L'avorteur qui avait lancé une tirade satanique à un pro-vie est mort
Robert J. Santella, l'avorteur, menaçant un pro-vie.
Par Cheryl Sullenger (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 11 février 2019 (Operation Rescue) — Operation Rescue a appris que Robert J. Santella est décédé l'an dernier de façon inattendue à l'âge de 74 ans. Santella était un avorteur longtemps employé par le centre d'avortement du Family Planning Associates (maintenant FPA Women's Health) dans le comté de San Diego. Il a également tenu un cabinet privé où les avortements étaient parfois pratiqués près du campus de la San Diego State University (l'Université d'État de San Diego).
Santella était surtout connu pour un incident filmé en vidéo en juin 2016, qui le montrait se lançant dans une diatribe démoniaque contre un activiste pro-vie devant les bureaux de la clinique d'avortement de la FPA où il travaillait. Santella a été vu en blouse de chirurgien soufflant et grognant d'une voix démoniaque alors qu'il tenait des ciseaux devant la gorge d'un activiste pro-vie tout en affirmant qu'il aimait tuer des bébés.
« Je n'écoute jamais le Christ », grognait Santella. « J'ai un cœur sombre. Je l'ai, je l'ai. Tout à fait. » [Il dit ces choses en réponse au pro-vie qui lui parle du Christ.]
À la suite de la vidéo, qui est devenue virale et a attiré l'attention des médias, Santella a été rejeté du Sharp Healthcare, un groupe d'hôpitaux où Santella avait des privilèges, et renvoyé de la chaîne FPA d'avortements. La clinique où l'incident s'est produit a fermé ses portes en novembre 2017, mais a refait surface plus tard dans la localité d'El Cajon, dans l'est du comté.
Lire la suiteLe comportement d’un avorteur face à un pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran de la vidéo— Mise à jour, 12 février 2019
Remarquez que cet aimable avorteur acquiesce quand on lui dit qu'il tue des bébés (à naître) et menace le pro-vie filmant avec une paire de ciseaux. Cette scène se déroule en 2016 devant les bureaux d'un avortoir où l'avorteur, Robert J. Santella travaillait à l'époque.
Très significatif non ? En tout cas, si ce n’est de l’humour noir de mauvais goût de la part de l’avorteur, on peut bien se demander ce qu’il a. J’aurais crainte s’il fallait passer par les mains de ce médecin. En fait, le comportement de l’avorteur à l’égard du pro-vie est très condamnable et il est étrange que les gardiens de sécurité ne soient pas venus lui dire leur façon de penser sur ses manières pour le moins agressives, l'un d'eux rigole même.
J'ai trouvé la vidéo sur le compte Twitter de Paul Joseph Watson, on peut aussi la voir dans un article plus complet au sujet de Robert J. Santella ; celui-ci est mort l'an dernier.
Le premier avorteur «légal» d’Ohio privé de son permis médical
Harley Blank, premier avorteur « légal » d'Ohio.
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Columbus, Ohio, 29 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Le premier avorteur légal d’Ohio s’est fait enjoindre de renoncer à son permis de pratique médicale et chirurgicale.
La carrière de Harley Blank, qui a réalisé des avortements pendant plus de quarante-cinq ans, s’est terminée avec l’annulation permanente de son permis médical plus tôt ce mois-ci. Cette révocation est due à des prescriptions de médicaments incorrectement faites ; il ne gardait pas de dossiers de ses patients, selon les documents officiels.
Blank, qui a 79 ans, est un obstétricien-gynécologue qui a réalisé les premiers avortements légaux en Ohio dès les premières semaines après les décisions de Roe c. Wade et Doe c. Bolton en janvier 1973.
Il s’est mis d’accord avec la révocation de sa licence médicale « au lieu de procédures disciplinaires officielles. »
Blank a signé un accord le 25 octobre pour rendre son permis volontairement sous accusations reliées à la prescription de substances réglementées à des hommes sans garder de dossiers médicaux, et ce, en tant qu’obstétricien et gynécologue pratiquant sous permis pendant plus de cinquante ans.
