Les États-Unis à un point tournant avec la mort de Charlie Kirk ?

Charlie Kirk.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Un formidable mouvement de fond suit la mort du conservateur évangélique et pro-vie Charlie Kirk qui inspire au-delà de la mort de nombreuses personnes à revenir à la foi. Des dizaines de milliers de personnes ont assisté en personne à l'hommage funèbre national qui a été rendu le 21 septembre à Charlie Kirk en Arizona. Assistons-nous à un point tournant pour les États-Unis ?
Suite à l’assassinat politique de Charlie Kirk, Socrate américain des temps modernes, sur le campus de l’Université de l’Utah, deux sentiments opposés ont parcouru les États-Unis et le monde entiers : l’un d’horreur et de consternation, l’autre de jubilation malsaine ; le premier amenant des gens à tenir des vigiles aux chandelles en l’honneur de Charlie Kirk, l’autre à une profusion de commentaires sur la place numérique célébrant ou justifiant le meurtre du conservateur évangélique et pro-vie.
Le profil même du jeune homme qui a été appréhendé pour le meurtre de Charlie Kirk, Tyler Robinson, en dit long sur cette tragique affaire. Venant d’une famille aisée et républicaine, Tyler Robinson s’était « radicalisé », selon les termes de sa propre famille, ou même selon sa mère, comme le rapportent les documents dressés par la police, Robinson « était devenu plus politique et avait commencé à pencher davantage vers la gauche — devenant plus pro-gay et orienté vers les droits trans ». Or Charlie Kirk affirmait que le vrai mariage était entre un homme et une femme et critiquait l’idéologie transgenre. Robinson accusait également sa victime de « répandre la haine ». Après le meurtre, le jeune homme s’est plus tard rendu aux autorités à la supplique de ses parents, qui avaient vu une ressemblance frappante entre lui et les images du tueur présumé qui avaient été publiées, alors que celui-ci parlait de se suicider. C’est sans doute la peine de mort qui l’attend et la justice aura le lourd devoir de décider si elle doit punir par la peine ultime son terrible geste, entre autres pour décourager de tels actes, ou si elle peut se montrer miséricordieuse avec le coupable, si ce dernier montrait du remords. Terrible, cependant, est la responsabilité de ceux qui traitent leurs adversaires de fascistes ou de nazis, car une telle diabolisation participe à amener de jeunes hommes comme Tyler Robinson à commettre un tel crime.
C’est précisément à de jeunes gens comme lui que Charlie Kirk s’adressait, notamment par le biais de sa tournée de débats sur les campus universitaires intitulée « Prove me wrong » (prouvez-moi que j’ai tort) afin de les amener à vivre une vie chrétienne, à fonder une famille durable, à reconnaître l’humanité de l’enfant à naître et à rejeter les erreurs de l’idéologie du genre. Il allait parler aux jeunes dans les universités, où précisément selon Charlie Kirk les jeunes sont endoctrinés à des idéologies néfastes.
Lire la suiteErika Kirk aux funérailles de son mari : « La cause la plus importante dans la vie de Charlie était de revitaliser la famille »

