2 prêtres, 7 pro-vie prennent le risque d’être arrêtés en entrant dans deux avortoirs ce matin
Lauren Handy, l'une des pro-vie participant au Red Rose Rescue, une tentative pacifiquement de faire découvrir aux femmes, songeant à avorter, la vie qu'elles portent.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Suivant l’exemple de Mary Wagner, des catholiques menés par des prêtres entrent dans deux avortoirs de Washington, pour porter pacifiquement témoignage auprès des femmes pensant à avorter leur enfant, afin qu'elles considèrent l’humanité de leur bébé et la grâce de Dieu ; la conversion des avorteurs fait aussi partie des buts de cette opération. Extrait de LifeSiteNews :
Ce matin, des prêtres catholiques menaient des militants pro-vie, entrant dans deux centres d’avortement de la capitale nationale, où ils risquent l’arrestation en offrant pacifiquement des roses rouges et des conseils aux femmes qui sont résolues à avorter et refusent de partir quand on le leur demande.
Appelée « Red Rose Rescue » et inspirée par la militante canadienne Mary Wagner, cette méthode d’activisme est en quelque sorte un renouveau du mouvement « Rescue » des débuts [...]
Le père Stephen Imbarrato de LifeMinistriesUS et quatre autres sont entrés à la Washington Surgi-Clinic, un centre d’avortement tardif situé dans un quartier chic de Washington. Le Dr Cesare Santangelo, avorteur à ce cabinet, a été attrapé en 2013 étant d’accord pour refuser les soins médicaux à un enfant viable qui survit à un avortement. Le Père Imbarrato a mené un « sauvetage » dans ce centre d’avortement le 20 décembre ; un tribunal fédéral a ensuite abandonné les accusations d’intrusion portées contre lui et deux autres personnes.
Un autre groupe de pro-vie s’est chargé d’un autre avortoir :
Lire la suiteLe Père Fidelis Moscinski des Frères franciscains du Renouveau, accompagné de quatre pro-vie, conduit l’autre sauvetage de DC ce matin […]
Le conseil municipal de Richmond interdit les vigiles pro-vie
Une conseillère offrant des dépliants aux femmes qui entrent dans la clinique de Richmond. Elles sont libres de l’accepter ou de l’ignorer.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Une fois encore, la partialité des pro-avortement se pavane au grand jour. En Grande-Bretagne, le conseil municipal de Richmond a décidé d’imposer une zone bulle autour d’un avortoir. Et pour se justifier, le conseil municipal n’a pu trouver à redire à la conduite des pro-vie qui se tenait devant le portail de l’avortoir sur Rosslyn Road pour prier, conseiller et donner des dépliants. Pourtant, si ce n’est pour du harcèlement ou de l’intimidation, comme ils en avaient été accusés, pourquoi le Conseil de Richmond a-t-il interdit aux pro-vie d’approcher de la clinique ? Ce serait parce que cela « soumettrait à une trop grande tension le personnel et les clientes. » Extrait de la Society for the Protection of Unborn Children :
Lire la suite« Si les gens de GCN (Good Counsel Network) ne peuvent pas rester près des portes, cela signifie que vous mettez en danger des femmes vulnérables, des mères, des êtres humains. »
Dans le dernier exemple d’intolérance officielle envers les pro-vie, le conseil municipal de Richmond a voté pour imposer une ordonnance de protection de l’espace public (Public Space Protection Order — PSPO) autour du centre d’avortement BPAS sur Rosslyn Road, dans Twickenham.
Hier, le Conseil a ratifié à l’unanimité une décision antérieure de mettre en œuvre la PSPO et donc d’interdire la vigile de prière pacifique pro-vie principalement menée par le Good Counsel Network.
Des parents poursuivent Planned Parenthood pour l’avortement raté de leur fils, qui vient d’avoir deux ans
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
22 février 2019 (LifeSiteNews) — Imaginez le scénario suivant. Vous êtes un garçon heureux, grandissant dans une maison de classe moyenne avec vos deux frères et sœurs. Vous aimez jouer dehors avec eux, l’école va bien, et vous pensez que le monde de vos parents vous appartient. Votre père est votre héros, et vous aimez votre mère plus que tout au monde.
