Persécution scolaire : une famille allemande émigre et s’installe en Russie
La famille Martens.
Par Pour une école libre au Québec
Nous avions déjà parlé de la famille Martens (10 enfants) il y a quelques années : Allemagne — Un père en prison pour avoir refusé que sa fille suive un cours d’éducation sexuelle en primaire — et : Allemagne : prison pour une mère qui refuse que sa fille suive les cours d’éducation sexuelle.
Eugène Martens, 40 ans, est le père de 10 enfants.
Eugène Martens et son épouse, Louise, sont tous deux nés en Russie, mais ont quitté le pays avec leurs familles pour l’Allemagne dans les années 1990. Le couple s’est rencontré et s’est marié en Allemagne. Les Martens, qui se décrivent comme de « simples chrétiens vivant selon la Bible », se disent mécontents de l’éducation sexuelle dispensée dans les écoles allemandes et s’inquiètent de l’afflux de réfugiés.
Les Martens ont profité d’un programme du gouvernement russe visant à rapatrier les Russes à l’étranger. Près de 2,2 millions de citoyens de l'URSS et de la Russie (la plupart d’origine allemande) se sont établis en Allemagne de 1950 à 2005.
Opposé à la vision de la sexualité distillée dans les écoles allemandes, empêché d’instruire ses enfants à la maison, il avait brièvement quitté l’Allemagne à la fin 2017 avec sa femme et ses enfants, pour s’établir en plein hiver en Sibérie et fuir ce qu’il a décrit comme l’Occident « sexuellement permissif ». En février 2018 après avoir passé un peu plus de deux mois dans un village sibérien par -40 °C, dans une masure mal équipée et mal isolée, la famille Martens était rentrée en Allemagne.
La famille Martens est désormais de retour dans le Sud de la Russie. Et il semble bien que ce soit pour de bon. Un mécène local a offert de loger gratuitement les Martens dans une de ses maisons.
Lire la suiteLes partis nationalistes européens, complaisants lorsqu’il s’agit d’avortement
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam) — Photo : Leewarrior/Pixabay
New York, 24 mai — Les partis nationalistes européens tentent de paraître pro-vie et pro-famille dans le but de prendre le pouvoir, mais ne manifestent pas la volonté de mettre fin à la promotion européenne au niveau international de l’avortement et des droits LGBT.
La politique européenne a été secouée ces dernières années par des partis nationalistes qui revendiquaient des prérogatives de souveraineté sur et contre les institutions de l’Union européenne, en particulier en matière de contrôle des frontières. Un fait moins connu est que beaucoup de ces partis, y compris en Hongrie, en Pologne et en Italie, s’étaient lancés sur thèmes pro-vie et pro-famille.
Bien que les [partis] nationalistes hongrois, polonais et italiens se soient emparés du vote pro-vie et pro-famille dans leurs pays respectifs, une fois élus, ils n’ont daigné défier la politique de l’UE qu’en matière de contrôle des frontières et autres questions internes. En ce qui concerne la promotion de l’avortement et des groupes LGBT par l’UE sur la scène internationale, ils ont surtout permis aux Allemands et aux Français de faire ce qui leur a plu.
C’est ce qui ressort clairement des résolutions adoptées chaque année par le Conseil de l’UE pour guider la politique étrangère de l’UE. Les résolutions ont souligné à maintes reprises « la santé et les droits sexuels et reproductifs », euphémisme connu et utilisé pour le soutien politique et financier direct des groupes supportant l’avortement. Ils ont aussi récemment inclus « l’orientation sexuelle et l’identité de genre » comme catégories de non-discrimination au même titre que le sexe, la race et la religion.
Lire la suiteAllemagne : parents mis à l'amende pour avoir refusé que leur fils visite la mosquée
Mosquée de Rendsburg, minarets de 26 m de haut.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Ces parents avaient retiré leur enfant de l’école en juin 2018 pour éviter que celui-ci n’aille à une visite, organisée par l’école, à la mosquée de Rendsburg. On leur reproche non seulement d’avoir empêché leur fils d’aller à cette mosquée, mais de l’avoir retiré de l’école pour les heures précédant la visite. Les droits parentaux sont tout simplement bafoués dans le jugement qu’à d’abord rendu le tribunal de district en juillet 2018, puis que n’a pas voulu considérer la première chambre d’applications des amendes du tribunal d’instance supérieur du Schleswig-Holstein et que le Tribunal régional supérieur du Schleswig a confirmé. Délirant ! tout à fait dans l’esprit du cours d’Éthique et culture religieuse du Québec. Extrait de Pour une école liber au Québec :
Deux parents de Rendsburg (nord de l’Allemagne) n’ont pas envoyé leur fils à l’école pour l’empêcher de se rendre à la visite organisée d’une mosquée. Le tribunal régional supérieur (OLG) du Schleswig (Nord) a imposé une amende de 50 euros et n’a pas autorisé le dépôt d’une plainte contre le verdict.
