L’Assemblée nationale du Québec à la rescousse de Noël
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Vitalii/Adobe Stock
L’Assemblée nationale du Québec a voté presque unanimement le 29 novembre une motion dénonçant la Commission canadienne des droits de la personne pour son attaque contre les fêtes chrétiennes comme Pâques et Noël. La Commission, en effet, avait produit un document intitulé « Document de réflexion sur l’intolérance religieuse », où elle affirme que « La discrimination à l’égard des minorités religieuses au Canada est ancrée dans l’histoire du colonialisme au Canada ». Selon la Commission, ce fait « se manifeste aujourd’hui par une discrimination religieuse systémique. Un exemple évident est celui des jours fériés au Canada. Les jours fériés liés au christianisme, dont Noël et Pâques, sont les seuls jours fériés canadiens liés à des fêtes religieuses. »
Il semble échapper à la Commission que tous les Canadiens, même les non-chrétiens, profitent du congé octroyé pour ces fêtes, ce qui, me semble-t-il, est des plus « inclusifs ».
« On va continuer à fêter Noël »
« Honnêtement, au Québec, on va continuer de fêter Noël et on s’excusera pas de fêter Noël au Québec ! » s’est exclamé le ministre de la Justice Simon Jolin-Barrette après le vote à l’Assemblée, rapporte TVA Nouvelles.
« Noël, ça fait partie des valeurs québécoises », rechérit-il sur l’émission de Mario Dumont.
En sortant du Salon Bleu, le ministre de la Lutte contre le racisme Christopher Skeete, dépositaire de la motion, quant à lui, a affirmé : « La Commission essaie de dire aux Canadiens et par extension aux Québécois que Noël, c’est raciste. Moi, je ne le pense pas et je pense que les Québécois sont avec moi ».
Lire la suiteLa Commission canadienne des droits de la personne s’attaque à Noël pour cause de « colonialisme »
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — La Commission canadienne des droits de la personne (CCDP) est vivement critiquée pour avoir suggéré que ceux qui célèbrent les fêtes chrétiennes, dont Noël, font preuve d’intolérance et perpétuent le prétendu « colonialisme ».
Selon un document récent publié par la CCDP le 23 octobre 2023, intitulé « Document de réflexion sur l’intolérance religieuse », les fêtes telles que Noël et Pâques sont des formes de discrimination et d’intolérance religieuse.
La CCDP a déclaré que l’observation de la naissance de Jésus-Christ est « un exemple évident » d’un type de préjugé religieux enraciné dans le colonialisme.
« La discrimination à l’égard des minorités religieuses au Canada est ancrée dans l’histoire du colonialisme au Canada », peut-on lire dans le document de la Commission.
Lire la suiteLe Canada a abandonné la religion et l’a remplacée par des valeurs « laïques » destructrices
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shyshka/Adobe Stock
2 novembre 2023 (LifeSiteNews) — Au début des années 2000, le mouvement du Nouvel Athéisme — mené par les « quatre cavaliers de l’apocalypse », Christopher Hitchens, Richard Dawkins, Sam Harris et le moins connu Daniel Dennett — a défendu l’idée que l’« antithéisme » était la clé de l’illumination. En d’autres termes, il n’était pas seulement vrai que Dieu n’existait pas — il était bon que ce soit vrai, parce que la Bible était un livre mauvais et que, comme l’affirmait le titre du livre le plus célèbre de Hitchens, « la religion empoisonne tout ».
À bien des égards, ces hommes voulaient que l’Occident ressemble au Canada, du moins en termes de taux de pratique religieuse. Selon les sondages, 89 % des Canadiens n’assistent pas régulièrement à un culte religieux (qu’ils s’identifient ou non à une tradition religieuse). Selon les données publiées cette année par Cardus, à la question « À quelle fréquence, le cas échéant, lisez-vous la Bible, le Coran ou un autre texte sacré ? », 56 % des personnes interrogées ont répondu « jamais », 21 % « rarement », 7 % « quelques fois par an », 10 % « au moins une fois par mois, mais moins d’une fois par jour » et 6 % ont déclaré lire un texte sacré tous les jours.
Lire la suiteLes aumôniers militaires pourraient finalement prier durant la cérémonie du jour du Souvenir
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Douglas O'Brien/Flickr
L’aumônier général Guy Belisle écrit dans un courriel adressé aux aumôniers militaires le 30 octobre qu’ils seront autorisés à prier durant la cérémonie du jour du Souvenir.
