Il a été abandonné dans une benne à ordure. Aujourd'hui, il possède une entreprise de 62 millions $
Freddie Figger.
Par Nancy Flander (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
« Chaque enfant est un enfant voulu ». C'est à la fois le slogan et l'état d'esprit des défenseurs de l'avortement depuis des décennies. C'est leur tactique de propagande de dire qu’il serait terrible de donner naissance à un enfant dont on ne voudrait pas. Mais dire que la valeur d'un être humain dépend de ce qu'une personne pense de lui réduit tout être humain à néant. La vie de Freddie Figgers prouve que non seulement tout le monde est voulu par quelqu'un [par Dieu du moins]*, mais que la décision d'une femme de mettre fin à la vie de son enfant a des implications qui touchent tout le monde.
M. Figgers est le propriétaire et le PDG du seul réseau de télécommunications du pays appartenant à un Américain d’origine africaine. Il est également le plus jeune titulaire d'un permis FCC, ce qui lui permet de posséder sa propre compagnie de téléphonie cellulaire, Figgers Wireless, qui a une valeur nette de plus de 62 millions $. Il possède également Figgers Health et FiggCash.
Mais Figgers ne correspond pas à la description d'un enfant « voulu » selon les normes de l'industrie de l'avortement. Sa mère l'a abandonné dans une benne à ordure quand il était nouveau-né. Heureusement, il a été retrouvé et adopté seulement 13 jours plus tard par des parents qui lui ont appris à croire en lui et à être heureux. Il dit qu'ils ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui.
« C'est incroyable qu'on puisse rencontrer des gens comme ça, et jusqu'à ce jour, je n'ai jamais rencontré mes parents biologiques », dit-il sur FreddieFiggers.com. « Je n'en ai jamais eu l'intérêt. »
L'histoire raconte qu'à l'âge de neuf ans, son père lui a acheté un ordinateur que Figgers a démonté et remonté six fois. À l'âge de 12 ans, il s'est joint à Net Quincy, une entreprise de technologie et de télécommunications. Il a obtenu un emploi à temps partiel comme technicien à l'âge de 16 ans et a ouvert un atelier de réparation d'ordinateurs dans sa cour arrière pour réparer jusqu'à 60 ordinateurs par semaine. Il a fini par créer une base de données en nuage (cloud database) pour les concessionnaires et les cabinets d'avocats, puis il a créé une société de télécommunications avec l'argent gagné grâce à ses programmes informatiques. Il a acheté une tour de téléphonie cellulaire pour 400 000 $ et possède maintenant 18 tours, fournissant un service sans fil 4G à ses clients, sans contrat.
M. Figgers ne garde pas tout pour lui, il donne par l'intermédiaire de la Fondation Figgers qui fournit des bourses d'études et donne aux campagnes de secours en cas de catastrophes naturelles.
« Je crois en la transformation de la compassion en action, et si vous voyez un problème, trouvez une solution pour avoir un impact qui changera la vie de quelqu'un. J'ai commencé ma Fondation avec mon salaire personnel et je crois en l'importance de donner en retour. Je me souviens d'où je viens et simplement de ce qu'un homme gagnerait s'il gagnait le monde entier tout en perdant son âme dans ce processus. » dit-il. « Je vais avoir un impact sur ce monde et le changer aujourd'hui pour un avenir meilleur, parce que l'argent n'est rien d'autre qu'un outil, mais avec cet outil nous pouvons avoir un impact et changer la vie quotidienne des gens avec des opportunités. »
Figgers, jadis laissé pour mort dans une benne à ordure, est aujourd'hui un entrepreneur qui connaît un succès fou et qui se concentre sur l'aide aux autres.
Chacun a une valeur intrinsèque. Tout le monde a une vie digne d'être vécue. Tout le monde est recherché par quelqu'un [hum… par Dieu du moins]*.
*Commentaires d'Augustin Hamilton.
Quelle est donc cette histoire de cintres ?
Par Ruth Robert (Campaign Life Coalition) — (Traduit par Campagne Québec-Vie)
L’un des nombreux arguments avancés par les pro-choix est que l’avortement sauve des vies. Oui, l’enfant meurt, mais si l’avortement n’était pas légal, les femmes continueraient à rechercher et à obtenir des avortements, peut-être au moyen de cintres, et mourraient donc en grand nombre. Étant tombé sur cet argument au cours de l’été, j’ai ressenti le besoin de souligner que la majorité des faits suggère que l’augmentation supposée de la mortalité maternelle due à l’avortement illégal est un mythe. L’avortement sur demande peut même davantage mettre en danger la vie des femmes. Cela cause certainement plus de décès au total.
