Une infirmière raconte : un nourrisson ayant survécu à un avortement laissé à mourir dans un récipient pour « déchets cliniques »
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
En Irlande, l’avortement est actuellement illégal, mais malheureusement, cela ne durera peut-être pas : en mai, les électeurs iront aux urnes pour décider si le 8e amendement sera abrogé, lequel reconnaît que la mère et l’enfant ont un droit égal à la vie. Actuellement, les femmes qui veulent se faire avorter doivent se rendre au Royaume-Uni, où l’avortement est légal jusqu’à 24 semaines de grossesse. L’avortement est restreint au-delà de ce temps de gestation, sauf en cas d’anomalie fœtale, même aussi mineure qu’une fente labiale.
Les groupes de pression pour l’avortement font intensivement campagne pour faire abroger le 8e amendement et pour que l’avortement soit légalisé en Irlande, mais d’autres se manifestent aussi pour exprimer leur appui à cet amendement. Une de ces personnes est une infirmière irlandaise qui a une histoire absolument horrible à raconter.
Lire la suiteScandaleux : Des femmes se font dire qu'il est de leur «devoir moral» d'avorter leur enfant trisomique
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les personnes porteuses de trisomie 21 (ou syndrome de Down) sont souvent condamnées à mort, même dans notre monde actuel, qui est supposément plus éthique et tolérant.
Dans plus de 50 pourcent des cas, les femmes qui reçoivent un diagnostic prénatal choisissent d'avorter leur bébé à naître, dans pratiquement tous les pays où les tests prénataux sont disponibles. Bien que la communauté des personnes trisomiques dénonce les taux ahurissants d'avortement, il y a encore de l'opposition, accompagnée de mensonges, de désinformation et de coercition.
Il y en a même qui prétendent que nous avons l'obligation morale de condamner la trisomie à mort.
Plus tôt cette année, un scandale international a éclaté lorsqu'il a été révélé que l'Islande avait un taux d'avortement des enfants trisomiques qui frôle les 100 pourcent. Au même moment, l'Australie présentait de façon éclatante un reportage spécial à l'émission « 60 Minutes », qui vantait un nouveau test prénatal non invasif [Non-Invasive Pre-Natal Test (NIPT)]. Ce test permettrait d'« éliminer efficacement la trisomie » en Australie. Et maintenant, aux Pays-Bas, les femmes se font dire qu'elles ont le devoir moral d'avorter leur enfant trisomique.
Lire la suiteLes parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant
Olivier Hinckley
Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
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Catherine Harper et son fils Jackson |
En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »
Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.
Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »
Lire la suiteLa souffrance des pères après l’avortement, et ses liens avec le suicide des hommes
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Elle est la plupart du temps passée par pertes et profits, quand elle n’est pas niée frontalement. Les pères sont les grands oubliés dans le dossier tragique de l’avortement, et leur souffrance est celle dont on ne parle pas parce qu’ils n’ont pas voix au chapitre face au « droit des femmes ». Elle est pourtant bien réelle. En Australie, on la prend enfin en compte après avoir constaté un lien fort entre le taux de suicide des hommes et l’avortement de leur enfant.
Une journaliste australienne, Corrine Barraclough, vient de découvrir cette réalité qui la « sidère ». Le constat de ce lien de cause à effet a été pour elle comme une illumination ; elle le raconte dans le Daily Telegraph de Sydney.
« Nous savons tous que le taux de suicide des hommes augmente de manière spectaculaire. Saviez-vous que les suicides masculins et la maladie mentale liée à l’avortement sont corrélés ? Je ne le savais pas non plus. Et les professionnels connaissent mal la question eux aussi », écrit la journaliste.
Lire la suiteUn spécialiste déclare que les jeunes deviennent transsexuels parce que c’est à la mode
Hôpital Lady Cliento de Brisbane, Australie, où se trouve la clinique du genre
Par l'abbé Mark Hodges traduit par Campagne Québec-Vie
Brisbane, Australie,12 avril 2017 (LifeSiteNews) - Les enfants pensent que c’est génial d’être transsexuel et beaucoup essaient de définir eux-mêmes leur propre identité, affirme un psychiatre australien.
Le psychiatre Stephen Stathis qui dirige la clinique du genre au Brisbane’s Lady Cilento Children’s Hospital (l'hôpital pour enfant, Lady Cilento de Brisbane) et qui est responsable du diagnostic de la dysphorie du genre, rapporte que « beaucoup » de jeunes « essaient d’être transsexuels afin de se distinguer. »
Il semble qu’il soit à la mode de se déclarer « transsexuel ». « Quelqu’un m’a dit, “Docteur Steve…Je veux devenir transsexuel, c’est la nouvelle tendance,” » relate Stathis.
Lire la suiteLe nouveau gouvernement en Australie veut favoriser l'institution familiale
Sur le site de Pour une école libre du 8 septembre 2013 :
(Le nouveau premier ministre d'Australie, Tony Abbott)
L'opposition conservatrice menée par Tony Abbott a remporté de manière décisive les élections qui se déroulaient samedi, en Australie.M. Abbott, qui dirige le Parti libéral australien, succédera donc au travailliste Kevin Rudd à la tête du pays.(...)Il est fortement opposé au mariage entre personnes du même sexe, alors que ce sujet semble être devenu la nouvelle marotte du Parti travailliste après le rejet par la population de sa politique d'imposition des émissions de carbone.Son programme, qui se veut pro-entreprises, prévoit l'annulation de la taxe carbone imposée aux grands groupes polluants et mise en place sous les travaillistes. Les libéraux promettent également la mise en place d'une politique très restrictive pour les immigrants illégaux qui arrivent en bateau sur les plages australiennes et six mois de congés payés pour les jeunes mères.