Andrew Cuomo ne sera pas poursuivi pour son décret qui a tué 15 000 résidents de maisons de retraite
Andrew Cuomo.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
L’ancien gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo, tombé en disgrâce, ne sera pas poursuivi pour son décret qui a entraîné la mort de 15 000 résidents de maisons de retraite. Ce décret avait permis d’envoyer des patients positifs au COVID dans des maisons de retraite, alors que d’autres lieux étaient disponibles, ce qui a rapidement entraîné leur décès.
Selon les médias, le nouveau procureur de Manhattan, Alvin Bragg, ne portera pas plainte dans cette affaire.
L’avocat de Cuomo, Elkan Abramowitz, a applaudi cette décision.
Il a déclaré dans un communiqué : « J’ai été contacté aujourd’hui par le chef de l’unité de soins aux personnes âgées du bureau du procureur du district de Manhattan qui m’a informé qu’ils avaient clos leur enquête impliquant la Chambre exécutive et les maisons de retraite. On m’a dit qu’après une enquête approfondie ─ comme nous l’avons toujours dit ─ il n’y avait aucune preuve suggérant que des lois aient été violées ».
Les familles de personnes âgées décédées dans des maisons de retraite sont furieuses :
Lire la suite« Laisser Cuomo s’en tirer à bon compte est une mauvaise façon de commencer l’année 2022 », a déclaré Vivian Zayas, cofondatrice de Voices For Seniors, dont la mère, Ana Martinez, est décédée du COVID alors qu’elle se trouvait dans une maison de retraite.
« Quinze mille personnes ont perdu la vie dans des maisons de retraite. On dirait que les procureurs ne prennent pas ça au sérieux. Ils protègent essentiellement Cuomo.
Nous sommes très déçus de notre système judiciaire. »
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, dans l’eau chaude pour dissimulation de « décès covid »
Andrew Cuomo.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Le gouverneur démocrate de l’État de New York, Andrew Cuomo, loué par les gros médias au début du confinement pour sa gestion de la « pandémie », est maintenant cloué au pilori jusque par les membres de son parti, par les républicains de l’État qui veulent lancer le processus de destitution à son encontre, et peut-être bientôt par le gouvernement fédéral qui a entamé une enquête sur ladite gestion. Le crime reproché à Cuomo ? Outre le pourcentage élevé de « décès covid » de son État par rapport aux autres, il a sciemment dissimulé environ 50 % des décès provenant des maisons de soins, les laissant confondus dans la masse du total de l’État.
Les républicains veulent partir une commission de destitution contre Cuomo, selon LifeNews :
Les membres républicains de l’Assemblée de l’État de New York ont annoncé jeudi qu’ils prévoyaient présenter la semaine prochaine une résolution visant à former une commission de destitution chargée d’enquêter sur le gouverneur démocrate Andrew Cuomo.
Le chef de la minorité républicaine, Will Barclay, a déclaré que la commission rassemblerait « des faits et des preuves » concernant la manière dont Cuomo a géré la pandémie de COVID-19 et la sous-déclaration présumée des décès dans les maisons de soins, selon Fox News.
[…]
Si la commission est autorisée par la législation, elle aurait le pouvoir de contraindre l’État à divulguer tous les documents relatifs à l’enquête. Elle aurait également le pouvoir d’assigner (subpoena) des fonctionnaires du gouvernement tels que le commissaire à la santé, le Dr Howard Zucker, et le principal collaborateur de Cuomo, Melissa Derosa, à témoigner devant les législateurs, selon le New York Post :
Comme si ce n’était pas assez, son propre parti s’est mis contre lui, plusieurs personnalités démocrates de l’État de New York demandant de retirer au gouverneur le pouvoir d’émettre des mesures d’urgence, tandis que le FBI et le gouvernement américain ont lancé une enquête de sur la gestion de Cuomo, rapporte The New York Times :
Lire la suiteLes dirigeants démocrates du Sénat de l’État de New York s’apprêtent à retirer au gouverneur Andrew Cuomo les pouvoirs d’urgence unilatéraux qui lui ont été accordés pendant la pandémie, mettant ainsi en place un remarquable blâme pour le gouverneur de la part des membres de son propre parti.