Le même Guy Belisle avait précédemment indiqué dans une note de service du 11 octobre aux aumôniers qu’ils devraient dorénavant « adopter une approche sensible et inclusive lorsqu’ils s’adressent publiquement aux membres des forces armées ». Car, « Bien que la dimension de la prière puisse occuper une place importante pour certains de nos membres, nous ne prions pas tous de la même manière ; pour certains, la prière ne joue aucun rôle dans leur vie ». Ces directives obligeant à l’« inclusivité » sont en fait exclusives et prohibent tout propos religieux qui pourrait déranger l’un ou l’autre militaire.
Selon une déclaration du porte-parole du ministère de la Défense nationale qui indiquait que les aumôniers qui prennent la parole lors de cérémonies militaires publiques et obligatoires « ne doivent pas utiliser le mot “Dieu” ou d’autres références à une puissance supérieure telle que “Père céleste” » afin de « s’assurer que tous se sentent inclus et capables de participer à la réflexion, quelles que soient leurs croyances ».
La situation est telle que les aumôniers n’osaient même pas écrire leur réflexion pour le jour du Souvenir, a révélé un militaire.
Mgr Scott McCaig, l’Ordinariat militaire catholique du Canada, quant à lui, a indiqué que la nouvelle directive interdisant pratiquement toute prière causait une « crise vocationnelle ». Cette même directive a même causé des départs parmi les aumôniers.
Lire la suiteUn message au gouvernement Trudeau : Nous n’oublierons pas Dieu en ce jour du Souvenir
Monument au souvenir à Ottawa.
Par Everyday For Life Canada — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mikkel Paulson/Wikimedia Commons
Pour le jour du Souvenir 2023, le gouvernement libéral canadien de Justin Trudeau a demandé aux militaires et à leurs aumôniers de ne pas utiliser de prières chrétiennes ni de référence à Dieu lors des prochains services commémoratifs. Il s’agit de s’assurer que les Canadiens vénèrent la trinité laïque du DIE, la Diversité, l’Inclusion et l’Équité.
Nous espérons que les aumôniers refuseront d’obtempérer. Nous rappelons à l’actuel gouvernement canadien la véritable signification de l’expression « Lest we forget » [De peur que nous n’oubliions]. C’est une phrase souvent utilisée lors des cérémonies du jour du Souvenir. Mais cette expression ne fait pas référence, comme la plupart des gens le croient, aux soldats qui sont morts pendant la guerre.
L’expression provient d’un poème de Rudyard Kipling datant de 1897 et intitulé « Recessional » [Hymne de clôture]. Il s’agit d’un poème chrétien écrit pour célébrer le jubilé de diamant de la reine Victoria. C’était bien avant la Première et la Seconde Guerre mondiale. La phrase est répétée huit fois. L’auteur veut souligner le danger d’oublier ce qui est le plus important, d’oublier Dieu :
« Dieu de nos pères, connu depuis les jours anciens,
Seigneur de notre vaste ligne de front
De la main admirable duquel nous tenons
La domination sur les palmiers et les pins
Seigneur Dieu des armées, sois encore avec nous,
De peur que nous n’oubliions, de peur que nous n’oubliions ! »
L’idée de « ne pas oublier » se trouve également dans la Bible. Dans le Deutéronome 4,7-9, nous lisons : « Il n’y a point en effet d’autre nation, quelque puissante qu’elle soit, qui ait des dieux aussi proches d’elle que notre Dieu est proche de nous et présent à toutes nos prières. Car où trouver un autre peuple aussi célèbre, qui ait comme celui-ci des cérémonies, des ordonnances pleines de justice, et toute une loi semblable à celle que j’exposerai aujourd’hui devant vos yeux ? Conservez donc vous-mêmes, et gardez soigneusement votre âme. N’oubliez point les grandes choses que vos yeux ont vues, et qu’elles ne s’effacent point de votre cœur tous les jours de votre vie. Enseignez-les à vos enfants et à vos petits enfants ». (Bible Fillion)
Lire la suiteDes militaires canadiens s’expriment sur le fait que les aumôniers ne peuvent plus utiliser le mot « Dieu » dans les prières publiques
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cherkas/Adobe Stock
20 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Plusieurs membres des Forces armées canadiennes (FAC) ont confié leurs réactions exclusives à LifeSiteNews cette semaine après avoir été informés qu’ils ne devraient pas faire appel à Dieu pendant les prières publiques afin de donner la priorité à l’inclusivité et à la « diversité » quelques semaines avant le jour férié national du 11 novembre, le jour du Souvenir. Le ministre de la Défense nationale a déclaré que les prières publiques devaient « refléter la diversité spirituelle et religieuse des Canadiens ».
Lors d’entretiens téléphoniques exclusifs avec LifeSiteNews, des membres des FAC connus de LifeSite mais qui ont demandé à rester anonymes se sont exprimés contre ce qu’ils considèrent comme une sécularisation accrue de l’armée.