Lire la suiteUn avorteur laisse un instrument chirurgical dans une patiente de 31 ans qui en meurt
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le Presidential Women’s Center de West Palm Beach a été à l’origine du décès d’une femme de 31 ans dû aux complications d’un avortement. Cet établissement d’avortement avait déjà plusieurs incidents divers sur son dossier. Le dernier, découvert et révélé par Operation Rescue est de loin le plus choquant : une femme est morte du fait qu’un avorteur a omis de retirer un instrument chirurgical de son utérus.
Selon des documents du Medical Board de l’État de Floride, l’avorteur en question est désigné sous le nom de Frank Rodriguez et la femme uniquement comme étant « S.H. » Le Conseil médical a sanctionné Rodriguez pour avoir omis de retirer un instrument chirurgical du corps de la femme. Les documents disent :
Lire la suiteAu cours de l’intervention, l’Intimé a utilisé un dilatateur du col de l’utérus pour dilater le col de l’utérus. L’intimé a ensuite poussé le dilatateur dans... la cavité utérine [de la patiente]... L’intimé a omis de retirer le dilatateur du col de l’utérus utilisé pendant l’intervention...
Des cinémas lâchent le film Gosnell, bloquant la vente de billets malgré le succès massif du film
Affiche du film Gosnell
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
23 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Les cinémas du pays lâchent le film « Gosnell: The Trial of America's Biggest Serial Killer » (Gosnell : Le procès du plus grand tueur en série des États-Unis) et en et bloquent les ventes de billets malgré ou peut-être à cause du succès du film, selon le producteur et directeur marketing du film.
Basé sur un livre, au titre éponyme, écrit par les journalistes et productrices Ann McElhinney et Phelim McAleer, le film Gosnell décrit l'arrestation du [tristement] célèbre avorteur de Philadelphie, le Dr Kermit Gosnell, son procès et sa condamnation pour les meurtres au premier degré de trois bébés nés vivants et de l'homicide involontaire d'une patiente, Karnamaya Mongar.
La procureure Christine Wechsler et le détective James Wood ont été consultés dans le film, qui était également basé « très largement sur les transcriptions judiciaires », « des dizaines d'heures dentrevues avec Kermit Gosnell » lui-même, et le rapport du grand jury de 280 pages qui révélait que Gosnell avait tué des centaines de nouveau-nés qui avaient survécu à l'avortement en leur coupant la moelle épinière.
Le film Gosnell a réalisé un bénéfice de 1 235 800 $ lors de la première fin de semaine de sortie en salles, au cours de laquelle il fût le nouveau film ayant le plus grand succès et à la 12ème place au box-office. Il [... bénéficiait récemment] d'un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes, basé sur plus de 1200 évaluations d'utilisateurs. Cependant, John Sullivan affirme que les salles de cinéma ont largué le film d’une manière inouïe pour un film aussi performant.
Lire la suiteUn avortoir où sont récoltés des organes
Curtis Boyd
Par Kristi Burton Brown (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Curtis Boyd est un avorteur notoire aux États-Unis. Filmé et interrogé par les journalistes à plusieurs reprises, Boyd n’est pas gêné par ce qu'il fait aux bébés — dont beaucoup auraient pu survivre seuls en hors du ventre de leur mère.
Dans un entretien avec la chaîne de nouvelles texane KVUE, Boyd a admis: « Est-ce que je tue? Oui, je tue. Je le sais. »
L’établissement où Boyd avorte des enfants s’est associé à l’Université du Nouveau-Mexique et préleve des parties de corps de bébés à des fins de dissection et de « recherche ». Les journaux de techniciens participant aux recherches de l’UNM notent la demande de « cerveaux entiers fixes » auprès de l’établissement où Boyd opère. Ils parlent ensuite de certains des bébés qui ont été récoltés après un avortement, dont beaucoup ont peut-être été « terminés » personnellement par Boyd :
Triplets de 12,7 semaines. Trois yeux… 2 cœurs, poumon, cerveau.