Les mesures du Sénat, qui pourraient être votées dès la semaine prochaine, soulignent l’aggravation de la division entre M. Cuomo et les législateurs de l’État depuis que le gouverneur a admis avoir intentionnellement caché à l’assemblée législative des données critiques sur les décès liés au virus.
Cette décision a été prise alors même qu’il est apparu que le FBI et le procureur fédéral du district Est de New York avaient ouvert une enquête sur la manière dont l’administration Cuomo avait géré les maisons de retraite pendant la pandémie. On ne sait si l’enquête, confirmée par trois personnes connaissant bien le dossier, portait sur M. Cuomo ou sur une autre personne, mais on sait seulement qu’elle en est à ses débuts.
Le gouverneur de New York a dissimulé la mort de milliers de résidents de maisons de soins
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Chanikarn Thongsupa/Rawpixel
Selon un tout récent rapport du procureur général de l’État de New York, le gouvernement de l’État, dont le gouverneur est Andrew Cuomo, a dissimulé probablement près de 50 % des décès de résidents de maisons de soins, ne prenant pas en compte dans les chiffres officiels les résidents emmenés et morts à l’hôpital. Suite aux révélations du procureur général, le ministère de la Santé de New York a rajouté plus 3800 décès aux quelques 8500 déjà déclarés, donnant le nouveau nombre de 12 743, sur environ 42 000 décès attribués au covid-19 dans l’État. Les décès de résidents hors maison de soins étaient confondus avec le reste. Selon The New York Times :
Lire la suiteM. Cuomo a reçu un coup dur lorsque le procureur général de l’État de New York, Letitia James, a annoncé jeudi matin que l’administration de M. Cuomo avait sous-estimé de plusieurs milliers le nombre de décès liés au coronavirus parmi les résidents des maisons de retraite de l’État.
Quelques heures plus tard, les dires Mme James étaient corroborés, car les fonctionnaires du ministère de la Santé rendirent publiques de nouvelles données qui rajoutaient plus de 3 800 décès au total, représentant les résidents des maisons de soins qui sont morts à l’hôpital et qui n’avaient pas été comptés auparavant par l’État comme des décès en maisons de soins.
La reconnaissance de ce nombre par l’État a augmenté de plus de 40 % le nombre total de décès liés à ces établissements. Le rapport de Mme James avait suggéré que le décompte précédent de l’État pourrait présenter un écart allant jusqu’à 50 %.
Ces révélations ne changent pas le nombre total de décès liés au Covid-19 à New York — plus de 42 000, soit plus que tout autre État [...]
La Cour suprême des É.-U. annule les restrictions spéciales imposées aux lieux de culte dans l’État de New York
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Burst
Le 25 novembre, la Cour suprême des États-Unis a déclaré inconstitutionnelles les mesures spéciales imposées aux lieux de culte dans l’État de New York, suite au recours en urgence que le diocèse de Brooklyn avait déposé devant son tribunal. Bonne nouvelle ! Selon LifeSiteNews :
En octobre, le gouverneur Andrew Cuomo avait émis des restrictions qui ont gravement affecté les lieux de culte, limitant leur capacité d’accueil jusqu’à, à un moment donné, moins de dix personnes, quelle que soit la taille du bâtiment. Cuomo avait décrété que les lieux de culte religieux seraient condamnés à une amende de 15 000 dollars s’ils allaient à l’encontre des nouvelles règles.
Puis, le 9 novembre, le diocèse catholique de Brooklyn saisit la Cour suprême d’un recours d’urgence contestant le décret de Cuomo qui vise à limiter le nombre de personnes présentes dans les lieux de culte.
Au moins, ce diocèse-là aura eu le courage de contester par des moyens effectifs les mesures insensées qui sont imposées. LifeSiteNews continue :
Lire la suiteLe diocèse de Brooklyn déclarait dans ses documents que les églises du diocèse « ont fonctionné en toute sécurité depuis des mois maintenant, respectant strictement les directives gouvernementales en vigueur et protégeant incontestablement leurs paroissiens de toute propagation de COVID-19 ».
