Une femme en hémorragie appelle le 911 après que l'avortoir l'ait mise à la porte
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un appel au 911 obtenu par Operation Rescue fait état du traitement inhumain infligé à une femme par un avortoir de Cleveland une fois son avortement terminé. La femme de 25 ans était encore en hémorragie après un avortement lorsque le centre d’avortement Preterm l’a mise à la porte, la forçant ainsi à composer le 911 par elle-même dans la rue. Le Preterm a un historique de femmes blessées et même tuées.
« Je suis à l’extérieur de Preterm et je saigne abondamment », peut-on entendre la femme dire au répartiteur du 911. « Comme ils m’ont juste... ils m’ont juste laissée saigner comme ça. »
Le répartiteur du 911 demande quel est le numéro de la chambre et la femme doit de nouveau déclarer qu’elle est à l’extérieur de la clinique. Elle dit que « tout le monde était prêt à partir. Ils sont prêts à fermer. » Elle s’est fait avorter à deux heures de l’après-midi le 9 novembre 2018, et à 17 h 50 ce soir-là, l’équipe d’avortement voulait rentrer chez elle.
Lorsqu’elle parle au répartiteur, il est évident que sa respiration est laborieuse. Elle affirme que le sang coule à travers ses vêtements, mais le personnel de l’avortoir ne pouvait se soucier plus de son bien-être. Ils l’ont littéralement mise à la rue une fois qu’ils ont obtenu son argent malgré le fait qu’elle avait une hémorragie. Il s’agit d’une violation des normes de soins dus aux patients. Avant d’être congédié, le patient doit être dans un état stable.
Lire la suiteLe Manitoba rejette un projet de loi qui aurait empêché les manifestations pacifiques pro-vie devant les avortoirs
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : Indi Samarajiva/Wikimedia Commons
Manitoba, 10 décembre 2018 (LifeSiteNews) — L’Assemblée législative du Manitoba a rejeté jeudi un projet de loi qui aurait établi des « zones bulles » interdisant aux militants pro-vie de manifester ou de faire du conseil de trottoir à proximité de tout avortoir dans la province.
Introduite en novembre par le chef de l’opposition, Nahanni Fontaine, le soi-disant projet de loi Safe Access to Abortion Services Act aurait interdit toute expression « orale, écrite ou graphique » de « désapprobation concernant les questions relatives aux services d’avortement » à moins de 150 mètres d’un centre d’avortement, notamment toute tentative de dissuader les femmes d’entrer dans le bâtiment. Il aurait également interdit de filmer, de photographier, de dessiner ou même d’observer « répétitivement » quiconque entre dans l’immeuble.
« Je comprends la nécessité et le droit des individus de protester pour quelque chose qu’ils jugent important pour eux. Je comprends cela, je le soutiens », a affirmé Mme Fontaine. « Ce que je veux dire, c’est que les manifestations ne devraient pas avoir d’impact sur les droits des femmes et des filles du Manitoba. C’est un droit humain d’accéder à la santé reproductive. »
Lire la suiteUne ancienne travailleuse en avortements : Nous contournons «souvent» la loi sur les délais d'attente
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Llyod Morgan/Flickr
Le groupe pro-vie And Then There Were None a parrainé une web-émission dans laquelle une ancienne travailleuse de l'avortement expliquait comment son établissement d'avortement avait enfreint la loi qui exige des périodes d'attente avant de pratiquer l’avortement. En Caroline du Nord, les femmes doivent recevoir certaines informations, y compris des informations sur les risques et les alternatives à l'avortement, puis attendre 72 heures avant de se faire avorter. L'information peut être donnée par téléphone, mais il est requis que la personne qui appelle attende ce délai avant de se présenter pour un avortement. L'ancien centre d'avortement a enfreint cette loi. L'ancienne travailleuse en avortements a dit :
Souvent, ce qui se passait, c'était que les patientes arrivaient et disaient : « Oh, oui, j'ai parlé à quelqu'un. Je n'ai pas mes papiers et nous n'avons pas les leurs. » Mais mon directeur régional pouvait dire quelque chose du genre : « Eh bien, pouvez-vous me montrer sur votre téléphone cellulaire si vous avez reçu un appel téléphonique d'un numéro privé ? Ou montrez-moi dans votre téléphone cellulaire où vous avez un appel téléphonique d'un numéro non inscrit ou d'un numéro 1-800, et nous dirons simplement que c'était l'appel téléphonique, et que nous avons simplement oublié de le mettre dans le système. »
Alors, très souvent, nous n'avions pas le consentement éclairé des 72 heures requis, mais nous allions quand même de l'avant avec la patiente.
