Un professeur pro-vie gagne un procès contre une université australienne
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Joanna Howe, professeur à l'université d'Adélaïde, en Australie, a gagné un procès contre l'université qui, selon elle, a tenté de la faire taire sur ses points de vue pro-vie et de mettre fin à ses recherches pro-vie.
Mme Howe est professeur agrégé de droit et ancienne boursière Rhodes de la Nouvelle-Galles du Sud. Bien qu'elle ait exprimé ses convictions pro-vie en ligne, elle a déclaré qu'elle n'abordait pas la question de l'avortement en classe. « Je n'ai jamais parlé de l'avortement dans mes cours, car je n'enseigne pas une matière dans laquelle cela serait pertinent », a-t-elle déclaré lors d'une précédente entrevue avec Live Action News.
Un étudiant anonyme a attaqué Mme Howe, affirmant que ses opinions pro-vie étaient « extrémistes » et qu'elles le mettaient « mal à l'aise et en danger », dans The Advertiser. Après que Mme Howe se soit défendue contre ces affirmations, qu'elle a qualifiées de diffamatoires, un autre étudiant s'est manifesté avec des allégations similaires. D'autres étudiants ont pris sa défense, mais le pire est venu de l'université elle-même.
Lire la suite« Nous avons choisi la vie pour notre fils “non-viable”. Il a survécu 53 jours et a conquis le cœur de nombreuses personnes »
Par Stephanie Vergano et Bradley Vergano — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Stephanie et Bradley Vergano
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Notre fils Remy nous a inspiré de nous joindre aux 40 jours pour la vie. Suite à son combat pour la vie dans et hors de l’utérus, nous avons été convaincus d’être une voix pour les enfants qui sont considérés comme « non-viables » par les communautés médicales et scientifiques. À 24 semaines et quatre jours de grossesse, nous avons découvert quelque chose d’horrible à propos des lois australiennes. L’avortement est légal jusqu’à la naissance, et nous le savons parce qu’on nous l’a proposé.
Nous nous sommes mariés à la fin de la vingtaine, en décembre 2021. Avec l’espoir au cœur, nous avons aimé chaque minute de notre nouvelle vie ensemble, ne nous étant rencontrés qu’au Nouvel An de cette année-là. Bien que nous ayons vécu toute notre vie dans la même grande ville de Sydney, ce n’est qu’à ce moment précis que nous nous sommes rencontrés. Nous avions l’impression que Dieu nous avait conduits l’un vers l’autre par un long chemin détourné ! Maintenant, nous étions prêts à l’honorer par notre vie et à fonder une famille.
Peu de temps après notre mariage, nous avons appris l’heureuse nouvelle : nous étions bénis, nous attendions notre premier enfant. La grossesse se déroulait à merveille. Cependant, l’échographie de la 20e semaine a révélé que les choses semblaient un peu inhabituelles. Notre bébé était assez petit. Comme nous vivions dans une ville régionale, nous avons été envoyés dans un grand hôpital, à environ trois heures de route, pour passer un examen spécialisé afin de confirmer les résultats. Nous avons pris congé de notre travail et nous sommes allés à l’hôpital, pensant qu’il s’agissait d’un examen de routine qui nous donnerait plus d’informations. Au lieu de cela, nous avons eu le choc de notre vie.
Lire la suiteLe drapeau LGBT+ comprend-il maintenant la bestialité ?
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete/Flickr
J’ai des nouvelles profondément troublantes à partager avec vous au sujet d’une leçon d’éducation sexuelle LGBT qui a été donnée à la fin du mois de mars à des élèves de 9e année en Australie.
En quoi cela concerne-t-il les parents et grands-parents canadiens ?
[Cela nous concerne] parce que le système éducatif canadien, tout comme celui de l’Australie, a été pris en main par les idéologues LGBT.
Nous avons également des sociétés similaires qui suivent presque à l’identique les tendances de la société occidentale.
Ce qui se passe dans un pays en termes de développement moral et social tend à se produire très rapidement dans l’autre.
