Des cinémas lâchent le film Gosnell, bloquant la vente de billets malgré le succès massif du film
Affiche du film Gosnell
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
23 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Les cinémas du pays lâchent le film « Gosnell: The Trial of America's Biggest Serial Killer » (Gosnell : Le procès du plus grand tueur en série des États-Unis) et en et bloquent les ventes de billets malgré ou peut-être à cause du succès du film, selon le producteur et directeur marketing du film.
Basé sur un livre, au titre éponyme, écrit par les journalistes et productrices Ann McElhinney et Phelim McAleer, le film Gosnell décrit l'arrestation du [tristement] célèbre avorteur de Philadelphie, le Dr Kermit Gosnell, son procès et sa condamnation pour les meurtres au premier degré de trois bébés nés vivants et de l'homicide involontaire d'une patiente, Karnamaya Mongar.
La procureure Christine Wechsler et le détective James Wood ont été consultés dans le film, qui était également basé « très largement sur les transcriptions judiciaires », « des dizaines d'heures dentrevues avec Kermit Gosnell » lui-même, et le rapport du grand jury de 280 pages qui révélait que Gosnell avait tué des centaines de nouveau-nés qui avaient survécu à l'avortement en leur coupant la moelle épinière.
Le film Gosnell a réalisé un bénéfice de 1 235 800 $ lors de la première fin de semaine de sortie en salles, au cours de laquelle il fût le nouveau film ayant le plus grand succès et à la 12ème place au box-office. Il [... bénéficiait récemment] d'un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes, basé sur plus de 1200 évaluations d'utilisateurs. Cependant, John Sullivan affirme que les salles de cinéma ont largué le film d’une manière inouïe pour un film aussi performant.
Lire la suiteL'infanticide en milieu médical en Europe
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo
Voici les témoignages émouvants d'infirmières et de médecins de France et de Grande-Bretagne qui racontent les infanticides auxquels ils ont assisté, sidérés. Vidéo du Centre européen pour la loi et la justice :
Horrible : Une avorteuse admet avoir tué un enfant à naître de 37 semaines
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Susan Robinson est une avorteuse qui pratique des avortements tardifs — l'une des quatre qu'exaltait le film «After Tiller». Robinson a travaillé avec l'exécuteur d'avortements tardifs George Tiller lui-même, et continue maintenant de suivre ses traces, prenant la vie de bébés pratiquement à terme, grâce au fait qu'il n'y a pratiquement aucune restriction fédérale sur l'avortement aux États-Unis, ou au Nouveau Mexique, où elle opère. « Il n'y a donc aucune loi pour m'empêcher de pratiquer tout avortement que je juge approprié », a-t-elle déclaré en plaisantant dans une entrevue accordée à l'Irish Independent l'année dernière.
Mme Robinson expliquait qu'elle utilise les ultrasons pour tenter de dater les enfants à naître dont elle va prendre la vie, mais que ce n'est pas toujours exact. « Estimons que la femme est à 31 semaines [de grossesse], eh bien, étant donné l'inexactitude due à l'échographie, elle pourrait parfaitement être à 34 semaines. Comment me sentirais-je si cela arrivait ? » Elle a ajouté qu'elle avait déjà avorté un bébé qu'elle croyait âgé de 32 semaines. Mais quand elle a vu le corps du bébé avorté, elle s'est rendu compte que le bébé était en fait à 37 semaines — âge auquel il est considéré à terme. « C'était un moment », dit-elle.
Lire la suiteQuatre vidéos sur les méthodes d’avortement
Objets servant lors d’avortements.
Par Campagne Québec-Vie — Vidéos réalisées par le groupe LiveActionNews et traduites par Un feu sur la terre
Voici quatre vidéos, sur comment sont pratiqués plusieurs méthodes d’avortement, réalisées par le groupe LiveActionNews et dont la traduction (sous-titrage en français) est actuellement présente sur la chaîne YouTube du site Un feu sur la terre.
L’avortement fauche chaque année sa moisson de millions d’enfants à naître et laisse d’innombrables blessures, tant physiques que psychiques et spirituelles, aux pères et aux mères de ces enfants et à bien des gens.
