Près de 100 travailleurs en avortement demandent de l’aide pour quitter leur emploi après avoir vu le film « Unplanned »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : geralt/Pixabay
Ainsi, près de cent travailleurs du domaine de l’avortement cherchent à sortir de cette industrie sulfureuse, et ce, après avoir vu le film Unplanned qui raconte la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’un établissement de Planned Parenthood, de pro-avortement qu’elle était à pro-vie. Extrait de LiveActionNews :
Les cinéastes de « Unplanned », ce tout nouveau film sur la conversion pro-vie de l’ancienne directrice d’un centre de Planned Parenthood, Abby Johnson, ont annoncé que depuis la sortie du film, une centaine de travailleurs du secteur de l’avortement ont cherché à quitter l’industrie de l’avortement.
À la fin du film, il y a les coordonnées de And Then There Were None, un organisme pro-vie fondé par Mme Johnson pour soutenir et encourager les travailleurs de l’avortement à quitter l’industrie et à trouver un autre emploi. La semaine dernière, le cinéaste Chuck Konzelman a témoigné devant un Comité sénatorial sur la censure à laquelle le film a été soumis et, dans son témoignage, il a révélé l’impact que le film a eu sur les travailleurs de l’avortement. « Un pour cent des travailleurs de l’avortement aux États-Unis après s’être vu dépeint sur l’écran... a décidé de changer leur vie... et ce qu’ils font dans la vie », a-t-il dit au comité, selon Pure Flix Insiders. Le total à à ce moment-là, a affirmé M. Konzelman, était de 94 travailleurs qui avaient communiqué avec l’organisme.
Le gouverneur d’Ohio signe un projet de loi protégeant les enfants à naître dont le cœur bat
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere
Cette loi qui est déjà menacé de poursuite par un puissant organisme pro-avortement, l’ACLU, pourrait être la base de l’annulation du jugement de la Cour suprême des États-Unis Roe c. Wade, rendu en 1973. Extrait de LifeSiteNews :
Le projet de loi d'Ohio visant à interdire l'avortement dès que battement cardiaque du fœtus est détecté est finalement devenu loi jeudi, après une interminable bataille l'an dernier, un vote manquant de peu de surmonter le veto du gouverneur précédent de l'État.
Le projet de loi 23 du Sénat interdirait l'avortement d'un bébé dès que son battement cardiaque peut être détecté (aux alentours de 6 à 8 semaines), sauf en cas de menace physique pour la mère. Les médecins contrevenants risqueraient jusqu'à un an de prison et la suspension ou la révocation de leur permis d'exercice de la médecine (avec en plus des amendes du conseil médical servant à financer les services d'accueil et d'adoption). Les femmes pourraient également poursuivre les avorteurs pour mort injustifiée.
Le projet de loi a été adopté par le Sénat de l'État en mars et par la Chambre des représentants mardi, lors d'un vote par 56 contre 40, rapporte Cleveland.com. Le gouverneur républicain d'Ohio, Mike DeWine, l'a signé plus tard dans l'après-midi, rapporte WOSU.
« La fonction essentielle du gouvernement est de protéger les plus vulnérables d'entre nous, ceux qui n'ont pas de voix », a déclaré DeWine. « Le rôle du gouvernement devrait être de protéger la vie du début à la fin »
[...]
« Y aura-t-il un procès ? Oui, nous comptons là-dessus », a déclaré Ron Hood, représentant républicain de l'État. « Nous sommes excités à ce sujet. Parce que ce sera la loi qui renversera l'arrêt Roe c. Wade. Ou bien, il y a plusieurs choses qu'ils [la Cour suprême] pourraient faire. Ils pourraient laisser la question aux États. »
La section d'Ohio de la très gauchiste American Civil Liberties Union (ACLU) a déjà déclaré qu'elle intenterait des poursuites pour empêcher l'entrée en vigueur de la loi, représentant deux affiliés de Planned Parenthood en Ohio et des centres d'avortement de Cleveland et Dayton.