Il est donc légitime et nécessaire de craindre que ce que je vais vous raconter, qui vient de se dérouler aux antipodes, ne fasse un jour son apparition dans les salles de classe canadiennes sous les auspices de l’éducation LGBTQ+.
Je vais vous raconter les détails, mais je dois vous avertir qu’ils sont écœurants...
Des parents indignés se sont adressés aux médias et ont retiré leurs enfants du collège Renmark, en Australie-Méridionale, après qu’un éducateur en sexualité LGBTQIA+ se soit présenté le 22 mars et ait enseigné la bestialité aux élèves de 9e année, d’une manière approbatrice, laissant entendre que les relations sexuelles avec des animaux étaient une pratique acceptable au sein de la communauté LGBT !
Lire la suiteUn archevêque australien accusé de « discours haineux » pour avoir défendu l’enseignement catholique sur le sexe et l’avortement
Mgr Julian Porteous.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Archidiocese of Hobart/YouTube
15 mai 2024 (LifeSiteNews) — Un archevêque australien a rendu furieux les politiciens et les activistes pro-LGBT de son État après avoir publié une lettre pastorale dénonçant l’idéologie du genre et d’autres causes de gauche.
Mgr Julian Porteous, archevêque de Hobart, en Tasmanie, a publié son document de quatre pages intitulé « Nous sommes le sel de la terre » le 2 mai. Il a été envoyé aux écoles catholiques et aux paroisses de l’archidiocèse afin de les guider dans leur enseignement à la lumière des récents développements politiques.
S’appuyant sur les thèmes abordés dans Dignitatis Infinita, Mgr Porteous souligne qu’« au cours des 30 à 40 dernières années, nous avons assisté à une campagne organisée visant à renverser la conception chrétienne traditionnelle du sexe et de la sexualité dans la société occidentale ».
Il note également que « nous considérons que les efforts visant à déconnecter le genre du sexe biologique nient la réalité de ce que nous sommes et l’identité précieuse que nous avons en tant qu’homme ou femme ».
Le document met également en garde contre les efforts visant à libéraliser les lois sur l’avortement, le suicide assisté et les thérapies de conversion.*
Lire la suiteDignité et « droit de mourir »
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Seventyfour/Adobe Stock
La clique de l’euthanasie utilise systématiquement deux arguments pour promouvoir sa cause. Le premier affirme qu’il est cruel que la loi condamne les malades en phase terminale à des souffrances atroces alors qu’il est facile d’y mettre fin. Cette tactique a été couronnée de succès parce qu’elle exploite notre compassion pour la souffrance d’autrui tout en jouant sur la peur qu’un jour, nous fassions nous aussi face à une telle souffrance. Bien que cet appel émotionnel soit efficace pour promouvoir l’idée, lorsque l’aide à mourir est introduite, la douleur insurmontable n’est pas la principale raison pour laquelle les malades en phase terminale cherchent à mettre fin à leur vie.
L’Oregon a été le premier État américain à légaliser le suicide assisté, avec l’entrée en vigueur de la loi sur la mort dans la dignité (Death with Dignity Act) en 1998. Sur les 23 personnes qui ont reçu des prescriptions de médicaments létaux au cours de la première année d’application de cette loi, 15 sont décédées après les avoir pris, 6 sont mortes de maladies sous-jacentes et 2 étaient encore en vie au 1er janvier 1999. Cependant, la décision de demander un suicide assisté n’est pas principalement liée à une douleur insupportable, mais plutôt à la crainte d’une perte d’autonomie. [1]
Le nombre de personnes souhaitant mourir prématurément n’a cessé d’augmenter depuis lors et, en 2022, 431 personnes sont décédées en vertu de la loi sur la mort dans la dignité. [2] Les trois préoccupations les plus fréquemment exprimées concernant la fin de vie sont la diminution de la capacité à participer aux activités qui rendent la vie agréable (89 %), la perte d’autonomie (86 %) et la perte de dignité (62 %). Le fait de devenir un fardeau pour la famille, les amis et les soignants arrive en quatrième position (46,4 %), tandis que la crainte concernant un contrôle adéquat de la douleur arrive en sixième position, avec seulement 31,3 % des personnes interrogées qui citent cette raison pour justifier leur décision.
