La Hongrie interdit la promotion de l’homosexualité et du transgenrisme auprès des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
La Hongrie a adopté aujourd’hui à son parlement de Budapest une loi dirigée contre la pédophilie et interdisant, entre autres, le fait de montrer de la pornographie aux mineurs (moins de 18 ans) et de promouvoir l’homosexualité ou le transgenrisme auprès de ceux-ci, rapporte LifeSiteNews :
Un projet de loi interdisant de montrer du contenu pornographique ou du matériel encourageant l’homosexualité et le transgenrisme aux mineurs de moins de 18 ans.
La mesure, proposée par le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orbán, interdit explicitement « le contenu qui dépeint la sexualité pour elle-même, ou qui encourage ou montre des déviations de l’identité du sexe de naissance, [comme] le changement de sexe ou l’homosexualité ».
La nouvelle loi prohibe la propagande LGBT dans l’enseignement scolaire, souligne le Visegrád Post :
Mais ce qui a suscité le boycott de l’opposition et la mobilisation de la militance LGBT, c’est que, pour protéger les mineurs, cette loi vise aussi à interdire et réprimer la propagande homosexuelle à destination des enfants. Ainsi, la promotion et l’affichage — y compris de manière indirecte par la publicité —, vis-à-vis de mineurs, de l’homosexualité ou des pratiques de « changement de sexe » seront interdits. En conséquence, toute propagande LGBT sera totalement exclue des établissements scolaires.
Oui, quelques milliers de militants LGBT, appelés aux armes par des organismes dont Amnesty International de Soros, ont manifesté sur la Place Kossuth devant le Parlement hongrois à Budapest.
Avec des lois telles que celle-ci, le pays va être plus sûr pour les enfants.
Liens et conflits d’intérêts à la CEDH en 2020 avec des organismes financés par Soros (pro-avortement-LGBT)
Communiqué de presse de l’European Centre for Law and Justice (ECLJ) par Grégor Puppinck et Nicolas Bauer ― Photo : Depositphotos
En février 2020, Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, et Delphine Loiseau, aujourd’hui avocate, publiaient le rapport « Les ONG et les juges de la CEDH, 2009 – 2019 ». Cette étude a fait apparaître qu’une partie des juges siégeant à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) sont d’anciens responsables ou collaborateurs d’ONG de la « galaxie Soros » fortement actives auprès de cette Cour. Les sept ONG identifiées dans le rapport étaient l’Open Society Foundation (OSF), les comités Helsinki, la Commission internationale des Juristes, Amnesty International, Human Rights Watch, Interights et A.I.R.E. Centre.
Lorsque leur ONG est officiellement impliquée dans la procédure, les juges se sont parfois retirés de l’affaire (déports) mais ont le plus souvent choisi de siéger en situation de conflit d’intérêts, au détriment de leur indépendance et de leur impartialité.
Le rapport de février 2020 donnait ces chiffres pour les années 2009 – 2019 :
- Sur 100 juges permanents, 22 avaient un lien avec l’une des sept ONG identifiées. 18 de ces 22 juges ont été dans au moins une situation de conflit d’intérêts.
- Dans au moins 185 affaires jugées, l’une de ces sept ONG était officiellement impliquée dans la procédure. Sur ces 185 affaires, dans 88 cas, des conflits d’intérêts ont été recensés.
- On observe seulement 12 cas de déports dans lesquels un juge s’est retiré en raison, semble-t-il, d’un lien avec une ONG impliquée dans l’affaire.
Le rapport de Grégor Puppinck a fait l’objet d’une couverture médiatique dans toute l’Europe, ainsi que de réactions d’États (Bulgarie, Russie), d’hommes politiques, de juristes, et plusieurs institutions européennes ont été saisies.
Un an après sa publication, il est temps de mettre à jour le rapport. Quelle a été l’implication des ONG et l’attitude des juges liés à elles dans les affaires jugées cette année ?
Lire la suiteAmnesty International contre le Congrès mondial de la famille
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Amnesty International n’aime pas le Congrès mondial de la Famille qui s’est tenu à Vérone en Italie le week-end dernier !