Le combat devant les tribunaux d’une famille allemande dont le seul tort est de vouloir scolariser ses enfants à la maison
Famille Wunderlich.
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
MPI [Medias-Presse.info] vous a déjà parlé à plusieurs reprises des Wunderlich, une famille allemande victime d’un totalitarisme d’Etat qui fait tout pour briser les familles voulant échapper au formatage de leurs enfants.
CitizenGo revient sur le sujet.
Lire la suiteQue feriez-vous si vos enfants étaient emmenés loin de chez vous par la Police parce que le gouvernement désapprouvait la façon dont vous avez choisi de les éduquer ? En 2013, Dirk et Petra Wunderlich découvrent que des policiers et des travailleurs sociaux allemands sont venus leur confisquer la garde de leurs quatre enfants. Pourquoi ? Dirk et Petra ont choisi de scolariser leurs enfants à la maison. Malheureusement, en Allemagne, l’école à la maison est illégale. L’Allemagne est un cas unique ; car la plupart des pays d’Europe permettent aux parents l’école à la maison (avec plus ou moins de liberté).
Les crimes de Dirk et Petra ? Être coupables de prendre en charge l’éducation de leurs enfants. Leur vie privée a été interrompue. La famille a été séparée. L’interdiction allemande de l’enseignement à domicile est régie par des lois de 1919.
Depuis, l’Allemagne a signé plusieurs traités internationaux relatifs aux droits de l’homme (y compris art. 13 PIDESC, article 2, protocole 1 CEDH, article 18 du PIDCP). Par ailleurs, le pays s’érige en bastion de la tolérance en Europe. Tolérance pour les migrants peut-être, mais pas pour les Allemands qui souhaitent donner une éducation chrétienne à leurs enfants à la maison.
L’histoire de Tim : un survivant de l’avortement ayant vécu 21 belles années
Tim, le « bébé d’Oldenburg ».
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : www.tim-lebt.de
14 janvier 2019 (LifeSiteNews) — C’est par une triste ironie que j’ai aperçu un titre d’article dans l’Irish Times, un journal qui a mené la charge médiatique pour l’avortement légal en Irlande : German man who survived abortion dies at aged 21 (un Allemand ayant survécu à un avortement décède à l’âge de 21 ans).
« Tim n’était pas censé naître, et il ne devait certainement pas vivre. L’homme qui a survécu à un avortement tardif raté en 1997 est mort à l’âge de 21 ans », écrit Derek Scally dans son article du 9 janvier.
Il faut considérer le langage utilisé dans l’article, lequel a été publié dans un journal qui a encouragé la légalisation de l’avortement. On mentionne des termes comme « Survécu », « Avortement tardif raté », « N’était pas censé naître ». Il est clair que l’auteur considère certains faits comme évidents : un avorteur allait tuer Tim (qui est devenu connu comme étant « le bébé d’Oldenburg »), mais il a échoué et c’est pourquoi Tim a survécu. Son existence était basée sur un échec médical.
À 20 semaines de gestation, le petit Tim a reçu un diagnostic de trisomie 21 et sa mère prit la décision de se faire avorter. Cependant, en Allemagne, l’avortement est interdit par la loi après 13 semaines de gestation à la seule exception où la mère mentionne que sa santé physique ou psychologique est gravement menacée par la grossesse. Pour être admissible, la mère de Tim menaça de se suicider à moins qu’on la laisse se faire avorter, et c’est ainsi que l’on planifia une intervention tardive.
Lire la suiteLe gouvernement allemand finance une étude sur les «conséquences émotionnelles» de l'avortement
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jiri Hodan/Wikimedia Commons
Extrait de LifeSitenews :
Jens Spahn, le ministre fédéral allemand de la santé, a obtenu une augmentation budgétaire allant jusqu'à environ 1,4 million par an ― 5 millions d'euros sur quatre ans de 2020 à 2023 ― pour financer la recherche scientifique sur les « conséquences émotionnelles » de l'avortement que le cabinet fédéral allemand a approuvé cette semaine.
La décision semble être un compromis, visant à apaiser le Parti chrétien-démocrate de Spahn, après que le Cabinet ait approuvé la semaine dernière une levée partielle de interdiction générale de la publicité pour les avortements, permettant aux médecins et associations médicales d'informer sur cette procédure et de mettre des liens pour de l'information sur les méthodes et la disponibilité de l'avortement légal en Allemagne.
La recherche de 5 millions d'euros se concentrera sur les « effets psychologiques à long terme » sur les femmes qui ont avorté.
Elle a déjà suscité controverse et colère parmi les sociaux-démocrates [...]