Considérons la recherche publiée en 2012 qui a été faite au Chili sur le taux de mortalité maternelle du pays sur 50 ans. La mortalité maternelle a continuellement baissé sur une période de cinquante ans, même après que l’avortement y ait été rendu illégal. En d’autres termes, la légalité de l’avortement ne semble pas avoir d’impact sur les taux de mortalité maternelle. De même, l’OMS, l’UNICEF, le FNUAP et la Banque mondiale ont indiqué que les quatre pays qui avaient enregistré la plus forte baisse de leur taux de mortalité maternelle entre 1990 et 2008 étaient les Maldives, la Roumanie, l’Iran et le Bhoutan. Trois de ces pays avaient maintenu l’interdiction de l’avortement.
En outre, selon une étude menée en Finlande, où l’avortement est légal, le taux de mortalité des femmes qui ont subi un avortement au cours de l’année écoulée était quatre fois plus élevé que celui des femmes qui ont enfanté la même année. Le suicide figurait parmi les raisons d’un tel pic, ce qui laisse entrevoir la dévastation émotionnelle et psychologique que peut entraîner l’avortement. D’autres études menées appuient ces conclusions. Par conséquent, que le pays soit développé ou non, au mieux la légalisation de l’avortement ne contribue pas à faire baisser les taux de mortalité, et au pire il tend à les augmenter. Il est clair que la légalisation de l’avortement n’est pas une solution nécessaire [dans le sens où la fin justifierait les moyens], ni même sage, pour épargner aux femmes le risque de mourir.
Cela, peut-être, ne devrait pas être une révélation stupéfiante. Légaliser l’avortement signifie augmenter le nombre de femmes qui ont recours à l’avortement. Étant donné que l’avortement n’est pas sans risque (et qu’il peut également augmenter le risque de complications lors de grossesses futures), il n’est pas surprenant que la mortalité maternelle augmente. Qui sait ? Cette tendance pourrait peut-être contribuer à la tendance ascendante de la mortalité maternelle dans des pays comme le Canada et les États-Unis au cours des dernières décennies, en dépit des allégations d’amélioration des « soins de santé reproductive ».
Enfin, ceux qui se tiennent à la position de « pro-choix à contrecœur » en raison d’un désir de réduire les pertes de vie seraient encore mieux lotis en s’opposant à l’avortement. Selon les statistiques du Center for Disease Control and Prevention (CDC), 39 femmes seulement sont mortes des suites directes d’avortements illégaux l’année précédant Roe v. Wade [États-Unis], contrairement aux « milliers » qui seraient morts selon les militants de l’avortement. Cependant, des milliers d’enfants meurent chaque jour des suites d’un avortement légal. Peut-être qu’au lieu d’aider les femmes à tuer plus efficacement leurs enfants afin qu’elles ne soient pas « forcées » de se tourner vers les cintres, les pays devraient canaliser leurs ressources à l’élimination des causes qui pourraient conduire les femmes à une telle décision.
Religion ou raison ?
Socrate.
Richard Bastien, 30 août 2019 — Photo : solut_rai/Pixabay
Le camp des « pro-choix » soutient que la position « pro-vie » repose sur des croyances religieuses plutôt que sur la raison. Pourtant, rien n’est plus faux. La position pro-vie repose avant tout sur la raison naturelle et la logique.
Les pro-vie ont beau être croyants, les arguments qu’ils invoquent pour s’opposer à l’avortement n’ont rien à voir avec la religion. Ils comprennent parfaitement que la politique relève de la raison ― une raison qui n’est pas seulement technique ou calculatrice, mais aussi morale, puisque le but ultime de la politique, qui est la paix et la justice, est lui-même moral.
Quelle est donc cette logique non religieuse associée à la position pro-vie ?
Elle repose sur la notion de loi naturelle, une notion défendue initialement par des philosophes grecs et romains, comme Aristote et Cicéron, ayant vécu avant l’avènement du christianisme.
La loi naturelle est inscrite au cœur même de nos traditions juridiques et politiques. Elle sous-tend des documents fondateurs comme la Magna Carta Anglaise (1215), la Déclaration d’indépendance (1776) des États-Unis, la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations Unies (1948) et la Convention européenne des droits de l’homme (1953).