L’organisation non gouvernementale a de la répugnance pour la famille traditionnelle, pour l’enfant à naître à qui on nie le droit à la vie, pour l’identité sexuelle naturelle, tous ces concepts vieillots qu’il faut faire disparaître au plus tôt, au nom des sacro-saints Droits de l’homme sans Dieu.
Une note d’Amnesty International affirme que « programme, objectifs et intervenants impliqués caractérisent clairement la rencontre de Vérone comme un événement hostile aux droits humains, en particulier aux droits sexuels et reproducteurs et aux droits des personnes Lgbt ; un événement qu’aucune institution gouvernementale devrait soutenir, puisqu’elles ont le devoir de garantir les droits de toutes les personnes ».
De nombreux contenus du Congrès ont déchaîné les ires de l’ONG : tels « l’affirmation que “la famille naturelle” composée d’un parent homme et d’un parent femme est “la seule unité stable et fondamentale de la société”, et donc le refus de la reconnaissance des droits civils à des configurations familiales en-dehors du couple hétérosexuel uni par un mariage […] ; l’assimilation de l’IVG à un homicide ; la pathologisation de l’homosexualité et de la transsexualité et de toutes les formes d’orientation sexuelle et identitaire de genre non attribuables à la notion homme/femme hétérosexuelle et le refus de la pleine reconnaissance des droits civils aux personnes qui manifestent cette identité. »
Par là on voit qu’Amnesty International est du côté de la puissante dictature de la Gaystapo et non des faibles et des opprimés…
Amnistie internationale Canada francophone renomme la place des Festivals de Montréal
Place des Festivals de Montréal.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : art inthecity/Flickr/Wikiemdia Commons
Amnistie internationale Canada francophone (AICF) a obtenu que la place des Festivals de Montréal soit renommée « place des Droits humains » pour une semaine. Rappelons que pour Amnistie internationale, bien fournie en argent par George Soros, l’avortement est un droit humain. Extrait du Journal Metro :
Pour souligner le 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, la place des Festivals sera renommée pendant une semaine la « place des Droits humains ».
[…]
C’est Amnistie internationale Canada francophone (AICF) qui est derrière cette initiative. […] la directrice mobilisation et impact d’AICF, Andréanne Paquette, mentionne que […] si l’Irlande a voté cette année en faveur de l’avortement, une démarche similaire a échoué en Argentine. Pas moins de 40 % des femmes vivent dans des pays soumis à de fortes restrictions en matière d’interruption volontaire de grossesse...
Les groupes de pressions LGBT se dressent contre le référendum visant à définir le mariage en Roumanie
Par Olivier Bault (Réinformation.TV)
L’internationale homosexualiste s’active, depuis le vote du Sénat roumain le 11 septembre, contre le référendum qui souhaite inscrire le mariage vrai dans la constitution (107 voix pour, 13 contre) demandé en 2016 par plus de 3 millions de citoyens, dans une Roumanie qui compte à peine 20 millions d’habitants. Lundi, la Cour constitutionnelle a validé le principe d’une consultation populaire sur ce sujet. Malgré le blocage opposé par le président Klaus Iohannis, pourtant classé officiellement à « droite », sous prétexte de ne pas vouloir se plier aux desiderata de « fanatiques religieux », le référendum aura donc finalement bien lieu, sans doute le 7 octobre prochain, et son résultat laisse peu de place au doute : la Coalition pour la Famille qui avait organisé la pétition, soutenue par l’Eglise orthodoxe (largement majoritaire en Roumanie), l’Eglise catholique (et notamment les Grecs-catholiques) et les Eglises protestantes, devrait obtenir l’inscription de la nature du mariage dans la constitution roumaine, comme c’est déjà le cas dans la constitution d’autres pays de l’ex-Europe de l’Est qui cherchent ainsi à se protéger contre les assauts du lobby gay et de ses puissants soutiens internationaux.
La Roumanie n’ayant pas non plus d’union civile pour les duos unisexes, elle a fait l’objet en juin d’un arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui lui impose (de même qu’à tous les Etats membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques, en termes de droits de résidence du « conjoint » non citoyen d’un pays de l’UE, les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger. Cet arrêt a donné une impulsion supplémentaire à l’organisation d’un référendum pour protéger le mariage et la famille dans la constitution du pays.
