Josef Mengele, « l’ange de la mort » d’Auschwitz, devint avorteur
Josef Mengele.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le nom de Josef Mengele est très connu de beaucoup. Ce docteur allemand nazi avait aidé le Troisième Reich à assassiner des millions de personnes, notamment à Auschwitz. Il était l’un des 30 médecins qui travaillaient dans le camp de concentration et Mengele aurait acquis le surnom « ange de la mort » avec son comportement froid et cruel, choisissant lui-même les prisonniers à tuer. Il passait souvent du temps, même lorsqu’il ne travaillait pas, à choisir des personnes pour ses expériences macabres, ayant une prédilection pour les jumeaux, ce qui l’a rendu célèbre.
Mengele avait une obsession non seulement en ce qui regardait les jumeaux, mais aussi avec les yeux. Ses expériences macabres sur les prisonniers étaient souvent faites lorsqu’ils étaient encore vivants, les amputant, les empoisonnant, les contaminant avec des maladies et leur injectant des produits chimiques dans les yeux. Il recherchait aussi des prisonnières enceintes pour ses expériences, lors desquelles elles étaient tuées avec leurs bébés à naître.
L’histoire méconnue de Mangele prit place après la libération des camps de concentration, lorsque l’Allemagne hitlérienne tomba. Quand Mangele fut appréhendé par des soldats alliés, ceux-ci ignoraient qu’il était sur la liste des criminels de guerre recherchés et il put ainsi se sauver en Argentine. Cependant, Mangele ne mena pas une calme vie de remords et de pénitences. Son fils Rolf raconte que son père n’avait jamais ressenti de remords ou de culpabilité pour ses actes commis durant l’Holocauste. Mengele se remit même rapidement à tuer, seulement cette fois-ci il décida de travailler en tant qu’avorteur.
Le gouvernement d’Argentine a émis des documents prouvant que le gouvernement de l’époque avait activement aidé les criminels de guerre à échapper à la justice. Ces documents prouvent aussi que Mengele perpétrait des avortements de façons illégales dans le pays.
Bien que Mengele n’eût aucun permis médical en Argentine et que les avortements étaient illégaux, il obtint une « réputation de spécialiste en avortement. » Il tua au moins une femme et fut pour cela brièvement détenu sur ordre d’un juge. Cependant, il fut libéré lorsqu’un de ses amis se présenta à la salle d’audience tenant un « paquet contenant vraisemblablement une grande somme d’argent. »
En 1979, Mengele décéda d’un accident vasculaire cérébral alors qu’il nageait, coulant dans l’eau. Son corps fut enterré sous le nom de « Wolfgang Gerhard ». Lors de l’exhumation de son corps en 1985, il fut positivement identifié en tant que Mengele.
Les recherches ont révélé que les nazis forçaient des femmes à être stérilisées ou à avoir un avortement. Pendant que lesdites femmes aryennes n’avaient pas le droit d’avoir des avortements, les femmes non aryennes étaient fortement incitées à y recourir, ainsi qu’à la contraception. Le fait qu’un homme comme Mengele, qui suivait la ligne nazie en déshumanisant des gens régulièrement, devint un avorteur n’est pas surprenant.
Après tout, pour faire des avortements, une personne doit faire la même chose que pendant l’Holocauste : nier l’humanité d’une personne afin de la tuer de façon plus aisée.
Planned Parenthood et l’avortement : du sang sur les mains
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fibonacci Blue/Flickr
J’ai lu aujourd’hui même un article des plus éclairants sur l’industrie de l’avortement, dont Planned Parenthood est l’un des plus gros acteurs, tout y passe : les fondements évolutionniste, eugéniste, malthusianiste, raciste, les profits colossaux des fournisseurs d’avortements, les dizaines de millions d’enfants à naître avorté chaque année, en passant par la stérilisation forcée de centaines de milliers de personnes.
Cet article, au titre évocateur L’argent du sang intra-utérin, écrit par Sébastien Renault sur le site Entre la plume et l’enclume, nous montre que plusieurs de ceux qui prône l’avortement en viennent à soutenir également l’infanticide (bien qu’après tout, tuer un enfant avant qu’il soit né ou après ne change strictement rien, dans les deux cas c’est de l’infanticide) ; il nous dévoile également les raisonnements tordus et illogiques sur lesquels les défenseurs de l’avortement se basent pour le défendre, les défenseurs parmi les plus ardents se trouvant dans le groupe de ceux qui en tire le plus d’argent ; il nous explique enfin les bases philosophiques de l’avortement et ce qui cloche dedans.
