Maman, violée à l’âge de 16 ans, réunie 77 ans plus tard avec le bébé qu’elle a donné en adoption
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
C’était en 1928. Minka Disbrow, 16 ans, pique-niquait dans les bois avec une amie quand trois hommes se sont approchés. L'un des hommes faisait le guet. Les deux autres hommes les ont violées.
Quelques mois plus tard, Disbrow, décrite comme une fille de ferme naïve, a découvert qu'elle était enceinte.
Elle a donné naissance à une petite fille, qu'elle a nommé Betty Jane. Et Disbrow prit la décision difficile de placer sa fille en adoption, en disant: « Ça fait mal. Ça fait mal de la donner parce que j’ai été avec elle pendant un mois entier. Mais je savais que c’était le meilleur pour elle et je devais continuer ma vie. Je devais continuer. »
Voir la vidéo: Mother meets daughter for first time after 77 years by LittleThingsVideo on Rumble
Lire la suiteJ'ai été violée par mon fiancé. Et j'ai découvert que j'étais enceinte de lui.
Par Robyn McLean pour LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Je ne pouvais croire que j'étais enceinte : « Comment ai-je pu en arriver là, me disais-je? »
J'avais dit à mon fiancé que je ne voulais plus coucher avec lui. Je voulais attendre jusqu'au mariage. Ma conscience et ma relation si dégradée avec Dieu me déchiraient.
Alors il m'a prise de force.
Cela recommença plusieurs fois, même si ce n'était pas toujours sous la menace du : « si tu ne me le donnes pas, je le prendrai. » D'une manière ou d'une autre, c'était toujours contre ma volonté.
A cette époque (hiver 2009 - printemps 2010), j'avais discuté avec lui, je voulais le quitter. A vrai dire, ce n'était pas vraiment une discussion. Il m'a attaché les poignets et chevilles, et je restais là sur le sol, impuissante, dans le salon de son apartement.
Je le suppliais de me libérer de mes liens. Mais il commença à remplir d'eau une casserole. Ensuite il a chauffé à blanc un ustensile en métal. Je le suppliais de plus belle, dans une grande panique. Finalement, il m'a rejoint avec l'ustensile brûlant et l'a plongé dans l'eau juste devant mon visage. Alors au contact de l'eau le métal brûlant grésilla. Et il m'a dit : « Maintenant imagine quelle brûlure ça te ferait sur la peau. »
Merci Seigneur, parce que ce fut une menace qu'il ne mit jamais à exécution. J'ai été cependant frappée à coup de bâton, et rouée de coups. Dans ma relation avec mon fiancé, j'ai été victime d'une grande violence à la fois physique, morale, verbale et sexuelle.
Maintenant j'ai un bébé.
Lire la suiteMon père viola sa fille. Et je suis leur enfant. Voici mon histoire.
Par Rowena Slusser de SaveThe1 - Traduit par Campagne Québec-Vie
Je partage mon histoire pour chaque fille qui vit dans le silence, et afin que toute personne comprenne que chaque vie a une valeur et mérite d’être protégée.
J’ai été conçue d’un viol incestueux entre un père et sa fille. Ma mère, Becca, a été battue et abusée sexuellement par son père tout au long de son enfance, et elle avait 15 ans quand je suis née. Un médecin lui a proposé un avortement, et lui a demandé si elle avait été une « mauvaise fille », ce à quoi elle a répondu par la négative : elle ne comprenait vraiment pas ce que son père lui avait fait.
Ce médecin n’a pas su l’aider à se libérer de sa situation d’enfant battue. De même, les services de protection de l’enfance n’ont pas su protéger ma mère, malgré qu’ils aient été appelés par les autorités scolaires, alors que ma mère leur avait dit à l’école ce qu’elle subissait.
Lire la suiteLui ayant dit que j’étais née d’un viol, elle me demanda de lui expliquer pourquoi je n’aurais pas dû être avortée
Rebecca Kiessling (Photo: Steve Jalsevac, LifeSiteNews)
Par Rebecca Kiessling de SaveTheOne - traduit par Campagne Québec-Vie
Pourquoi devrais-je prouver ma valeur personnelle et mon droit à la vie ? Lorsque j’ai appris, à l’âge de 18 ans, que j’étais le fruit d’un viol, je me suis immédiatement sentie visée et dévaluée par notre société parce que je savais très bien ce qu’elle pensait des grossesses «causées par viol». Je me suis vue dans l’obligation de justifier ma propre existence et d’expliquer pourquoi je n’aurais pas dû être avortée et pourquoi je méritais de vivre.
