Voici comment un avortement a tué 10 bébés à naître
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Krakenimages/Adobe Stock
(Sarah Terzo - Substack) L’auteur Dawn Kellum a écrit un court récit sur son avortement intitulé My Abortion and What NOBODY Told Me (Mon avortement et ce que personne ne m’a dit). Le livre est gratuit sur Kindle, et vous pouvez le lire via l’application Kindle, sur n’importe quel téléphone ou appareil.
Avertissement d’une femme en deuil
Mme Kellum écrit à d’autres femmes enceintes désireuses d’avorter pour les mettre en garde contre ce qui pourrait se produire après leur avortement. Voici quelques-unes de ses mises en garde :
Vous aurez besoin de conseils après un avortement parce qu’il vous affectera de toutes les manières imaginables. Vous regretterez votre décision pour le reste de votre vie.
Cet enfant que vous avez avorté vous manquera toute votre vie.
Il vous sera très difficile de vous pardonner.
L’avortement est douloureux pendant et après... Vous sentez que l’on vous arrache littéralement les entrailles.
Mes saignements ont été horribles et ont duré plusieurs jours.*
Kellum a vécu tout cela.
Tragiquement, l’avortement de Kellum n’a pas seulement tué un bébé, il a entraîné la mort de neuf autres — dix bébés à naître au total.
En effet, en raison de la négligence de l’établissement pratiquant l’avortement, Kellum a développé une condition appelée incompatibilité RH.
Lire la suitePas de normes plus élevées pour les avortoirs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : olinchuk/Adobe Stock
Le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, a modifié un article du projet de loi 15 sur la réforme de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. L’article en question aurait obligé les cliniques offrant l’avortement à suivre un processus d’agrément afin de devenir des centres médicaux spécialisés, ce qui aurait signifié adopter des normes beaucoup plus élevées que celles qui ont cours dans les avortoirs, et des coûts tout aussi élevés.
L’article en question, incriminé par les avorteurs, est déjà dans la loi actuelle sur la santé et porte sur les centres de santé des femmes, mais n’est pas appliqué aux avortoirs en vertu d’une « entente tacite » entre le gouvernement québécois et ces derniers. Apparemment, renouveler la loi avec la présence de l’article 1166 eût nécessité de nouvelles démarches. C’est pourquoi Christian Dubé, qui n’a jamais eu l’intention de restreindre l’accès à l’avortement, s’est empressé de supprimer l’article à la suggestion des plaignants.
Jusqu’à maintenant il y avait un règlement demandant que les avortoirs aient des normes plus élevées, mais non appliqué, bientôt il n’y aura aucune exigence de la sorte dans la loi.
Le Dr Marc-André Amyot, président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, a milité auprès du ministère de la Santé pour que les avortoirs ne soient pas obligés d’adopter des normes plus élevées. Selon ce dernier, il n’y aurait aucune raison de forcer ces établissements à suivre un tel processus. Selon un article du journal Le Devoir du 30 octobre :
Dans sa lettre, le Dr Amyot souligne que « les IVG pratiquées en milieu extra-hospitalier sont réalisées selon une pratique non médicalisée qui ne requiert pas d’être faite en bloc opératoire avec les normes qui s’y rattachent ». Il précise que, « depuis des décennies, le réseau n’a jamais noté une problématique de plaintes, d’infections ou de complications à l’égard de ces centres [de santé des femmes] ».
Absolument aucune infection ou complication ? Cela m’étonnerait. Ce serait un point à vérifier.
Lire la suiteOù vont les bébés avortés après avoir été tués ? La réponse pourrait vous choquer
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
2 novembre 2023 (LifeSiteNews) — Le 25 mars 2022, un chauffeur de camion — qui travaille pour la société de déchets biomédicaux engagée pour éliminer les corps des enfants avortés à la Washington Surgi-Clinic — a regardé ailleurs pour donner à Lauren Handy, conseillère pro-vie sur le trottoir, l’occasion de prendre deux boîtes. À l’intérieur des récipients de déchets médicaux se trouvaient les restes de 115 enfants. A.J. Hurley, un militant pro-vie californien, est venu en voiture pour aider Lauren Handy et ses compagnons, membres du groupe Progressive Anti-Abortion Uprising (PAAU), et pour photographier les corps. Ce fut une expérience surréaliste, a déclaré Hurley. Les femmes « étaient bouleversées ». En photographiant les bébés, les militants ont souvent éclaté en sanglots, mais photographier les enfants permettait de prouver leur existence.
