À partir de quand un fœtus est-il un être humain ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixabay
La réponse est simple, un fœtus (humain) est tout simplement un être humain hic et nunc, ici et maintenant, le mot « fœtus » ne désignant qu’un stade dans le développement de l’être humain, tout comme « zygote », « embryon », « bébé », « enfant », « adolescent », « adulte », etc.
Pour Richard Martineau, il est absurde que la loi canadienne ne fasse « aucune différence entre un amas de cellules, un embryon de quelques semaines, un fœtus de quatre mois ou un fœtus de neuf mois », d’après le Journal de Montréal.
J’objecterais ici que ce qu’il désigne par l’appellation « amas de cellules » n’en est pas un, j’y reviendrai plus tard.
Pourquoi M. Martineau s’avance-t-il sur les sables mouvants de la question de l’avortement ? Parce qu’aura lieu un procès qui relancera peut-être le débat sur le statut de l’enfant à naître. Ce procès a pour accusé un certain Sofiane Ghazi, sous inculpation d’avoir poignardé sa conjointe dans le ventre avec une fourchette à viande, de l’avoir blessée gravement et d’avoir infligé des blessures mortelles à l’enfant qu’elle portait, qui serait mort quelques minutes après sa naissance. Le crime s’est passé en 2017.
La couronne présentera une bonne quarantaine de témoins, comprenant des médecins, biologiste et pathologiste. Si l’enfant est mort dans le ventre de sa mère, M. Ghazi pourrait bien ne pas être condamné pour meurtre, s’il est prouvé qu’il est mort hors de sa mère, M. Ghazi pourrait au contraire être condamné pour ce crime. Pourquoi ? D’après Richard Martineau dans le Journal de Montréal :
Lire la suiteRappelons que selon la loi canadienne, un enfant doit être sorti du ventre de sa mère pour être considéré comme une personne.
À neuf heures une minute et cinq secondes, le fœtus de 9 mois est dans le ventre de sa mère ? Il n’a aucun statut juridique. Aux yeux de la loi, il n’est pas plus important qu’un amas de cellules.
Beto O'Rourke défend l'avortement la veille de la naissance
Robert O'Rourke, dit Beto O'Rourke.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est ce qui ressort des paroles que ce candidat à l’investiture du Parti démocrate prononça le soir du 26 août.
Robert O’Rourke, dit Beto, ancien représentant du Texas et maintenant, donnait un discours devant une foule d’étudiant au Collège de Charleston en Caroline du Sud, lorsque qu’un homme lui posa la question suivante, portant sur le soutien que le politicien avait donné à l’avortement de troisième trimestre, d’après LifeSiteNews :
« Alors, ma question est la suivante : Je suis né le 8 septembre 1989 et je veux savoir si vous pensez que le 7 septembre 1989, ma vie n'avait aucune valeur, » demanda l'homme.
« Bien sûr je ne pense pas cela, je suis content que vous soyez là, » répondit O'Rourke. « C'est une décision que ni vous, ni moi, ni le gouvernement des États-Unis ne devrait prendre. C'est à la femme de prendre cette décision. Nous voulons qu'elle ait le meilleur accès possible aux soins et à un médecin... »
Donc, d’après la réponse M. O’Rourke, on peut conclure qu’il considère importante la vie de cet homme, mais que sa mère pouvait l’avorter quand même… Plus loin, le candidat continue en insinuant un rapprochement entre la mortalité maternelle et les restrictions sur l’avortement.
Les craintes d’une féministe pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Maxwell GS/Flickr
C’est dans un éditorial publié dans Le Devoir, portant le titre évocateur L’allumette dans la poudrière que Marie-Andrée Chouinard expose ses craintes sur les supposés progrès du mouvement pro-vie au Canada, et notamment aux États-Unis, ainsi que sur les tentatives de ses insidieux membres.
Ce titre, L’allumette dans la poudrière, vu la teneur de l’article, voudrait-il signifier que les pro-vie (l’allumette) sont un réel élément déclencheur dans cette société pro-avortement (la poudrière), propre à faire basculer la balance en faveur de la protection de la vie commençante ? J’aimerais qu’il en soit ainsi.
Mais voyons ce qui aux yeux de Mme Chouinard éveille en elle ces alarmes, d’après Le Devoir de plus en plus de candidats aux élections fédérales se proposent de limiter l’accès à l’avortement, dont une trentaine de candidats du Parti populaire du Canada (PPC) (sans compter ceux du Parti conservateur et du Parti héritage chrétien). Deux candidats albertains du PPC, Laura-Lynn Thomson et Paul Mitchell proposent aux électeurs un projet de loi qui criminaliserait l’avortement au-delà de la 24e semaine (stade auquel l’enfant à naître est déjà viable). Selon Le Devoir :
Leur idée est soutenue par une trentaine d’autres candidats du Parti populaire, dont deux Québécois. Elle cible les avortements pratiqués au 3e trimestre (une quantité négligeable), et prévoit une peine maximale de cinq ans de prison pour une femme prise en faute, excluant trois contextes particuliers : santé de la mère compromise, grossesse provoquée par un viol, fœtus atteint d’une malformation létale.