Un bébé ayant le spina-bifida est né en bonne santé grâce à une opération dans le ventre de sa mère
Piper-Kohl Kelly, au centre entre Tyler Kelly et Georgia Axford.
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Ayant subi une opération pour le spina-bifida avant sa naissance, le bébé Piper-Kohl Kelly semble en parfaite santé. Ses parents, le couple britannique Georgia Axford et Tyler Kelly, ont contracté un prêt de 9 000 £ (plus de 15 000 $) et parcouru 570 milles (900 km) pour qu’un chirurgien expérimenté effectue l’opération potentiellement salvatrice de leur fille à naître.
Selon le Daily Mail, à l’échographie de 20 semaines, Axford et Kelly ont appris que leur fille souffrait de spina-bifida, une malformation du tube neural qui expose des parties de la moelle épinière et les nerfs spinaux. Ceci peut causer des anomalies neurologiques, et dans certains cas être mortel.
La médecine permet maintenant aux médecins d’opérer les bébés atteints de spina-bifida avant la naissance, en couvrant les parties exposées de la moelle épinière. Des médecins du Royaume-Uni ont dit à la famille que Piper pourrait subir une opération prénatale, mais qu’elle serait pratiquée par un chirurgien qui ne l’avait jamais faite auparavant. La famille a choisi de se rendre en Allemagne pour avoir un chirurgien plus expérimenté et de payer elle-même l’intervention.
Lire la suiteLa police allemande traque les parents partant avec leurs enfants avant les vacances
Par Matthieu Lenoir (reinformation.tv)
Les polices allemandes sont actuellement déployées dans les aéroports et sur les autoroutes du pays. Pour intercepter les transports d’armes ou d’explosifs pour interpeller les conducteurs alcoolisés ? Que nenni. Elles sont à la recherche d’enfants que les parents ont retirés de l’école avant les vacances pour bénéficier de prix avantageux offerts sur les périodes creuses par les compagnies aériennes ou ferroviaires, ou éviter les bouchons routiers. Le New York Times gémit ainsi sur ces enseignants allemands des écoles publiques qui « n’en peuvent plus » de voir les parents organiser l’absence de leur progéniture pendant les tout derniers jours de classe pour pouvoir partir en vacances sans trop dépenser dans les transports. Or derrière cette « plainte » transparaît l’immixtion de l’Etat despote dans les vies familiales.
Les parents surpris avant les vacances doivent choisir entre amende ou renvoi des enfants
Normalement, les parents devraient obtenir une dispense pour ce genre de pratique sous peine d’amende dissuasive. En Bavière, la police a ainsi surpris vingt et une familles dans cette situation, avec des amendes atteignant un millier d’euros chacune. Les gouvernements régionaux envoient leurs policiers surveiller les aéroports pour surprendre les contrevenants. Les parents pris en flagrant délit sont alors contraints de choisir entre l’embarquement moyennant amende au retour, ou renvoi des petits à l’école. Parfois pour deux ou trois jours.
Lire la suiteLe président de la Commission européenne fait l’éloge de Karl Marx à Trèves
Inauguration de la statue de Karl Marx à Trèves.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
On a toujours tort de croire qu’on a touché le fond. Le vibrant hommage rendu vendredi par Jean Claude Juncker à Karl Marx en sa ville natale de Trèves à l’occasion du 200e anniversaire de sa naissance dépasse l’entendement. Mais l’événement a eu lieu, à la veille de l’inauguration d’une gigantesque statue du philosophe du communisme et de la lutte des classes offerte par la Chine à laquelle Juncker participait également, et il n’a été troublé que par l’irruption rapide d’un contestataire que l’on s’est empressé de saisir et d’embarquer manu militari à l’extérieur de la salle prestigieuse où Juncker prononçait son éloge en tant que préside de la Commission européenne.
Son discours a été donné dans un temple protestant. C’était même « le » temple protestant de Trèves, et plus encore que cela, la basilique de Constantin, c’est-à-dire l’ancienne salle du trône du premier empereur chrétien d’Europe. La basilique de Constantin est, comme le disent les guides touristiques, « le plus grand espace fermé de l’Antiquité qui ait survécu ». C’est aussi un symbole qui a été sans aucun doute délibérément choisi pour servir de cadre à l’intervention de Juncker, qui s’est exprimé depuis une estrade dressée devant l’autel où trônaient la Bible ouverte et un cierge, sous une croix nue. Haut-lieu des racines chrétiennes de l’Europe, symbole de l’adhésion politique à la vérité spirituelle, la basilique de Constantin est un lieu de culte protestant depuis le milieu du XIXe siècle, le premier et qui ait existé dans cette ville historiquement catholique.
Lire la suiteUn gouvernement allemand barbare : des enfants sont retirés de force d'une famille pour cause d'école à la maison...
