Avortement de 3e trimestre à l'hôpital Ste-Justine, le lien internet sur de bouleversantes révélations...
Au CHU Sainte-Justine, le Comité de mortalité foetale et néonatale assure la révision des dossiers concernant les interruptions de grossesse du troisième trimestre. Les données montrent qu’à ce stade, les interruptions ont été pratiquées presque exclusivement pour des raisons médicales. On rapporte également certains motifs différents, par exemple lors d’interruptions qui font référence à des situations « précises » associées à des conditions « sociales » particulières.
Les interruptions de grossesse du troisième trimestre ont lieu à la salle d'accouchement. Elles sont pratiquées sous échographie par un gynéco-obstétricien. On tient compte de la douleur physique de la femme enceinte, même si elle n’est pas propre au troisième trimestre. On pratique une analgésie péridurale. Quant à la souffrance du foetus, la question est très controversée. Avant de réaliser l’IG, on administre au foetus des produits anesthésiques (Fentanyl), afin de soulager sa douleur. Cette pratique contribue à la sérénité du couple, mais aussi à celle de l’équipe soignante. Cependant, notons que tous n’administrent pas de produits anesthésiques.La procédure d’expulsion du foetus consiste en une injection de chlorure de potassium (KCl) intra-cardiaque ou intra-ombilical provoquant le décès du foetus avant son expulsion. L’opération se déroule comme un accouchement normal, c’est-à-dire avec des contractions et une délivrance par les voies vaginales. Il y a toutefois naissance d’un enfant mort-né. La femme est ensuite conduite dans une unité où on lui offre des soins post-partum, axés sur le deuil.
En Grande-Bretagne, huit ans de prison pour un avortement à la 39e semaine!
Une information à faire parvenir au Barreau du Québec, aux associations médicales canadiennes et québécoises et aux députés du parlement. Sur le blog de Jeanne Smits du 17 septembre 2012:
(Sarah Louise Catt)
Une femme de trente-cinq ans vient d'être condamnée à huit ans de prison par un juge britannique pour avoir pratiqué un auto-avortement qui a provoqué la mort de son bébé à 39 semaines de grossesse. Sarah Louise Catt, de Sherburn-in-Elmet, dans le Yorkshire, avait déjà deux enfants de son mari au moment où elle a découvert qu'elle était enceinte d'un collègue de travail qui était son amant depuis plusieurs années. Hors-délais pour un avortement légal – elle a découvert sa grossesse à 30 semaines lors d'une échographie, et l'avortement n'est autorisé « que » jusqu'à 24 semaines en Grande-Bretagne – elle s'est procuré du misoprostol par internet, et a donné naissance à un garçon mort-né qu'elle dit avoir enterré.
Le cadavre de l'enfant n'a jamais été retrouvé mais l'affaire a été prise au sérieux. On a en effet constaté que l'échographie n'avait jamais été suivie d'une inscription à l'état-civil, ce qui a éveillé les soupçons. Sarah Catt a soutenu qu'elle avait subi un avortement légal dans une clinique de Manchester. Mais une enquête policière policière a permis de trouver trace dans son ordinateur de recherches sur l'avortement médicamenteux tardif ainsi que de sa commande de misoprostol en Inde. Elle a d'ailleurs plaidé coupable, tout en refusant de révéler où elle avait enterré le corps de son enfant.
Son mari n'était pas au courant de la grossesse et elle s'est éloignée de son amant pendant les mois autour de l'avortement.
Le juge a refusé de considérer l'affaire comme un homicide involontaire, jugeant que si le bébé avait été tué quelques jours plus tard à la naissance, Mme Catt aurait été accusée de meurtre. Il a donc prononcé une sentence assez lourde, précisant que celle-ci sanctionne le « choix délibéré, en pleine connaissance de la date du terme de la grossesse, d'avoir mis fin à celle-ci » alors qu'elle était parfaitement au courant que l'avortement était illégal :
« Ce que vous avez fait, c'est de voler à un enfant apparemment en bonne santé, vulnérable et sans défense, de la vie qu'il s'apprêtait à commencer. L'enfant encore dans le sein était si proche de la naissance, qu'à mon jugement toute personne qui pense droit estimerait ce délit plus grave que l'homicide involontaire », a dit le juge Cooke.(...)