Lire la suiteAmnistie Internationale appuie la pression de pays européens sur le Salvador pour que ce pays permette le génocide de l'avortement
Sur le site de Amnistie Internationale du 28 octobre 2014 :
(Photo : musicasalingus sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Parmi les pays qui ont exprimé une demande de changement figurait l’Espagne, qui avait renoncé récemment à son propre projet de loi restreignant le droit à l’avortement. (...)
L’Allemagne, l’Australie, l’Islande, le Luxembourg, la République tchèque, le Royaume-Uni, la Slovénie et la Suède ont également engagé ce pays d’Amérique centrale à réformer sa législation en matière d’avortement. (...)
Le Salvador va maintenant bénéficier d’un laps de temps pour réfléchir aux recommandations qui lui ont été adressées et annoncera en mars 2015 celles qu’il compte adopter.
Le néo-colonialisme en pleine action...
Amnistie internationale lance une campagne de désinformation et réclame l'avortement «en toutes circonstances»
Amnistie Internationale veut la mort d'un bébé. Et de plusieurs aussi. Elle vous demande d'écrire auprès du gouvernement salvadorien pour permettre une intervention médicale. Elle vous demande d'envoyer cette lettre.
Bien que sa grossesse soit considérée à haut risque, Beatriz, 22 ans, se voit refuser une intervention médicale vitale dont elle a besoin de toute urgence au Salvador. Sa vie est menacée et elle est victime d'un traitement cruel, inhumain et dégradant.
J’appelle les autorités à faire le nécessaire pour que Beatriz ne soit plus privée de soins ni laissée dans une situation s'apparentant à un mauvais traitement, et demandez-leur d'ordonner qu'elle puisse bénéficier immédiatement et sans aucune restriction de l'intervention médicale vitale dont elle a besoin, conformément à son souhait et aux recommandations du personnel de santé.Je vous exhorte à veiller à ce que les professionnels de la santé puissent pratiquer l'intervention nécessaire pour sauver la vie de Beatriz sans courir le risque d'être poursuivis en justice pour avoir agi selon le souhait de cette jeune femme.Je vous engage à dépénaliser l’avortement en toutes circonstances et à garantir l’accès à des services d’avortement sûrs quand une grossesse menace la vie ou la santé d’une femme ou d’une jeune fille, ou en cas de grossesse survenue à la suite d’un viol.
Le lobby de l'avortement veut la peau des lois pro-vie au Salvador. Une affaire présentée comme tragique est aujourd'hui exploitée par les médias internationaux pour obtenir une exception d'avortement en cas de « danger pour la mère ». Son cas a été porté devant la Cour suprême de justice afin que celle-ci, par voie jurisprudentielle, défasse ce que la loi votée par la majorité a fait.(...)En l'occurrence, il s'agit d'une femme dont l'identité demeure inconnue, appelée « Beatriz » par la presse, enceinte de 20 semaines. A 22 ans, elle a déjà un petit garçon de 2 ans. L'enfant qu'elle attend, selon la presse, est anencéphale et mourra à la naissance, toujours selon la presse. Quant à elle, atteinte d'un lupus érythémateux discoïde, une maladie qui affaiblit le système immunitaire, elle se trouve à l'hôpital en raison de son état de santé. Et « le développement de sa grossesse peut conduire à mettre sa vie en péril en raison de son problème de santé », souligne la presse.Ce n'est donc pas encore le cas.Peu importe. Les organisations féministes, des journaux salvadoriens et internationaux, la BBC, bref, tout le monde convenable s'est mis d'accord pour demander la peau du bébé. Le tout « pour sauver la vie de la mère » : « Il ne s'agit pas du désir d'une femme qui veut avorter, il s'agit pour elle de sauver sa vie », a ainsi déclaré à l'AFP la représentante de l'association de femmes « Las Dignas ».C'est « Beatriz » qui a déposé un recours devant la Cour suprême et la presse répète en boucle qu'il s'agit juste d'obtenir que le médecin qui pratiquera ce juste « avortement