Richard Martineau et la croix des 40 Jours pour la Vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Weyenbergh Jacky/PublicDomainPictures
Nous vous avions déjà informés chers lecteurs, sur notre page Facebook, celle du site 40 Jours pour la Vie à Montréal et sur ce site, des récents déboires de l’un des bénévoles priants remplaçant Brian Jenkins l’organisateur des 40 Jours de Campagne Québec-Vie. Il tenait en main la croix des 40 Jours et portait deux pancartes à thème pro-vie. Les 40 Jours pour la Vie est une forme d'action auprès des femmes pensant avorter, pour qu'elles décident de renoncer à tuer leur enfant à naître, et ce grâce à la prière et à l'exposition de messages pro-vie à leurs regards. Les 40 Jours ont généralement lieu près d'avortoirs.
En bref, le 27 mars, un peu avant 14 h, un groupe d’une quinzaine de jeunes est venu s’installer non loin de lui sur le même coin de trottoir, devant l’édicule de la station de métro Berri-UQAM, procédant à une espèce de cérémonie de magie grotesque. Peu après, cinq ou six d’entre eux se sont jetés sur la croix que le bénévole tenait en main, ont tiré dessus comme des forcenés, essayant aussi de décramponner en tirant sur ses mains le pro-vie qui se tenait de toutes ses forces après la croix, ont ôté l’image de la croix, en ont arraché la partie transversale, celui l’ayant se mit à taper (faiblement) sur le bras gauche du pro-vie avec. Pour finir, ils ont arraché ce qui restait de la croix des mains du bénévole et se sont enfuis, emportant leur prise.
Hier matin, à partir des 13 minutes 7 secondes à la fin d'une émission radio du programme Politiquement incorrect de Richard Martineau, dans une émission portant le titre Dorion, Trump, le même combat, M. Martineau raconta l’incident qui s’était déroulé juste sous les fenêtres des bureaux de Qub Radio.
Lire la suiteL’Égypte veut limiter à deux le nombre d’enfants par famille
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ricardo Liberato/Wikimédia Commons
Si le gouvernement égyptien se lance dans la limitation de sa population, il risque de se retrouver dans la même situation que les pays occidentaux, sur la voie de disparition…
Le gouvernement prévoit entre autres une organisation de « planification familiale » locale, ainsi que des cliniques fixes et mobiles (avortement, contraception?)... Extrait de Gènéthique :
Comptant 98,4 millions d’habitants, l’Egypte est le troisième pays le plus peuplé d’Afrique derrière le Nigeria et l’Éthiopie et le pays le plus peuplé du monde arabe, du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen. Avec une moyenne nationale de 3,5 enfants par femme, le taux de natalité y est de 26,8 ‰ et l’accroissement naturel de 2,3 %, c’est-à-dire que chaque année le pays augmente de 2 millions d’habitants.
[…]
Jusqu’à présent il existait une politique d’aide financière aux familles les plus démunies… pour leurs trois premiers enfants uniquement. Mais le gouvernement veut drastiquement réduire cette natalité. Son objectif : descendre à 2,4 enfants par famille en 2030. Le gouvernement lance un important plan pilote, intitulé « Deux, ça suffit ! ». Fin des aides dès le deuxième enfant, volontaires issus d’ONG sélectionnées, pour faire du porte-à-porte et convaincre les familles, spots publicitaires « humoristiques »…
Unplanned : un film pro-vie, 6 millions $ le 1er jour, son compte Twitter suspendu
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Unplanned est un film pro-vie racontant l’histoire de la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’avortoir, qui maintenant depuis des années défend la vie des enfants à naître et concentre ses efforts à aider les employés et les cadres d’avortoir à comprendre l’enfant à naître, et à les aider à se retirer de l’industrie de l’avortement. Abby Johnson a fondé l’organisme And Then There Were None.
Le film est actuellement en salle aux États-Unis depuis quelques jours, obtenant dès le premier un succès deux fois supérieur à celui escompté et une recette de 6 millions de dollars.
Ce film avait reçu la cote R, signifiant que c’est un film que les mineurs ne peuvent regarder qu’accompagnés d’un adulte, ce qui est assez injuste si l’on considère que bien des films mériteraient cette cote alors qu’ils ne l’ont pas (il faudrait en fait les jeter).
Le compte Twitter pour la promotion du film a été suspendu et remis à zéro suite à son succès, d’où l’injustice flagrante si l’on compare ce film à bien d’autres qui devraient pour le moins voir leur compte suspendu.
Cependant, comme Unplanned est un film produit à notre époque et il se ressent de ses défauts, la décence laisse à désirer. Je m’explique, il n’y a aucune scène comportant de la sexualité, ni personnes nues. Ce que je reproche au film, d’après ce qu’en laisse voir la bande-annonce est de mettre en scène les actrices avec quelques fois un habillement couvrant mal, ou d’une manière revenant au même.