Il ajoutait que « les nouvelles restrictions du gouverneur vont beaucoup trop loin, attentent bien trop [aux droits du diocèse] et n’ont aucun fondement légitime, telles qu’appliquées aux églises du diocèse », notant que Cuomo lui-même avait admis que ce serait sur les lieux de cultes que ses lois auraient le plus d’impact.
Nombreux décès attribués au coronavirus dans les maisons de soins de New York et peu dans celles de Floride: deux méthodes différentes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouverneur démocrate de l’État de New York, Andrew Cuomo, diffère grandement du gouverneur républicain de la Floride, Ron DeSantis, dans son approche du coronavirus, virus sur lequel les médias, organismes internationaux et gouvernements ont braqué les projecteurs de la scène depuis quelques mois.
Andrew Cuomo, qui a légalisé l’avortement tardif pour à peu près n’importe quelle raison en 2019 dans son État, avait ordonné au mois de mars dernier que les patients atteints de coronavirus, étant dans un état stable, devaient être renvoyés des hôpitaux aux maisons de soins, sans avoir été auparavant testés, ce qui eut, selon Fox News, des résultats désastreux :
« En conséquence, beaucoup de ces personnes sont retournées dans les maisons de soins ; les gens sont tombés malades — les maisons de soins qui n’avaient pas été touchées par le COVID-19 sont soudainement devenues des foyers de COVID-19 — et malheureusement beaucoup de personnes âgées ont commencé à mourir en grand nombre dans les maisons de soins », fit remarquer Murdock. « Le nombre de décès s’élève actuellement à environ 5 300 [ou] quelque chose comme ça [autour du 14 mai] ».
Cuomo a modifié son décret depuis.
Aux États-Unis, vers le 14 mai, on comptait 25 000 décès attribués au coronavirus dans les maisons de soins, ce qui représente environ le tiers des 86 000 décès comptabilisés (on ne va pas aborder ici la question de savoir si tous les gens dits décédés du coronavirus le sont vraiment). Ce qui montre en tout cas que ce sont plutôt des personnes âgées et malades qui en meurent (d’où la stupidité d’un confinement englobant toute la population).
Et ce n’était pas la place qui manquait dans les hôpitaux apparemment :
« Et, ç’aurait été une chose si tous les autres hôpitaux avaient été pleins. Mais, nous avons le Javits Center qu’à un tiers de sa capacité. Nous avions le USNS Comfort — le navire-hôpital que le président Trump a mis en place ici — qui avait 182 lits remplis sur un millier », poursuivit-il. « Ce n’est donc pas comme s’il n’y avait pas eu d’autres solutions pour envoyer les gens là où ils pouvaient aller et être isolés, évitant par-là de contaminer des personnes âgées qui en sont ultimement mortes. »
Tandis qu’en Floride, le gouverneur DeSantis a plutôt veillé à ce que les maisons de soins eussent le nécessaire pour s’occuper de leurs patients :
« Ils ont envoyé du monde pour s’assurer que les maisons de soins disposaient de tout l’équipement nécessaire. Ils y ont donné une formation supplémentaire sur la manière d’éviter la contamination. Et, le résultat jusqu’à présent est qu’environ 665 personnes âgées sont mortes dans les maisons de retraite en Floride », souligna-t-il.
« Le taux de mortalité en Floride est d’environ 3 pour 100 000. Dans l’État de New York, il est de 27,5 pour 100 000. C’est donc neuf fois pire », ajouta-t-il. « Absolument tragique, totalement, totalement inutile ! »
Prenons quand même soin de souligner que ces nombres ne sont pas des plus fiables, vus qu’ils reposent et sur le nombre de décès que l’on attribue au coronavirus, et sur le nombre de tests réalisé, or il est évident que plus vous testerez, plus vous trouverez de cas asymptomatiques, dans le cas contraire, vous avez le champ large pour vous imaginer que le coronavirus tue une large proportion de ceux qu’il atteint.
