500 000 avortements sélectifs (selon le sexe) en Inde, par année, plus les infanticides...
Sur le site de genethique.org du 11 avril 2013 :
En Inde, les femmes subissent une véritable discrimination que ce soit au travail ou à la maison, et "les avortements comme les infanticides deviennent un problème d'ampleur nationale". Ainsi, "les Nations Unies estiment à environ 500 000 chaque année le nombre d'interruptions volontaires de grossesse [IVG] destinées à éviter la naissance d'une fille", des avortements "pratiqués en cachette et dans des conditions douteuses par des médecins peu scrupuleux. Et les infanticides sont dramatiquement fréquents".
Selon la journaliste, "cette discrimination prénatale et postnatale s'est accrue dès que les femmes ont eu accès à des méthodes permettant d'identifier le sexe de l'enfant, menant ainsi à de nombreux avortements". Et une étude menée par l'ONG Action Women of India à New Delhi a révélé que cette pratique se retrouvait dans toutes les classes indiennes et "que même les femmes les plus éduquées pouvaient passer par plus de huit avortements pour s'assurer de donner naissance à un garçon".
Ah oui, la Fédération des femmes du Québec et le Conseil du statut de la femme préconisent « l'éducation » pour lutter contre l'avortement sélectif... mais les présidentes de ces associations ne veulent toujours pas qu'une restriction soit appliquée à la pratique de l'avortement. Pensée magique, quand tu nous tiens...
Visionnement du film : It's a girl
Il y aura un visionnement du film "It's a girl" sur le phénomène mondial de l'avortement sélectif selon le sexe le lundi, 25 mars à 20h40 dans l'édifice SSMU de l'université McGill (dans la salle de bal "Ballroom"). Tous sont invités.
Voici le message que j'ai reçu de la présidente du groupe pro-vie à McGill, Choose Life:
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Hey Everyone!
It's finally here!
Choose Life is hosting a massive screening of the movie It's A Girl: The Three Deadliest Words in the World, in just 10 DAYS!
It's A Girl is a documentary about sex-selective abortion in India, China, and other parts of the world. It tells about the 200 million girls missing from the world today, because they were aborted, for being girls. It also follows the hardships of girls living in these countries as they grow, live, and marry, and are at risk of continued violence, trafficking, and abandonment by the cultures and government policies that would have aborted them.
It's A Girl also looks at the paths towards change, what's being done now, and what can be done, to save women from the injustice of abortion and abortion-minded cultures.
Watch the trailer here: http://www.itsagirlmovie.com/
This is Choose Life's biggest event of the year and is part of our Life Week this semester, of which the theme is sex-selective abortion.
It will be held on Monday, March 25, at 8:40 pm in the McGill University SSMU building Ballroom at 3600 McTavish Street. Everyone is welcome! Please invite your friends too! Snacks and beverages will be served.
There is a Facebook page for this event: http://www.facebook.com/events/321374744651542/
For more information, contact Lizzy Carnogursky at 514-258-4100 or at [email protected]
See you there!
For LIFE!
Lizzy Carnogursky
President, Choose Life
Choose Life sincerely thanks Shadowline Films for giving us the permission to screen It's A Girl, and the National Campus Life Network for their help in obtaining this film.
L'avortement sexo-sélectif ou le foeticide féminin -- les causes
Nous poursuivons, avec ce deuxième article, notre série de six articles sur l'avortement sexo-sélectif ou le foeticide féminin. Nous espérons par ces articles faire la lumière sur ce phénomène global inquiétant. (Pour voir partie 1)
Vous pouvez signer ici une pétition contre l'avortement sélectif.
L’avortement sélectif selon le sexe s’est implanté grâce à la conjugaison de trois facteurs : la réduction de la taille des familles (fortement encouragée par les États), la volonté des familles d’avoir un garçon à tout prix et la diffusion de l’échographie permettant de connaître le sexe de l’enfant à naître. Le gouvernement chinois interdit l’avortement sélectif dans sa loi, mais laisse faire dans la pratique. Par contre, il sait déjà qu’il se dirige vers un grave problème de dénatalité lui aussi. Des millions d’hommes sans femmes, enfants, frères, soeurs, oncles, tantes, seront seuls dans la vie et sans soutien pour leurs vieux jours.
