Un projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba
Embryon humain à 14 semaines de grossesse.
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons
Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.
Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.
Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.
Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.
En partie grâce au « vieil homme du trottoir » Amy a choisi la vie pour son enfant
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les conseillers de trottoirs sont les héros non reconnus au front du mouvement pro-vie. Du 22 au 23 juillet, les 40 Jours pour la Vie tienne leur Symposium d'été 2018 sur la sensibilisation dans les rues. C’est donc le temps parfait pour célébrer le travail courageux des conseillers, qui touchent la vie d’innombrables femmes en leur offrant de l’aide et de l’espoir dans une période de crise de leur vie. Grâce à eux, plusieurs femmes choisissent — et continuent de choisir — la vie pour leurs bébés.
Lire la suiteUne femme, Amy Blackwell, a récemment partagé son histoire sur les médias sociaux, faisant l’éloge de son héros personnel, « le vieil homme du trottoir ». Elle a raconté sur Facebook la journée où elle est allée à une clinique d’avortement pour une consultation et pendant laquelle elle a eu une rencontre qu’elle n’oubliera jamais :
Je l’ai rencontré aujourd’hui ! Qui ? Le vieil homme du trottoir. Il y a sept ans, je suis allée à la clinique pour femmes Hope Medical Group. Cet homme était sur le trottoir (ils appellent ça le ministère des trottoirs. Ils prient et essaient de parler aux femmes se dirigeant vers les cliniques d’avortement.)
Il s’est retourné et m’a regardé. J’ai vu sa bouche bouger et dans ses mains se trouvait un chapelet. Il me regardait avec un regard triste et je voyais dans ses yeux un grand désir de me parler. J’étais assise dans ma voiture, pleine de honte, pour ce qui m’a semblé être une heure, mais c’était en fait environ dix minutes. Il s’est finalement retourné et je me suis précipitée en dehors de la voiture. L’Esprit Saint travaillait, j’étais une boule de nerfs pendant ma consultation…
Des « pasteurs » vont « bénir » un centre d’avortement !
Pasteurs protestants pro-avortement. A droite de la photo, Susan K. Smith
Par Léo Kersausie (Medias-Presse.info)
Etats-Unis – Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ, l’une des multiples sectes protestantes, a déclaré que l’avortement était une «décision pieuse».
Comme LifeNews l’a signalé cette semaine, dans la soirée du 9 novembre prochain, la soi-disant Coalition religieuse “pro-choix” se prépare à «bénir» le centre d’avortement d’un planning familial de Planned Parenthood. Qui dirige “l’événement” ? Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ.
«J’ai été pasteur de l’Église adventiste unie du Christ à Columbus, dans l’Ohio pendant 22 ans, mais j’ai maintenant lancé Crazy Faith Ministries, un organisme à but non lucratif, dédié au travail sur les questions de justice sociale.”, déclare-t-elle.
Lire la suiteUn avortoir où sont récoltés des organes
Curtis Boyd
Par Kristi Burton Brown (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Curtis Boyd est un avorteur notoire aux États-Unis. Filmé et interrogé par les journalistes à plusieurs reprises, Boyd n’est pas gêné par ce qu'il fait aux bébés — dont beaucoup auraient pu survivre seuls en hors du ventre de leur mère.
Dans un entretien avec la chaîne de nouvelles texane KVUE, Boyd a admis: « Est-ce que je tue? Oui, je tue. Je le sais. »
L’établissement où Boyd avorte des enfants s’est associé à l’Université du Nouveau-Mexique et préleve des parties de corps de bébés à des fins de dissection et de « recherche ». Les journaux de techniciens participant aux recherches de l’UNM notent la demande de « cerveaux entiers fixes » auprès de l’établissement où Boyd opère. Ils parlent ensuite de certains des bébés qui ont été récoltés après un avortement, dont beaucoup ont peut-être été « terminés » personnellement par Boyd :
Triplets de 12,7 semaines. Trois yeux… 2 cœurs, poumon, cerveau.
Étiquetée par la clinique à 28 semaines.
26 +… tête intacte. La clinique pensait qu’il avait 30 semaines; Le chercheur n° 1 pensait 32.
Jumeaux de 20 semaines — cerveaux intacts
Cerveau, 2 yeux, un cœur [de bébé de 24 semaines]
24 semaines… tête pas intacte
30,5 semaines… intact — n'a pas été disséqué
Jumeaux = 1 semaine/pieds déformés
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Un séminariste anglais participe au sauvetage d'un bébé aux 40 Jours pour la Vie, puis le revoit
David Donaghue, diacre et séminariste.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Birmingham, Royaume-Uni, 11 septembre 2018 (LifeSiteNews) — Un séminariste catholique et anglais a aidé à sauver un bébé lors d'une veillée des 40 Jours pour la Vie et a ensuite pu le rencontrer.
Le diacre David Donaghue, dans sa dernière année d'études, rapporta à LifeSiteNews par courriel que les séminaristes de l'Oscott College participaient régulièrement au 40 Jours pour la Vie devant la clinique Marie Stopes à Birmingham.
«Nous offrons des brochures aux hommes et aux femmes qui entrent dans la clinique», a-t-il expliqué. «Nous respectons pleinement ceux qui refuse, mais beaucoup de femmes et d'hommes souhaitent parler.»
Au mois d'octobre de l’année dernière , lors des 40 Jours pour la Vie, Donaghue a approché un homme se tenant devant la clinique Marie Stopes et entama une conversation avec lui.
«Sa femme était dans la clinique planifiant un avortement», se rappelait le séminariste. «Il s’est avéré qu’ils étaient pauvres et qu’avec d’autres enfants à la maison, ils [estimaient qu’ils] n’avaient pas d’autre choix. J'ai pu l’encourager dans sa paternité et offrir de l'aide. C'est là que les autres entrent en ligne de compte.»