Par Francesca de Villamundo (Médias-Presse-Info) — Photo : capture d'écran vidéo/ABC News/YouTube
MPI vous propose une retranscription du discours d’Erika Kirk, veuve de Charlie Kirk, lors de l’hommage national à son époux. C’est une ode à l’Amour de Dieu, au pardon, au mariage, à la complémentarité entre les époux, c’est un message intrinsèquement anti-woke.
Charlie Kirk : « Me voici, Seigneur, envoie-moi »
« Que Dieu vous bénisse tous d’être venus ici du monde entier pour honorer et célébrer mon Charlie. »
« À quelques kilomètres d’ici, il y a deux ans, à l’America Fest 2023, Charlie a prononcé un discours sur scène lors de notre événement TP USA Faith. Charlie adorait improviser. Il excellait dans ce domaine, sans texte. Personnellement, je ne savais donc pas ce qu’il allait dire. Et ce jour-là, il a choisi de parler de sa soumission à la volonté de Dieu. Il a cité l’un de ses versets bibliques préférés, Isaïe 6:8 : “Me voici, Seigneur, envoie-moi.” »
« Après que Charlie eut terminé, je l’ai retrouvé en coulisses et je lui ai parlé. Je n’oublierai jamais ça. Je lui ai dit : “Charlie, chéri, s’il te plaît, parle-moi la prochaine fois avant de prononcer ce verset. Parce que quand tu dis quelque chose comme ça, il y a tellement de puissance dans ce verset. Me voici, Seigneur, utilise-moi. Dieu te croira sur parole.” Et avec Charlie, il l’a fait. »
Charlie désirait accomplir non pas sa propre volonté, mais celle de Dieu
« Il y a onze jours, Dieu a accepté l’abandon total de mon mari et l’a appelé à ses côtés. Plus que tout, Charlie désirait accomplir non pas sa propre volonté, mais celle de Dieu. Et ces onze derniers jours, malgré toute la douleur, je n’ai jamais trouvé autant de réconfort qu’aujourd’hui. Pour reprendre les mots du “Notre Père” : “Que ta volonté soit faite.” »
« L’amour de Dieu m’a été révélé le jour même où mon mari a été assassiné. »
« L’après-midi du 10 septembre, je suis arrivée dans un hôpital de l’Utah pour commettre l’impensable. J’ai regardé directement le corps sans vie de mon mari. J’ai vu la blessure qui l’avait emporté. »
« J’ai ressenti un choc. J’ai ressenti de l’horreur et un chagrin dont j’ignorais l’existence. Mais il y avait autre chose aussi. Même mort, je voyais l’homme que j’aime. J’ai vu l’unique cheveu gris sur le côté de sa tête, dont je ne lui avais jamais parlé. Maintenant, il le sait. Désolée, chérie, je te le dis maintenant. Mais je ne lui ai jamais dit. Je ne voulais pas. »
« J’ai vu cela aussi. J’ai vu un léger sourire sur ses lèvres. Et cela m’a appris quelque chose d’important. Cela m’a révélé la grande miséricorde de Dieu dans cette tragédie. »
Lire la suiteLe vote sur les amendements sur l'avortement aux États-Unis

Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Je suis sûr que beaucoup d’entre nous ont suivi avec attention le résultat des élections hier soir, car beaucoup de choses dépendent des personnes élues aux États-Unis.
Mais saviez-vous que dix des cinquante États avaient proposé des amendements sur l’avortement au scrutin ?
Depuis le renversement de Roe v. Wade, la responsabilité de légiférer sur l’avortement a été rendue aux États. Cela signifie que ce n’est plus le gouvernement fédéral des États-Unis qui dicte la politique en matière d’avortement, mais chaque État. Depuis le renversement de Roe v. Wade, le lobby de l’avortement travaille d’arrache-pied pour inscrire l’avortement dans la législation ou la constitution de chaque État. Lors des élections de mi-mandat en 2022, ils ont réussi à étendre le droit à l’avortement dans de nombreux États.
Hier soir, la question de l’avortement était en jeu dans dix États. Voici les résultats :
L’Arizona a proposé un projet de loi visant à créer un droit fondamental à l’avortement jusqu’à 24 semaines de grossesse. Jusqu’à présent, l’Arizona autorisait l’avortement jusqu’à 15 semaines de grossesse. La proposition a été adoptée, avec 61,7 % de vote en faveur avec 61 % des bulletins de vote ayant été dépouillés jusqu’à présent. Le pro-vie a perdu beaucoup de terrain en Arizona.
Lire la suiteLa Cour suprême de l’Arizona confirme une loi pro-vie interdisant la quasi-totalité des avortements