Remarquez que l’État de New York n’est pas le seul à avoir une façon désastreuse de s’occuper des personnes âgées confinées dans leur maison de retraite, au Québec par exemple. L’on avait interdit aux familles de visiter leurs parents ou les membres âgés des leurs, sous prétexte de ne pas les contaminer, résultat, plusieurs se sont laissés mourir de faim, car ces visites étaient ce qui leur donnait encore le goût de vivre. Ajoutez à cela que l’on a tellement effrayé la population avec Le virus qu’une partie du personnel de ces établissements quitta son travail, de crainte de contracter l’épouvantable maladie…
La nouvelle stratégie des enfants à naître dans l’État de New York, où l’on n’exécute pas les tueurs
Fable par The Babylone Bee — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JESHOOTS-com/Pixabay
New York — Selon un nouveau reportage, les enfants à naître de l’État de New York ont adopté une nouvelle stratégie pour rester en vie malgré les nouvelles lois barbares de l’État sur l’avortement : s’identifier comme criminels reconnus afin de ne pas être éligibles à la peine capitale en vertu de la Constitution de l’État.
Depuis que la peine capitale a été interdite dans l’État, mais que l’avortement y est légal quand et comme vous le voulez, les bébés à naître ont rapidement formulé la stratégie de survie consistant à s’identifier comme meurtriers, violeurs et fous génocidaires.
« Je m’identifie maintenant comme tueur en série inculpé de cinq chefs d’accusation de meurtre », a déclaré un bébé à naître de six mois dont la mère envisageait l’avortement. « Par conséquent, en vertu de la loi de l’État, je ne peux être exécuté. Désolé, maman. »
« J’imagine qu’il va falloir que tu aimes être maman ou quelque chose comme ça », a-t-il ajouté, haussant les épaules.
Les dirigeants de l’État ont été pris au dépourvu par cette stratégie et ne savent s’ils doivent restreindre l’avortement ou annuler l’interdiction de la peine capitale. « Nous sommes définitivement dans le pétrin », a déclaré le gouverneur Andrew Cuomo. « Nous devons respecter l’identité choisie de ces bébés en tant que tueurs en série, et nous ne pouvons évidemment pas faire une injection mortelle sur un tueur en série. »
« Ce serait tout simplement inhumain », a-t-il ajouté en hochant la tête.
Le gouverneur de l’État de New York dit que les pro-vie ne sont pas les bienvenus
Andrew Cuomo, gouverneur de l'État de New York.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le gouverneur de l’État de New York, qui a signé une toute récente loi qui permet l’avortement quasi sans limites, est hostile aux pro-vie. Extrait de LiveActionNews :
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, est déjà connu parmi les pro-vie pour être l’un des politiciens les plus pro-avortement de la nation. L’État qu’il sert a déjà l’un des taux d’avortement les plus élevés du pays, mais il n’a cessé de lutter pour rendre l’avortement encore plus répandu et banal dans New York.
En 2014, l’extrémiste de l’avortement a publiquement proclamé dans la salle de presse du Capitole que les pro-vie ne sont pas les bienvenus dans l’État de New York :
Il y a un schisme au sein du Parti républicain... Ils cherchent à définir leur âme, voilà ce qui se passe. Le parti républicain dans cet État est-il un parti modéré ou un parti conservateur extrême ? C’est ce qu’ils essaient de comprendre. C’est un miroir de ce qui se passe à Washington. L’impasse à Washington concerne moins les démocrates et les républicains. Il s’agit plus de républicains extrêmes que de républicains modérés.
... Vous voyez ce qui se passe à New York... Les candidats du Parti républicain se présentent contre la loi SAFE — elle a été votée par les républicains modérés qui dirigent le Sénat ! Leur problème n’est pas moi et les démocrates ; leur problème, c’est eux-mêmes. Qui sont-ils ? S’agit-il de ces extrémistes conservateurs qui sont pour le droit à la vie, pro-armes d’assaut, anti-gay ? Est-ce ce qu’ils sont ? Parce que si c’est ce qu’ils sont et qu’ils sont des conservateurs extrêmes, ils n’ont pas leur place dans l’État de New York, car ce n’est pas ce que sont les New-Yorkais.