ou de conseil.
La législation visant à prévenir le harcèlement existe déjà
M. Jim Allister, membre de l’Assemblée législative (MLA) de la Traditional Unionist Voice, s’est montré très critique à l’égard de la législation proposée, arguant que la législation visant à prévenir le harcèlement existe déjà. Il a déclaré « En vertu de la législation qui existe actuellement... le harcèlement est déjà une infraction pénale, et en vertu du Public Order Order 1987, les désordres et tout ce qui l’accompagne sont déjà une infraction pénale. Où se trouve la nécessité de faire double emploi dans le projet de loi ? »
Lire la suiteUne province canadienne maintient le droit de manifester devant les cliniques d’avortement
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : University of Toronto Students for Life/Flickr
18 octobre 2021 Winnipeg, Manitoba (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Manitoba a voté contre un projet de loi visant à interdire aux militants pro-vie de manifester pacifiquement devant les cliniques d’avortement.
Le 1er octobre, la législature du Manitoba a voté par 30 voix contre 20 sur le projet de loi 207 « anti-liberté d’expression et proavortement ». Proposé par le Nouveau Parti démocratique (NPD), le projet de loi 207 visait à criminaliser les manifestations pro-vie devant les cliniques d’avortement.
Le projet de loi 207 a été proposé par le chef parlementaire du NPD Nahanni Fontaine dans le but de créer des « zones de protection » mises en place par le gouvernement autour des cliniques d’avortement, interdisant aux militants pro-vie de protester contre l’avortement ou de tenter de dissuader les femmes d’avorter leurs enfants à proximité ou autour des cliniques proposant ces services infanticides.
La présidente de Campaign Life Coalition Manitoba, Maria Slykerman, a applaudi la décision du gouvernement.
« Le projet de loi 207 (Abortion Protest Buffer Zone Act), qui prétendait prévenir le harcèlement des femmes enceintes entrant dans un centre d’avortement, visait en fait à criminaliser les voix antiavortement et à refuser à ces mères le droit de connaître les alternatives à l’avortement, telle que l’adoption », a déclaré Slykerman
Lire la suiteLa Cour suprême des États-Unis fixe une date pour entendre une contestation de Roe v. Wade
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/AdobeStock
La cause Dobbs v. Jackson Women's Health Organization sera examinée par la Cour suprême le 1er décembre 2021, ce qui pourrait conduire à l’annulation de Roe v. Wade. La loi du Mississippi pourrait également avoir une incidence sur l’affaire Planned Parenthood v. Casey, l’arrêt de la Cour suprême de 1992 dans lequel la Cour a convenu avec Roe que l’avortement est un droit constitutionnel, mais seulement jusqu’à la viabilité.
La loi sur l’âge gestationnel a été adoptée au Mississippi en 2018, et restreint les avortements après 15 semaines (environ quatre mois) de grossesse, sauf en cas d’urgence médicale ou d’anomalie grave du fœtus. La Jackson Women’s Health Organization, la seule entreprise d’avortement de l’État, a intenté un procès, et la loi a été invalidée à deux reprises par des tribunaux fédéraux.
Plus tôt cette année, la Cour suprême a annoncé qu’elle entendrait l’affaire, et peu de temps après, le procureur général du Mississippi, Lynn Fitch, a déposé un mémoire demandant une réponse à la question de savoir si toutes les interdictions d’avortement avant la viabilité sont inconstitutionnelles.
« Beaucoup de choses ont changé au cours des cinq décennies qui ont suivi l’arrêt Roe, mais celui-ci enchaîne les États à une vision dépassée des faits et les empêche de protéger des intérêts légitimes dans le contexte de la science et de la culture actuelles », a déclaré Mme Fitch à Live Action News. « Dans mon mémoire, je demande à la Cour de remettre les choses en ordre et de renvoyer la politique d’avortement aux branches politiques où le débat peut s’épanouir et où la volonté du peuple peut être discernée dans les urnes. »
Bien que de nombreux militants de l’avortement aient affirmé que la loi s’en prend aux femmes, elle contribuera en fait à protéger les femmes contre des entreprises d’avortement dangereuses, comme la Jackson Women’s Health Organization.
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