Les autorités chinoises appréhendent un scénario démographique catastrophique dès 2050 car si rien ne change, la Chine aura la population la plus vieille au monde avec plus de 100 millions de personnes de plus de 80 ans. En même temps, les 65 à 79 ans constitueront 25% de la population. À Shanguaï ce scénario apocalyptique est déjà réalité. Pour résoudre le problème, le gouvernement autorise les jeunes couples à avoir deux enfants au lieu d’un. Mais rien n’y fait. Les couples choisissent plutôt zéro enfant et ils utilisent leur double salaire pour mener une vie plus confortable dans le contexte d’un boum économique sans précédent.
Le gouvernement indien a décidé de faire une campagne de sensibilisation en affirmant que de laisser faire l’avortement sélectif des petites filles est un crime contre l’humanité. Les autorités font fermer des cliniques d’avortement et accusent les médecins...mais la corruption gangrènent le système. Les médecins attendent librement et impunément de nombreuses années avant de passer en cour, la majorité ouvre rapidement de nouvelles cliniques sous d’autres noms et continue de pratiquer des échographies et des avortements en toute impunité pendant l’attente de leur procès. Plusieurs parmi eux ne sont mêmes pas médecins. La majorité des inspecteurs du gouvernement ferment les yeux et laissent faire...probablement en échange d’argent. Des personnes ont fondé des brigades qui vont dans les villages faire promettre aux femmes de ne pas tuer leurs filles.
Mais l’avortement sélectif fait maintenant partie de la culture de masse. Même si tous le déplorent, tous le tolèrent et tous se taisent. Une femme qui n’arrivepas à avoir un garçon vit de grandes pressions de toute la famille, même de tout le village. Une femme qui dénonce les avorteurs est mise au banc de la société, car tout le monde en Inde trouve son compte dans l’avortement sélectif. La connaissance du sexe de l’enfant et l’élimination des foetus féminins est plus efficace que l’infanticide des petites filles qui était déjà en usage dans les pays d’Asie depuis des temps immémoriaux. L’échographie a accentué gravement le phénomène en permettant de les éliminer à la source, dès le ventre de la mère.
Il faut noter une nette différence géographique de ce problème qui est aigüe au nord-ouest de l’Inde mais n’existe pas dans le sud où le ratio garçons/filles est le même que sur l’ensemble de la planète. La raison en est que le catholicisme y est florissant et que cette religion possède et promeut le sens sacré de la vie humaine. Ainsi on n’avorte pas les filles... Alors que les campagnes de sensibilisation du gouvernement indien ne donnent aucun résultat tangible pour la protection des filles, on constate l’impact réel des valeurs chrétiennes sur une société donnée pour protéger la vie des fillettes. Évidemment, ça fait partie d’un tout, ces mêmes valeurs chrétiennes contribuent aussi à la promotion de l’éducation des filles et de l’amélioration de leur statut social.
Suite à venir : Les conséquences sociales.
L'avortement sexo-sélectif ou le foeticide féminin -- les faits
Aujourd'hui débute une série de six articles sur l'avortement sexo-sélectif ou le foeticide féminin. Nous espérons par ces articles faire la lumière sur ce phénomène inquiétant, répandu à l'échelle mondiale.
Vous pouvez signer ici une pétition contre l'avortement sélectif.
Par avortement sexo-sélectif ou foeticide féminin, nous voulons dire la mise-à-mort intentionnelle et directe de l'enfant à naître féminin pour la simple raison que les parents désiraient un garçon.