Pour combattre ce fléau, le Dr Anthony Levatino, obstétricien-gynécologue, nous explique par ces vidéos en quoi consistent les principales méthodes d’avortement. Celui-ci en a pratiqués environ 1200 avant d’arrêter, horrifié par cette abomination.
Ces quatre vidéos « ont été révisées par des médecins et des professionnels de la santé », affirme Lila Rose présidente de LiveActionNews.
Lire la suitePour 7 000$, l'avorteur exécutera l'avortement d'un enfant à naître de 26 semaines
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Bethesda, Maryland, 27 novembre 2017 (LifeSiteNews) – Un nouvel appel sous couvert a révélé que, pour des milliers de dollars, l’un des avorteurs américains les plus tristement célèbres est prêt à avorter des bébés sains de mères en bonne santé, enceintes de 28 semaines.
Au-delà de 28 semaines de grossesse, l’avorteur LeRoy Carhart avortera des bébés « au cas par cas » si leurs mères et eux-mêmes sont en bonne santé.
La plupart des bébés naissent à 40 semaines. Une étude a démontré qu’un nombre important de bébés survivent lorsque la naissance survient dès la 22e semaine, [à] 5 mois de grossesse.
Priests for Life (Prêtres pour la Vie) et Abortion-Free New Mexico (Nouveau-Mexique exempt d’avortement) ont contacté AbortionClinics.org, la compagnie sous laquelle Carhart opère dans Bethesda au Maryland. L’employée de Carhart a dit au correspondant que sur la base de la taille, du poids et de l’historique médical, cela coûterait 7 000$ pour avorter un bébé sain de 26 semaines.
Lire la suiteUn évêque offre une messe à l’extérieur d’une clinique notoire d’avortements tardifs
L’évêque de Witchita, Carl Kemme, marchant en procession avec l’Eucharistie dans un événement à l’extérieur de la célèbre clinique d’avortements tardifs de George Tiller.
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Wichita, Kansas, 10 novembre 2017 (LifeSiteNews) — L’évêque de Wichita, au Kansas, Mgr Carl Kemme, accompagné de sept prêtres de son diocèse, a célébré une messe pour la vie le dernier samedi du mois d’octobre, à l’endroit où George Tiller, célèbre pour ses avortements tardifs, exerçait ses activités.
Mgr Kemme a remercié les centaines de personnes présentes à la messe venues prier pour les enfants à naître. « [Ce sont] les dons de Dieu les plus précieux et uniques, la vie humaine », a rapporté le journal Catholic Advance. Mgr Kemme a dit qu’ils faisaient quelque chose de mystique, qu’ils entouraient la clinique d’avortement de grâce sacramentelle et sanctifiante.
« Ici, dans des lieux comme celui-ci, partout au pays et dans le monde, le prince des ténèbres et de la mort est honoré et adoré », a dit Mgr Kemme. « Ici et dans les autres bâtiments comme celui-ci, les démons se réjouissent lorsque les ténèbres deviennent encore plus noires et que la mort est rendue plus horrible, à cause du choix de détruire une vie créée à l’image et à la ressemblance de Dieu. »
Lire la suiteVoici l’avorteur qui pratique des avortements tout le long des neuf mois de la grossesse
Leroy Carhart.
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Leroy Carhart, le célèbre exécuteur d’avortements tardifs, a récemment fermé son établissement à Germantown dans le Maryland ; établissement rachetée par une organisation pro-vie, Maryland Coalition for Life. Carhart a été contraint de déménager vers un nouveau site et il en train d’ouvrir un nouvel établissement à Bethesda. Il sera situé dans un bâtiment médical à locataires multiples et il continuera de pratiquer des avortements tout le long des neuf mois de la grossesse.
Mais la question est telle : comment Carhart a-t-il pu être autorisé à continuer sa pratique ?
Leroy Carhart est un avorteur dangereux : il n’a de privilège d’admission dans aucun hôpital ; il a blessé et tué plusieurs patients ; il a eu des comportements dangereux, contraire à la déontologie et inappropriés avec ses patients. Et tout ceci sans même compter les nombreux enfants à naître qu’il a violemment assassinés.