N'importe quelle femme peut trouver un numéro aléatoire de ce genre sur son téléphone pour le montrer au centre d'avortement. Cette imposture a permis à des femmes, qui n'avaient jamais entendu les informations, de se faire avorter immédiatement et d'échapper ainsi à la réglementation. La travailleuse a aussi raconté :
Lire la suiteUn projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba
Embryon humain à 14 semaines de grossesse.
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons
Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.
Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.
Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.
Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.
En partie grâce au « vieil homme du trottoir » Amy a choisi la vie pour son enfant
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les conseillers de trottoirs sont les héros non reconnus au front du mouvement pro-vie. Du 22 au 23 juillet, les 40 Jours pour la Vie tienne leur Symposium d'été 2018 sur la sensibilisation dans les rues. C’est donc le temps parfait pour célébrer le travail courageux des conseillers, qui touchent la vie d’innombrables femmes en leur offrant de l’aide et de l’espoir dans une période de crise de leur vie. Grâce à eux, plusieurs femmes choisissent — et continuent de choisir — la vie pour leurs bébés.
Lire la suiteUne femme, Amy Blackwell, a récemment partagé son histoire sur les médias sociaux, faisant l’éloge de son héros personnel, « le vieil homme du trottoir ». Elle a raconté sur Facebook la journée où elle est allée à une clinique d’avortement pour une consultation et pendant laquelle elle a eu une rencontre qu’elle n’oubliera jamais :
Je l’ai rencontré aujourd’hui ! Qui ? Le vieil homme du trottoir. Il y a sept ans, je suis allée à la clinique pour femmes Hope Medical Group. Cet homme était sur le trottoir (ils appellent ça le ministère des trottoirs. Ils prient et essaient de parler aux femmes se dirigeant vers les cliniques d’avortement.)
Il s’est retourné et m’a regardé. J’ai vu sa bouche bouger et dans ses mains se trouvait un chapelet. Il me regardait avec un regard triste et je voyais dans ses yeux un grand désir de me parler. J’étais assise dans ma voiture, pleine de honte, pour ce qui m’a semblé être une heure, mais c’était en fait environ dix minutes. Il s’est finalement retourné et je me suis précipitée en dehors de la voiture. L’Esprit Saint travaillait, j’étais une boule de nerfs pendant ma consultation…
Des « pasteurs » vont « bénir » un centre d’avortement !
Pasteurs protestants pro-avortement. A droite de la photo, Susan K. Smith
Par Léo Kersausie (Medias-Presse.info)
Etats-Unis – Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ, l’une des multiples sectes protestantes, a déclaré que l’avortement était une «décision pieuse».
Comme LifeNews l’a signalé cette semaine, dans la soirée du 9 novembre prochain, la soi-disant Coalition religieuse “pro-choix” se prépare à «bénir» le centre d’avortement d’un planning familial de Planned Parenthood. Qui dirige “l’événement” ? Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ.
«J’ai été pasteur de l’Église adventiste unie du Christ à Columbus, dans l’Ohio pendant 22 ans, mais j’ai maintenant lancé Crazy Faith Ministries, un organisme à but non lucratif, dédié au travail sur les questions de justice sociale.”, déclare-t-elle.
Lire la suiteUn avortoir où sont récoltés des organes
Curtis Boyd
Par Kristi Burton Brown (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Curtis Boyd est un avorteur notoire aux États-Unis. Filmé et interrogé par les journalistes à plusieurs reprises, Boyd n’est pas gêné par ce qu'il fait aux bébés — dont beaucoup auraient pu survivre seuls en hors du ventre de leur mère.
Dans un entretien avec la chaîne de nouvelles texane KVUE, Boyd a admis: « Est-ce que je tue? Oui, je tue. Je le sais. »
L’établissement où Boyd avorte des enfants s’est associé à l’Université du Nouveau-Mexique et préleve des parties de corps de bébés à des fins de dissection et de « recherche ». Les journaux de techniciens participant aux recherches de l’UNM notent la demande de « cerveaux entiers fixes » auprès de l’établissement où Boyd opère. Ils parlent ensuite de certains des bébés qui ont été récoltés après un avortement, dont beaucoup ont peut-être été « terminés » personnellement par Boyd :
Triplets de 12,7 semaines. Trois yeux… 2 cœurs, poumon, cerveau.
