Une femme autiste de 28 ans sera euthanasiée aux Pays-Bas
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Masson/Adobe Stock
Selon le Daily Wire, une Néerlandaise de 28 ans ne souffrant d’aucune maladie physique va mourir par euthanasie uniquement parce qu’elle est déprimée.
Zoraya ter Beek affirme qu’elle souffre de problèmes de santé mentale, d’autisme et d’un trouble de la personnalité limite, et que son psychiatre lui a dit : « Nous ne pouvons rien faire de plus pour vous. Cela ne s’améliorera jamais ».
Elle a déclaré à The Free Press : « J’ai toujours été très claire sur le fait que si ça ne s’améliorait pas, je ne pouvais pas continuer ».
Son suicide est prévu pour le début du mois de mai et elle prévoit d’être incinérée car, dit-elle, « je ne voulais pas imposer à mon partenaire la tâche de garder la tombe propre ». Nous n’avons pas encore choisi d’urne, mais ce sera ma nouvelle maison ! Elle a toutefois précisé que son compagnon disperserait ses cendres dans un endroit qu’ils ont choisi dans les bois.
Lire la suiteUn juge de Calgary donne tort au père qui s’oppose à l’euthanasie de sa fille autiste
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec — Photo : Daniel Jedzura/Adobe Stock
27 mars 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un juge de Calgary a statué qu’une jeune femme autiste, qui n'a pas de maladie en phase terminale, peut être mise à mort par euthanasie malgré les objections de son père, affirmant que d’empêcher sa mort pourrait lui causer un « préjudice irréparable ».
Le 25 mars, le juge Colin C.J. Feasby de la Cour du banc du roi de l’Alberta a annulé une injonction demandée par le père de la jeune femme autiste de 27 ans, qui empêchait auparavant qu’elle soit mise à mort dans le cadre du programme canadien d’euthanasie « Aide médicale à mourir » (AMM).
« Je ne vous connais pas et je ne sais pas pourquoi vous demandez l’AMM. Vos raisons restent les vôtres car j’ai respecté votre autonomie et votre vie privée », a écrit le juge Feasby dans sa décision.
« Ma décision reconnaît votre droit de choisir une mort médicalement assistée, mais elle ne vous oblige pas à choisir la mort », a-t-il ajouté.
En raison d’une interdiction de publication, la jeune femme dans cette affaire est identifiée comme MV et son père comme WV.
MV, qui souffre à la fois d’autisme et d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), a été autorisée par deux médecins à bénéficier de l’AMM et prévoyait de mettre fin à ses jours par euthanasie.
Lire la suitePlanned Parenthood donne des produits de transition à un adolescent autiste après une consultation de seulement 30 minutes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Non contente d’être la plus grande chaîne d’avortement d’Amérique, Planned Parenthood s’est lancé dans les « soins » pour les jeunes souffrant de dysphorie de genre, mais au lieu de servir leur santé mentale à long terme, l’organisation soutient des « transitions » qui changent la vie de clients ayant des déficiences mentales après moins d’une heure de consultation, selon un nouvel article.
Mercredi, le Washington Free Beacon a raconté l’histoire d’un jeune autiste de 18 ans du New Jersey, identifié uniquement par le pseudonyme « Fred », dont la condition le rend enclin à passer par l’adoption puis le rejet d’« obsessions et d’opinions extrêmes ».
En décembre dernier, Fred s’est déclaré femme transgenre, quelques mois après que son meilleur ami, également autiste, ait embrassé le transgenrisme. Ses parents étaient prêts à accepter une identité féminine pour leur fils, mais ils voulaient d’abord exclure la possibilité qu’il s’agisse d’une autre de ses phases ou qu’elle soit motivée par l’exemple de son ami.
Le programme sur le genre et l’autisme de l’hôpital national pour enfants avait une liste d’attente d’un an, de sorte que Fred, qui ne voulait pas attendre pour commencer à prendre des hormones, s’est rendu de lui-même à une clinique de Planned Parenthood dès qu’il a atteint l’âge de 18 ans. La seule condition posée par l’organisation pour administrer les produits chimiques à un adulte légal était une consultation avec une infirmière praticienne au sujet des effets secondaires potentiels.
Lire la suiteDes personnes sont euthanasiées aux Pays-Bas pour cause d’autisme
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
Un nouveau rapport sur l’euthanasie aux Pays-Bas a révélé que de nombreuses personnes souffrant d’autisme ou atteintes de déficience intellectuelle ont été euthanasiées uniquement parce qu’elles estimaient ne pas pouvoir mener une vie « normale ».