Lors d’un discours adressé aux membres du Religious Coalition for Reproductive Choice, Carhart a déclaré : « Nous ne demandons pas le droit d’aspirer les cerveaux de chaque enfant qui marche dans la rue ; nous devons continuer à offrir des services d’avortements sécuritaires aux femmes qui en ont besoin. » Mais pour Carhart, les avortements « sécuritaires » incluent ceux dits par naissance partielle et le démembrement des bébés membre par membre, lorsqu’ils sont encore vivants. Ces avortements ne sont « sécuritaires » ni pour le bébé, ni pour la mère. Le fait que Carhart ait bâclé tant d’avortements ; le fait qu’il ait blessé de nombreuses femmes ; le fait qu’il en ait tuées au moins deux, le démontre. Or il a énergiquement combattu les lois interdisant la méthode d’avortement par naissance partielle (“D&X” ou “intact D&E”).
Lire la suiteBonne nouvelle : 145 établissements d’avortement ont fermé au cours des cinq dernières années
Par Mark Hodges (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(LifeSiteNews) — L’Abortion Care Network (Réseau de soins d’avortement) (ACN), un groupement d’entreprises en avortement indépendantes, a publié un rapport sur la baisse du nombre de centres d’avortement. Au cours des cinq dernières années, 145 « cliniques » indépendantes ont fermé.
L’ACN soutient les entreprises d’avortement qui ne sont pas affiliées à Planned Parenthood ou à une chaîne d’hôpitaux. Le nombre de ces dernières est passé de 510 installations en 2012 à 365 aujourd'hui, sans compter les centaines de centres du Planning Familial.
Sur une page d’accueil intitulée « les communautés ont besoin de cliniques », ACN a écrit que les entreprises d’avortement, ferment à un « rythme alarmant », en particulier les indépendantes, qui pratiquent souvent des avortements tardifs.
Significativement, ACN a reconnu l’efficacité des lois pro-vie qui diminuent le nombre d’avortements et de centres d’avortement à travers le pays. Ils ont cité aussi d’autres facteurs ayant une incidence sur les fermetures, incluant l’activisme de trottoir des pro-vies et les États qui refusent que la taxe de l’aide médicale soit utilisée pour payer des avortements.
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Avortement tardif : les Américains disent non
Isabelle O’Connor Montcerf-Lytton (VivereCanada)
La Chambre des représentants américaine vient d’adopter, ce 3 octobre, un projet de loi interdisant l’avortement tardif (après vingt semaines), lequel attend l’assentiment du Sénat. Les Américains, comme la plupart des autres pays démocratiques, reconnaissent que l’avortement tardif est inacceptable tant pour l’enfant-à-naître que pour la femme. Non seulement l’enfant-à-naître ressent-il la douleur à ce stade mais, comme l’affirme une douzaine de fois la Cour suprême du Canada dans sa décision Morgentaler de 1988, « les risques de l’avortement croissent avec chaque semaine de gestation et en retardant trop l’avortement, les comités d’avortement thérapeutiques des hôpitaux posent une menace à la sécurité de la femme. » Au Canada, les intervenants déplorent aussi publiquement le risque accru de naissance vivante à la suite des tentatives d’avortement tardif, ce qui cause un traumatisme accru pour la femme et le personnel ainsi qu’un dilemme moral et juridique sur la façon de se débarrasser du nouveau-né. Après que toute aide possible ait été offerte à la femme pour garder son enfant si tel est son désir, il faut penser à l’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée, même pour des enfants-à- naître ayant un pronostic incertain ou difficile, que certains organismes accueillent.
Des centaines de médecins contre la dépénalisation absolue de l’avortement
Par Reinformation.tv
Pas moins de 650 médecins ont protesté avec véhémence contre le Pr Lesley Regan qui veut voir l’avortement libéré pour toutes les femmes jusqu’au terme de la grossesse pour en faire une procédure médicale quelconque, pour laquelle l’approbation d’un seul médecin suffirait.
Mme Regan se trouve être la présidente du collège royal des obstétriciens et des gynécologues, et sa proposition a déjà reçu le soutien de la British Medical Association et du collège royal des sages-femmes.
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