Vingt semaines de grossesse avec des jumeaux, mais la semaine dernière, elle a eu un avortement
La pratique eugénique au Québec
Dans la pensée de la plupart des Québécois, l’avortement est une pratique confinée aux premières semaines de la grossesse. Après la 20e semaine, les avortements se dérouleraient en territoires américains.
Que cela soit acceptable pour une majorité de Québécois est déjà la marque d’une désensibilisation envers la vie humaine. S’il y a quelques décennies, l’avortement était impensable, aujourd’hui dans notre province, il est accepté jusqu’à la naissance. Et les médecins pratiquant ces crimes se justifient en affirmant que le moindre droit donné au fœtus, est un droit enlevé à la femme. Le vide juridique permettant ces actes, ce qui est permis est devenu moralement acceptable pour notre population québécoise. Et même si nous nous apercevions de notre perte de sensibilité envers toute vie humaine, cela ne nous dérangerait pas car nous avons « évolué ».
Pourtant, lorsque nous avons l’occasion de discuter avec des Français ou d’autres peuples à travers le monde sur la situation québécoise, la réaction est souvent virulente : « Mais vous êtes des barbares! » ai-je entendu parfois.
En France, l’avortement est interdit après la 12e semaine de grossesse et c’est le cas dans de nombreux pays européens. Ils ne peuvent comprendre que dans certains hôpitaux du Québec et dans certains CLSC, nous pratiquons des avortements de dernier trimestre, jusqu’au neuvième mois, jusqu’à la fin de la grossesse.
La naïveté volontaire et la complaisance des Québécois qui est l’envers de leur qualité remarquable, la gentillesse, ne peut admettre que des médecins québécois puissent torturer et tuer légalement des enfants pouvant survivre hors du sein de la mère.
Pourtant, c’est le cas.
En 2002, le comité de diagnostic prénatal de l’hôpital Ste-Justine demandait au comité de bioéthique du CHU Sainte-Justine de répondre aux deux questions suivantes :
« -Est-il éthiquement acceptable d’interrompre une grossesse pour anomalie fœtale au-delà du seuil de viabilité?
-Si oui, quelles sont les balises qui devraient régir la pratique de l’interruption de grossesse à ce stade? »
Ce qui est inimaginable et qu’avoue candidement le comité de bioéthique c’est que ces avortements tardifs se pratiquent déjà à l’hôpital et qu’en raison des divisions internes (!) de l’institution sur le sujet, le comité de diagnostic prénatal demande qu’un protocole, une politique institutionnelle claire à ce sujet soit établie.
Pour résumer, certains médecins ont pratiqué d’abord des avortements au dernier trimestre de la grossesse, avec le consentement de l’institution puis, comme il y avait controverse sur le sujet, on a réalisé qu’il fallait aussi se poser des questions éthiques sur l’acceptation des pratiques de tortures et de mise à mort utilisées.
J’utilise sciemment le mot torture. Il est capital de prendre conscience de la réalité de la douleur de l’enfant à naître et je vous invite à lire attentivement ce bref résumé des connaissances scientifiques sur le sujet. Ce résumé a été fait par le néonatologue Carlo Valerio Bellieni, enseignant de la thérapie néonatale à l’école de spécialisation en pédiatrie de l’Université de Sienne, membre de la European Society of Pediatric Research et de la direction nationale du Groupe d’étude sur la douleur de la Société italienne de néonatologie :
Anand (ANAND et HICKEY, 1987) et beaucoup d’autres auteurs après lui ont démontré avec évidence que le fœtus ressent la douleur du fait du développement efficace des voies anatomiques de la douleur même dès le stade fœtal. Dès la fin de la septième semaine de gestation, la région péribuccale présente des récepteurs tactiles, et l’on a pu parler d’une avoiding reaction ou réaction de fuite du fœtus quand on le touche (FERRARI et al., 1983).
