Marche pour la Vie post-Roe aux États-Unis
Par Léo Kersauzie (Médias-Presse-Info)
Des dizaines de milliers de pro-vie ont bravé le froid pour marcher vers le Capitole des États-Unis pour la 50e marche annuelle pour la vie.
C’était la première marche nationale depuis que la Cour suprême des États-Unis a annulé l’arrêt Roe. Le thème de cette année était « Prochaines étapes : Marcher vers une Amérique post-Roe “. C’est pourquoi la Marche s’est terminée au Capitole, où les batailles législatives se poursuivront sur le financement par les contribuables de Planned Parenthood, les tentatives des démocrates de codifier un ‘droit’ à l’avortement, les protections fédérales pour les enfants à naître, etc.
La forte participation reflète à la fois l’énergie des militants pro-vie encouragés par le jugement de la Cour suprême et le fait que les restrictions COVID-19 sur les rassemblements publics de masse ont été largement abandonnées. La Marche pour la vie avait été annulée en 2021, sous prétexte de pandémie.
Il est frappant de constater que les jeunes femmes sont très nombreuses parmi les participants à la Marche pour la Vie. C’est très encourageant.
L’incohérence morale de Trump sur l’avortement pourrait causer sa perte
Donald Trump.
Par Steve Jalsevac — traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Après avoir mis tout mon cœur et toute mon âme, pendant près de 40 ans, à œuvrer pour mettre fin au massacre massif et mondial d’innocents par l’avortement, j’ai été vraiment bouleversé par la déclaration de l’ancien président Donald Trump, dimanche, sur cette question.
Celui qui était auparavant « le plus pro-vie de tous les présidents récents » a affirmé à tort que « la question de l’avortement a été mal gérée par de nombreux républicains, en particulier ceux qui ont fermement insisté sur le principe “Pas d’exception, même en cas de viol, d’inceste ou de [danger pour la] vie de la mère”, qui ont perdu un grand nombre d’électeurs. »
Il aurait été préférable qu’il ne dise rien sur cette question. En ce qui me concerne, il a tout à fait tort dans son affirmation, et j’utilise le mot « tout à fait » intentionnellement. En réalité, le contraire de ce qu’il a affirmé dans cette déclaration a souvent été la vérité. Comment peut-il se tromper autant après tout ce qu’il a appris au cours des dernières années ?
Ceux qui font ou acceptent constamment et délibérément ces exceptions sapent leur crédibilité et les prétentions de l’ensemble du mouvement pro-vie à être pro-vie. Ils affirment que toute vie humaine est sacrée et digne d’être protégée, puis, à des fins de pragmatisme politique, disent que certaines catégories d’humains peuvent être assassinées en raison des circonstances dans lesquelles elles ont été conçues.
Cela ne tient pas debout. L’incohérence est évidente et beaucoup la voient.
C’est une chose d’avoir des candidats qui, à titre personnel, comme Trump, insistent sur ces exceptions, généralement à cause des mauvais conseils de conseillers politiques de leur camp qui ne sont pas pro-vie. C’est bien pire pour Trump d’insister pour que tous les candidats « pro-vie » qu’il soutiendra aient ces exceptions dans leur position sur l’avortement.
Lire la suiteL’administration DeSantis avertit les pharmacies de ne pas vendre de pilules abortives suite au changement de règles de la FDA
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lightfield Studios/Adobe Stock
16 janvier 2023, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — L’administration du gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a informé les pharmacies de l’État la semaine dernière qu'elles ne pouvaient vendre de pilules abortives sans enfreindre la loi de Floride.
L’Agence de Floride pour l’administration des soins de santé (AHCA), qui réglemente la politique médicale de l’État, a envoyé mercredi une lettre aux pharmacies de Floride pour les informer qu’elles ne peuvent pas distribuer de pilules abortives, déclarant que cela violerait la loi préexistante de l’État.
« À la lumière de la récente décision de la Food and Drug Administration américaine d’autoriser les pharmacies de détail à distribuer la mifépristone, l’Agence publie cette alerte pour rappeler aux prestataires qu’ils doivent continuer à se conformer aux lois de Floride qui régissent la réalisation d’avortements », a déclaré l’AHCA.
Selon la loi floridienne, seul un médecin peut avorter un bébé, et ce uniquement jusqu’à quinze semaines de grossesse après avoir effectué une échographie, conseillé la mère sur l’avortement et respecté une période d’attente de vingt-quatre heures. La loi stipule également que l’avortement doit être pratiqué en personne. La loi prévoit également des exemptions si le bébé présente une anomalie fatale, si la vie de la mère est menacée par la grossesse ou si la mère risque de subir des blessures graves si la grossesse est menée à terme. Si des pilules abortives sont prescrites, les personnes souhaitant avorter doivent prendre la première pilule en présence du médecin prescripteur, tandis que la seconde peut être prise à domicile.
