Grâce à des religieuses, il ne fut pas avorté. Maintenant, il veut entrer au séminaire de la FSSP
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un jeune homme originaire de l’Inde, qui a été sauvé d’un avortement par des religieuses travaillant dans un hôpital, cherche à poursuivre sa vocation en étudiant au séminaire catholique traditionnel Our Lady of Guadalupe dans le Nebraska, qui est dirigé par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP).
Il a maintenant besoin d’aide pour réunir les fonds nécessaires pour répondre à l’appel et entrer au séminaire. Les lecteurs peuvent envisager de l’aider dans cette collecte de fonds par le biais de cette page LifeFunder.
Dominic Pavan, qui vit actuellement en Inde, est rempli du désir de répandre la joie et la vérité de l’Évangile, reconnaissant que tant de personnes ont besoin de connaître Dieu.
Sa mère s’est mariée jeune, mais à environ 16 semaines de grossesse, alors qu’elle était enceinte de Dominic, elle a commencé à vouloir se faire avorter. Cependant, l’hôpital local était dirigé par des religieuses qui l’ont convaincue d’attendre plusieurs semaines. Lorsqu’elle est retournée à la clinique, la mère de Dominic avait dépassé la limite légale pour les avortements en Inde.
Elle est retournée au même hôpital au moment de l’accouchement et les religieuses ont placé Dominic devant une statue de Notre-Dame peu après sa naissance, le confiant à Marie avec leurs prières.
Élevé dans une famille hindoue très traditionnelle, Dominic se rendait au temple « presque tous les jours ». Pourtant, vers l’âge de cinq ans, il a été fasciné par une image du Sacré-Cœur dans l’école catholique qu’il fréquentait, ainsi que par un sanctuaire marial qu’il visitait lors de voyages scolaires.
Lire la suiteL’amendement visant à légaliser l’avortement jusqu’à la naissance est retiré au Royaume-Uni
Par Right to Life UK (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressmaster/AdobeStock
Une tentative de détourner le projet de loi principal du gouvernement britannique sur la police, la criminalité, les peines et les tribunaux avec deux propositions d’avortement extrêmes a échoué, ce qui constitue une victoire majeure pour les pro-vie.
Le député Diana Johnson a décidé de ne pas soumettre au vote son amendement (NC 55), qui aurait introduit l’avortement sur demande, pour n’importe quelle raison, jusqu’à la naissance. De même, le député Rupa Huq a décidé de ne pas soumettre au vote son amendement (NC 42), qui aurait introduit une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans pour avoir offert un soutien aux femmes devant les cliniques d’avortement du pays.
Si les députés Diana Johnson et Rupa Huq avaient soumis leurs amendements au vote et avaient perdu, cela aurait été la première fois dans l’histoire du Royaume-Uni qu’un amendement ou un projet de loi pro-avortement aurait été rejeté lors d’un vote.
Il semble que le lobby de l’avortement ait réalisé qu’il était très probable que les deux amendements seraient rejetés et qu’il ait encouragé les députés à ne pas les soumettre au vote.
Lors du débat, un grand nombre de députés se sont élevés contre ces tentatives de détourner le projet de loi sur la police, la criminalité, les peines et les tribunaux avec des amendements extrêmes sur l’avortement. Les députés Fiona Bruce, Sally-Ann Hart, Danny Kruger et Bob Blackman ont notamment prononcé des discours émouvants, tout comme un certain nombre de députés qui ne sont généralement pas d’accord avec la position pro-vie sur l’avortement mais qui ont été choqués par la proposition d’introduire l’avortement jusqu’à la naissance.
Lire la suiteLa communauté des Sœurs de la Vie célèbre ses 30 ans d’aide aux femmes enceintes vulnérables
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 1er juin 2021 a marqué le 30e anniversaire de la fondation des Sisters of Life (Sœurs de la Vie), un ordre de religieuses catholiques romaines consacré à la protection de la vie innocente des enfants à naître et qui guide les femmes ayant subi un avortement vers la miséricorde de Dieu.
Les Sisters of Life ont été créées en 1991 en réponse directe à une expérience émouvante vécue par leur fondateur, le cardinal John O’Connor de New York, lors d’une visite au camp de concentration de Dachau. Dans le crématorium, où les corps des Juifs et d’autres personnes qui avaient été gazés à mort ont été réduits en cendres, le cardinal O’Connor a déploré le manque évident de respect pour la vie humaine.
Comprenant que le manque de respect pour la vie humaine de son époque conduisait chaque année à la perte tragique de nombreuses vies à cause de l’avortement, il a décidé de fonder un ordre de religieuses dont la mission serait de promouvoir la vie.