thérapeutique » n'encoure pas « jusqu'à 50 ans de prison »…Peu importe que l'avortement ne soit pas puni de 50 ans de prison au Salvador : c'est un délit, non un crime selon la loi pénale et encourt un maximum de 10 ans. Vous direz que ce n'est pas rien – mais alors pourquoi gonfler ainsi les chiffres ?Pour l'association féministe CEMUJER, « C'est un combat très difficile, mais nécessaire, car s'il est bien certain que l'avortement est considéré comme in délit, le fait de ne pas sauver la vie l'est aussi. »Ainsi se résume en quelques mots l'argument opposé non seulement aux lois pro-vie, mais aussi aux objecteurs de conscience qui ne veulent pas pratiquer l'intervention et que l'on cherche à contraindre en les rendant responsables des morts maternelles là où l'avortement serait supposé avoir « sauvé la vie » de la mère.La réalité semble bien moins dramatique que ce disent les organisations féministes dont le seul objectif est d'enfoncer un coin dans les lois et la Constitution pro-vie d'El Salvador.La Conférence des évêques du Salvador s'est fermement élevée contre la manipulation. Son communiqué du 27 avril souligne que la résistance à la demande d'avortement de « Beatriz » ne viole aucun droit constitutionnel, car elle cherche à protéger la vie à naître : « Les médecins doivent sauvegarder la vie de la mère et de son enfant, en mettant en œuvre les procédures médicales adéquates et éthiques. Ce cas ne doit pas être utilisé pour légiférer contre la vie humaine, spécialement contre l'enfant à naître. »Et de rappeler que la Constitution de leur pays reconnaît comme personne humaine « tout être humain depuis l'instant de la conception », ce qui interdit de porter atteinte à cette « vie humaine innocente ».La présidente de la fondation Si à la vida (Oui à la vie), a parlé d'une situation « très grave », une affaire à laquelle une énorme publicité est donnée alors même que de nombreux détails ne sont pas accessibles à la presse. Ainsi l'identité de la jeune femme, mais aussi son état de santé réel ne font l'objet d'aucune déclaration.Mais, « Officieusement, les médecins de la maternité ont pris contact avec l'Association bioéthique d'El Salvador (ABIOES) et ont fait savoir que Beatriz est dans un état stable, raison pour laquelle ils n'ont vu aucune raison d'intervenir ni même de l'admettre à l'hôpital », souligne Georgina de Rivas.La vie de la jeune femme n'est donc pas en danger. Il n'y a pas péril en la demeure. L'urgent est de ne pas intervenir. Ce qui pourrait donner le temps à Beatriz de mener sa grossesse jusqu'à la viabilité théorique de l'enfant, date à laquelle la naissance pourrait être déclenchée sans inconvénient éthique.Il y a donc montage.
Campagne 2013 d'Amnistie Internationale : le mouvement demande le droit de mettre à mort les plus faibles de nos sociétés
Sur le site d'Amnistie Internationale, on trouve le thème de la campagne 2013 de l'organisme, «J'aime mon corps. J'aime mes droits», et ses explications:
Les droits sexuels et reproductifs assurent que vous avez le contrôle de votre corps et de votre vie. Ces droits correspondent notamment au droit de choisir avec qui vous aurez des relations sexuelles et à quel moment; au droit d’opter ou non pour le mariage et la grossesse et d’en décider le moment; au droit à des renseignements sur la sexualité, sur la santé, sur la planification familiale et sur les services d’avortement sûrs et légaux; et au droit d’accès à des soins de santé de bonne qualité, y compris pendant la grossesse et l’accouchement.
Pour les jeunes filles auxquelles les pratiques sexuelles sans risque ne sont pas enseignées à l’école, pour les adolescentes enceintes à cause d’un viol et qui n’ont pas le choix de mener leur grossesse à terme parce que l’avortement est illégal dans leur pays, pour les femmes qui doivent obtenir le consentement de leur mari pour la contraception, les conséquences de la discrimination peuvent être graves, même fatales.