Depuis ce temps, j’ai évolué et j’ai découvert ma propre valeur ainsi que mon identité dans le Plan de Dieu, ayant été créée à son Image, et je ne ressens plus le besoin de justifier mon droit à la vie pour être heureuse. Reconnaissante d’avoir été sauvée d’un avortement, je m’efforce de partager mon expérience au bénéfice de ces bébés qui sont à risque puisqu’ils sont dans la mire des législateurs et des bien-pensants.
Lors de mes conférences, je n’hésite pas à faire allusion à mon cas personnel et je suscite souvent l’étonnement dans mon auditoire lorsque je leur dis que je dois, encore aujourd’hui, prouver mes positions ainsi que mon droit à la vie. En voici un exemple. Je recevais récemment ce message e-mail que j’ai trouvé dur à lire mais auquel j’ai réussi à répondre dans la prière et la patience :
Lire la suiteEnceinte à 14 ans après avoir été violée, j’ai entendu Dieu me dire que le sang de mon bébé est innocent
Par Crystal Blount de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Je suis devenue mère suite à un viol. Je sais ce que pensent bien des personnes de l’avortement dans les cas de viol, et je partage mon histoire pour qu’un autre point de vue soit considéré. Je peux comprendre comment ce sujet peut apporter un pincement au cœur, et comment il peut sembler vraiment difficile de considérer réalisable qu’une femme violée puisse poursuivre sa grossesse, et que pour certains cela soit même impossible d’imaginer ou de comprendre.
J’avais l’habitude de croire que j’étais la seule à qui cela était arrivé. Je ne suis pas seule, cependant, et maintenant, j’ai beaucoup d’amies ayant vécu une même situation; ensemble nous nous en sortons plus fortes.
Lire la suiteUne femme qui a choisi de garder son enfant après un viol brutal à 12 ans n'a aucun regret; elle dit que sa fille en valait la peine
![]() |
Lianna Rebolledo, 35 ans, dit qu'elle se rend compte maintenant que sa fille lui a sauvé la vie et l'a aidée à trouver la guérison dont elle avait désespérément besoin. |
Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Lianna Rebolledo avait seulement douze ans et se promenait près de sa maison à Mexico City lorsqu'elle fut soudainement kidnappée par deux hommes et brutalement violée. Les attaquants laissèrent la jeune fille à demi-morte, le visage et le cou horriblement défigurés. Ce que les agresseurs ne savaient pas, c'est qu'ils ont aussi laissé Lianna avec le début d'une nouvelle vie en elle.
«C'était très violent. Honnêtement, j'ai pensé qu'ils allaient me tuer», a-t-elle déclaré à LifeSiteNews dans une interview vidéo à Washington, D.C. la semaine dernière.
Lire la suiteAprès avoir été violée à 13 ans, une merveilleuse jeune fille de l’Indiana a choisi la vie !
Par Monica Kelsey de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a deux ans, nous vous avons raconté l’incroyable histoire d’Ashley, une extraordinaire jeune fille de 13 ans d’Elwood, dans l’Indiana, qui a été violée par un ami de son frère et est tombée enceinte. Ashley a poursuivi son violeur, et il a été accusé et reconnu coupable de trois chefs d’accusation, étant donné qu’Ashley n’était pas sa seule victime. Cette histoire a touché les cœurs de millions d’Américains, alors que cette jeune fille a décidé de mener à terme sa grossesse et a donné naissance à un beau petit garçon qu’elle a nommé Aiden.
Via sa page Facebook officielle, même l’organisation Planned Parenthood de l’Indiana a donné son point de vue sur cette histoire en publiant un lien vers un article paru dans le Indianapolis Star, en disant ceci: « Comme cet article le souligne, de déchirantes histoires de ce genre sont trop fréquentes dans l’Indiana, qui occupe le deuxième rang pour ce qui est du nombre d’agressions sexuelles chez les adolescents. Une éducation sexuelle complète peut faire une différence dans la prévention des agressions sexuelles. » Il semble que Planned Parenthood estime que donner aux violeurs plus d’éducation sexuelle va les empêcher de violer des femmes.
Lire la suite15 000 personnes bondissent de joie à l'écoute de cette histoire pro-vie -- Parmi elles, des évêques,des cardinaux et un nonce apostolique
Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
WASHINGTON, D.C., 27 janvier 2015 (LifeSiteNews.com) - Lorsqu’il était jeune, l’abbé Mario Majano, 28 ans, croyait qu’un héros était un personnage de bandes dessinées, genre de surhomme toujours prêt à l’action éclatante.