La perception de la douleur suppose des récepteurs, des voies neuronales fonctionnelles et un cortex capable de recevoir et d’intégrer l’information. Or, dès la moitié de la gestation, tout cela est déjà présent. Les récepteurs cutanés couvrent toute la surface du corps à partir de vingt semaines de gestation (ANAND et HICKEY, 1987).
Les voies neurologiques efférentes sont en place à la sixième semaine et de nombreux neurotransmetteurs spécifiques apparaissent à partir de treize semaines. Ces voies arrivent au thalamus, à la base du cerveau, à partir de vingt semaines. Elles rejoignent le cortex entre la dix-septième et la vingt-sixième semaine (LAGERKANTZ et FORSBERG, 1991; FITZGERALD, 1993).
Que les fibres ne soient pas encore complètement myélinisées (c’est-à-dire n’aient pas la gaine isolante appelée myéline) n’invalide pas le fait qu’elles peuvent transmettre des stimuli. Il faut noter que, chez le nouveau-né, la densité des récepteurs et de substance P (substance médiatrice de la douleur) est plus grande que chez l’adulte (MANOLIDIS et al., 1989; CHOONARA, 1998). Ce constat a conduit certains à affirmer que la sensation de douleur est plus grande chez le nouveau-né que chez l’adulte. 1
On le voit, ces nombreuses études citées datent des années 1980 jusqu’à la fin des années 1990. Aucun médecin responsable n’a le droit de les ignorer.
Le comité de bioéthique du CHU de Sainte-Justine dont le rapport est paru en 2006, prend la peine de recommander « que l’on s’assure d’éviter toute souffrance au fœtus, advenant la décision de procéder à une interruption de grossesse. » (recommandation #5, 2). « Cependant, notons que tous n’administrent pas de produits anesthésiques. » admet le comité (p.23). Il s’agit ici d’une recommandation. La liberté de l’appliquer ou non demeure. Il est révoltant de constater l’admission par ces institutions médicales de la présence d’un être humain souffrant mais le refus arbitraire de lui conférer le statut de personne… Cela, parce qu’il n’aurait pas le droit alors de torturer et mettre à mort cette « personne ».
Et pourtant, après avoir injecté la solution de chlorure de potassium au cœur de l’enfant, ce qui n’est pas sans rappelé la façon dont on euthanasie les chiens, un accouchement normal se produit, d’un enfant mort. « La femme est ensuite conduite dans une unité ou on lui offre des soins post-partum, axés sur le deuil. » dit laconiquement le rapport du comité de bioéthique (p.23) Elle recevra ses prestations de maternité. (Pour lire le rapport publié également sur internet, voir le nouvel article de CQV en cliquant ici) Ne vous parlais-je pas d’insensibilité? Endurcissement pathologique cardiaque, pour demeurer dans des termes médicaux, serait peut-être plus juste…
L’avortement au 3e trimestre est habituellement effectué pour des raisons d’anomalie fœtale, mais pas toujours… Le comité de bioéthique du CHU Sainte-Justine mentionne qu’ «On rapporte également certains motifs différents, par exemple lors d’interruptions qui font référence à des situations « précises » associées à des conditions « sociales » particulières. » (p.21) On n’ose pas expliciter…
Par anomalie fœtale, on peut entendre des affections graves, mais aussi la trisomie 21 ou la spina bifida selon certains médecins. Il existe différentes techniques de dépistage (amniocentèse, biopsie). Par l’entremise de la journaliste Marie-France Bélanger de Radio-Canada, à l’émission du 21 août, une auditrice posait la question suivante à la docteure Emmanuelle Lemyre, médecin généticienne et directrice de laboratoire en cytogénétique de l’hôpital Sainte-Justine : Peut-on par ces techniques de dépistage garantir à 100% la naissance d’un enfant en parfaite santé. La réponse est non bien entendu et très peu de traitements prénataux existent en ce moment. D’où l’insistance régulière du personnel hospitalier pour l’avortement en cas de problème… L’enfant doit être parfait. Une auditrice, Mme Josée Savard, commentait ces émissions :
Envoyé par Josée Savard de Laval
22 août 2011 à 11 h 35 HAE
En ce qui me concerne, la question serait plutôt : A quel point la science "doit-elle" dépister la présence de maladies.....