L’avortement sélectif des foetus féminins a cours depuis les années 1980 en Asie. Il s’est développé en même temps en Chine, à Taïwan, en Corée du Sud. Et pourtant, seule la Chine avait imposé la politique de l’enfant unique. Le ratio homme/femme actuel est de 124 garçons pour 100 filles en Chine et dans certains villages, il est de 150 garçons pour 100 filles. Plus de 55 % des femmes chinoises ont vécu au moins un avortement.
Le nord-ouest de l’Inde vit le même problème, avec un déséquilibre de plus de 125 garçons pour 100 filles. En Inde, plus il y a d’échographies, moins il y a de filles. Toutes les couches de la population sont touchées. La réalité fait mentir l’idée que l’éducation peut endiguer le problème car cela est maintenant statistiquement prouvé, ce sont les femmes éduquées et mieux nanties qui choisissent d’elles-mêmes d’avorter leurs filles. Le sud de l’Inde, influencé par le christianisme pour qui le respect de la vie humaine est sacré, a échappé à cette forte tendance.
On a aussi découvert un grand déséquilibre du ratio garçons/filles au Pakistan, au Bengladesh, en Iran, au Vietnam, au Népal, en Albanie, en Azerbaïdjan, en Arménie et en Géorgie. Pour tous ces pays, l’avortement sélectif se manifeste surtout si leur premier enfant est une fille, sinon le ratio demeure normal. Dans tous ces pays, le peu de valeur accordée aux femmes a été accentué par l’arrivée de l’échographie qui a transformé cette réalité en crise démographique. Certains spécialistes parlent déjà d’un gendricide où des millions de parents font appel à diverses techniques pour s’assurer une descendance masculine. On peut aussi parler d’une certaine forme d’eugénisme.
L’Europe et l’Amérique découvrent avec stupéfaction que ces pratiques ont été importées sur leur sol par les minorités ethniques en provenance de ces mêmes pays et qu’en échange d’argent ou à cause des idéologies pro-avortement en place les médecins-gynécologues n’hésitent pas à réaliser l’intervention. Dans les sociétés occidentales, il est désormais reconnu un droit de mort des parents sur leurs enfants à naître et ce droit a préséance sur le droit de vie de l’enfant. La découverte de la réalité de l’avortement sélectif en Angleterre, accompagnée de preuve en caméra cachée, fut un choc national.
Par contre, les enquêtes semblent aussi démontrer que l’avortement sélectif existe aussi chez les Européens afin d’équilibrer les familles. Ainsi, cette sélection du sexe à avorter dépend du sexe des premiers enfants dans la famille et elle n’est pas centrée sur les fillettes. Cette pratique, peu documentée, est constatée assez nettement en France par exemple. Aux États-Unis aussi des caméras cachées ont prouvé que cette réalité existe et se répand. Au Canada, la découverte de cette réalité s’est faite en 2012 par une étude statistique réalisée sur les naissances dans la ville de Toronto entre 2002 et 2007.
Les chiffres parlant d’eux-mêmes, la déduction est implacable : l’avortement sélectif existe aussi au Canada où le ratio garçons/filles des communautés indiennes et coréennes est nettement supérieur à tous les autres groupes ethniques composant la société canadienne. Par exemple, le ratio est de l’ordre de 136 garçons pour 100 filles lors de la 3e grossesse pour la communauté indienne. De plus, une enquête menée par CBC a permis de prouver l'existence réelle de ce fait au Canada. L'homme qui a révélé cette étude dans le journal de l'Association Médicale Canadienne, Dr Rajendra Kale, en a payé le prix.
Suite à venir : Les causes.
L'avortement sélectif est en hausse en Europe
Sur le blog de Jeanne Smits du 8 janvier 2013:
(Le député Warawa a déposé une motion au parlement canadien pour condamner l'avortement sélectif)
C'est une étude des Nations unies qui l'affirme : le nombre des avortements sélectifs des filles va croissant en Europe, une tendance qui se lit dans les statistiques de naissance où les garçons sont de plus en plus sur-représentés. L'Inde, la Chine et autres pays « émergents » n'ont plus l'apanage de ces tristes statistiques rendues possibles par l'existence de ce qu'il est convenu d'appeler « l'interruption volontaire de grossesse » : dès lors qu'elle est légale à la demande, en effet, pourquoi se priver ?