Étiquetée par la clinique à 28 semaines.
26 +… tête intacte. La clinique pensait qu’il avait 30 semaines; Le chercheur n° 1 pensait 32.
Jumeaux de 20 semaines — cerveaux intacts
Cerveau, 2 yeux, un cœur [de bébé de 24 semaines]
24 semaines… tête pas intacte
30,5 semaines… intact — n'a pas été disséqué
Jumeaux = 1 semaine/pieds déformés
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Tueur à gages
Par Paul-André Deschesnes
Une grosse bombe a éclaté au Vatican le 10 octobre 2018 quand le Pape François a prononcé son homélie, lors de sa traditionnelle audience sur la place Saint-Pierre.
Voici de sages paroles qui ont suscité un tsunami de rage, de haine et de mépris de la part de nos groupements féministes athées dans le monde entier.
« Est-il juste d’éliminer une vie humaine pour résoudre un problème ? »
« Est-il juste d’avoir recours à un tueur à gages pour résoudre un problème ? »
« Ce n’est pas juste de se débarrasser d’un être humain, même très petit, pour résoudre un problème ».
« Il est écrit : tu ne tueras point ».
« Comment un acte qui supprime une vie innocente peut-il être thérapeutique, civil ou tout simplement humain ? »
« Le protocole médical dit : cet enfant va naître avec une anomalie, on s’en débarrasse ».
« Il faut refuser la suppression de la vie humaine dans le sein maternel ».
« Il n’y aucun droit à l’avortement ».
« Interrompre la grossesse, cela signifie simplement prendre une vie ».
Lire la suiteHorrible : Une avorteuse admet avoir tué un enfant à naître de 37 semaines
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Susan Robinson est une avorteuse qui pratique des avortements tardifs — l'une des quatre qu'exaltait le film «After Tiller». Robinson a travaillé avec l'exécuteur d'avortements tardifs George Tiller lui-même, et continue maintenant de suivre ses traces, prenant la vie de bébés pratiquement à terme, grâce au fait qu'il n'y a pratiquement aucune restriction fédérale sur l'avortement aux États-Unis, ou au Nouveau Mexique, où elle opère. « Il n'y a donc aucune loi pour m'empêcher de pratiquer tout avortement que je juge approprié », a-t-elle déclaré en plaisantant dans une entrevue accordée à l'Irish Independent l'année dernière.
Mme Robinson expliquait qu'elle utilise les ultrasons pour tenter de dater les enfants à naître dont elle va prendre la vie, mais que ce n'est pas toujours exact. « Estimons que la femme est à 31 semaines [de grossesse], eh bien, étant donné l'inexactitude due à l'échographie, elle pourrait parfaitement être à 34 semaines. Comment me sentirais-je si cela arrivait ? » Elle a ajouté qu'elle avait déjà avorté un bébé qu'elle croyait âgé de 32 semaines. Mais quand elle a vu le corps du bébé avorté, elle s'est rendu compte que le bébé était en fait à 37 semaines — âge auquel il est considéré à terme. « C'était un moment », dit-elle.
Lire la suiteLes centres d’avortement mentent depuis longtemps aux femmes au sujet du développement du fœtus
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Depuis longtemps, les centres d’avortement mentent honteusement aux femmes qui songent à avorter au sujet du développement de leur bébé à naître.
Une femme ayant déjà avorté, que nous nommerons Sue, se souvient :
« Le médecin m’a dit : ‘Ne vous inquiétez pas, ça n’a aucune forme avant 12 semaines.’ Puis j’ai vu le programme Human Body (sur la chaîne ABC). Je n’aurais pas avorté si j’avais su la vérité à propos de la formation du bébé. » (1)
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