Depuis quelques années, on soupçonne un problème génétique pour l'autisme. Ai-je tenté le sort? A mon médecin qui me proposait un test mis en marché par Procréa et qui permettait, avec une prise de sang combiné à des statistiques sur mon âge et autres, de déterminer la possibilité de défauts chez mon bébé, j'ai dit non en lui affirmant que "même si on trouvait quelque chose, je pleurerais probablement pendant toute ma grossesse mais que je garderais le bébé." On m'a pris au mot, mon fils est autiste. Le plus adorable de tous les petits garçons du monde.
Certains autistes de haut niveau ont mis en place un site internet, Autistics.org. Vous y retrouverez une très intéressante caricature. Elle représente une poubelle d'où sortent des bras et des jambes, à la sortie d'une clinique d'avortement, et en dessous, la légende: "voici ce qu'on entend par prévention de l'autisme". Très lucide... Et c'est ce qui risque d'arriver pour toutes les maladies génétiques.
Ce n’est pas ce qui risque d’arriver, malheureusement, Mme Savard. C’est ce qui arrive si les parents ne s’opposent pas au parti pris médical favorable à l’avortement lors d’anomalie fœtale. Les tests pour la trisomie 21 par exemple servent uniquement à dépister en vue d’avorter les cas « problèmes ». Ils sont fortement suggérés pour tous les couples. La réponse automatique à l’anomalie pour la grande majorité du personnel hospitalier, c’est l’avortement.
En 1922 paraissait un livre intitulé « La libéralisation de la destruction d’une vie qui ne vaut pas la peine d’être vécue ». Les auteurs, un juriste, Binding, et un médecin allemand, Hoche, verraient leurs thèses mises en pratique par le régime nazi. Le médecin Hoche se suicidera en 1943. Le titre de leur thèse est des plus révulsant. On y voit tout de suite l’établissement d’une échelle de dignité humaine : ceux qui ont le pouvoir de décider qui doit vivre, qui doit mourir car n’ayant aucune utilité publique et ceux qui, par un handicap intellectuel ou physique doivent être éliminés par « compassion ». En quoi cette position est-elle différente de celles de nos institutions médicales voulant éliminer les trisomiques, les autistes, les personnes atteintes de fibrose kystique, avant leur naissance?
L’eugénisme est présent dans notre société. Il faut le dénoncer.
1 BELLIENI, Carlo Valerio. L’aube du moi, éditions de l’Emmanuel, Paris, 2009, p. 46-47. (retour)
2 COMITÉ DE BIOÉTHIQUE DU CHU SAINTE-JUSTINE, Interruption de grossesse du troisième trimestre pour anomalie fœtale, éditions du CHU Sainte-Justine, Montréal, 2007, P.44.(retour)
L’avortement au Québec
L’avortement au Québec1
En septembre 2008, le Conseil pour le statut de la femme a déposé une étude ayant pour but de faire le bilan sur les cas d’avortements sur l’ensemble du Québec. À cette fin, employant les statistiques de la Régie de l’assurance maladie du Québec - RAMQ, leur étude, entre autre, présente plusieurs tableaux. Je vous présente certains faits qui m’ont intéressé et j'invite ceux et celles parmi vous d'aller scruter le document original pour en savoir davantage.
- Avortements – ensemble du Québec: 28 198 2
- Avortements par jour – en moyenne: 80
- Avortements par jour – Montréal, en moyenne: 30
- Nombre de locaux d’avortements à Montréal: 20
- Avortements au premier trimestre – soit avant la 14e semaine: 92 %
- Avortements après la 14e semaine: 8% ou 2 256 avortements "tardifs" par année.