« En un mot, ce changement est le suivant : abolir Dieu de la place publique », a déclaré un militaire, expliquant que « l’éthique qui sous-tend le document » met l’accent sur la « spiritualité » plutôt que sur la « religion ».
« La liberté de religion, je le crains, est lentement remplacée par la liberté de ne pas avoir de religion », a déclaré un autre membre des FAC à LifeSite.
Leurs remarques se rapportent à une note de service du 11 octobre signée par l’aumônier général Guy Belisle et obtenue par The Epoch Times, qui demandait aux aumôniers canadiens « d’adopter une approche sensible et inclusive lorsqu’ils s’adressent publiquement aux membres des forces armées ».
Lire la suiteAucun reste humain n’a été trouvé sur le site d’un pensionnat catholique au Canada
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tinnakorn/Adobe Stock
22 août 2023 (LifeSiteNews) — Au milieu d’une série d’incendies d’églises suscitée par des allégations de « tombes non marquées » dans les anciens pensionnats religieux pour enfants indigènes, une excavation récente menée sur l’un des sites n’a révélé aucune « preuve concluante » de restes humains.
L’ancien pensionnat de Pine Creek, situé à Pine Creek, au Manitoba, a été géré par l’Église catholique de 1890 à 1969 — le site abrite aujourd’hui l’église catholique Our Lady of Seven Sorrows. Les archives gouvernementales font état de 21 décès survenus dans ce pensionnat.
Les fouilles, qui ont duré quatre semaines et n’ont révélé aucune trace de restes humains, ont été menées par la tribu de la Première nation Minegoziibe Ashinabe, après qu’un radar à pénétration de sol ait détecté 14 anomalies sur le site de l’ancienne école.
Dans une vidéo publiée sur les médias sociaux vendredi dernier, le chef Derek Nepinak des Minegoziibe Anishinabe a déclaré qu’en tant que « communauté, nous nous préparons à plus d’une issue possible, ce qui signifie que nous nous préparons au pire tout en espérant le meilleur ».
MANITOBA — Le chef Derek Nepinak des Minegoziibe Anishinabe a annoncé que les fouilles effectuées sous une église catholique n’ont révélé AUCUNE PREUVE DE RESTE HUMAIN.
Selon les accusations d’anciens élèves, les écoles résidentes de l’Église auraient dissimulé les abus et les décès d’enfants autochtones.
— Bree A Dail (@breeadail) 21 août 2023
Nepinak a expliqué que les fouilles ont été effectuées par une équipe de chercheurs de l’université de Brandon, la même équipe que celle sur laquelle s’appuient les forces de l’ordre pour recueillir des preuves archéologiques.
Lire la suiteMassachusetts : un couple catholique se voit opposer un refus d’adoption en raison de ses convictions catholiques
Mike et Kitty Burke.
Par Anne Dolhein (reinformation.tv)
Mike et Kitty Burke, époux catholiques pratiquants vivant dans le Massachusetts aux Etats-Unis étaient presque au bout de leur chemin vers l’adoption. Lui est un vétéran de la guerre d’Irak, elle a travaillé auprès d’enfants handicapés. Alors que le drame de l’infertilité les privait de la possibilité de concevoir naturellement les enfants qu’ils désiraient tant, ils ont décidé d’ouvrir leur foyer à des enfants en recherche d’un père et d’une mère adoptif : il y a actuellement 7 810 enfants placés dans l’Etat, dont 1 521 éparpillés dans des hôpitaux ou des bureaux des services sociaux à la date du 31 mars dernier, faute de familles d’accueil. Tout allait bien dans le processus d’agrément des Burke, qui a duré des mois, formations comprises, mais les vérifications ont pris un tour inquiétant lorsqu’ils ont été interrogés de manière de plus en plus serrée sur leurs convictions religieuses. Pour finir, les services sociaux ont décidé de refuser l’agrément. Les Burke ont décidé de porter plainte au niveau fédéral.
Discrimination contre un couple catholique qui ne soutient pas les « LGBT »
Il s’agirait en effet d’une discrimination caractérisée, mais de celles qui se veulent « vertueuses » à l’aune de la morale inversée qui a cours. La loi du Massachusetts protège la liberté religieuse des candidats à l’adoption contre toutes les discriminations habituellement énumérées dans ce type de texte : « religion, race, couleur, croyance, identité de genre, orientation sexuelle, origine nationale, âge ou handicap ».