Mais un jour, vous cherchez sur Google votre nom de famille pour un devoir scolaire. Votre enseignante a assigné à la classe un projet dans le cadre duquel chaque élève fait des recherches sur son arbre généalogique. Et c’est là que vous découvrez une série d’articles qui semblent parler de votre famille. Il semble qu’un homme et une femme portant les mêmes noms que votre père et votre mère aient poursuivi une clinique d’avortement après avoir donné naissance à un bébé qu’ils avaient essayé, sans succès, d’avorter.
Les articles mentionnent qu’il y avait déjà deux enfants dans la famille et que c’était le troisième bébé dont ils avaient essayé de se débarrasser. Avec horreur, vous essayez d’empêcher une prise de conscience inéluctable : Vous êtes le troisième et le plus jeune enfant. Si les parents dans les articles sont vos parents, cela signifie qu’ils ont voyagé plus de 700 milles de votre maison, de l’Idaho au Nouveau-Mexique, pour que votre mère puisse se faire avorter. Qu’est-ce qu’un avortement ? Vous tapez dans Google le mot et des images horrifiantes de bébés déchirés et ensanglantés apparaissent sur l’écran. Les images se brouillent alors que vous fixez l’écran et que vos yeux commencent à verser des larmes.
Lire la suiteLes « fausses cliniques »
Par Renald Veilleux
Jeudi passé, le 21 février, Marina Orsini dans le cadre de son émission à Radio Canada à 09,30, a abordé la question de la légitimité de l’avortement en présence de la docteure Christiane Laberge et de Mariane Labrecque de la Fédération du Québec pour le planning des naissances.
Elles ont dénoncé ce qu’elles décrivent comme des fausses cliniques, considérant que les vraies cliniques sont celles qui autorisent et favorisent les avortements. Elles se sont acharnées contre ce qu’elles appellent les faux centres d’aide à la grossesse, c’est-à-dire ces centres qui s’objectent à la pratique de l’avortement, tout en rendant de précieux services aux femmes enceintes en difficultés.
Elles accusent ces cliniques (pro-vie) d’être conduites par une idéologie et d’être anti-choix. Elles affirment que ces cliniques sont financées par des groupements religieux. Personnellement, je doute que ce soit vrai, mais même si c’était vrai, pourrait-on reprocher à des groupes religieux de chercher à venir en aide à des femmes enceintes en difficulté ? Madame Orsini en entendant ces affirmations semblait faire une découverte extraordinaire.
Selon Mme Mariane Labrecque ces « fausses cliniques », instrumentaliseraient les gens en leur faisant croire que les fœtus sont des bébés et que l’avortement comporte des conséquences sérieuses pour les femmes. Plusieurs études sérieuses démontrent qu’effectivement l’avortement a des conséquences graves pour les femmes, soit au plan physique et/ou psychologique. Plusieurs femmes qui ont connu l’expérience de l’avortement en témoignent.
Lire la suiteUn panneau, au bord d'une route, vante les «mérites» de l'avortement au Colorado
Bienvenue au Colorado, où vous pouvez obtenir un avortement sûr et légal.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Bref, de la publicité pour le meurtre des enfants à naître. Extrait de LifeNews :
Un nouveau panneau d'affichage le long de l'inter-États 70 au Colorado accueille les femmes qui veulent avorter leur bébé à naître pour une raison quelconque jusqu'à la naissance.
Le Colorado est l'un des rares États où les avortements sont légaux pendant les neuf mois de la grossesse, et un avorteur de fin de grossesse à Boulder les pratique ouvertement.