Irene Tuffrey-Wijne, spécialiste des soins palliatifs à l’université britannique de Kingston, a dirigé une étude dans laquelle elle a examiné 900 dossiers entre 2012 et 2021, et découvert 39 cas concernant des personnes autistes ou présentant une déficience intellectuelle.
Au début de l’année, il a été révélé que les Pays-Bas avaient tué un nombre record de personnes par euthanasie, dont 115 ne souffraient d’aucune maladie autre que psychiatrique. L’euthanasie est peu réglementée dans ce pays, ce qui permet de tuer des personnes handicapées ou autistes — comme l’a découvert Tuffrey-Wijne — alors qu’elles ne sont pas du tout malades physiquement.
Dans de nombreux cas, des problèmes sociaux ont été mentionnés comme cause de la souffrance. Une patiente, une femme de moins de 30 ans, était « incapable de se faire des amis et s’était retrouvée isolée, y compris au sein de sa propre famille ». Un homme de 70 ans a été décrit comme n’ayant jamais été capable de « suivre la société » et ses « traits autistiques faisaient en sorte qu’il lui était de plus en plus difficile de s’adapter aux changements autour de lui ». Un homme d’une quarantaine d’années souffrait « d’anxiété, de plaintes compulsives et de solitude en raison des limitations liées à l’autisme, aux troubles obsessionnels compulsifs, aux lésions cérébrales acquises et aux troubles de la personnalité ».
Lire la suiteProtocole eugénique au Québec en cas de manque de lits ou de respirateurs dans les hôpitaux
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel
Au Québec, il existe un protocole qui, s’il venait à manquer de lits ou de respirateurs dans les hôpitaux, permettrait à un médecin de refuser les soins intensifs à une personne ayant des déficiences cognitives sévères, comme l’autisme ou la trisomie 21, dans le cadre de la « pandémie », selon La Presse :
L’opposition officielle dénonce un protocole qui refuse les soins intensifs aux personnes avec une déficience cognitive sévère dans le contexte de la pandémie.
Advenant un manque de lits, un médecin pourrait donc refuser l’accès à un respirateur à une personne souffrant de trisomie 21 ou aux prises avec un trouble de l’autisme sévère, a déploré mercredi la députée libérale Jennifer Maccarone.
Le protocole a été mis en ligne sommairement dans le site Triage Québec, qui demande aux citoyens de signer une pétition afin de le faire changer.
« Vous avez une déficience cognitive sévère, comme la trisomie 21 ou un trouble de l’autisme sévère, vous risquez de devoir laisser votre place à une autre personne, a soulevé Mme Maccarone à la période de questions. Je suis scandalisée, je suis mère de deux enfants autistes et je leur donnerais ma vie. »
Interpellé, le ministre de la Santé du Québec, Danielle McCann, a reconnu l’existence de ce protocole, tout en précisant qu’il n’était pas en application puisqu’on ne manquait pas de lit ou de respirateurs en ce moment dans le système de santé québécois. Cependant, le ministre n’a pas condamné le protocole ni ne s’est engagé à le répudier, rapporte La Presse.
Trier les gens selon leurs capacités mentales représente tout simplement de l’eugénisme…
Une nouvelle étude suggère un lien entre l’autisme et la dysphorie de genre
Par CNA — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alex Snaps/Flickr
Une nouvelle étude suggère un lien entre l’autisme, les traits autistiques et l’auto-identification en tant que transgenre ou non binaire, soulevant de nouvelles questions sur l’utilisation croissante des procédures de « transition de genre » en tant que traitement de la dysphorie de genre.
L’étude, publiée le 14 juillet et qui [… a parue] dans le numéro de septembre de la revue universitaire European Psychiatry, a été dirigée par le Dr Steven Stagg de l’Université Anglia Ruskin au Royaume-Uni. L’étude a porté sur 177 personnes qui s’identifient comme transgenres, non binaires ou comme étant du genre de leur sexe biologique*.
Une personne qui s’identifie comme « non binaire », ne s’identifie ni comme homme ni comme femme, ou selon la dualité homme-femme. Une personne qui s’identifie comme transgenre s’identifie au sexe opposé à son sexe biologique. Il qu’une personne transgenre choisisse de subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux afin de mieux ressembler au sexe auquel elle s’identifie.
Parmi les 177 personnes étudiées, 4 % des personnes s’identifiant à leur sexe biologique ont été diagnostiquées autistes. Pour le groupe transgenre ou non binaire, le nombre est à 14 %. Un autre groupe, 28 % des personnes transgenres ou non binaires, présentait des caractéristiques qui pourraient donner lieu à un diagnostic d’autisme, ce qui, selon les auteurs de l’étude, pourrait signifier que l’autisme est potentiellement sous-diagnostiqué, en particulier chez les filles.