« Quand on regarde ces corps, on a l’impression qu’ils sont froids, stériles, sombres et qu’ils sont abandonnés », m’a dit M. Hurley. « Mon esprit ne pouvait pas séparer la perversité de ce dont j’étais témoin, des porteurs de l’image de Dieu à qui cela arrivait. C’était le mal absolu. Quelque chose de si pur était traité d’une manière si méchante — je me souviens d’avoir quitté la pièce, bouleversé, en pensant : “Je ne serai plus jamais le même. Tout ce qui est en moi est stimulé pour combattre ce mal. J’espère que ces images briseront le sortilège qui pèse sur notre pays” ».
Lire la suiteUne femme affirme que l’avortoir niait que son « fœtus » était un bébé, ne lui a pas montré l’échographie et l’a maintenue de force durant l’avortement
Nichole Bryson.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Nichole Bryson n’avait que 16 ans lorsqu’elle est tombée amoureuse d’un garçon qui ne l’aimait pas en retour. Pourtant, bien qu’il ne l’ait jamais poussée à le faire, elle est devenue intime avec lui. Bryson a déclaré à Live Action News : « J’avais vécu une vie protégée et j’étais innocente et naïve. Il était mon premier amour et je voulais garder son intérêt. Mais ensuite, je suis devenue enceinte et tout a changé ».
Lorsqu’un test effectué dans un centre local d’aide aux femmes enceintes a confirmé sa grossesse, elle a appelé son petit ami pour le lui annoncer.
« Il a insisté pour que je me fasse avorter », raconte Bryson. « J’étais tellement bouleversée que j’ai refusé et je lui ai raccroché au nez ».
Pourtant, Bryson s’inquiétait de ce que penserait son entourage lorsque sa grossesse deviendrait visible.
« Il deviendrait évident que j’avais eu des relations sexuelles sans être mariée. J’aurais été gênée et inquiète de décevoir ma famille. J’étais tentée d’avorter, mais je ne voulais pas le faire. La lutte intérieure qui se jouait dans ma tête était épuisante et déroutante. »
Elle a finalement décidé d’annoncer la nouvelle à ses proches et beaucoup lui ont offert leur aide et leur soutien.
« Mon père vivait au Texas à l’époque et il m’a dit que je pouvais venir vivre avec lui », raconte Bryson. « Je me suis donc retirée de l’école et j’ai dit au revoir à mes amis ».
Lire la suiteLa police présente ses excuses à une catholique britannique arrêtée pour avoir prié en silence devant un avortoir
Isabel Vaughan-Spruce.
Publié sur LifeSiteNews le 22 septembre 2023 — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alliance Defending Freedom
Birmingham, Angleterre (Alliance Defending Freedom) — Après une enquête de six mois, la police des West Midlands a confirmé qu’elle ne porterait pas plainte contre Isabel Vaughan-Spruce et a présenté ses excuses concernant le temps nécessaire pour parvenir à la décision de ne pas la poursuivre pour avoir prié en silence.
Cette bénévole a été arrêtée pour avoir prié dans une « zone tampon » entourant un établissement pratiquant des avortements sur Station Road, à Birmingham, le 6 mars. Cette zone de censure, introduite par les autorités locales par le biais d’un « ordre de protection des espaces publics », interdit la prière, ainsi que d’autres activités considérées comme une protestation contre l’avortement. Le texte intégral est disponible ici.
L’arrestation a attiré l’attention du monde entier grâce à une vidéo virale, dans laquelle la police accuse Mme Vaughan-Spruce d’avoir commis une infraction en priant silencieusement dans l’intime de son esprit : « Vous avez dit que vous étiez en train de prier, ce qui est l’infraction ».
« Nous ne sommes pas en 1984, mais en 2023. Je n’aurais jamais dû être arrêtée ou faire l’objet d’une enquête simplement pour les pensées que je tenais dans mon esprit. La prière silencieuse n’est jamais criminelle », a commenté Isabel Vaughan-Spruce après avoir reçu les excuses de la police des West Midlands.
Je suis satisfaite de la décision de la police de West Midland de mettre fin à son enquête et de ses excuses pour le temps que cela a pris, mais il est important de souligner les implications extrêmement néfastes de cette épreuve, non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les personnes concernées par les libertés fondamentales au Royaume-Uni. Ce qui m’est arrivé signale à d’autres personnes qu’elles peuvent elles aussi être arrêtées, interrogées, soumises à une enquête et éventuellement poursuivies si elles sont surprises en train d’exercer leur liberté de pensée fondamentale.