Huit femmes ont répondu à l’annonce qu’il a placée dans le journal, qui disait simplement : « Aide recherchée : Sœurs de la Vie ». Trente ans plus tard, l’Ordre compte 116 membres. En plus des vœux traditionnels de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, chaque sœur de la vie fait un quatrième vœu, celui de protéger la vie humaine et de promouvoir son caractère sacré. Les sœurs servent dans divers endroits aux États-Unis et maintenant au Canada.
Les deux principaux moyens par lesquels elles cherchent à promouvoir la vie humaine sont leur travail avec les femmes enceintes vulnérables, auxquelles elles fournissent un logement, une aide pour payer le loyer ou les factures de services publics, et plus encore, et aussi en s’occupant des femmes blessées par l’avortement grâce à leur programme Hope and Healing.
Lire la suiteUne hausse de la désinformation sur l’avortement au Québec ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Freepik
La raison pour laquelle je mets ce titre est qu’un article d’Étienne Paré paraissant sur Le Journal de Montréal s’intitulait : « Hausse inquiétante de la désinformation sur l’avortement ».
Il ne voulait pas dire par-là que le mouvement pro-avortement redoublait d’efforts pour submerger vos oreilles, vos yeux et votre esprit de propagande, mais que les organismes pro-vie du Québec ayant la prétention d’aider les femmes enceintes démultiplieraient leurs tentatives de tromperie et de mystification… Enfin, une augmentation, c’est du moins ce qu’indique le titre, parce que l’article n’indique pas par le menu en quoi consisterait cette croissante menace.
Que se passerait-il ? D’après l’article de M. Paré, les organismes pro-avortement qui « accompagnent » les femmes enceintes observeraient une recrudescence de la désinformation portant sur l’avortement, et dénoncent d’un doigt pugnace les groupes pro-vie qui réussiraient — ô trouble ! — de manière détournée à rejoindre un auditoire plus large.
Laissons là l’idée d’augmentation d’une certaine propagande pro-vie parce que l’article de M. Paré n’en parle pas davantage. Par contre, il rapporte complaisamment les propos de quelques directrices d’organisations pro-avortement à propos des redoutables groupes pro-vie — et c’est là le fond de l’affaire. Par exemple, selon Le Journal de Montréal :
« On a des groupes anti-choix qui se présentent carrément comme pro-choix et qui vont subtilement essayer de convaincre les femmes de garder leur enfant », déplore Sylvie Pedneault, directrice générale de SOS Grossesse, un organisme pro-choix.
Les groupes pro-vie essaient certes de faire en sorte que les femmes, qui ont recours à eux, portent leur enfant jusqu’à la naissance, mais je me demande si le verbe « convaincre » est vraiment approprié pour décrire leur action. Franchement, quand une femme enceinte appelle Enceinte et Inquiète (dont il sera question plus loin), elle ne subit aucune pression. En tout cas, je ne crois pas qu’ils se présentent comme « pro-choix ». D’autre part, je ne vois pas exactement ce que Mme Pednault entend exactement par l’adverbe « subtilement ». Certes, les pro-vie n’y vont pas en gros sabots, mais ils n’essaient pas de tromper leurs interlocutrices comme l’insinue Mme Pednault.
Lire la suiteUne mère adolescente au « regard désespéré » remet son nouveau-né à une cliente d’un restaurant, puis s’en va
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : jcomp/Freepik
Une jeune fille de 14 ans, qui semblait stupéfaite et désespérée selon un témoin, est entrée dans un restaurant de Jersey City avec un nouveau-né. La mère adolescente a remis l’enfant à un client, puis est partie.
« Cette dame entre en ayant l’air très désespérée, tenant un tout nouveau-né, cela se voyait bien », a déclaré Frankie Aguilar, propriétaire du restaurant El Patron, à NBC. « Elle entre, elle me regarde dans les yeux, je la regarde et elle a un regard de terreur et de désespoir. »
Le père d’Aguilar a appelé le 911 tandis qu’une cliente Alease Scott, ancienne thérapeute et enseignante en école maternelle, a sauté de sa table pour aider la jeune fille. Elle pouvait voir que le bébé et la jeune mère étaient tous deux en détresse. Une vidéo de surveillance montre Scott et l’adolescente debout l’une à côté de l’autre. Après que Scott se soit dirigée vers une chaise pour regarder le bébé, la jeune mère a quitté le restaurant.