Parmi les traits autistes identifiés par le Dr Stagg, il y avait une difficulté d’empathie, ainsi qu’un « recours excessif à un raisonnement systématique fondé sur des règles »**.
« L’un des résultats les plus frappants est le nombre d’individus nés femmes*, ayant atteint le seuil des troubles du spectre autistique. C’est particulièrement important étant donné que les individus nés femmes ont deux fois plus de chances d’être orientés vers des cliniques d’identité sexuelle », a déclaré Dr Stagg.
En Angleterre, les filles représentent 74 % de tous les patients de Tavistock, seule clinique pour mineurs du pays. En 2019, plus de la moitié des patients référés à Tavistock avaient moins de 14 ans. Les données ont montré que 2,8 filles sont référées à Tavistock pour chaque garçon.
Lire la suiteVictoire pour les enfants et les parents : l’Alberta abroge la loi 24
Par Pour une école libre au Québec
Texte de l’avocat John Carpay, président du Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF.ca). Il a représenté les parents et les écoles lorsqu’ils ont contesté avec succès la loi albertaine 24.
En 2017, le gouvernement néo-démocrate de l’Alberta a adopté une loi obligeant les enseignants et les directeurs d’école à ne pas divulguer les secrets de leurs enfants à leurs parents — parfois pour des enfants âgés d’à peine cinq ans.
Connue sous le nom de loi 24, la nouvelle loi privait les enseignants et les directeurs d’école de la discrétion d’informer — ou non — les parents de la participation de leurs enfants aux activités d’une Alliance Homo-Hétéro (A2H) ou d’activités liées à l’A2H.
Plus de deux douzaines de parents et d’écoles ont contesté la validité constitutionnelle de la loi 24 devant les tribunaux. La procédure judiciaire a mis au jour des faits troublants. En effet, des militants profitaient des A2H pour la promotion du transgenrisme. Dans un cas, une fille autiste vulnérable de Calgary a été encouragée par l’A2H de l’école à s’habiller, à vivre et à se comporter comme un garçon à l’école, le tout sans informer ses parents. Ce n’est que lorsque la fille a tenté de se suicider que l’école a finalement informé ses parents qui l’élevaient pourtant avec amour et tendresse de ce qui se tramait dans leur dos.
Dans un autre cas, un garçon de 15 ans a été encouragé à sécher des cours afin d’assister à une conférence de l’A2H dans le centre de l’Alberta, le tout sans en informer sa mère. « Ne vous inquiétez pas, elle ne le saura pas », avait dit une enseignante activiste au garçon. Bien sûr, la mère a fini par le découvrir ; les mères le savent presque toujours en fin de compte. La mère a donc appris que son fils avait séché des cours. Elle a également appris que la conférence de l’A2H avait distribué à son fils et à d’autres enfants un manuel qui détaillait de façon crue et pas à pas comment effectuer une sodomie, le tout illustré en couleur avec deux hommes nus impliqués dans cet acte.
La loi 24 permettait de jeter un voile secret sur les activités des A2H. Secret dont les adultes parlent lors des réunions de l’A2H [eux qui…] ont accès aux enfants, à l’insu de leurs parents. Secret sur le matériel sexuel et politique auquel les enfants sont exposés lors d’activités et d’événements liés à la A2H. Le site Web officiel de l’A2H du gouvernement de l’Alberta, destiné aux enfants de la maternelle à la 12e année, comportait des liens vers de la pornographie ignoble, ce qui a amené les parents raisonnables à s’inquiéter de la teneur de ce à quoi leurs enfants seraient exposés lors des réunions et des activités de l’A2H de leur école.
Lire la suiteGrande-Bretagne — enfants autistes poussés à s’identifier comme transgenres ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici un témoignage poignant d’une enseignante qui dénonce la puissance des groupes de pression LGBT. Extrait de Pour une école libre :
Lire la suiteLe Daily Mail britannique a récemment publié une histoire choquante. Un enseignant lanceur d’alerte y affirme qu’on y convainc des enfants autistes vulnérables qu’ils seraient dysphoriques du genre. Le Mail on Sunday a révélé que 17 écoliers d’une même école britannique suivent une « thérapie » de changement de sexe. La plupart de ces enfants qui subissent cette transformation sont autistes, selon un enseignant, qui a déclaré que les enfants vulnérables souffrant de problèmes de santé mentale étaient « leurrés » en leur faisant croire qu’ils étaient du mauvais sexe. On trouvera ci-dessous des extraits de cette enquête du Mail on Sunday.