« Une quantité négligeable » d’avortements pratiqués dans le 3e trimestre, autant dire qu’il ne s’agit que d’une quantité négligeable de meurtre, comme je ne vois pas ce qui empêcherait un pro-avortement de reconnaître au moins en un enfant à naître, rendu à son 3e trimestre de développement, un être humain qui lui est semblable et viable, il s'agit bien pour lui de parler de meurtres. Comme si « le droit à l’avortement » devait être préservé de toute atteinte au prix de vies innocentes (de peur que le « droit » à l’avortement ne s’effondre entièrement).
Lire la suiteAvortement pour les «femmes transgenres» au débat de la course à la chefferie du Parti démocrate
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Joe Raedle/Staff/Getty Images
Le débat de jeudi de la course à la chefferie du Parti démocrate américain s’est distingué (si l’on peut dire) par l’adhésion tacite sinon solennelle de ses participants à l’idéologie de l’avortement jusqu’à la naissance, pour n’importe qu’elle raison, aussi bien dire aucune. C’était un véritable concours à qui paraîtrait le meilleur champion de l’avortement, et peut-être que l’orateur, devant décrocher le trophée du plus enflammé partisan de cette (mauvaise) cause, était l'ancien secrétaire du HUD, Julian Castro, par sa sublimement absurde apologie de l’avortement, allant jusqu’à la proposition de l’étendre à la « femme transgenre »…
On s’entend que ce que certain appelle à tord une « femme transgenre » n’est qu’un homme qui tente d’être femme, et qui ne saurait donc être qualifié de « femme ». Extrait de LifeSiteNews
Lire la suiteSi le débat démocrate d'hier soir a rendu quelque chose clair comme de l'eau de roche, c'est que l'extrémisme de l'avortement sous sa forme la plus effroyable et la plus terrifiante va être au centre des débats pendant toute la durée de la prochaine élection présidentielle. Cette foule de partisans du fœticide veut l'avortement sur demande, sans excuses, pendant les neuf mois de la grossesse et financé par les contribuables. L'avortement était présenté en sorte qu'il ne pouvait paraître que comme un mal nécessaire [nécessaire d'après eux], mais comme un acte tout à fait noble que toute femme devrait être fière d'accomplir.
[...]
C'est l'ancien secrétaire du HUD, Julian Castro, qui s'est montré à la fois mielleux et stupide dans sa réponse à la question de savoir si son plan de santé prévoyait le financement de l'avortement. « Oui, en effet ! » […] En fait, Castro était venu armé d'un projet conçu pour que son soutien à l'avortement fasse paraître les autres sur scène pratiquement anti-choix.
Le gouverneur d’Illinois J.B. Pritzker signe le projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance
Le gouverneur d'Illinois, J.B. Pritzker.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Ce projet de loi abjecte avait été remis au gouverneur par l’Assemblée législative d’Illinois vendredi dernier, et voici qu’aujourd’hui M. Pritzker le signe, chose qu’il avait d'ailleurs promis de faire. Mgr Paprocki, évêque de Springfield en Illinois, avait déclaré le 2 juin que les législateurs catholiques qui appuyaient ce projet de loi n’auraient pas le droit de communier s’ils ne faisaient réparation. Extrait de LifeNews :
Alors que les grands médias se concentrent sur la condamnation des efforts pro-vie en Alabama, en Géorgie et au Missouri, les dirigeants démocrates d’autres États adoptent tranquillement des projets de loi radicaux en faveur de l’avortement qui étendent la légalisation de l’assassinat de bébés à naître.
Mercredi, le gouverneur de l’Illinois J.B. Pritzker a signé une loi autorisant l’avortement pour quelque raison que ce soit jusqu’à la naissance et obligeant tous les régimes d’assurance public à les couvrir. Il suit ainsi le gouverneur du Vermont, qui a fait de son État le dernier à légaliser l’avortement jusqu’à la naissance lorsqu’il a signé hier son projet de loi radical.
M. Pritzker s’est vanté que cette loi fera de l’Illinois l’État le plus « progressiste » en matière d’avortement, rapporte WGN-TV News 9.
La loi, que les législateurs de l’État ont rapidement adoptée pendant la fin de semaine du Memorial Day, légaliserait les avortements pour quelque raison que ce soit, jusqu’à la naissance en Illinois. Il supprimerait les sanctions pénales contre la pratique de l’avortement et permettrait aux non-médecins de les pratiquer. Le projet de loi abrogerait également l’interdiction de l’avortement par naissance partielle, les règlements sur les cliniques d’avortement et la protection de conscience des travailleurs de la santé. En outre, elle obligerait tous les régimes d’assurance maladie à couvrir les avortements, sans exception pour les objections religieuses ou morales.