Au long des ans, ce genre de héros a été remplacé chez lui par l’image de celui qui se porte volontaire pour mettre son prochain à l’abri du danger. C’est ce qu’il affirma lors d’une messe pro-vie au Verizon Center de Washington, D.C., en présence de nombreux prélats dont les cardinaux Donald Wuerl et Timothy Dolan et son excellence Mgr Carlo Maria Vigano, nonce apostolique aux États-Unis. Cet événement avait attiré environ 15 000 jeunes.
«Je crois maintenant que le véritable héros est celui qui ne se laisse absolument pas intimider par personne lorsqu’il s’agit de se porter à la défense des plus vulnérables de la société, surtout lorsqu’il est persuadé que la cause est juste et en conformité avec le plan de Dieu.»
L’abbé Majano raconta alors l’histoire d’un tel héros, une femme qui «malgré obstacles et difficultés est demeurée ferme dans ses convictions alors que tout dans sa vie semblait vouloir l’en détourner.»
Des trois difficultés majeures qu’elle dut affronter, la première se présenta à elle lorsqu’étudiante au secondaire elle devint enceinte suite à un viol.
«Sa famille s’étant désintéressée de son sort, elle se sentit seule et pratiquement abandonnée» dit l’abbé Majano, vicaire à la paroisse Our Lady of Sorrows de Takoma Park et directeur adjoint du Service des vocations sacerdotales de l’archidiocèse de Washington.
Cette femme se fit dire par l’une de ses amies qu’elle «ne méritait pas de vivre une telle situation», privée qu’elle était de tout soutien.
«Ceci est trop pénible pour toi, ajouta-t-elle, prend la solution qui s’impose et fais-toi avorter.»
Comme le rapporte l’abbé Majano, «cette femme répondit qu’elle ne pourrait jamais vivre sa propre vie en sachant qu’elle avait supprimé la vie d’une autre personne (son enfant)».
Et il ajouta :« Elle dit Non à l’avortement et Oui à la vie».
La deuxième difficulté majeure se présenta à elle lorsqu’elle tomba enceinte d’un conjoint qu’elle aimait beaucoup mais qui refusait de s’engager dans les liens du mariage. Sa famille lui conseilla de se faire avorter afin de ne pas à avoir à élever deux enfants en l’absence d’un père. La famille alla jusqu’à lui offrir de défrayer les coûts de l’avortement.
Lire la suiteAgressée sexuellement pendant un voyage d’affaires… Mon mari et moi avons choisi la vie!
Par Jennifer Christie de SaveThe1.com, traduit par Campagne Québec-Vie
En janvier, l’an dernier, j’étais en voyage d’affaires et je restais dans un petit hôtel d’une ville universitaire. D’habitude, je suis plus consciente de mon environnement, mais il neigeait et ventait tellement fort ce jour-là que je n’aurais pas pu l’entendre arriver même s’il avait été bruyant. Tout est arrivé si rapidement. J’ai ouvert la porte, je me suis retournée pour la fermer et il était là, un homme immense. Je n’ai pas eu peur tout de suite, j’étais simplement perplexe. En l’espace de quelques secondes, il m’a frappée au visage. Je ne me rappelle pas avoir été tirée hors de la chambre, mais on m’a trouvée dans la cage d’escalier. Je ne sais pas pourquoi, j’essayais peut-être de trouver de l’aide.
Les tests de la trousse médico-légale se sont tous révélés négatifs. Pas de VIH, de gonorrhée, de chlamydia, de syphilis, d’herpès ou de dizaines d’autres choses dont je n’avais jamais entendu parler. Dieu est bon.
Le mois suivant, je travaillais sur un bateau de croisière. Atteinte de dysenterie dès le deuxième jour, je n’allais toujours pas mieux malgré mes antibiotiques. On m’a donc emmenée dans ce qui servait d’hôpital à Carthagène en Colombie. Comme on craignait une obstruction abdominale, on m’a fait passer une échographie. C’est là qu’on a vu le petit pois, mon fils. Joyeuse Saint-Valentin.
Avortement et viol sont deux traumatismes : le premier ne peut résoudre le second...
Sur le blog de Jeanne Smits du 17 novembre 2014 :
(Photo : Steve-©-foto sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Dans le viol suivi d'une fécondation, c'est-à-dire là où est conçue une nouvelle vie humaine, il y a deux victimes : la mère (la femme violée) et l'enfant.« Le fruit de cet acte violent est un “enfant innocent” qui a droit à la vie et qui ne porte pas la culpabilité de cette action si brutale. Ce n'est pas “l'enfant innocent” qu'il faut punir en le tuant : il faut poursuivre et châtier le violeur avec tout le poids de la loi. » (...)