Lire la suite« Personne enceinte » au Queensland en Australie
Par reinformation.tv — Photo : velishchuk/Adobe Stock
L’Etat du Queensland, dans le nord-est de l’Australie, dont la capitale est Brisbane, vient de changer le mot femme (« woman ») dans sa loi sur l’avortement, par le mot personne enceinte (« pregnant person »). Cela provoque l’ironie des commentateurs : « De sorte que désormais un vieil homme peut aller à la clinique et insister sur le droit des hommes à choisir pour son corps. » On arrive en effet au moment où les contradictions des différents féminismes finissent par se mordre la queue. Certains mots comme président ou porte-parole (chairman, spokesman) sont construits en anglais avec le mot « man » qui signifie « homme », et, dans les vingt dernières années, les militantes extrémistes ont obtenu qu’on les change en chairperson et spokesperson pour éliminer le mot interdit, man, qui représentait le patriarcat. Mais maintenant, dans le même souci d’égalité outrancière, la division de l’humanité en deux sexes déterminés par leur biologie semble une insulte à la parité dans la diversité des genres choisis par chaque individu : et voilà pourquoi c’est désormais au mot woman, femme, de disparaître de la loi sur l’avortement, parce qu’il exclut les transgenres ! A ce niveau d’absurdité, il ne reste plus qu’à applaudir. Un journaliste australien, James Macpherson, a remarqué que le ministre des Femmes (ainsi nomme-t-on là-bas le ministre de la Condition féminine) a annoncé le changement de la loi « impavide » et il en a tiré cette question : « Entend-elle changer son titre de ministre des femmes pour celui de ministre des Personnes ? Et sinon, pourquoi ? »
Les revendications d’« identité de genre » en vue d’un gain financier révèlent l’inconsistance du transgenrisme
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : illustrez-vous/Adobe Stock
22 août 2023 (LifeSiteNews) — Les militants LGBT se heurtent à un problème : lorsque vous dites aux gens qu’ils ont le droit de s’identifier comme ils le souhaitent et que la société doit accepter et confirmer cette auto-identification, nombreux sont ceux qui vous prennent au sérieux.
Dans certains cas, les conséquences sont horribles, comme lorsque des violeurs et des meurtriers masculins sont enfermés dans des prisons pour femmes parce que les autorités pénitentiaires sont légalement obligées d’accepter leurs nouvelles revendications de féminité.
Dans d’autres cas, les conséquences sont simplement amusantes, bien qu’elles soient un triste signe de la folie dans laquelle nous sommes tombés. C’est le cas de cet homme qui a décidé de s’identifier en tant que femme et qui a été contrarié de découvrir que son assurance automobile coûtait plus cher en tant que femme qu’en tant qu’homme. Ou le type qui a décidé de s’identifier comme femme pour bénéficier d’une réduction sur son assurance automobile.
Un fait divers survenu récemment en Australie relève définitivement de la deuxième catégorie, même si la police le prend très au sérieux. En juillet, le commissaire principal de l’État de Victoria, Shane Patton, a annoncé une enquête qui a donné lieu à une perquisition au poste de police de l’État de Victoria à Frankston. Sept policiers ont également été interrogés. La raison ? Les agents étaient « accusés de prétendre être non binaires pour réclamer frauduleusement plus d’argent pour les allocations de vêtements civils ».
Lire la suiteLe gouvernement du Territoire de la Capitale australienne préconise l’extension de l’euthanasie... aux enfants
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock
Le gouvernement du Territoire de la Capitale australienne (ACT) a publié un rapport préconisant un élargissement libéral de ses lois sur l’euthanasie, notamment en autorisant l’euthanasie pour les jeunes de 14 ans et en supprimant le critère de mort prévisible. Le gouvernement devrait introduire des lois officielles basées sur les recommandations du rapport dans le courant de l’année. L’ACT est un territoire fédéral qui comprend la capitale du pays, Canberra.