Une autre loi de Floride citée par l’AHCA stipule qu’« Il est illégal pour toute personne de pratiquer ou d’aider à pratiquer un avortement sur une personne — sauf en cas de soins d’urgence — ailleurs que dans un hôpital ou une clinique d’avortement valablement autorisés ou dans le cabinet d’un médecin ».
Lire la suiteMesures pour prévenir l’avortement en Espagne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
Le gouvernement régional de Castille et Léon, à l’instigation de son vice-président Juan Garcia-Gallardo du parti Vox, a adopté des mesures visant à prévenir l’avortement : les médecins doivent proposer aux femmes désirant un avortement d’écouter le battement de cœur de leur bébé, de passer une échographie ou de recevoir des conseils psychologiques, selon Gènéthique :
Juan Garcia-Gallardo, vice-président du gouvernement régional de Castille et Léon, a présenté de nouvelles mesures pour réduire le nombre d’avortements. Des mesures adoptées à l’approche des élections régionales en juin prochain.
Désormais, les médecins doivent proposer aux femmes qui souhaitent avoir recours à l’avortement d’écouter le rythme cardiaque du fœtus, de passer une échographie en 4D ou d’obtenir des conseils psychologiques. Elles sont libres d’accepter ou de refuser.
Ces mesures visent également à protéger les médecins qui s’opposeraient à pratiquer l’avortement, rapporte Le Salon Beige. Cet ensemble de mesures entre en vigueur immédiatement.
À Madrid, la présidente régionale Isabel Díaz Ayuso a annoncé la création d’une nouvelle ligne téléphonique d’assistance aux femmes enceintes envisageant l’avortement.
Entrevue avec Abby Johnson au sujet du film « Unthinkable »
Abby Johnson.
Message écrit par un lecteur de Campagne Québec-Vie — Photo : The John-Henry Westen Channel/YouTube
Bonjour ou bonsoir à tous,
Le titre de mon message « Unthinkable », qui veut dire en français « Impensable », est le titre du film de Abby Johnson qui sera diffusé en première sur la chaîne YouTube de MarchForLifeCanada ce 15 janvier.
Abby Johnson, qui a été responsable d’une clinique d’avortement de Planner Parenthood au Texas pendant 8 ans, a vraiment réalisé l’horreur de l’avortement et a laissé son travail pour se consacrer entièrement à la cause Pro-Vie. Elle est bien connue aux Etats-Unis ainsi qu’au Canada pour promouvoir la vie et exposer les mensonges de ce géant de l’industrie de l’avortement qu’est Planned Parenthood.
Dans le film « Unplanned » inspiré de son livre portant le même titre, Abby raconte son expérience en tant que responsable d’une clinique d’avortement, comment elle a réalisé que l’avortement est le meurtre d’un enfant, comment elle s’est convertie et est devenue militante Pro-Vie.
Le film « Unthinkable » (qui porte bien son nom vous verrez pourquoi) est un film tourné à partir d’un ensemble de témoignages de différentes personnes qui ont soit travaillé dans une clinique d’avortement, soit qu’ils y ont mis les pieds pour subir un avortement, etc. Certaines personnes racontent certaines choses ignorées du grand public qui sont « Impensables ». Ce film fait la lumière sur la triste réalité de l’avortement puisque les intervenants sont des témoins de ce qui se passe réellement entre les quatre murs d’un avortoir.
Lire la suiteLa Chambre des représentants des États-Unis adopte un projet de loi visant à protéger les bébés nés lors d’un avortement raté
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
11 janvier 2023, Washington, D.C. (Lifesitenews) — Dans l’un des premiers actes du nouveau Congrès, la Chambre des représentants des États-Unis, dirigée par les républicains, a voté mercredi en faveur de deux initiatives pro-vie. L’une d’entre elles vise à garantir la protection juridique des bébés nés vivants après un avortement raté et l’autre à exprimer la condamnation par la Chambre des représentants des attaques contre les centres de grossesse.
Si ces votes témoignent d’un fort sentiment pro-vie au sein de la majorité républicaine de la Chambre, il est peu probable que ces mesures progressent au Sénat, contrôlé par les démocrates.