Lire la suiteVictoire : Le ministre britannique de l'Intérieur rejette les demandes de zones tampons autour des avortoirs
Par Society for the Protection of Unborn Children (SPUC) — traduit par Campagne Québec-Vie — Source de la photo (rognée) : Audrey Xavier Brulu/Flickr
Sajid Javid a déclaré qu'une loi nationale ne serait pas une réponse proportionnée.
Une grande victoire pour les mères et leur bébé, le ministre de l'Intérieur a rejeté l'idée d’instaurer une loi nationale mettant en place des zones tampons autour des cliniques d’avortement.
Dans une déclaration écrite annonçant [... hier] le résultat de l'examen du ministère de l'Intérieur sur les «manifestations» devant les cliniques d'avortement, Sajid Javid a estimé que ce ne serait pas une réponse proportionnée que de créer des zones tampons à l'échelle nationale.
Validation des vigiles pacifiques
Malgré tous les efforts des groupes de pression proavortement pour qualifier les vigiles pacifiques pro-vie de manifestations violentes où les femmes sont harcelées, la déclaration [du ministre de l'Intérieur] a affirmé que «les principales activités qui nous ont été rapportées de ces manifestations comprennent la prière, l’ostension de bannières et la distribution de tracts.»
Lire la suiteLe traitement indigne des corps d’enfants avortés
Par Calvin Freiburg — traduit par Campagne Québec-Vie
Columbus, Ohio, 28 août 2018 (LifeSiteNews) — Le groupe pro-vie Created Equal lance une nouvelle série de vidéos exposant la sinistre réalité de l'avortement d'un point de vue unique: des témoignages de conducteurs de camions chargés de ramasser les dépouilles des bébés avortés aux établissements d'avortement.
La première des trois vidéos à être publiées, vidéos qui «exposent les méfaits de l’industrie de l’avortement», présente le récit audio d’un ancien conducteur de Stericycle qui prenait des corps de fœtus d’une clinique d’avortement non spécifié «au moins deux fois par semaine» d’octobre 2016 à juin 2017. Stericycle est une entreprise d'élimination de déchets médicaux qui a contribué à l'élimination de corps de fœtus provenant de Planned Parenthood. Cette compagnie a déclaré en 2017 avoir cessé d'accepter de s’occuper de bébés avortés.
Lire la suiteElle se serait fait avorter si un message d'espoir ne l’avait arrêtée
Alina Dulgheriu et sa fille.
Par K.V. Turley — traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, 5 juillet, 2018 (LifeSiteNews) — Une journée d’hiver en 2009, une jeune femme roumaine marchait le long d’une rue de Londres en direction d’une clinique d’avortement.
Elle était enceinte de 8 semaines.
Les semaines précédant sa décision d’aller là avaient été traumatisantes.
Le 3 octobre, elle avait découvert qu’elle était enceinte. Elle avait téléphoné au père de son enfant, la réponse de celui qui était son « copain » à l’époque avait été immédiate : « “Tu dois avoir un avortement.” ». Mais elle n’en voulait pas. Instinctivement, elle savait que c’était mal et elle souhaitait poursuivre sa grossesse.
Elle insista davantage : « Est-ce que tu vas être un père pour cet enfant ? ». Elle était troublée. Il lui a alors dit quelque chose qu’elle ignorait : « Je ne peux pas avoir un autre enfant. ». Avec cette nouvelle information, la femme enceinte comprit qu’elle était toute seule, et de plus d’une façon. Lorsqu’il réalisa qu’elle allait continuer sa grossesse, il commença à se moquer de sa situation au téléphone.
Quelques semaines plus tard, le même « copain » réapparut dans la vie de cette femme, cette fois-là avec son cousin. Ensemble, ils essayèrent de la convaincre de se faire avorter.
Lire la suiteUne clinique d’avortement « bénite » par des dirigeants religieux
Par Reinformation.tv
La clinique Whole Woman’s Health de Fort Worth a été le théâtre d’une cérémonie religieuse où les avorteurs, les donateurs, le personnel de la clinique et les patientes ont chanté « Hallelujah » et prié avec des prêtresses et des révérendes.
Celles-ci voulaient mettre l’accent sur la présence de « gens de foi progressistes, même au Texas » et contrer le discours d’« extrême droite » sur le refus religieux de l’avortement. « Les femmes ont un droit donné par Dieu de prendre des décisions par rapport à leur propre vie », a indiqué une responsable de la « justice reproductive » au Religious Institute.
Les cliniques Marie Stopes offrent des primes à leur personnel en fonction du nombre d’avortements obtenus
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Le dernier rapport de la « Care Quality Commission », le régulateur des services de soins et de santé en Grande-Bretagne, est accablant. L’un des plus grands fournisseurs d’avortements sur le sol anglais (70.000 par an), l’ONGI « Marie Stopes International », aurait conditionné une partie des primes de son personnel au nombre d’avortements obtenus – un encouragement financier à tuer.
Et ils nous parlent encore de choix…
Marie Stopes : une « culture très axée sur les objectifs » et un « marché aux bestiaux »
Pas besoin d’être devin pour voir que Marie Stopes International est une grosse machine de guerre idéologique… Active dans près de 37 pays, elle se vante sur son site web d’avoir, rien qu’en 2016, « empêché » 4.8 millions d’avortements « dangereux » (quelle pirouette langagière) et d’avoir fourni à 25 millions de femmes une contraception (abortive ou pas). Mais à force d’être outrancièrement volontariste dans cette culture de mort, elle cache de moins en moins son objectif réel, et sur le sol anglais, ça devient « trop gros ».
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