L’une des recommandations les plus choquantes du rapport est d’autoriser l’accès des enfants à l’euthanasie, estimant que la limite d’âge actuelle de 18 ans n’est rien d’autre qu’« arbitraire ». Le ministre des Droits de l’homme, Tara Cheyne, a déclaré que le gouvernement envisagerait d’abaisser l’âge à 14 ans.
« De nombreux intervenants ont fait remarquer que limiter l’aide volontaire à mourir aux personnes âgées de plus de 18 ans était une limite arbitraire, étant donné que les jeunes de moins de 18 ans connaissent également des souffrances intolérables en fin de vie en raison de maladies terminales et qu’ils devraient avoir les mêmes choix de fin de vie que les adultes », peut-on lire dans le rapport. « Les professionnels de la santé ont fait remarquer que, si elle était adoptée, cette mesure devrait être mise en œuvre avec précaution ».
Lire la suiteAyant refusé l’avortement suggéré par les médecins, elle est aujourd’hui la mère d’un enfant de 11 mois en bonne santé
Jasmine.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 mai 2023, Brisbane, Australie (LifeSiteNews) — La mère d’une petite fille de 11 mois en pleine santé se dit « très reconnaissante de ne pas avoir écouté les médecins » qui l’ont encouragée à avorter son bébé à naître.
Dans une entrevue accordée au site internet australien pour parents Kidspot, une mère de 39 ans, identifiée uniquement sous le nom de « Jodie », a déclaré qu’elle considérait sa dernière grossesse comme sa dernière chance d’avoir un enfant après de multiples fausses couches et une relation récemment rompue.
Cependant, elle raconte que ses médecins ont commencé à l’encourager à avorter en raison de prétendus handicaps.
« Ils m’ont dit qu’en raison de mon âge, de mes antécédents de fumeuse et d’autres statistiques, il y avait un risque élevé de syndrome de Down », a déclaré la nouvelle maman, ajoutant qu’elle était « furieuse » lorsque les médecins l’ont incitée à « envisager l’avortement ».
Les femmes enceintes sont souvent encouragées à avorter sur la base d’un diagnostic de trisomie 21. On estime que 60 à 90 % des bébés diagnostiqués avec ce handicap aux États-Unis sont tués dans l’utérus, et cette pratique est courante dans le monde entier. Pourtant, les personnes atteintes du syndrome de Down se décrivent en grande majorité comme heureuses et les progrès médicaux ont permis d’augmenter considérablement l’espérance de vie des personnes atteintes de cette maladie.
Lire la suite« Aucun mot ne peut décrire ma douleur » : une mère a perdu son bébé à naître cinq jours après la 2e dose de Pfizer
Stephanie Whitmore.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une mère australienne a raconté ce mois-ci que cinq jours après qu’elle ait reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer, sa petite fille à terme est morte in utero d’une hémorragie cérébrale.
Stephanie Whitmore a déclaré qu’elle partage son histoire parce qu’elle « était tout à fait favorable » à l’injection COVID, mais elle pense que l’injection de Pfizer est la cause du décès de sa fille Isabella.
Stephanie Whitmore a raconté par écrit comment elle a suivi le conseil de ses médecins de se faire vacciner contre le COVID afin de « protéger sa famille et son bébé », et a reçu sa première dose du vaccin Pfizer le 13 septembre 2021. À ce moment-là, elle « n’a eu aucune réaction ».
Le 4 octobre 2021, elle a reçu sa deuxième injection Pfizer. « Mon bébé était en bonne santé et parfait tout au long de ma grossesse », a-t-elle écrit. « Elle devait naître n’importe quand maintenant, deux jours après ma deuxième dose de vaccin Pfizer ».
Whitmore a partagé une vidéo racontant ce qui s’est passé : « J’ai eu mon rendez-vous à 36 semaines, une semaine avant sa mort. Elle avait la “tête en bas, donc elle était prête à venir” ».
Peu de temps après, Whitmore a remarqué qu’Isabella avait cessé de bouger, et elle est allée à l’hôpital pour voir si quelque chose n’allait pas. Ils ont d’abord vérifié les battements de son cœur et ont constaté qu’il « battait bien », et Whitmore a « ressenti un sentiment de soulagement ».
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