La Chambre a voté par 220 voix contre 210 mercredi pour adopter la H.R. 26, également connue sous le nom de « Born-alive Abortion Survivors Protection Act » (Loi sur la protection des survivants de l’avortement nés vivants), qui avait été introduite à la Chambre le 9 janvier. Elle modifierait le titre 18 du Code des États-Unis afin « d’interdire à un praticien de la santé de ne pas exercer le degré de soins appropriés dans le cas d’un enfant qui survit à un avortement ou à une tentative d’avortement ».
Selon la législation, si un avortement échoue et « entraîne la naissance d’un enfant vivant, l’enfant est une personne morale à tous égards en vertu des lois des États-Unis et a droit à toutes les protections de ces lois ».
Alors que la loi fédérale prévoit des protections pour les bébés nés après un avortement raté, la mesure exigerait spécifiquement que les professionnels de la santé traitent ces bébés comme « tout nouveau-né ou toute personne qui se rend dans un hôpital, une clinique ou tout autre établissement pour un dépistage et un traitement ou qui devient un patient sous sa responsabilité ».
La Chambre a voté en faveur de cette mesure malgré l’opposition véhémente des démocrates pro-avortement.
Le chef démocrate de la minorité de la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, qui a remplacé Nancy Pelosi après qu’elle ait quitté ses fonctions l’année dernière, s’est plaint que le projet de loi visant à protéger les bébés nés vivants après un avortement raté faisait partie d’une « marche vers la criminalisation des soins liés à l’avortement, une interdiction à l’échelle nationale ».
Lire la suiteUne mère rejette l’avortement : « Pourquoi cette vie innocente devrait-elle être détruite parce que je ne me sens pas prête ? »
David Lauren et leur bébé.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Une tornade a frappé. Puis les confinements COVID-19 sont arrivés et son mari a perdu son emploi. Vivant à des milliers de kilomètres de sa famille, Lauren a déclaré que la nouvelle de sa grossesse pendant cette période tumultueuse a été ressentie comme un fardeau plutôt qu’une bénédiction.
Lors d’un entretien avec The 700 Club, cette mère du Tennessee a déclaré qu’elle et son mari, David, avaient failli avorter leur bébé à naître. Même s’ils étaient chrétiens et savaient que l’avortement était une erreur, la peur les a poussés à envisager de détruire la vie de leur fils.
Mais grâce à l’aide d’une conseillère d’un centre local de ressources pour la grossesse, le couple a choisi la vie. Aujourd’hui, Lauren dit que leur petit garçon est « une véritable bénédiction ».
Il y a environ trois ans, Lauren dit qu’elle a laissé la peur l’envahir lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte.
« Sur le coup, je n’arrivais pas à penser autre chose que : ma vie est finie, ma vie est finie », s’est-elle souvenue.
Elle a fait le test de grossesse pendant un violent orage et, deux heures plus tard, elle a dû se cacher dans la baignoire, car une tornade traversait leur ville. La tornade a endommagé et détruit de nombreuses maisons de leur région, ce qui a renforcé les craintes de Lauren.
Peu de temps après, le coronavirus a frappé les États-Unis et son mari a perdu son emploi. Entre les dégâts causés par la tempête, leur perte de revenus et leur maison éloignée de leur famille, Lauren a déclaré que David et elle avaient décidé qu’il n’y avait aucun moyen de garder leur bébé.
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce l’aspect politique de la laïcisation du Père Pavone
Père Frank Pavone.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : American Life League
Rome (LifeSiteNews) — Le cardinal Gerhard Müller a fermement défendu le père Frank Pavone et a critiqué la laïcisation par le pape François du célèbre prêtre pro-vie dans une entrevue exclusive avec LifeSiteNews.
Le cardinal Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, l’office le plus haut placé du Vatican, a qualifié le renvoi du père Pavone d’injustifiable et d’acte « uniquement politique ».
La laïcisation est une sanction réservée aux cas les plus graves, tels que l’apostasie, l’hérésie ou un « comportement absolument contradictoire avec le sacerdoce », déclare le cardinal allemand à John-Henry Westen, rédacteur en chef de LifeSiteNews.
Il a insisté sur le fait que les raisons invoquées par le Vatican pour défroquer le père Pavone « ne sont pas justifiées ».
« Personne ayant une certaine compréhension théologique ou un sentiment humain de justice et de droits de l’homme ne peut le comprendre et l’accepter », affirme-t-il.
Le cardinal Müller a également fait allusion au fait que la pression politique a pu avoir un impact sur le traitement du Père Pavone.
« Je pense qu’il y avait vraiment beaucoup de pressions exercées par le Parti démocrate » et les militants de l’avortement sur le prêtre pro-vie, qui a également été un temps conseiller de campagne de l’ancien président Donald Trump.