Aucune sortie officielle du film n’a été annoncée au Québec pour l’instant.
L’Ohio ne financera plus Planned Parenthood, l’industrie de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Enfin, après trois ans, l’État d’Ohio peut cesser de financer Planned Parenthood, cet avorteur colossal, et l’industrie de l’avortement en général, un jugement d’une Cour d’appel ayant annulé une injonction imposée par un tribunal inférieur, qui obligeait l'État à verser 1,3 millions de dollars aux avortoirs. Extrait de LiveActionNews :
Plus tôt ce mois-ci, la Cour d’appel du sixième circuit (Sixth Circuit Court of Appeals) a annulé une décision d’un tribunal inférieur et a confirmé une loi de 2016 d’Ohio, envoyant environ 1,3 million de dollars en argent public alors versé aux établissements en avortement (comme Planned Parenthood) aux Centres de santé qualifiés par le fédéral (Federally Qualified Health Centers, FQHCs). Comme Live Action News le rapportait déjà, « ... Planned Parenthood... a réussi à obtenir une injonction bloquant la loi, le juge du US District Michael Barrett ayant décidé que le fait de priver le géant de l’avortement de ces fonds publics causerait un “préjudice irréparable” ». Le juge Jeffrey Sutton a, lui, écrit : « Les organisations privées n’ont pas de droit constitutionnel d’obtenir du financement gouvernemental pour soutenir leurs activités. L’État... n’a aucune obligation de payer pour l’avortement d’une femme. Cas après cas, il a été établi qu’un gouvernement pouvait refuser de subventionner des services en matière d’avortement. »
Aujourd’hui, l’Ohio a poursuivi à son plan initial et a supprimé le financement du Planned Parenthood et d’autres organismes en avortement dans l’État.
La Presse : « Des militants antiavortement [pro-vie] veulent manifester près des cliniques [avortoirs] »
Brian Jenkins, organisateur des 40 Jours pour la Vie à Montréal.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : CampagneQuebecVie/Flickr
Dernièrement, Campagne Québec-Vie a déposé une plainte devant la Cour supérieure du Québec, afin qu’elle annule la loi québécoise de 2016 qui interdit les manifestations pro-vie dans un périmètre de 50 mètres autour des avortoirs. Le journal La Presse a donc écrit un article pour rapporter à sa manière les faits.
Soulignons qu’il nous désigne d’entrée de jeu comme « antiavortement », nous affublant du nom inventé par nos opposants au lieu de mettre celui que nous nous donnons, à savoir « pro-vie ». On peut donc voir le parti pris de l’article.
Ensuite, ce n’est pas nouveau que nous voulons être présents près des avortoirs, ce qui est nouveau c’est que nous contestions la loi votée en 2016 à notre encontre, interdisant à tout pro-vie (le montrant) d’approcher de moins de 50 mètres des lieux où se perpètrent les avortements. L’article explique que ladite zone a été instaurée pour protéger le libre accès des femmes :
Lire la suiteLa loi avait été adoptée en 2016 pour protéger le libre accès des femmes, mais les militants disent qu’elle brime leur liberté d’expression.
2 prêtres, 7 pro-vie prennent le risque d’être arrêtés en entrant dans deux avortoirs ce matin
Lauren Handy, l'une des pro-vie participant au Red Rose Rescue, une tentative pacifiquement de faire découvrir aux femmes, songeant à avorter, la vie qu'elles portent.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Suivant l’exemple de Mary Wagner, des catholiques menés par des prêtres entrent dans deux avortoirs de Washington, pour porter pacifiquement témoignage auprès des femmes pensant à avorter leur enfant, afin qu'elles considèrent l’humanité de leur bébé et la grâce de Dieu ; la conversion des avorteurs fait aussi partie des buts de cette opération. Extrait de LifeSiteNews :
Ce matin, des prêtres catholiques menaient des militants pro-vie, entrant dans deux centres d’avortement de la capitale nationale, où ils risquent l’arrestation en offrant pacifiquement des roses rouges et des conseils aux femmes qui sont résolues à avorter et refusent de partir quand on le leur demande.
Appelée « Red Rose Rescue » et inspirée par la militante canadienne Mary Wagner, cette méthode d’activisme est en quelque sorte un renouveau du mouvement « Rescue » des débuts [...]