Au vu de la loi naturelle, certains actes humains sont intrinsèquement bons ou mauvais et toute personne normale est dotée d’une conscience morale lui permettant de distinguer le bien du mal. Nul besoin donc de faire appel aux croyances religieuses pour s’opposer à l’avortement. Ce que les « pro-vie » réclament, c’est un État plus humain!
Lire la suiteSatire en vidéo du thème pro-avortement: certains bébés seraient «mieux» morts
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
26 août 2019 (LifeSiteNews) — Une nouvelle vidéo pro-vie utilise la satire pour détruire l’affirmation faite par les militants pro-avortement que certains bébés seraient tout simplement « mieux » s’ils étaient supprimés avant d’être nés.
Le groupe pro-vie ontarien Choice42 (Choice For Two) est de retour pour un autre volet de sa populaire série de vidéos « Just Saying », qui utilise la satire pour se moquer des arguments courants en faveur de l’avortement et les discréditer. La dernière vidéo du groupe cible l’idée qu’il aurait été miséricordieux d’avorter un bébé né dans des circonstances éprouvantes.
La fondatrice et directrice de Choice42, Laura Klassen, assume encore une fois le rôle d’apologiste de l’avortement aux cheveux roses, montrant cette fois-ci diverses photos échographiques et expliquant la variété de défis médicaux et sociaux, de la trisomie 21 à la maternité monoparentale, qui signifierait que ces bébés seraient « mieux » morts.
Lire la suite11 règles pour gagner le débat sur l’avortement (Stéphane Mercier)
Stéphane Mercier.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Inspiré des « Eleven Rules » de Ben Shapiro et de son admirable talent de polémiste, cet exposé présente les modalités du débat sur les questions qui touchent la vie humaine menacée par l’avortement en particulier. Nous qui défendons la vie devons connaître les pièges rhétoriques de la culture de mort afin d’y répondre de manière appropriée.
8 questions qui montrent à quel point les arguments pro-avortement sont irrationnels
Par Stephanie Gray (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixnio
22 janvier 2019 (Love Unleashes Life) — Vous a-t-on déjà posé une question à laquelle la réponse a changé votre vie ? Un membre du public m’a déjà parlé de la fois où elle avait postulé pour travailler dans une organisation missionnaire de chasteté en Amérique. Au cours de l’entretien, on lui a demandé : « Si on ne vous embauche pas, que feriez-vous d’autre ? ». Sans perdre de temps, elle répondit : « J’irais en Afrique et je travaillerais avec les pauvres. » Plus tard dans la journée, elle ne cessait de penser à cette question et sa réponse. Elle réalisa le désir de son cœur, elle retira sa candidature et alla en Afrique au service des pauvres. Tout comme la façon dont la réponse à une question a conduit cette jeune femme sur un chemin très différent de son plan initial, appliquer le pouvoir des questions au débat sur l’avortement peut aider à comprendre que Roe c. Wade, loin d’être une bonne décision juridique, est en réalité contre la raison.
Voici les questions que nous pouvons poser :
1. Comment mesurons-nous la viabilité ?
Lorsqu’on parle de Roe c. Wade, les gens parlent souvent de viabilité, certains affirmant que l’avortement est acceptable si l’enfant ne peut pas survivre en dehors de l’utérus. On considère que le seuil de viabilité d’un fœtus se situe autour de 24 semaines. Mais considérons ces 24 semaines et ce que cela veut dire : pour atteindre 24 semaines, cela implique que nous remontions jusqu'au début des 24 semaines. Alors que s’est-il passé ? Fusion sperme-ovule, également appelée fécondation. Puisque nous comptons le temps à partir de là, il s’agit en réalité d’une concession d’après laquelle la vie ne commence pas à 24 semaines mais bien 24 semaines avant.
2. Si l’avortement est autorisé après la viabilité, pour sauver la vie d’une femme, pourquoi ne pas sortir l’enfant vivant plutôt que mort ?
Les partisans de l’avortement soulignent souvent que l’avortement après la viabilité est parfois « nécessaire » car une femme enceinte pourrait décéder sans avortement. Puisque, à un stade aussi avancé de la grossesse, l’enfant peut survivre en dehors de ventre de sa mère, pourquoi le tuer ? Pourquoi ne pas retirer l’enfant vivant et le placer dans un incubateur ?
Lire la suitePassage en revue rapide d'arguments classiques pro-avortement
Ben Shapiro.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Voici une vidéo mettant en scène Ben Shapiro qui répond comme une mitrailleuse aux arguments pro-avortement d'un étudiant, aux États-Unis. Extrait de Pour une école libre au Québec* :
Sentience = sensibilité, conscience, sentient = doué de sensibilité.