Sur le blog de Jeanne Smits du 31 août 2013 :
(La famille Wunderlich en compagnie du fondateur de la Home School Legal Defense Fund)
Jeudi matin, 8 heures. La famille Wunderlich, Dirk et Petra et leurs quatre enfants, entame sa journée d’école à la maison. Tout semble calme autour de leur maison dans les environs de Darmstadt. Mais soudain, la sonnette retentit. A travers la fenêtre, le père de famille voit une véritable armée qui investit la paisible demeure. Une vingtaine de personnes : travailleurs sociaux, officiers de police et même des agents spéciaux armés. A travers la porte, on lui signifie qu’on veut lui parler. Dirk essaie de poser une question, mais en quelques secondes trois policiers approchent avec un engin pour défoncer la porte. Il obtempère.
Brusquement, Dirk Wunderlich est poussé dans un fauteuil et immobilisé. Les forces de l’ordre sont là pour embarquer les enfants. Le tort, le seul tort des Wunderlich ? Celui de vouloir faire l’école à la maison : c’est interdit en Allemagne (comme au temps des Nazis) et même la Cour européenne des droits de l’homme – surtout elle – reconnaît le droit des Etats signataires de la Convention d’organiser comme ils l’entendent l’obligation d’instruction, pour assurer l’intégration au sein de la communauté et la mixité sociale de tous les enfants.A cette aune les Wunderlich sont de dangereux malfaiteurs et ils ont été traités comme tels. Dirk montre-t-il le moindre signe de vouloir bouger ? Les agents spéciaux sont là pour le saisir de force.Les quatre enfants, âgés de 7 à 14 ans, ont été emmenés sans ménagements, sans même que leur maman puisse les embrasser : « C’est trop tard maintenant », lui lance un agent spécial en l’écartant violemment. L’aînée, Machsejah, est embarquée entre deux gros policiers.Les voisins, témoins de la scène, pleurent.Aussitôt les enfants emmenés – kidnappés ! – les parents Wunderlich ont été convoqués par la direction des services sociaux, et ils s’y sont rendus, rejoints par leur avocat Andreas Vogt qui a sauté dans le premier train pour pouvoir venir les assister. Bien sûr, ils ont contesté l’opération de force par laquelle leurs enfants leur ont été enlevés. Réponse : il va falloir attendre que le juge rentre de ses vacances. Comme on pouvait s’y attendre, et comme l’a précisé Me Vogt au Home School Legal Defense Association (HSLDA), les Wunderlich n’ont reçu aucune marque de sympathie de la part des autorités.HSDLA a eu accès à l’ordonnance judiciaire du 28 août, signée du juge Koenig de Darmstadt, qui a autorisé à l’emploi de la force pour faire « saisir » les enfants : il n’est question que du fait que les Wunderlich continuent de les scolariser à la maison, aucune allégation de mauvais traitements ou d’autres manquements n’y figure. Pas même une accusation d’instruction insuffisante.Mieux, l’ordonnance précisait que l’utilisation de la force à l’encontre des enfants, si nécessaire, était autorisée, au motif que les enfants avaient « adopté les opinions de leurs parents » en ce qui concerne l’école à la maison et qu’on pouvait s’attendre à ce qu’il n’y ait « aucune coopération » de la part des parents comme des enfants.Michael Farris, président de HSLD, a dénoncé l’opération en affirmant que « l’Allemagne a brutalement violé les droits de cette famille ». « Ce dernier épisode, la saisie de quatre beaux enfants innocente, est un acte abominable de la part d’un Etat voyou. » Et de souligner qu’une telle opération contrevient directement aux droits fondamentaux de l’homme : « L’Allemagne est partie à de nombreux traités de sauvegarde des droits de l’homme qui reconnaissent le droit des parents de donner une éducation conforme à leurs convictions religieuses. L’Allemagne a totalement méconnu ses obligations de partie à ces traités et d’Etat de démocratie libérale. »(...)Les Wunderlich ont derrière eux un parcours semé d’embûches, faisant face – parfois avec succès – aux manœuvres totalitaires qui tentent de les priver de leur droit d’éducation. Pour fuir l’interdiction de l’école à la maison dans leur pays ils ont tenté de s’établir dans d’autres pays de l’Union européenne mais les difficultés matérielles – Dirk Wunderlich n’ayant pas réussi à trouver du travail – les a contraints de retourner en Allemagne. Dès leur arrivée l’an dernier, les passeports des enfants furent saisis pour empêcher toute nouvelle tentative de « fuite ».Petra, son épouse, s’est dite « dévastée » par la descente des forces de l’ordre et la saisie des enfants : « Nous sommes vides. Nous avons besoin d’aide. Nous nous battons mais nous avons besoin d’aide. »
http://www.international.gc.ca/religious_freedom-liberte_de_religion/index.aspx