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
9 avril 2024, Phoenix (LifeSiteNews) — La Cour Suprême de l’Arizona a statué par quatre voix contre deux mardi que la loi stricte de l’état sur l’avortement peut entrer en vigueur, interdisant effectivement l’avortement dans l’état pour n’importe quelle raison, sauf lorsque cela est prétendument nécessaire pour sauver la vie d’une mère.
La loi actuelle de l’Arizona limite l’avortement aux 15 premières semaines de grossesse, mais l’État dispose également d’une interdiction de l’avortement datant de 1864, soit des décennies avant que l’Arizona ne devienne un État américain en 1912, et dont l’application avait été bloquée depuis que la Cour suprême des États-Unis avait rendu l’arrêt Roe v. Wade en 1973, déclarant un « droit » à l’avortement légal. L’interdiction a été codifiée en 1913, après que l’Arizona ait obtenu le statut d’État.
Lorsque la Cour suprême a annulé l’arrêt Roe en juin 2022, autorisant les États à interdire directement l’avortement pour la première fois depuis un demi-siècle, elle a relancé les questions sur la validité de la loi. La juge Kellie Johnson de la Cour supérieure du comté de Pima a statué que la loi pouvait être appliquée, sur la seule base que l’ancienne décision n’existait plus.
Lire la suiteLe mouvement des parents s’opposant aux spectacles de travestis destinés aux enfants est porteur de lois

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lostia/Adobe Stock
18 février 2023 (LifeSiteNews) — Le soir du 14 février, un groupe de parents a protesté contre le « Love it or Leave It Drag Show » [Spectacle de travestis « Aime ou quitte »] dans un bar sans alcool pour gens férus d’informatique et de jeux vidéo, appelé The Bronze Dragon, à La Crosse dans le Wisconsin. Le spectacle avait été annoncé spécifiquement pour les jeunes — un spectacle « tous âges » — et les parents qui se sont présentés avec des pancartes pour exprimer leur désapprobation font partie d’un mouvement de rejet croissant et plus large des divertissements sexualisés destinés aux enfants.
Le manifestant Larry Schneider a expliqué à la presse que son inquiétude concerne les jeunes. « Nous pensons simplement que les enfants sont très impressionnables et que le fait qu’ils soient influencés par des adultes dans un cadre adulte est, à notre avis, inapproprié », a-t-il déclaré. Le spectacle, pour la Saint-Valentin, faisait partie de l’inauguration du Dragon de Bronze et mettait en scène des hommes travestis.
Un autre manifestant, Jerry Hatlevig, était d’accord avec Schneider. « Les adultes peuvent faire ce qu’ils veulent »*, a-t-il dit. « Nous ne sommes pas ici pour dire aux adultes qu’ils ne peuvent pas aller à un spectacle de travestis. C’est leur privilège, mais s’il vous plaît, épargnons nos enfants. »
Les manifestants ont brandi des pancartes avec des slogans tels que « L’innocence de nos enfants est très précieuse — s’il vous plaît, ne la prenons pas » ; « Les spectacles pour adultes ne sont pas pour les enfants » ; « Gardons nos enfants en sécurité. » Un groupe qui soutenait le spectacle de drag queens pour tous âges se tenait près des portes pour s’assurer que les participants puissent entrer, ce qui s’est avéré inutile puisque tout est resté paisible.
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade

Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteL’Arizona interdit les «transitions» de mineurs, et les hommes dans les compétitions féminines

Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shopping King Louie/Adobe Stock
31 mars 2022, Phoenix (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Arizona, Doug Ducey, a signé mardi des projets de loi conservateurs interdisant les opérations chirurgicales de « changement de sexe » pour les mineurs, les hommes confus dans les sports pour femmes et pour filles, et presque tous les avortements après 15 semaines de grossesse. Il a également approuvé une loi exigeant une preuve de citoyenneté pour pouvoir voter aux élections présidentielles.
L’action de Ducey fait de l’Arizona l’un des 14 États qui ont restreint les sports pour filles aux véritables femmes ces dernières années et le troisième à adopter une législation protégeant les mineurs des procédures transgenres expérimentales et dangereuses.
BREAKING: Arizona Governor Doug Ducey has signed bills banning biological men from playing girl's sports, make gender reassignment surgeries illegal for minors, and to ban abortion after 15 weeks.
— American Principles 🇺🇸 (@approject) March 30, 2022
Arizona is the 14th state to protect our daughters' sports.
« J’ai signé aujourd’hui les lois S.B. 1138 et S.B. 1165, qui visent à protéger la participation et l’équité pour les athlètes féminines et à garantir que les personnes qui subissent une opération irréversible de changement de sexe ont l’âge adulte », a déclaré Ducey dans une lettre mercredi. Il a qualifié ces mesures de « bon sens ».
Le S.B. 1138 interdit les procédures irréversibles de « changement de sexe », y compris les opérations de mutilation génitale, les hystérectomies et les mastectomies, pour les enfants de moins de 18 ans. Il ne s’applique pas en cas de « trouble du développement sexuel médicalement vérifiable ». Une version précédente aurait également limité les médicaments hormonaux, mais un seul républicain, le sénateur d’État Tyler Pace, l’a bloquée le mois dernier.
Les opérations transgenres sont réalisées sur des enfants mineurs à travers les États-Unis, bien que les militants LGBT prétendent souvent le contraire. Dans une étude de 2018 parue dans JAMA Pediatrics sur les mastectomies ou « reconstruction de la poitrine » pour les jeunes filles confuses de genre, 33 des 68 filles qui ont subi ces opérations ont déclaré l’avoir fait avant d’avoir 18 ans. Deux filles n’avaient que 13 ans lorsqu’elles ont subi ces opérations.
Lire la suiteCinq nouvelles du front pro-vie américain

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : rohappy/Adobe Stock
Le premier site d’actualité bioéthique Généthique liste dans une synthèse de presse 5 différents états américains qui ont récemment fait un pas vers la protection de la vie :
- « Lundi 14 mars, l’Idaho a adopté une loi comparable à un texte voté par le Texas qui introduit la possibilité pour les citoyens de faire respecter l’interdiction d’avorter après six semaines de grossesse. »
- « Dans l’Etat de Virginie-Occidentale, le gouverneur, Jim Justice, a signé lundi 21 mars un projet de loi interdisant l’avortement pour cause de handicap. »
- « la Chambre basse de l’Etat d’Oklahoma a approuvé mardi [22 mars] un projet de loi interdisant l’avortement, sauf en cas de danger pour la vie de la mère. »
- « mercredi 23 mars, le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi Noem, a signé un projet de loi restreignant l’avortement médicamenteux. »
- « En Arizona, les législateurs ont approuvé jeudi [24 mars] l’interdiction “de la plupart des avortements après 15 semaines de grossesse” ».
En rétrécissant le volet d’accès à l’avortement, et en dressant des limites, ces 5 états américains ne reconnaissent pas la valeur inestimable ni l’humanité de la vie de l’enfant à naître dès la conception. Ils définissent arbitrairement le moment lorsque l’embryon devient humain, sans bases scientifiques ou logiques.
Mais il y a quand même de l’espoir : ces avancées reflètent le désir plus ou moins fort de restreindre l’une des plus graves injustices commises à l’échelle mondiale. Même si la victoire n’est pas complète, ni l’injustice de l’avortement entièrement abolie, un meilleur avenir pour les enfants à naître se dessine dans les 5 états.
Un lycée d’Arizona annule la semaine de sensibilisation transgenre suite au tollé des parents

Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
13 décembre 2021, Goodyear, Arizona (LifeSiteNews) — Dans une autre victoire récente des parents contre l’idéologie LGBT qui s’insinue dans les écoles publiques, un lycée de la région de Phoenix a mis fin à une semaine de « sensibilisation transgenre » après une vague de protestations de la part des parents et des étudiants locaux.
Le mois dernier, l’Estrella Foothills High School (EFHS) avait prévu une semaine d’activités pro-transgenre à l’échelle de l’école, en l’honneur de la « National Transgender Awareness Week » (semaine nationale de sensibilisation transgenre), rapporte The Federalist. Selon les demandes de dossiers publics, les activités comprenaient l’affichage par les élèves de leurs pronoms préférés sur des étiquettes nominatives et l’encouragement à porter des tenues de « fierté » arc-en-ciel et les couleurs rose et blanche du drapeau transgenre.
Le club « Coexist » de l’école, pro-LGBT, a été le fer de lance de cette initiative, selon les courriels publiés par The Federalist. Courtney Ratkus, professeur d’anglais à l’EFHS et marraine du club Coexist, a proposé l’idée dans un courriel adressé à la directrice Kimberly Heinz, lui demandant la permission d’organiser ce qu’elle décrit comme des « journées de l’esprit » sur le thème du transgenrisme.
Mme Ratkus a ensuite fait la promotion de la semaine de « sensibilisation aux questions transgenres » auprès des élèves et du personnel, indiquant aux élèves dans un courriel que « des badges nominatifs vous seront fournis par votre professeur de première heure » pour qu’ils puissent afficher les pronoms qu’ils auront choisis le premier jour. « J’enverrai des badges dans chacune de vos boîtes aux lettres d’ici lundi matin pour que vous puissiez les distribuer à vos élèves afin qu’ils puissent participer aux événements de lundi », a-t-elle écrit dans un autre courriel adressé au personnel.
Lire la suiteDes militants pour la liberté médicale dénoncent les horribles abus commis sur des patients covid dans des hôpitaux

Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/AdobeStock
Tucson, Arizona, 23 septembre (LifeSiteNews) — Les patients atteints du COVID-19 à travers l’Amérique se voient refuser tout traitement et « même les soins de base les plus élémentaires » dans ce qui a été décrit comme une « réponse impie, contraire à l’éthique, contraire à l’Amérique, contraire à la Constitution, de la part des hôpitaux » à la [prétendue]* crise du coronavirus, selon les intervenants de la dernière conférence Stop the Shot [Arrêtez la piqûre].
Le quatrième volet de la série de conférences de la Fondation Truth for Health [Vérité pour la Santé] s’est intéressé aux libertés des patients qui ont été mises à mal tout au long de la crise du coronavirus. Des patients se sont vu refuser des médicaments vitaux contre le COVID-19, ont été contraints d’accepter des plans de traitement potentiellement dangereux et coûteux, et ont été isolés de force, sans pouvoir voir leur famille.
L’un de ces cas est celui de Caroline Carroll, une mère de famille qui, après avoir apparemment contracté le virus, s’est fait dire par le personnel de l’hôpital Baylor, White & Scott de College Station, au Texas, qu’« elle avait attendu trop longtemps pour être traitée ».
Jodi Carroll, la fille de Caroline, a pris la parole lors de la conférence, révélant que sa mère croyait initialement qu’elle ne ressentait rien de plus que des symptômes d’allergie. Ce n’est qu’après que son état se soit détérioré que son mari a décidé qu’il serait sage d’obtenir un avis médical. Caroline s’est alors rendue à l’hôpital, où elle a été testée positive au COVID. Les médecins ont alors renvoyé Caroline chez elle en lui disant de ne revenir que si ses symptômes progressaient encore.
« Le lendemain matin, malheureusement, sa concentration d’oxygène dans le sang était de 70, et mon père l’a ramenée d’urgence à l’hôpital, où elle a été admise de juillet à août », explique Jodi.
Une fois hospitalisée, la famille a constaté que les médecins adoptaient une « approche attentiste », malgré leurs demandes d’être plus dynamiques suite aux « recherches que nous avions effectuées sur le COVID » et qui montraient que « c’était une maladie traitable ».
Après avoir consulté le Dr Peter McCullough, cardiologue renommé et conseiller médical en chef de la Fondation Truth for Health, un plan de traitement a été établi, dont une partie consistait à prescrire des anticoagulants pour lutter contre une éventuelle thrombose, ou coagulation du sang.
L’hôpital a toutefois jugé bon de placer Carroll en « soins de soutien », ce que sa famille a compris comme étant des soins palliatifs.
C’est à ce moment-là que la famille « a intensifié ses efforts pour obtenir l’intervention dont nous avions besoin. Nous avons commencé à parler avec le médecin-chef de l’hôpital, demandant les mêmes médicaments. On nous les a refusés ».
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