L'affiche, payée par ProgressNow Colorado, déclare fièrement : « Bienvenue au Colorado, où vous pouvez obtenir un avortement sûr et légal », rapporte le blog pro-avortement Rewire. Il se trouve sur l'inter-États 70, une autoroute reliant le Colorado et l'Utah, où les avortements sont plus fortement limités.
Le but est d'offrir la publicité aux citoyens de l'Utah et des autres États. Le blog qualifie ironiquement le Colorado de « refuge sûr » pour les femmes des États voisins parce qu'il ne limite pas le meurtre des bébés à naître.
L'avorteur qui avait lancé une tirade satanique à un pro-vie est mort
Robert J. Santella, l'avorteur, menaçant un pro-vie.
Par Cheryl Sullenger (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 11 février 2019 (Operation Rescue) — Operation Rescue a appris que Robert J. Santella est décédé l'an dernier de façon inattendue à l'âge de 74 ans. Santella était un avorteur longtemps employé par le centre d'avortement du Family Planning Associates (maintenant FPA Women's Health) dans le comté de San Diego. Il a également tenu un cabinet privé où les avortements étaient parfois pratiqués près du campus de la San Diego State University (l'Université d'État de San Diego).
Santella était surtout connu pour un incident filmé en vidéo en juin 2016, qui le montrait se lançant dans une diatribe démoniaque contre un activiste pro-vie devant les bureaux de la clinique d'avortement de la FPA où il travaillait. Santella a été vu en blouse de chirurgien soufflant et grognant d'une voix démoniaque alors qu'il tenait des ciseaux devant la gorge d'un activiste pro-vie tout en affirmant qu'il aimait tuer des bébés.
« Je n'écoute jamais le Christ », grognait Santella. « J'ai un cœur sombre. Je l'ai, je l'ai. Tout à fait. » [Il dit ces choses en réponse au pro-vie qui lui parle du Christ.]
À la suite de la vidéo, qui est devenue virale et a attiré l'attention des médias, Santella a été rejeté du Sharp Healthcare, un groupe d'hôpitaux où Santella avait des privilèges, et renvoyé de la chaîne FPA d'avortements. La clinique où l'incident s'est produit a fermé ses portes en novembre 2017, mais a refait surface plus tard dans la localité d'El Cajon, dans l'est du comté.
Lire la suite697 cliniques d’avortement aux États-Unis dont 145 en Californie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
145 avortoirs (pour avortements chirurgicaux ou chimiques) pour la Californie, suivi de 87 pour l’État de New York et de 57 pour la Floride. Il ne fait pas bon d’être un enfant à naître dans ces États-là vu le nombre d’avortoirs. Selon le compte Twitter d'Obianuju Ekeocha :
C’est déjà assez grave qu’il y ait un centre d’avortement dans un État et je ne dis pas cela à la légère...
Mais d’après cette carte, la Floride, New York et la Californie ont des rivières de sang qui les parcourent.
Le sang des plus innocents.
Planned Parenthood, le plus grand fournisseur d’avortements aux États-Unis traite mal ses employées enceintes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Oyvind Holmstad/Wikimedia Commons
Eh oui ! Des employées féminines de Planned Parenthood rapportent leurs malheurs et leurs déboires avec le géant de l’avortement, au sujet de leur grossesse, alors que celui-ci devrait, d’après ce qu’il prétend être, mieux se soucier du bien-être des femmes, surtout de celles qui travaillent dans ses cliniques… Extrait de CNA :
L’organisme Planned Parenthood Federation of America est souvent critiqué par des politiciens et des organisations pro-vie pour être le plus important fournisseur d’avortement aux États-Unis.
Mais le mois dernier, l’entreprise a dû faire face à de sévères critiques de la part de son propre personnel.
De nombreuses employées de Planned Parenthood à différents niveaux à travers les États-Unis ont déclaré avoir été victimes de discrimination en matière de grossesse au sein de l’entreprise, qui prétend avoir pour mission d’offrir des soins de santé aux femmes, dont des soins prénataux.
Dans un rapport publié le mois dernier par le New York Times, plusieurs employées ont fait part de leur expérience en tant que mère enceinte alors qu’elles travaillaient chez Planned Parenthood.
