Des enfants payés 100 $ pour assister à un cours LGBTQIA+ au Texas
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Toni Reed/Unsplash
Le mensonge LGBT ne s’infiltre pas seulement dans les programmes scolaires. Il ne s’infiltre pas seulement dans le langage et le « politiquement correct ». Il commence à être un produit offert aux enfants qui sont payés pour l’écouter, du moins au Texas.
International Family News rapporte que, « Dans un message Twitter (supprimé depuis) du 18 février 2022, le système de bibliothèques de la ville d’Austin a annoncé qu’il parrainait un “Spring Break Sex-Ed Camp” (Camp d’éducation sexuelle des vacances de printemps, NDLR) pour les adolescents »
De nombreux commentaires négatifs ont suivi et le tweet a été supprimé rapidement. Le message annonçait : « Appel à tous les élèves du secondaire. Soyez PAYÉ pour apprendre l’éducation sexuelle pendant les vacances de printemps ! Des cours gratuits sur ce cours basé sur des preuves et adapté aux LGBTQIA+, dirigé par @AustinPublicHealth, sont organisés dans plusieurs bibliothèques ! Les places sont LIMITÉES alors inscrivez-vous dès maintenant… »
« Les adolescents peuvent être payés 100 $ (plus le déjeuner) pour apprendre l’éducation sexuelle. »
On paie les enfants pour adhérer aux erreurs de l’idéologie LGBT et leur vision de la réalité est ainsi complètement déformée. Ensuite devrait-on s’étonner des taux de suicide élevés ou de l’effondrement visible des familles ?
« Le système de bibliothèques de la ville d’Austin, au Texas, essaie de préparer nos enfants en leur promettant de les payer s’ils assistent à des cours d’endoctrinement radical sur le sexe et les LGBT. »
Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Les combattants pour un monde sans loi naturelle, sans Dieu, et sans famille profitent des années les plus critiques et les plus fragiles de l’enfance pour enraciner leurs propos néfastes.
Austin coupe dans le financement de la police et redirige une partie de l’argent vers l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Voici un geste typique de gauchistes pro-avortement. Le conseil municipal démocrate de la ville d’Austin, au Texas, a décidé de retirer au budget de la police municipale la coquette somme de 150 millions de dollars, employant du coup une partie de ce montant à élever le financement de l’avortement à 250 000 dollars. D’une pierre deux coups : d’un côté l’on assure la voie à l’anarchie et de l’autre l’on facilite le meurtre d’enfants à naître innocents.
L’idée derrière la coupure budgétaire consiste en ce que la police est raciste en général à la grandeur des États-Unis, théorie qui n’est fondée sur aucune base solide. Réduire les forces de l’ordre réglera-t-il le soi-disant problème ? La pensée mièvre qui accompagne cet acte n’empêchera pas la montée de l’anarchisme qui suivra (et qui a déjà commencé), comme un appel d’air, la baisse des effectifs policiers.
Toujours est-il que l’avortement tue des innocents et que le conseil municipal ne songe pas à couper le financement de cet acte abject… bien au contraire !
Selon LifeSiteNews :
Le conseil municipal démocrate coupe dans le financement de la police et envoie de l’argent à l’industrie de l’avortement.
L’argent destiné à protéger des vies va plutôt servir à y mettre fin à la suite d’un vote unanime du conseil municipal démocrate d’Austin, au Texas.
Le conseil a récemment approuvé son budget 2021, qui réduit de 150 millions de dollars le budget du département de police d’Austin pour le consacrer à d’autres services, rapporte CBN News. Dans le même temps, le budget augmente le financement de « l’accès à l’avortement » à 250 000 dollars, sous les auspices des « services sociaux et de santé ».
[...]
[Le maire] Adler a nié que le budget « transformateur » en fait réduisît de 150 millions de dollars le budget de la police, au motif que 49 millions de dollars de cette somme « pourraient ou non » quitter le département de police d’Austin, attendant une révision des fonctions que l’argent soutient actuellement.
« La décision d’Austin met les braves hommes et femmes du département de police d’Austin et leurs familles en plus grand danger, et ouvre la voie à l’anarchie », écrit le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, en réponse à la nouvelle. « La sécurité publique est la première tâche à assurer, et Austin a abandonné ce devoir. Le corps législatif se penchera sur cette question lors de la prochaine session, mais en attendant, le ministère de la Sécurité publique du Texas se tiendra debout dans l’intervalle pour protéger notre capitale ».
Les drag queens, qui veulent accéder à vos enfants, liés au satanisme et aux pratiques occultes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il n’est vraiment pas sain d’emmener ses enfants à des « séances de lecture » tenues par des « drag-queens ». Extrait de LifeSiteNews :
(...)
Les drag queens sont une présence effrayante pour les petits enfants. Ces jeunes visages fascinés entendent les leçons prétendument « inclusives » et regardent les girations [dances] sexuelles raconter la vraie histoire. Il y a quelque chose d'étrange dans ce voisinage, et les jeunes l'ont compris, même si leurs parents naïfs ricanent et hochent la tête aux côtés des bibliothécaires corrompus.
La vérité, c'est que ces lectures publiques et ces performances sexualisées sont souvent influencées par un royaume hors du naturel. Il s'avère que beaucoup de ceux qui s'identifient comme « drags » suivent le paganisme, la sorcellerie ou le satanisme. Ils n'essaient même pas de cacher ce lien étroit.
Par exemple, dans un récent tweet, l'Église de Satan disait : « Nous pouvons confirmer qu'il y a beaucoup de drag queens satanistes. Et ils sont fabuleux. »
Et le temple satanique de San-Francisco est composé principalement de personnes s'identifiant comme « LGBTQ », tenant même une « Messe rose » de temps à autres. Un film réalisé au sujet du groupe s'appelle Hail Satan, où les dirigeants disent qu'ils vont combattre les conservateurs chrétiens « jusqu'à la mort ».
Sont-ils sérieux quant à suivre Satan ? Qui sait, et qui s'en soucie ? Quiconque adopte son nom est, tragiquement, une proie idéale. Satan exploitera et manipulera ces sots selon le désir de son cœur, et ils ne le sauront peut-être jamais.
Un partenariat drag-démon se développe partout. Il y a des comptes rendus d'Austin au Texas, où des adeptes « drag » se livrent à des rituels occultes (dont des messes noires) dans des parcs publics pour « jeter des sorts » à deux membres du conseil municipal, des gens courageux qui se sont publiquement opposés à ces « heures de contes » perverties dans les bibliothèques publiques locales.
Etc.