Sans vraiment de surprise on notera que c'est dans des pays européens à forte présence musulmane que cette préférence « culturelle » pour les garçons se traduit par un surcroît de naissances « mâles » : en Albanie, il en naît 112 pour 100 filles ; au Kosovo la proportion est de 110 pour 100 ; au Montenegro, 109.
Le taux ordinairement constaté à travers le monde est de 105 naissances de garçons pour 100 naissances de filles, un déséquilibre dû à la prévoyance de la nature – pour ne pas dire la Providence – pour compenser la plus forte mortalité des bébés et des enfants mâles et aboutir, dans une région donnée, à l'équilibre entre hommes et femmes. (...)
Pour signer une pétition contre l'avortement sélectif, suivez ce lien !
Campagne Québec-Vie, mouvement pour la protection de toutes les femmes, a lancé une pétition contre l'avortement sélectif
Alors que des mouvements dits "féministes", s'arrogeant le droit de parler au nom de toutes les femmes, réclament le respect du "droit" de tuer les femmes à naître parce qu'elles sont des femmes, Campagne Québec-Vie, le véritable mouvement de défense des droits de toutes les femmes, pas seulement de celles qui ont le pouvoir de faire partie d'une petite association, de parler, de faire valoir "leurs" droits au détriment des femmes qui ne peuvent parler et se défendre, mais aussi de celles encore présentes dans le sein de leur mère, lance une pétition contre l'avortement sélectif. Pour plus d'informations et pour signer la pétition, cliquez ici.
Déjà 600 personnes ont apposé leur signature. La vôtre y sera-t-elle?
Au Pendjab, la méthode forte permet de combattre l'avortement sélectif
Sur le site de msn.com du 31 juillet 2012:
(échographie au Pendjab)
C'est un spectacle peu commun qu'offre, dans le nord de l'Inde, la maternité rudimentaire de l'hôpital public du district de Nawanshahr: des mères viennent d'accoucher d'une fille et les nouveaux parents la bercent tendrement, un changement radical de comportement dans une région où les filles étaient autrefois victimes d'infanticides.
Jusqu'en 2004, Nawahshahr, dans l'Etat rural du Pendjab, était connu pour son déséquilibre abyssal entre les sexes, avec un ratio annuel de 795 filles pour 1.000 garçons à la naissance.
Mais la situation s'est profondément modifiée ces huit dernières années. En 2011, le ratio s'était redressé à 949 filles pour 1.000 garçons, revenant presque à l'équilibre naturel de 952 pour 1.000.
Ce succès fulgurant dans un pays où les femmes restent soumises à une forte pression sociale pour engendrer des garçons, vus comme une chance pour la famille, s'explique par les vigoureuses méthodes des autorités: elles surveillent les grossesses et font pression sur les parents, quitte à leur faire honte si elles cherchent à supprimer les filles.
Menée conjointement à une campagne de sensibilisation contre le foeticide de filles et l'avortement sélectif, cette stratégie a vite payé.
- Les échographies mises en cause -
En deux ans, près de deux tiers des centres d'échographie de Nawanshahr ont été fermés ou contraints à suspendre leurs activités pour violation de la loi.
Grâce à des femmes enceintes ayant accepté de se faire passer pour des patientes, les autorités ont réussi à piéger en caméra cachée trois médecins qui leur proposaient de choisir le sexe de leur bébé.
Dans cette société conservatrice, la fille représente souvent une charge financière pour les parents, contraints de verser une dot à la belle-famille lors de son mariage. Le garçon est en revanche valorisé car il rapporte une dot à sa famille lors de son mariage et en raison de son rôle primordial lors des cérémonies hindoues pour les crémations.
Lors du dernier recensement en Inde, en 2011, le pays a découvert que l'écart entre le nombre de filles et de garçons à la naissance n'avait jamais été si élevé depuis l'indépendance en 1947.