Bref, un excellent article. Extrait d'Entre la plume et l'enclume :
Lire la suiteÀ côté de la génération de profits colossaux, le « droit des femmes » à l’infanticide prénatal doit nécessairement s’inscrire et toujours davantage se consolider sur le terrain législatif [4]. La composante fondamentalement meurtrière de l’avortement est en réalité si évidente que ses promoteurs officiels ne prennent même plus soin aujourd’hui de dulcifier leurs discours. Prenons l’exemple de l’adoption récente par le Sénat de l’État new-yorkais d’une nouvelle loi abrogeant la protection des nourrissons nés vivants à la suite d’avortements ratés (le Reproductive Health Act). On pourra ici consulter la version préparatoire de la législation en question, dénotée S. 240 A. 21 et datée du 9 janvier 2019. Elle donne tout son relief au pouvoir tant idéologique que législatif des génocidaires intra-utérins aujourd’hui aux commandes des deux chambres américaines. Le décret législatif, signé de la main du gouverneur Andrew Cuomo, légalise l’extermination de l’enfant à naître comme « droit fondamental », y compris jusqu’à sa naissance — si la « santé » de la mère en dépendait, sans spécifier plus avant ce que le terme de « santé » est ici réellement censé inclure dans sa définition appliquée. En l’absence d’une définition claire, toute raison de santé (physique, mentale et/ou émotionnelle) pourra ainsi être arbitrairement présumée et comprise dans le cadre de la nouvelle loi, moyennant l’aval de la Cour Suprême américaine. La loi S. 240 A. 21 octroie par ailleurs à tout praticien hospitalier agréé le pouvoir d’agir « de bonne foi » pour le bien de telle ou telle patiente — signifiant qu’un enfant à naître peut quant à lui être assassiné en toute légalité, sans autre forme de procès, par n’importe quel membre du corps médical préposé à une femme enceinte qui aura décidé d’interrompre sa grossesse, y compris le jour même de la naissance ou pendant l’acte de donner naissance. Auquel cas l’enfant sera respectueusement placé dans l’isolement et tout simplement abandonné à mourir affamé ou déshydraté, ou encore à voir ses quelques moments d’existence ex utero « tendrement » abrégés par injection létale. De leur côté, les essaims féministes ont, de concert, applaudi la promulgation de la loi S. 240 A. 21.
Le racisme de l'Obamacare?
Sur le blog de Jeanne Smits du 9 décembre 2014 :
(Photo : La nièce de Martin Luther King, Alveda King, poursuit le combat de son oncle en combattant pour la défense des enfants à naître aux États-Unis visés par l'avortement, majoritairement dans les quartiers noirs des États-Unis.
(Photo : roanokecollege sur flickr.com, licence creative commons)
Le Pr Jonathan Gruber du Massachussetts Institute of Technology a été l’une des chevilles ouvrières de l’Obamacare ; c’est aussi un partisan de l’avortement.
(...)
L’architecte de l’Obamacare a ainsi signé, en 1997, une étude tendant à démontrer que l’avortement légal avait à cette date épargné aux contribuables américains la somme de 14 milliards de dollars en aides sociales, et évité nombre de crimes.
(...)
C’est cet eugénisme qui est à l’œuvre dans le « ciblage » – oui c’en est un – des quartiers noirs pour l’installation des avortoirs aux Etats-Unis : il se traduit par des taux d’avortement bien plus importants au sein de la population afro-américaine.
(...)
Jonathan Gruber est actuellement sous le feu de l’actualité pour avoir avoué que la rédaction complexe des lois régissant l’Obamacare est une sorte de bénédiction, faisant accepter aux Américains ce que jamais ils n’auraient avalé en termes « transparents et clairs ».
Parce que les populations noires aux États-Unis sont plus pauvres que les blanches, ce sont elles que l'on vise à « contrôler »... Mais le mouvement pro-choix a toujours tiré ses racines dans le racisme et l'eugénisme, comme vous pourrez le constater dans l'article « « L'apocalypse démographique n'aura pas lieu... ».