Mike et Kitty se sont doutés que les choses tournaient vinaigre lorsqu’on a commencé à les interroger de manière pointue, lors des rencontres qui se sont déroulées chez eux, sur leur vision catholique de l’« orientation sexuelle » ou de la « dysphorie de genre ». Ils répondirent qu’ils accepteraient et aimeraient n’importe quel enfant, quelles que soient sa future orientation sexuelle ou ses interrogations, mais reconnurent qu’ils n’abandonneraient pas leurs convictions religieuses en la matière.
Lire la suiteL’ONU tente d’imposer l’idéologie LGBT à toutes les religions
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-FAM) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bluraz/Adobe Stock
La liberté religieuse s’arrête là où les droits LGBT commencent. Telle est la conclusion d’un nouveau rapport des Nations unies sur le droit à la liberté de religion et de conviction.
Ce rapport invite les gouvernements à menacer et à punir les chefs religieux et les organisations qui ne se conforment pas à l’orthodoxie LGBT et, fait nouveau et sans précédent, à déstabiliser les religions de l’intérieur en soutenant les factions pro-LGBT au sein des confessions religieuses.
L’expert indépendant des Nations unies sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, Victor Madrigal-Borloz, auteur nominal du rapport, ne cache pas son intention de créer « un nouvel espace normatif » où les gouvernements imposeront les normes LGBT acceptables aux religions.
« Les limites établies dans la conception même de la Liberté de religion et de conviction — comprenant les droits et libertés fondamentaux des personnes LGBT — sont la clé de la pleine compatibilité de la Liberté de religion et de conviction et de toutes les actions nécessaires pour lutter contre la violence et la discrimination à leur encontre », conclut-il à la fin du rapport.
Selon les conclusions du rapport, le clergé et les autres acteurs religieux devraient être menacés pour qu’ils se conforment aux normes religieuses officielles favorables aux LGBT ou pour qu’ils en subissent les conséquences. Les gouvernements devraient « encourager les institutions religieuses à réfléchir à la manière dont leurs représentants seront tenus pour responsables dans les cas où ils encouragent la discrimination à l’encontre des personnes LGBT et d’autres personnes de genre différent ».
Lorsque les religions enseignent que le comportement homosexuel est un péché ou que le sexe est une réalité biologique immuable, elles vont à l’encontre de la législation sur les droits de l’homme.
Lire la suiteLe wokisme religieux
Paul-André Deschesnes, Chronique des fausses doctrines, 24 juillet 2023 — Photo : Bruno Biancardi/Adobe Stock
L’Église catholique romaine est-elle en train de devenir woke ?
Depuis quelques années, on parle abondamment en Europe de l’Ouest, en France, en Amérique du Nord, et au Québec en particulier du mouvement woke. Les médias, les artistes, les intellectuels branchés, les universités et même une importante partie de notre clergé moderniste déroulent le tapis rouge pour plaire aux adeptes de cette nouvelle idéologie très à la mode.
Les wokes sont des gens supposément très éveillés. Ils ont une sensibilité gonflée à bloc. Ils se sentent oppressés, discriminés, insultés et opprimés. Ils refusent de discuter et de débattre, car ils ont toujours raison. Ils se sont infiltrés un peu partout dans notre société et même dans notre Église catholique. Ils s’autoproclament gauchistes et ceux qui les critiquent sont étiquetés de pauvres ignorants de droite, sexistes, racistes, homophobes, transphobes, etc. Ils visent les postes de commande pour imposer leur délire à tout le monde.
Au niveau de l’Église catholique, plusieurs prêtres, évêques et cardinaux modernistes sont rapidement tombés dans le panneau. Pour eux, il faut bien accommoder tous ces catholiques wokes ultra-sensibles. On marche sur des œufs ; on fait des homélies à l’eau de rose et à un moment donné, on devient woke !
L’Église catholique est-elle devenue woke ? Le christ était-il un woke quand il enseignait la Vérité ? Le Vatican est-il en train de devenir woke dans ses prises de position doctrinales ?
Les wokistes remettent en question l’enseignement de la Bible et l’enseignement du Magistère. Ils se sentent opprimés par la morale catholique traditionnelle et les commandements de Dieu. Ils exigent des prêtres, des évêques et du Pape que leur ressenti soit respecté et qu’on se plie à leur volonté de tout changer. Devant un tel déferlement woke, une grande partie de l’Église a abdiqué en devenant très sympathique envers ce mouvement postmoderne.
Assez, c’est assez ! Il faut revenir aux valeurs fondamentales et proclamer courageusement haut et fort le contenu en entier des Saintes Écritures, des commandements de Dieu et de l’Église, des dogmes et de la morale catholique. Il faut se tenir debout, même si on fait de la peine aux wokes qui se sont infiltrés partout de la paroisse locale jusqu’à Rome.
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