« Maintenant que les autorités ont conclu à deux reprises que la prière silencieuse n’est pas un délit — conclusion à laquelle le ministre de l’Intérieur est également parvenu la semaine dernière — je suis heureuse de pouvoir reprendre mon habitude de prier silencieusement pour les femmes enceintes en difficulté », a poursuivi Mme Vaughan-Spruce.
Lire la suiteLa Nouvelle-Zélande met en place des « zones sûres » interdisant l’activisme pro-vie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Omega/Adobe Stock
Dans le but de restreindre la liberté d’expression et de mettre un terme aux activités pro-vie, la Nouvelle-Zélande met en place des zones tampons « sûres » autour de certains établissements pratiquant l’avortement dans le pays. Les zones tampons ont jusqu’à présent été établies autour de six établissements, cinq autres ont été approuvées et entreront en vigueur à partir d’octobre et des plans futurs prévoient d’en ajouter d’autres.
En mars 2022, les législateurs ont adopté la Loi modifiant la loi sur la contraception, la stérilisation et l’avortement (zones sûres), qui a permis la création de ces zones. La loi interdit de bloquer l’entrée d’un établissement pratiquant l’avortement et de photographier ou filmer toute personne entrant dans l’établissement, mais elle interdit également d’approcher une femme souhaitant avorter pour lui proposer de l’aide et des alternatives, ainsi que de distribuer des tracts pro-vie et de participer à toute sorte de « manifestations » pro-vie.
La loi sur la zone tampon couvre une zone de 150 mètres à partir de l’entrée de l’établissement d’avortement, et toute personne en infraction peut être arrêtée et condamnée à une amende de 1 000 dollars.
Lire la suiteUn ancien sataniste devenu pro-vie catholique explique comment fermer les avortoirs en quatre étapes
Zachary King.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
9 août 2023 (LifeSiteNews) — Un ancien grand sorcier satanique et avorteur, maintenant devenu fervent catholique pro-vie, a présenté quatre étapes à suivre pour fermer les usines d’avortement. Ces étapes ont déjà permis de fermer les portes d’innombrables chambres de la mort pour enfants à naître, ce qui a permis de sauver des centaines et des milliers de vies.
Dans une entrevue accordée à John-Henry Westen de LifeSiteNews, l’ancien sataniste Zachary King a déclaré que depuis sa conversion miraculeuse à la foi catholique — déclenchée par une vision de Marie dans laquelle elle lui ordonnait de l’aider à vaincre l’avortement — il a fondé All Saints Ministry (Ministère de tous les saints) pour aider la cause pro-vie avec des moyens spirituels qui se sont révélés efficaces dans la lutte contre la culture de mort.
Insistant sur le fait que l’avortement est une pratique démoniaque et qu’il doit donc être combattu avec des armes spirituelles, King a présenté quatre étapes simples pour réussir à fermer une clinique d’avortement.
- Prière et jeûne,
- Une procession eucharistique avec le Saint Sacrement, une image de Notre-Dame de Guadalupe et la prière du rosaire,
- L’exécution d’un exorcisme catholique formel, et
- La célébration d’une messe.
« J’ai créé le ministère All Saints en 2010, et ce ministère m’a emmené dans le monde entier », a déclaré M. King. « Nous enseignons au monde comment mener le combat spirituel. Nous parlons aussi de défendre la vie et nous disons que [la lutte contre] l’avortement est un combat spirituel. »
Lire la suiteUn vétéran est inculpé pour avoir prié devant un avortoir
Adam Smith-Connor.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un vétéran de l’armée fait l’objet de poursuites pénales au Royaume-Uni. Son crime ? Avoir prié devant un établissement pratiquant l’avortement.
Adam Smith-Connor, père de famille post-avortement, est l’un des trois défenseurs de la cause pro-vie qui ont récemment été condamnés à une amende ou à des poursuites pénales pour avoir prié silencieusement à proximité d’un établissement pratiquant l’avortement, un « crime de pensée ». Une affaire similaire impliquant Isabel Vaughan-Spruce a suscité l’indignation internationale en décembre.
En janvier, M. Smith-Connor priait près d’un centre d’avortement à Bournemouth lorsque des agents de sécurité communautaire l’ont interrogé sur ses activités, selon l’article.
Une vidéo de leur interaction, partagée par Alliance Defending Freedom (ADF), montre un agent dire à Smith-Connor qu’il est autorisé à prier silencieusement dans les lieux publics.