*La phrase : « Ok, je ne crois pas, que le fait que vous soyez un fardeau pour quelqu'un, ne soit une justification suffisante pour quiconque voudrait vous tuer, » devrait plutôt être écrite ainsi :« Ok, je ne crois pas que le fait que vous soyez un fardeau pour quelqu'un soit une justification suffisante pour quiconque voudrait vous tuer. » — CQV
Les femmes ne mouraient pas par milliers à cause des avortements clandestins avant Roe contre Wade
Par Carole Novielli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tammy Sue/PublicDomainPictures
Dans les jours précédant la décision de la Cour Suprême de légaliser l’avortement aux États-Unis lors de l’affaire Roe contre Wade, les partisans proavortement avaient affirmé que des centaines de milliers de femmes mourraient des suites d’avortements clandestins. À cause de cela, plusieurs législateurs ont voté pour décriminaliser l’avortement avant Roe, et encore aujourd’hui, des législateurs sont hésitants quant à interdire l’avortement pour la même raison. Ces statistiques ont été inventées par les mêmes personnes qui bénéficieraient de la légalisation de l’avortement.
Fausse affirmation n° 1 : 5 000 à 10 000 femmes sont décédées chaque année suite à des avortements clandestins avant Roe.
Faits: Ces statistiques ont été fabriquées. Les chiffres exacts n’en représentent qu’une fraction.
L’avorteur Bernard Nathanson a avoué avoir fabriqué, ainsi que d’autres, le grand nombre de décès causés par avortements clandestins avant Roe. Nathanson et Larry Lader, un biographe de Margaret Sanger, ont œuvré à décriminaliser les lois sur l’avortement. Ensemble, ils ont fondé NARAL (alors connu comme l’Association nationale pour l’abrogation des lois sur l’avortement).
Lire la suiteL’argument proavortement « Mon corps, mon choix! » détruit par une excellente vidéo
Laura Klassen, fondatrice et directrice de l’organisme canadien pro-vie Choice42.
Par Claire Chrétien — traduit par Campagne Québec-Vie
21 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Une annonce de grossesse singulière enfonce l’argument illogique proavortement « mon corps, mon choix ».
Laura Klassen, fondatrice et directrice de l’organisme canadien pro-vie Choice42, a publié une vidéo sarcastique mettant en évidence les failles de ce slogan proavortement commun.
Klassen commence la vidéo en disant, « Il y a un corps à l’intérieur de mon corps. » Tout en tenant une pancarte portant le mot « enceinte ».
« Je pense que c’est le moment idéal pour aborder le thème du “mon corps, mon choix” », déclare alors Klassen. « Le problème, avec cette petite phrase accrocheuse, est qu’elle est fausse, à cause de la science. Je vais être très scientifique avec vous pendant quelques instants, aussi soyez indulgents. »
Lire la suiteBen Shapiro détruit l'argument selon lequel un « foetus » n'est pas une vie humaine
Ben Saphiro
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Gage Skidmore/Flickr
Hier [14 septembre 2017], le journaliste conservateur Ben Shapiro a pris la parole à l'Université de Californie à Berkeley, pendant que des protestataires et les services de sécurité étaient massés à l'extérieur. À l'intérieur, une interaction intéressante s'est produite entre Shapiro et un étudiant pro-avortement durant la période de questions de l'événement, organisé par Q&A event, pendant laquelle l'étudiant a demandé: «Pourquoi, exactement, croyez-vous qu'un fœtus, au premier trimestre, a une valeur morale?»
Shapiro a répondu:
Lire la suiteUn fœtus, au premier trimestre, a une valeur morale, car que vous le considériez comme une vie humaine potentielle ou comme une vie pleinement humaine, il a plus de valeur que seulement un amas de cellules. Si le fœtus est laissé à ses processus naturels, il deviendra un bébé. Alors la vraie question est: où tracez-vous la ligne? Vous tracerez la ligne au battement de cœur? Parce que c'est très difficile de tracer la ligne au battement de cœur: il y a des gens qui sont des adultes qui sont en vie grâce à un stimulateur cardiaque; ils ont besoin d'une force externe pour générer leur battements cardiaques. Allez-vous [tracer la ligne] en vous basant sur la fonction cérébrale? D'accord, eh bien qu'en est-il des gens qui sont dans le coma? Devrions-nous simplement les tuer?