Le projet de loi a suscité des protestations massives plus tôt cette année. En mars, une telle foule de militants pro-vie a rempli le capitole de l’État pour se mobiliser contre le projet de loi que la police a dû fermer le bâtiment en raison du manque de place dans le bâtiment. Par la suite, les législateurs n’ont pas fait avancer le projet de loi pendant des mois.
Un évêque d'Illinois interdit la communion aux législateurs pro-avortement
Mgr Paprocki, évêque de Springfield, en Illinois.
Par Dorothy Cummings McLean ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : rmsli via YouTube
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Springfield, en Illinois, 6 juin 2019 (LifeSiteNews) ― L'évêque de Springfield en Illinois a interdit aux législateurs pro-avortement de recevoir le sacrement de la Sainte Communion.
L'évêque Thomas John Paprocki a déclaré que les législateurs de l'État qui travaillent à l'adoption du nouveau projet de loi de l'Illinois sur l'avortement ne peuvent se présenter à la communion dans son diocèse et qu'il est expressément interdit aux prêtres de donner l'Eucharistie au président du Sénat et au président de la Chambre.
« En accord avec le canon 915 du Code de Droit Canonique... le président du Sénat de l'Illinois John Cullerton et le président de la Chambre Michael J. Madigan, qui ont facilité l'adoption de la Act Concerning Abortion of 2017 (projet de loi 40 de la Chambre) ainsi que de le Reproductive Health Act of 2019 (projet de loi 25 du Sénat), ne sont pas admis à la Sainte Communion dans le diocèse de Springfield en Illinois parce qu'ils ont persisté obstinément à promouvoir le crime abominable et le péché très grave de l'avortement, comme en témoignent l'influence qu'ils ont exercée dans leurs rôles de gouvernance et par leurs votes répétés et leur soutien public obstiné au droit à l'avortement sur une longue période prolongée, » écrivait Mgr Paprocki dans un communiqué du 2 juin 2019.
« Ces personnes ne pourront être réadmises à la Sainte Communion qu'après s'être réellement repenties de ces péchés graves et après avoir en outre fait réparation convenable pour les dommages et les scandales, ou du moins avoir sérieusement promis de le faire, selon mon jugement ou celui de leur évêque diocésain, en consultation avec moi ou mon successeur, » continuait-il.
Bien qu'ils ne soient pas nommés, Mgr Paprocki a inclus d'autres politiciens pro-avortement dans son interdit, disant : « Je déclare que les législateurs catholiques de l'Assemblée générale de l'Illinois qui ont coopéré dans le mal et commis de graves péchés en votant pour toute législation qui encourage l'avortement ne doivent pas se présenter pour recevoir la Sainte Communion sans être préalablement réconciliés avec le Christ et l'Église, conformément au canon 916 du Code de Droit Canonique. »
Lire la suiteUn avortement tourne à l’horreur à Montréal
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Operation Rescue
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Bien sûr, tous les avortements sont horribles, mais les femmes qui se font avorter ne voient pas forcément leur bébé, par le biais d’une échographie avant l’avortement, ou après quand il est mort. Par conséquent, elles prennent encore mieux conscience de l’horreur de l’avortement quand elles en voient le résultat, leur enfant mort.
Dans le cas présent, une jeune Canadienne de l’extérieur du Québec était venue pour se faire avorter au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, apparemment parce qu’elle n’avait pu obtenir un avortement dans sa province, selon La Presse :
Elle en était à plus de cinq mois de gestation […]
L’établissement qui a pris son dossier en charge pratique régulièrement des avortements jusqu’à la fin du second trimestre de grossesse et offre occasionnellement le service à des Canadiennes incapables de le recevoir dans leur propre province.
Remarquez que la jeune femme en était à plus de cinq mois de grossesse, donc au moins dans la 22e semaine, stade auquel l’enfant à naître peut survivre. L’article continue :
Lire la suiteDans le cas de la Canadienne, la procédure d’interruption de grossesse — qui s’étale sur trois jours — a débuté comme d’habitude par une intervention visant à favoriser la dilatation du col.
Des projets de lois pro-avortement radicaux en passe d’être adoptés en Illinois
Capitole d'Illinois.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Daniel X. O'Neil/PxHere
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Plusieurs projets de loi en Illinois pourraient légaliser l’avortement à fond, ôtant toute protection à l’enfant à naître ou à l’enfant en train de naître, retirant la nécessité de l’autorisation parentale pour obtenir l’avortement dans le cas d'une mineure, permettant l’avortement dit par « naissance partielle » qui est tout simplement de l’infanticide. Extrait de LiveActionNews :
Le Sénat de l’Illinois a adopté le [projet de loi] SB 25 et le gouverneur J.B. Pritzker a annoncé son intention de signer le projet de loi.