« C’est l’Angleterre, c’est un lieu public et vous avez le droit de le faire », déclare l’agent dans la vidéo.
Plus tard, cependant, le conseil municipal local a tout de même infligé une amende à Smith-Connor, prétendument pour avoir violé une nouvelle ordonnance de protection des espaces publics de la ville (PSPO). L’ordonnance, qui a été adoptée en octobre, interdit la prière, le conseil et d’autres actions « d’approbation ou de désapprobation, en ce qui concerne les questions liées aux services d’avortement, par quelque moyen que ce soit », selon Christian Today.
Lire la suiteDes pro-avortement frappent des conseillers de trottoir pro-vie devant le Planned Parenthood de Washington
Michael Gribblin attaqué par un pro-avortement devant le Planned Parenthood de Washington D.C.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
24 juillet 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Des partisans de l’avortement ont attaqué deux militants pro-vie qui prodiguaient des conseils sur le trottoir devant le méga-centre d’avortement de Planned Parenthood à Washington, D.C., samedi. Malgré la vidéo des attaques, la police de D.C. ne portera pas d’accusations, ont déclaré les militants pro-vie.
Progressive Anti-Abortion Uprising (PAAU) est un groupe anti-avortement qui s’allie à des libéraux sur d’autres questions, notamment le soutien à Black Lives Matter et à ce qu’il appelle les « droits des trans », selon son site internet. Samedi, des membres du groupe ont également été attaqués dans un autre lieu où ils distribuaient gratuitement des fournitures pour aider les femmes enceintes et les mères.
Des militants de l’avortement ont « agressé » Terrisa Bukovinac et Michael Gribbin, tous deux membres du PAAU, « devant le Planned Parenthood de Washington » samedi matin, selon un communiqué de presse du groupe.
Mme Bukovinac a déclaré que « l’incident a commencé lorsqu’une femme s’est approchée d’elle et lui a jeté du café au visage et dans les cheveux. Lorsque Gribbin a voulu saisir la tasse de café, son partenaire masculin l’a agressé », précise le communiqué de presse. La vidéo montre également Mme Bukovanic se faire gifler par la femme qui lui a jeté du café au visage.
La police de Washington a refusé de porter des accusations, selon les militants anti-avortement, malgré les preuves vidéo de l’agression (attention, grossièretés). LifeSiteNews a contacté le bureau des relations avec les médias de la police de D.C. lundi, mais a été dirigé vers une boîte vocale.
Lire la suiteLes pro-vie de Baltimore sauvagement agressés devant l’avortoir de Planned Parenthood s’expriment
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jim Hale
Quelques jours après l’agression brutale, Mark Crosby et Dick Schaefer, conseillers pro-vie sur le trottoir, sont retournés au Planned Parenthood de Baltimore où ils exercent fidèlement leur ministère en priant, en distribuant des chapelets et en exhortant les femmes enceintes à choisir la vie.
1er juin 2023, Baltimore (LifeSiteNews) — Les deux conseillers catholiques pro-vie âgés qui ont été violemment agressés devant la clinique d’avortement de Planned Parenthood à Baltimore ont parlé à Jim Hale de LifeSiteNews dans un reportage vidéo le 1er juin.
Dans la vidéo, les hommes décrivent l’attaque et appellent les hommes catholiques plus jeunes à soutenir les conseillers de trottoir qui risquent leur propre sécurité physique pour essayer de protéger les enfants à naître.
LifeSiteNews a précédemment rapporté que les activistes pro-vie Mark Crosby, 73 ans, et Dick Schaefer, 80 ans, ont été attaqués alors qu’ils exerçaient leur ministère pro-vie sur le trottoir devant le centre d’avortement Planned Parenthood sur North Howard Street à Baltimore.
Schaefer se serait rétabli chez lui, mais Crosby s’est rendu au centre de traumatologie de l’Université du Maryland pour y être soigné de graves blessures au crâne et à l’orbite d’un œil, ainsi qu’aux genoux et aux doigts.
Son œil droit est devenu aveugle et il a subi une commotion cérébrale.
Dans le rapport vidéo du 1er juin, Hale note que cinq jours seulement après avoir été sauvagement battus, Crosby et Schaefer étaient déjà de retour devant le Planned Parenthood de Baltimore où ils effectuent le travail souvent ingrat et parfois dangereux de prier devant la clinique d’avortement, de distribuer des chapelets et d’exhorter les mères enceintes à choisir la vie.
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