(...)
Le plus simple serait de fermer les cliniques d'avortements... Pourquoi est-il répréhensible d'avorter une fille et acceptable d'avorter un garçon?
Une vidéo montre comment les cliniques d'avortements réagissent concrètement face à l'avortement sélectif...
Sur le site de Nouvelle de France du 8 juin 2012 (via le Salon Beige):
Arizona (États-Unis). La troisième vidéo, tournée en caméra cachée, de la série « Genrecide : La sélection du sexe en Amérique », produite par Live Action, vient de paraître. On y voit le personnel de deux centres d’avortement d’Arizona, affiliés à la National Abortion Federation, consentir à la pratique d’un avortement d’une petite fille en raison de son sexe.
Un vrai scandale dans un État (un des quatre aux États-Unis) qui interdit les avortements sélectifs… La loi s’appliquant à des avortements réels, ce qui est filmé en caméra cachée n’est pas, à proprement parler, illégal, mais montre au grand public (hostile à l’avortement en raison du sexe de l’enfant) que le personnel de ces centres est disposé et habitué à violer la réglementation.
Pour voir la vidéo (en anglais seulement) cliquez ici.
Témoignage d'une Indo-canadienne survivante de l'avortement sélectif...
La première chaîne de Radio-Canada a traité de la question de l'avortement sélectif dans un reportage de Julie-Anne Lamoureux du 16 avril 2012. On peut y entendre, à 5'23", un témoignage d'une jeune Indo-canadienne, Kiram Samra, que nous retranscrivons ici:
(enfants retrouvés dans les cours d'eau en Chine, résultat d'avortements sélectifs)
Je suis la 3e fille de ma famille, et en fait, ma mère, elle m'a dit qu'ils ont continué d'essayer d'avoir un garçon et que, quand elle était enceinte avec mon frère, qu'ils ont fait un test pour savoir le sexe, donc il était le quatrième, donc, s'ils avaient pensé de faire cela un an plus tôt, je serais peut-être pas là. Je sais que quand j'étais né, toute la famille est venu voir ma mère comme si il y avait un mort dans la famille.
Petite question aux groupes "pro-choix": valait-il mieux que cette fille soit morte plutôt que d'imposer une règlementation restreignant l'avortement?
Des règles plus sévères en Inde contre l'avortement sélectif qu'au Québec...
L'Inde peut faire la leçon au Québec. Là-bas on tente d'instaurer l'interdiction des avortements faits selon le sexe de l'enfant. Le site du journaldesfemmes.com du 6 avril 2012 nous apporte cette nouvelle (via le Salon Beige):
Dans le nord de l'Inde, PLAN a mis en œuvre, pendant neuf mois, un programme afin de renforcer les actions en cours au sein de 5 districts de la région de Bihar (Nalanda, Vaishali, Gaya, Saran et Madheypura).
Le présent projet part du constat que l'enregistrement des nouveaux nés s'avère être un outil utile pour suivre le taux de répartition entre les sexes, l'administration locale ne possédant aucune archive sur le fœticide et la diminution du nombre des filles.
Un groupe de travail a alors analysé les données liées à l'enregistrement des naissances et les a utilisé comme instrument de mise en œuvre de la Loi sur le Diagnostic Pré Natal dans les régions où le taux de répartition entre les sexes est en baisse.
La loi sur le Diagnostic Pré Natal rend l'avortement illégal en cas de sélection par le sexe : un amendement du Parlement a bannit toute forme de test propre à déterminer le sexe de l'enfant. Sa mise en vigueur est cependant complexe dans la mesure où les services d'échographie sont très sollicités et une surveillance policière difficile à mettre en place.
Bannir toute forme de test propre à déterminer le sexe de l'enfant, n'est-ce pas ce qu'un médecin canadien d'origine indienne voulait instaurer, jusqu'à la 30e semaine de grossesse, et que certaines féministes extrémistes ont refusé?