De plus, j’aimerais porter votre attention sur deux points. Tout d'abord, ces chiffres représentent une sous-estimation. Dans le rapport, nous lisons : « …l’Institut de la statistique du Québec estime, dans une de ses études, que l’écart entre le nombre réel d’avortements pratiqués et celui qui est comptabilisé s’établit à 6 % . »3 Le conseil offre plusieurs causes pour expliquer cet écart, tel que des lacunes chez RAMQ entre autre.
Le deuxième point concerne les avortements itératifs, soit plusieurs avortements procurés à une même personne dans une période de moins de cinq années. Selon diverses études scientifiques, il y une forte relation entre de tels avortements et la violence –psychologique, sexuelle, ou physique. Cependant, peu est connu de ce phénomène au Québec; les données présentées par le Conseil ne sont que pour le Canada en général, les États-Unis, ou la France. Donc, une importante lacune existe.4
Citations:
1 L’avortement au Québec : état des lieux au printemps 2008 pour 2006. (PDF) (retour)
2 Ibid., p. 3. (retour)
3 Ibid., p. 13.
4 Ibid., p. 18-9.
Vérité de l'avortement en direct
Quand nous entendons l'expression "pro-choix", nous avons le droit de nous demander de quel choix il s'agit. Voici une vidéo qui illustre ce en quoi ce choix consiste: à tuer violemment un être humain innocent. N'oublions pas qu'ici au Québec l'avortement est permis à tout moment de la grossesse, jusqu'à la naissance. Avertissement: cette vidéo est à déconseiller pour les enfants et les personnes sensibles.
http://www.abort67.co.uk/plugins/content/jw_allvideos/players/mediaplayer_4.3.swf
Avortement : possible jusqu'à la dernière seconde
C'est ce que nous rappelle Kathryne Lamontagne du Journal de Québec.
La même auteure nous présente les deux plus grands avorteurs du Québec pour confirmer que ce n'est "jamais facile" d'avorter: Pas juste des jeunes frivoles et irresponsables. Eh oui, et surtout ce n'est jamais facile d'être avorté, mais ça on semble toujours l'oublier...
Hommages au meurtrier
Le journal La Presse du 4 juin 2009 a publié une très longue lettre anonyme en hommage à l'avorteur Tiller, assassiné aux États-Unis. La Québécoise de Gatineau auteure de ladite lettre «rêvait d’un être humain normal». Après 25 semaines de gestation, les spécialistes en génétique lui ont proposé plusieurs solutions pour soigner les problèmes de malformations du bébé. Elle et son conjoint ont plutôt décidé de toutes les rejeter et d’opter pour l’avortement tardif, car ils «ne voulaient prendre aucun risque».
Ces parents exigeaient un bébé parfait. Et cette mère énumère une litanie de raisons qui ont motivé sa décision: «Nous sommes jeunes, nous avons la vie devant nous, nous avons des aspirations professionnelles, des projets de vie et de voyages plein la tête. Nous gérons deux belles carrières, etc.». Cet enfant devait mourir, car il était devenu trop incommodant. Et la mère ajoute: «Je ne suis pas faite pour les sacrifices; je ne suis pas une aidante naturelle».
Dans cette lettre épouvantable, aucune compassion pour son bébé déchiqueté et envoyé aux ordures. La banalisation de ce genre d’avortement nous donne une idée du degré de décadence de notre société. L’enfant à naître ne doit surtout pas déranger nos plans. Alors, bienvenue à la culture de la mort qui est pour beaucoup une délivrance. Et on appelle cela une civilisation moderne et très avancée.
Le meurtre du Dr Tiller est ignoble. Mais tous ces meurtres de bébés de 25, 28 et 30 semaines, démembrés dans le sein de leur mère et jetés aux ordures, sont également épouvantables et inacceptables. Mais c’est le complot du silence