L’Associated Press recommande l’emploi du terme « centre anti-avortement » pour les centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Paul Bradbury/Caia Image/Adobe Stock
3 Février 2023 (LifeSiteNews) — Un changement récemment découvert dans le guide de rédaction d’Associated Press (AP) incite les journalistes à utiliser le terme « centres anti-avortement » au lieu de « centres d’aide aux femmes enceintes » (crisis pregnancy centers) lorsqu’ils écrivent sur des organisations pro-vie qui offrent une assistance aux femmes confrontées à des grossesses non planifiées.
Le guide indique que « les centres de conseil anti-avortement, les “centres de grossesse de crise” qui s’opposent aux avortements » et les « centres anti-avortement » sont tous des termes acceptables pour décrire « les centres mis en place pour détourner ou décourager les femmes d’avorter ».
« Si vous utilisez le terme de centre anti-avortement, expliquez par la suite que ces centres sont souvent connus sous le nom de “centres de grossesse de crise” (entre guillemets) et que leur objectif est de dissuader les gens de se faire avorter. »
Le guide conseille également aux journalistes d’« éviter les termes potentiellement trompeurs tels que centres de ressources pour la grossesse ou centres de conseil sur la grossesse ou centres d’aide aux femmes enceintes », car « ces termes n’indiquent pas que l’objectif général des centres est d’empêcher les avortements ».
Le Daily Signal a déterminé que le guide de rédaction a été mis à jour entre le 20 et le 27 novembre. Le changement d’orientation est indiqué à la fin du guide thématique sur l’avortement sur le site internet d’AP.
Lire la suiteCovid ― voici comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assuré le soutien des médias
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info)
Voici une nouvelle analyse rédigée par Robert Kennedy Jr :
Le Washington Post, propriété de Jeff Bezos, a publié un article de l’Associated Press applaudissant la censure de ceux qui critiquent les politiques de restrictions sanitaires imposées au nom de lutte contre la pandémie.
Le confinement au nom du Covid-19 a rapporté à Bezos 70 milliards de dollars depuis son début. Si vous êtes Bezos, un confinement permanent est une mine d’or.
Bill Gates, quant à lui, a gagné 20 milliards de dollars grâce au confinement. Sa stratégie a consisté à émasculer les médias indépendants — les sources les plus probables du genre de journalisme vigoureux qui pourrait autrement examiner son intérêt personnel dans les politiques qu’il a aidé à concevoir avec succès pour le reste d’entre nous.
Gates a utilisé des millions en dons pour transformer The Guardian en son bulletin personnel. Avec 250 millions de dollars, il s’est assuré l’absence de critiques de la part de médias comme la BBC, NBC, Al Jazeera, ProPublica, National Journal, Univision, Medium, le Financial Times, The Atlantic, le Texas Tribune, Gannett, Washington Monthly, Le Monde et le Center for Investigative Reporting.
Gates a également fait d’importantes contributions à des organisations caritatives affiliées à des organes de presse, comme BBC Media Action et le New York Times, selon une enquête menée en août 2020 par Columbia Journalism Review. Il a également désarmé NPR et la télévision publique en les rendant dépendants de son soutien.
Gates est sans doute le plus grand fabricant de vaccins au monde. En tant que principal contributeur financier, Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé qui, selon Foreign Affairs, ne prend aucune décision significative sans consulter la Fondation Bill & Melinda Gates. Il exerce la même autorité dictatoriale sur une armée d’organismes quasi gouvernementaux : Path, GAVI CEPI, Unicef, etc.
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