Étiquetée par la clinique à 28 semaines.
26 +… tête intacte. La clinique pensait qu’il avait 30 semaines; Le chercheur n° 1 pensait 32.
Jumeaux de 20 semaines — cerveaux intacts
Cerveau, 2 yeux, un cœur [de bébé de 24 semaines]
24 semaines… tête pas intacte
30,5 semaines… intact — n'a pas été disséqué
Jumeaux = 1 semaine/pieds déformés
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Un séminariste anglais participe au sauvetage d'un bébé aux 40 Jours pour la Vie, puis le revoit
David Donaghue, diacre et séminariste.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Birmingham, Royaume-Uni, 11 septembre 2018 (LifeSiteNews) — Un séminariste catholique et anglais a aidé à sauver un bébé lors d'une veillée des 40 Jours pour la Vie et a ensuite pu le rencontrer.
Le diacre David Donaghue, dans sa dernière année d'études, rapporta à LifeSiteNews par courriel que les séminaristes de l'Oscott College participaient régulièrement au 40 Jours pour la Vie devant la clinique Marie Stopes à Birmingham.
«Nous offrons des brochures aux hommes et aux femmes qui entrent dans la clinique», a-t-il expliqué. «Nous respectons pleinement ceux qui refuse, mais beaucoup de femmes et d'hommes souhaitent parler.»
Au mois d'octobre de l’année dernière , lors des 40 Jours pour la Vie, Donaghue a approché un homme se tenant devant la clinique Marie Stopes et entama une conversation avec lui.
«Sa femme était dans la clinique planifiant un avortement», se rappelait le séminariste. «Il s’est avéré qu’ils étaient pauvres et qu’avec d’autres enfants à la maison, ils [estimaient qu’ils] n’avaient pas d’autre choix. J'ai pu l’encourager dans sa paternité et offrir de l'aide. C'est là que les autres entrent en ligne de compte.»
Lire la suiteVictoire : Le ministre britannique de l'Intérieur rejette les demandes de zones tampons autour des avortoirs
Par Society for the Protection of Unborn Children (SPUC) — traduit par Campagne Québec-Vie — Source de la photo (rognée) : Audrey Xavier Brulu/Flickr
Sajid Javid a déclaré qu'une loi nationale ne serait pas une réponse proportionnée.
Une grande victoire pour les mères et leur bébé, le ministre de l'Intérieur a rejeté l'idée d’instaurer une loi nationale mettant en place des zones tampons autour des cliniques d’avortement.
Dans une déclaration écrite annonçant [... hier] le résultat de l'examen du ministère de l'Intérieur sur les «manifestations» devant les cliniques d'avortement, Sajid Javid a estimé que ce ne serait pas une réponse proportionnée que de créer des zones tampons à l'échelle nationale.
Validation des vigiles pacifiques
Malgré tous les efforts des groupes de pression proavortement pour qualifier les vigiles pacifiques pro-vie de manifestations violentes où les femmes sont harcelées, la déclaration [du ministre de l'Intérieur] a affirmé que «les principales activités qui nous ont été rapportées de ces manifestations comprennent la prière, l’ostension de bannières et la distribution de tracts.»
Lire la suiteLe traitement indigne des corps d’enfants avortés
Par Calvin Freiburg — traduit par Campagne Québec-Vie
Columbus, Ohio, 28 août 2018 (LifeSiteNews) — Le groupe pro-vie Created Equal lance une nouvelle série de vidéos exposant la sinistre réalité de l'avortement d'un point de vue unique: des témoignages de conducteurs de camions chargés de ramasser les dépouilles des bébés avortés aux établissements d'avortement.
La première des trois vidéos à être publiées, vidéos qui «exposent les méfaits de l’industrie de l’avortement», présente le récit audio d’un ancien conducteur de Stericycle qui prenait des corps de fœtus d’une clinique d’avortement non spécifié «au moins deux fois par semaine» d’octobre 2016 à juin 2017. Stericycle est une entreprise d'élimination de déchets médicaux qui a contribué à l'élimination de corps de fœtus provenant de Planned Parenthood. Cette compagnie a déclaré en 2017 avoir cessé d'accepter de s’occuper de bébés avortés.
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