Il a également comparé la punition sévère du pape François à l’égard du père Pavone à l’approche souvent laxiste des autorités de l’Église à l’égard des catholiques dissidents.
Lire la suiteLa Cour suprême de Caroline du Sud annule la loi restreignant l’avortement
Cour suprême de Caroline du Sud.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
6 janvier 2023, Colombia, Caroline du Sud (LifeSiteNews) — La Cour suprême de la Caroline du Sud a annulé jeudi la loi sur les battements de cœur fœtal, qui interdisait l’avortement, en déclarant que cette loi portait atteinte au « droit à la vie privée ».
La loi, qui interdit les avortements dès qu’un battement de cœur fœtal peut être détecté, à environ six semaines de grossesse, a été promulguée par le gouverneur Henry McMaster en 2021, mais n’est pas entrée en vigueur avant l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade en juin 2022.
La loi a ensuite été contestée par les avorteurs de l’État, Planned Parenthood et Greenville Women’s Clinic, et la Cour suprême de l’État l’a alors temporairement bloquée jusqu’à ce qu’elle puisse se prononcer sur sa constitutionnalité.
La juge Kaye Hearn a écrit au nom de la majorité de la Cour suprême de l’État (3-2) que « six semaines ne sont tout simplement pas un délai raisonnable » pour qu’une femme sache qu’elle est enceinte et prenne la décision d’avorter.
Mme Hearn a formulé la question en termes de limitation du « droit à la vie privée », et non du « droit à la vie ».
« L’État a incontestablement le pouvoir de limiter le droit à la vie privée qui protège les femmes contre l’ingérence de l’État dans leur décision, mais toute limitation de ce type doit être raisonnable et significative en ce sens que les délais imposés doivent donner à une femme suffisamment de temps pour déterminer qu’elle est enceinte et prendre des mesures raisonnables pour mettre fin à cette grossesse », a écrit Mme Hearn.
Lire la suiteQuestions par curiosité d’un père pro-vie à un robot de discussion OpenAI sur l’avortement
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : thodonal/Adobe Stock
5 janvier 2023 (Campaign Life Coalition) — L'on dit que si vous ne posez pas les bonnes questions, vous n’obtiendrez pas les bonnes réponses. Le psychologue Carl Jung est allé encore plus loin en déclarant : « Poser la bonne question, c’est déjà la moitié de la solution d’un problème. »
C’est ce qui se passe avec le nouveau robot de discussion ChatGPT (Generative Pre-trained Transformer) d’OpenAI, qui a récemment pris le monde d’assaut avec sa capacité à utiliser l’intelligence artificielle pour répondre à des questions et même générer des réponses dans une conversation. Ses développeurs affirment que le robot de conversation, sorti en décembre, est « entraîné sur un grand ensemble de données de texte et peut générer des réponses cohérentes et appropriées pour une conversation donnée ».
Étant un papa qui travaille à plein temps dans le mouvement pro-vie, j’ai décidé de faire un essai avec ChatGPT pour voir comment il répondrait aux questions sur l’avortement.
J’ai d’abord été déçu lorsque le logiciel de discussion a tenté de donner une réponse neutre à la question « Quand la vie humaine commence-t-elle ? » Il a déclaré que « le moment exact où la vie humaine commence est un sujet de débat et a fait l’objet de nombreuses controverses et discussions juridiques. » J’ai eu l’impression d’avoir réécouté le Dr Phil qui, en septembre dernier, a ridiculement essayé de présenter le même argumentaire face à la militante pro-vie Lila Rose. Bien sûr, cette réponse tombe à plat puisque 95 % des biologistes ont affirmé en 2018 le point de vue biologique selon lequel la vie d’un être humain commence à la fécondation.
Il m’est donc apparu que les programmeurs avaient créé l’algorithme faisant fonctionner l’intelligence artificielle du robot pour fournir des réponses sur ce sujet reflétant leurs propres partis pris. C’est alors que j’ai décidé de modifier ma question. Car pour arriver à la bonne réponse, il faut poser la bonne question.
J’ai donc ensuite demandé : « La vie commence-t-elle à la fécondation ? »
ChatGPT a répondu :
« Oui, la vie commence à la fécondation, qui est le moment où un spermatozoïde féconde un ovule pour former un zygote. Le zygote contient tout le matériel génétique nécessaire pour se développer en un bébé né à terme. À ce moment-là, l’ovule fécondé a le potentiel de grandir et de se développer en un individu unique avec ses propres caractéristiques et traits de caractère. Par conséquent, la vie commence à la fécondation, et l’œuf fécondé devrait bénéficier des mêmes protections et droits que tout autre être humain. »
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