[...] Aujourd’hui, l’Illinois House a adopté un projet de loi encore plus extrême que la Reproductive Health Act de New York, adoptée en janvier, et qui inclut l’abrogation de l’interdiction des horribles D&X, ou avortements par « naissance partielle ».
[…]
Le HB 2495 [...] éliminerait pratiquement toutes les protections pour les enfants à naître, autoriserait l’infanticide, supprimerait les lois de protection de la conscience pour les travailleurs de la santé, permettrait le financement de l’avortement par les contribuables, et plus encore. Le projet de loi HB 2467 abrogerait la Parental Notice of Abortion Act de 1995, ce qui permettrait aux mineures de se faire avorter sans autorisation parentale. Les projets de loi sont si extrêmes que des milliers de citoyens ont envahi le capitole de l’Illinois en signe de protestation...
Le projet de loi abroge également l’interdiction étatique de l’avortement par naissance partielle. Une infirmière, après avoir été témoin d’un avortement par naissance partielle D&X, a raconté :
« ... [Il] introduisit les forceps et attrapa les jambes du bébé [...] Puis il sortit le corps et les bras, jusqu’au cou.
À ce moment-là, seule la tête du bébé était encore à l’intérieur. Le corps du bébé bougeait. Ses petits doigts se serraient les uns contre les autres. Il donnait des coups de pied. Pendant tout ce temps, sa petite tête était encore prise à l’intérieur. Puis le Dr Haskell a pris une paire de ciseaux et l’a plantée à l’arrière de la tête du bébé. Puis il a enfoncé un tube d’aspiration très puissant dans le trou et a aspiré le cerveau du bébé. J’ai failli vomir en le regardant faire ces choses.
Ensuite, le Dr Haskell a mis au monde la tête du bébé… »
Avortement tardif : Québec pourrait rapatrier la totalité de la pratique
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxhere
Pétition : Non à l’avortement tardif au Québec
Le Premier ministre du Québec, François Legault, pense à faire exécuter au Québec la totalité des avortements tardifs demandés par des Québécoises, une partie d’entre ces demandeuses étant envoyées aux États-Unis pour diverses raisons, afin de faire tuer leur bébé. La raison du rapatriement de l’avortement tardif ne provient pas d’un souci chez le gouvernement québécois de garder les emplois aux Québec, mais de la crainte (non fondée) d’une interruption dans les interruptions de grossesses (euphémisme pour avortement) aux États-Unis, crainte qui se fonderait sur les progrès (plutôt fictifs) des lois pro-vie dans ce même pays et du réagencement possiblement pro-vie de la Cour suprême américaine.
Je ne comprends pas l’agitation actuelle des médias pro-avortements, dont ceux du Québec, autour de quelques lois à teinte pro-vie dont l’efficacité laisserait à désirer s’il y avait seulement la possibilité de les appliquer ; les lois de l’Alabama, du Missouri et de la Géorgie ont été notamment visées par la meute médiatique ; par-dessus tout, je ne comprends pas les craintes de François Legault ou celles des membres de son cabinet au sujet d’une improbable impossibilité de faire exécuter le sale boulot par les Américains, vu que de toute façon, si une loi doit se rendre en Cour suprême et renverser le « droit » à l’avortement, ça ne fera pas en deux coups de cuillère à pot. D’après La Presse :
Lire la suiteDevant l’évolution du débat juridique sur l’avortement aux États-Unis, le gouvernement du Premier ministre François Legault souhaite que toutes les femmes québécoises qui demandent une interruption de grossesse tardive puissent être traitées à l’avenir dans la province, quel que soit le motif de leur décision, plutôt que d’avoir à se rendre dans des cliniques spécialisées américaines.
En un an, l'avortement tardif a tué 4 fois plus d'humains à New York que les homicides (ordinaires)
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il faut aussi remarquer que le signalement du nombre d’avortements n’est pas une obligation pour les États américains, d’ailleurs tous ne le révèlent pas, par conséquent le nombre réel d’avortements est inconnu. Extrait de LiveActionNews :
Les données les plus récentes des Centers for Disease Control révèlent que plus de quatre fois plus d'êtres humains ont été tués par avortements tardifs (21 semaines ou plus tard) dans l’État de New York que par homicides [ordinaires] enregistrés en 2015, ou 1485 avortements pour 352 homicides. Au CNS News, Terence P. Jeffrey écrit qu'en dépit de ce fait, le New York Times a récemment avancé l'idée, comme la plupart des grands médias répétitivement, que les avortements tardifs comme ceux-ci sont « rares ».