Ta'Lisa Hairston, qui travaillait comme assistante médicale à une clinique de Planned Parenthood à New York, souffrait d’hypertension artérielle en étant devenue enceinte et avait donc besoin de poses plus fréquentes. Plusieurs notes de ses infirmières lui recommandant vivement le repos et des poses au travail ont été rejetées par ses superviseurs, a-t-elle déclaré au New York Times.
« J’ai dû retenir mes larmes en parlant aux femmes enceintes, en leur disant d’être prudentes pendant leur grossesse quand je ne pouvais en faire autant », a-t-elle dit au New York Times. « Ça me rendait jalouse. »
Hairston a démissionné de Planned Parenthood en juin, après de longs quarts de travail et des pauses peu fréquentes, qui ont entraîné de telles enflures et des complications si graves qu’elle dut subir une césarienne d’urgence à 34 semaines de grossesse.
Une femme en hémorragie appelle le 911 après que l'avortoir l'ait mise à la porte
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un appel au 911 obtenu par Operation Rescue fait état du traitement inhumain infligé à une femme par un avortoir de Cleveland une fois son avortement terminé. La femme de 25 ans était encore en hémorragie après un avortement lorsque le centre d’avortement Preterm l’a mise à la porte, la forçant ainsi à composer le 911 par elle-même dans la rue. Le Preterm a un historique de femmes blessées et même tuées.
« Je suis à l’extérieur de Preterm et je saigne abondamment », peut-on entendre la femme dire au répartiteur du 911. « Comme ils m’ont juste... ils m’ont juste laissée saigner comme ça. »
Le répartiteur du 911 demande quel est le numéro de la chambre et la femme doit de nouveau déclarer qu’elle est à l’extérieur de la clinique. Elle dit que « tout le monde était prêt à partir. Ils sont prêts à fermer. » Elle s’est fait avorter à deux heures de l’après-midi le 9 novembre 2018, et à 17 h 50 ce soir-là, l’équipe d’avortement voulait rentrer chez elle.
Lorsqu’elle parle au répartiteur, il est évident que sa respiration est laborieuse. Elle affirme que le sang coule à travers ses vêtements, mais le personnel de l’avortoir ne pouvait se soucier plus de son bien-être. Ils l’ont littéralement mise à la rue une fois qu’ils ont obtenu son argent malgré le fait qu’elle avait une hémorragie. Il s’agit d’une violation des normes de soins dus aux patients. Avant d’être congédié, le patient doit être dans un état stable.
Lire la suiteLe Manitoba rejette un projet de loi qui aurait empêché les manifestations pacifiques pro-vie devant les avortoirs
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : Indi Samarajiva/Wikimedia Commons
Manitoba, 10 décembre 2018 (LifeSiteNews) — L’Assemblée législative du Manitoba a rejeté jeudi un projet de loi qui aurait établi des « zones bulles » interdisant aux militants pro-vie de manifester ou de faire du conseil de trottoir à proximité de tout avortoir dans la province.
Introduite en novembre par le chef de l’opposition, Nahanni Fontaine, le soi-disant projet de loi Safe Access to Abortion Services Act aurait interdit toute expression « orale, écrite ou graphique » de « désapprobation concernant les questions relatives aux services d’avortement » à moins de 150 mètres d’un centre d’avortement, notamment toute tentative de dissuader les femmes d’entrer dans le bâtiment. Il aurait également interdit de filmer, de photographier, de dessiner ou même d’observer « répétitivement » quiconque entre dans l’immeuble.
« Je comprends la nécessité et le droit des individus de protester pour quelque chose qu’ils jugent important pour eux. Je comprends cela, je le soutiens », a affirmé Mme Fontaine. « Ce que je veux dire, c’est que les manifestations ne devraient pas avoir d’impact sur les droits des femmes et des filles du Manitoba. C’est un droit humain d’accéder à la santé reproductive. »
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