La lanceuse d’alerte dit que peu de ces enfants « transgenres » souffrent de dysphorie de genre — le terme médical pour quelqu’un qui se sent né dans le mauvais corps — mais qu’ils sont facilement influençables, s’accrochant à la croyance erronée qu’ils seraient du mauvais sexe, y voyant un moyen de faire face aux problèmes causés par l’autisme.
Plus tôt cette année, le Mail on Sunday a révélé qu’un tiers des jeunes envoyés à la seule clinique d’identité sexuelle pour enfants du NHS [Santé publique] présentait des « traits autistiques modérés à sévères ».
Cela signifie que 150 adolescents autistes ont reçu des médicaments bloquant la puberté qui empêchent leur corps de mûrir.
L’enseignante dit qu’elle s’est sentie obligée de s’exprimer pour protéger ses élèves, dont beaucoup, selon elle, pourraient déjà prendre des médicaments puissants et subir une chirurgie qui pourrait changer leur vie.
Beau témoignage d'une maman apprenant que son fils est autiste
Sur le site du Journal de Québec du 29 juillet 2014 :
(Photo : M. Rehemtulla for QUOI Media Group. sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Jamais je n'avais envisagé ce voyage. C'est toutefois le chemin où je me trouve, et j'y avance de plein gré, avec grâce et reconnaissance. En effet, lorsque vous voyez le monde avec les yeux d'un enfant éprouvant des difficultés sur le plan physique et mental - et ils sont nombreux -, votre vision des choses évolue comme jamais auparavant. Des mots comme «normal» et «ordinaire» ne font plus partie de votre vocabulaire, et on adopte le terme «possibilité» comme on embrasse une religion. Personne ne travaille plus fort qu'un enfant qui déploie des efforts colossaux pour apprendre à marcher, à parler ou à manger; ces petits êtres abordent toutefois le monde et la vie avec joie et amour, avec émerveillement.
Oui, j'ai peut-être perdu ma voix pendant un certain temps, ou plutôt, le temps de l'exprimer comme je le voulais, mais la nécessité donne à ma voix un registre plus large, plus de profondeur et de force, avec un petit trémolo de douleur et de compréhension profonde. La voix de Casey, qui se fait entendre note après note, modifie la mienne et de manière positive. (...)
Tout enfant est un cadeau, mais certains n'ont pas le coeur pour le voir... L'avortement est le fruit d'un aveuglement.
Très beau témoignage dans le journal Le Devoir, par le père d'un enfant autiste
Sur le site du journal Le Devoir du 8 avril 2013:
Novembre 2011 : Le diagnostic tombe : il est autiste avec une grande sévérité dans la sphère du langage. Bien que plus vraiment une surprise, cette annonce a l’effet d’anéantir toute forme d’espoir que j’avais pu me forger au fil de ces longs mois. Toute mon énergie était bâtie sur cet espoir, aussi infime soit-il, qu’il ne soit pas autiste, et chaque jour durant cette période je me raccrochais à la seule idée qu’il ne l’était pas. Ces interminables mois, je surveillais le moindre signe chez lui qui allait me réconforter, ma relation avec lui n’était plus celle d’un père avec son enfant, prenant du plaisir à jouer avec lui avec insouciance, mais celle d’un chercheur observant minutieusement une souris de laboratoire. J’étais incapable de penser à autre chose, et toute mon attention était sur ces faits et gestes. J’étais littéralement obnubilé, tétanisé et dévasté à la fois.ABA pour redevenir papaCela fait maintenant 18 mois que mon fils est en intervention comportementale intensive, il suit un programme ABA, basé sur plusieurs études menées à UCLA en Californie et il progresse enfin, pas encore de langage, mais, pas à pas, il arrive à exprimer ce qu’il veut, à formuler des choix, à fonctionner en société. Aujourd’hui, il est autonome sur une piste de ski, mange parfaitement tout seul, est capable de se servir à boire, complète des casse-tête réels et joue avec manie avec un iPad pour accéder à une multitude de jeux.Aujourd’hui j’ai enfin redécouvert mon fils et je suis redevenu son père, LE père dont il avait tellement besoin, j’ai découvert à quel point je l’aimais, à quel point cet enfant est une source de bonheur au quotidien. Je suis tellement heureux de pouvoir aujourd’hui profiter de sa présence, de tellement le comprendre, d’avoir la capacité de savoir comment il fonctionne et ce qui l’anime. Jamais je n’aurais pu imaginer être capable de franchir un tel obstacle, et si je peux le faire aujourd’hui c’est grâce à lui, grâce à la formidable équipe d’ABA qui le suit, grâce à la force et à la ténacité de ma conjointe, grâce à mes deux autres enfants, et grâce à toutes ses immenses qualités dissimulées derrière son terrible handicap.