Le père Stephen Imbarrato de LifeMinistriesUS et quatre autres sont entrés à la Washington Surgi-Clinic, un centre d’avortement tardif situé dans un quartier chic de Washington. Le Dr Cesare Santangelo, avorteur à ce cabinet, a été attrapé en 2013 étant d’accord pour refuser les soins médicaux à un enfant viable qui survit à un avortement. Le Père Imbarrato a mené un « sauvetage » dans ce centre d’avortement le 20 décembre ; un tribunal fédéral a ensuite abandonné les accusations d’intrusion portées contre lui et deux autres personnes.
Un autre groupe de pro-vie s’est chargé d’un autre avortoir :
Lire la suiteLe Père Fidelis Moscinski des Frères franciscains du Renouveau, accompagné de quatre pro-vie, conduit l’autre sauvetage de DC ce matin […]
Le conseil municipal de Richmond interdit les vigiles pro-vie
Une conseillère offrant des dépliants aux femmes qui entrent dans la clinique de Richmond. Elles sont libres de l’accepter ou de l’ignorer.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Une fois encore, la partialité des pro-avortement se pavane au grand jour. En Grande-Bretagne, le conseil municipal de Richmond a décidé d’imposer une zone bulle autour d’un avortoir. Et pour se justifier, le conseil municipal n’a pu trouver à redire à la conduite des pro-vie qui se tenait devant le portail de l’avortoir sur Rosslyn Road pour prier, conseiller et donner des dépliants. Pourtant, si ce n’est pour du harcèlement ou de l’intimidation, comme ils en avaient été accusés, pourquoi le Conseil de Richmond a-t-il interdit aux pro-vie d’approcher de la clinique ? Ce serait parce que cela « soumettrait à une trop grande tension le personnel et les clientes. » Extrait de la Society for the Protection of Unborn Children :
Lire la suite« Si les gens de GCN (Good Counsel Network) ne peuvent pas rester près des portes, cela signifie que vous mettez en danger des femmes vulnérables, des mères, des êtres humains. »
Dans le dernier exemple d’intolérance officielle envers les pro-vie, le conseil municipal de Richmond a voté pour imposer une ordonnance de protection de l’espace public (Public Space Protection Order — PSPO) autour du centre d’avortement BPAS sur Rosslyn Road, dans Twickenham.
Hier, le Conseil a ratifié à l’unanimité une décision antérieure de mettre en œuvre la PSPO et donc d’interdire la vigile de prière pacifique pro-vie principalement menée par le Good Counsel Network.
Des parents poursuivent Planned Parenthood pour l’avortement raté de leur fils, qui vient d’avoir deux ans
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
22 février 2019 (LifeSiteNews) — Imaginez le scénario suivant. Vous êtes un garçon heureux, grandissant dans une maison de classe moyenne avec vos deux frères et sœurs. Vous aimez jouer dehors avec eux, l’école va bien, et vous pensez que le monde de vos parents vous appartient. Votre père est votre héros, et vous aimez votre mère plus que tout au monde.
Mais un jour, vous cherchez sur Google votre nom de famille pour un devoir scolaire. Votre enseignante a assigné à la classe un projet dans le cadre duquel chaque élève fait des recherches sur son arbre généalogique. Et c’est là que vous découvrez une série d’articles qui semblent parler de votre famille. Il semble qu’un homme et une femme portant les mêmes noms que votre père et votre mère aient poursuivi une clinique d’avortement après avoir donné naissance à un bébé qu’ils avaient essayé, sans succès, d’avorter.
Les articles mentionnent qu’il y avait déjà deux enfants dans la famille et que c’était le troisième bébé dont ils avaient essayé de se débarrasser. Avec horreur, vous essayez d’empêcher une prise de conscience inéluctable : Vous êtes le troisième et le plus jeune enfant. Si les parents dans les articles sont vos parents, cela signifie qu’ils ont voyagé plus de 700 milles de votre maison, de l’Idaho au Nouveau-Mexique, pour que votre mère puisse se faire avorter. Qu’est-ce qu’un avortement ? Vous tapez dans Google le mot et des images horrifiantes de bébés déchirés et ensanglantés apparaissent sur l’écran. Les images se brouillent alors que vous fixez l’écran et que vos yeux commencent à verser des larmes.
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