« Le bébé ne bougeait pas beaucoup », a déclaré Scott. « [La mère] est allée au comptoir, elle a dit qu’elle avait besoin d’aide. Je me suis levé de table, je me suis immédiatement dirigé vers elle et je lui ai dit : “Je peux vérifier les signes vitaux du bébé ?” Elle m’a alors remis le bébé sans hésiter. J’ai remarqué que le bébé portait encore, dans les cheveux et les oreilles, de la matière provenant de sa naissance. Il n’avait pas été nettoyé correctement. »
La jeune fille avait dit à Aguilar que le bébé avait été abandonné, mais Scott a alors remarqué du sang séché sur la jambe de l’adolescente et a réalisé qu’elle était la mère du bébé. Alors qu’elle se concentrait pour s’assurer que le bébé respirait, la mère adolescente est partie. Aguilar a qualifié cela de « déchirant ».
Scott a expliqué qu’elle a donné de l’oxygène à la petite fille et qu’en quelques secondes, elle a poussé « le plus beau cri que vous ayez jamais entendu ». Ses pieds ont alors commencé à bouger.
Les policiers sont arrivés et ont emmené le bébé à l’hôpital. Ils ont également été en mesure de localiser rapidement la mère adolescente qui a également été emmenée à l’hôpital. Toutes deux se portent bien.
Afin d’éviter que des nouveau-nés ne soient abandonnés ou tués, chaque État a promulgué une loi de Refuge pour permettre aux mères de remettre légalement et anonymement leur bébé d’un certain âge dans un lieu sûr tel qu’une caserne de pompiers ou une salle d’urgence. Bien que controversées, ces lois ont permis, selon la National Safe Haven Alliance, de sauver au moins 3 500 vies et d’éviter d’horribles tragédies. Bien que, dans ce cas, le bébé n’ait pas été emmené dans un lieu sûr désigné, la mère adolescente ne sera pas poursuivie car elle s’est assurée que son bébé soit entre de bonnes mains.
Proclamation de la Journée nationale du caractère sacré de la vie humaine par Donald Trump
Traduction du texte de Donald J. Trump, président des États-Unis, par Yves Daoudal (Le blog d’Yves Daoudal) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Voici la proclamation de Donald Trump faisant du 22 janvier, anniversaire de la néfaste décision de la Cour suprême des États-Unis Roe v. Wade, la Journée nationale du caractère sacré de la vie humaine. Vous risquez de ne pas en voir souvent comme celle-là dans les prochaines années à venir. ― A. H.
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Proclamation de la Journée nationale du caractère sacré de la vie humaine, 2021
Chaque vie humaine est un don au monde. Qu’elle soit née ou à naître, jeune ou vieille, en bonne santé ou malade, chaque personne est faite à l’image sainte de Dieu. Le Créateur tout-puissant donne à chaque personne des talents uniques, de beaux rêves et un grand dessein. En cette journée nationale du caractère sacré de la vie humaine, nous célébrons le miracle de l’existence humaine et renouvelons notre détermination à construire une culture de la vie où toute personne de tout âge est protégée, valorisée et chérie.
Ce mois-ci, nous commémorons presque le cinquantième anniversaire de l’arrêt Roe contre Wade de la Cour suprême des États-Unis. Cet arrêt, entaché d’irrégularités constitutionnelles, a annulé les lois des États qui interdisaient l’avortement, et a entraîné la perte de plus de 50 millions de vies innocentes. Mais des mères fortes, des étudiants courageux, de magnifiques membres de communautés et des personnes de foi mènent un puissant mouvement pour réveiller la conscience de l’Amérique et restaurer la croyance que chaque vie est digne de respect, de protection et de soins. Grâce au dévouement d’innombrables pionniers pro-vie, l’appel à la reconnaissance du caractère sacré de la vie par chacun est plus fort que jamais en Amérique. Au cours de la dernière décennie, le taux d’avortement a régulièrement diminué et aujourd’hui, plus de trois Américains sur quatre soutiennent des restrictions à l’avortement.
Lire la suiteLes Évangiles sont des reportages, n'en déplaise aux mous
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) — Image (montage)
Par cet article, je commence une série de chroniques/commentaires, recevant ce mandat avec une grande reconnaissance. On m’a pratiquement donné carte blanche pour écrire sur différents sujets avec un lien avec la mission de Campagne Québec Vie. Le premier élément que je voudrais apporter ici est donc ce témoignage d’ouverture de la direction de Campagne Québec Vie. Personne n’est semblable, et il y aura toujours des différences de point de vue sur les jugements à apporter devant telle ou telle situation. La marque de confiance que l’on me donne témoigne de ce que l’on croit d’abord à ma volonté d’être honnête intellectuellement et de ma capacité de dialogue franc. Je le mentionne ici comme ayant toute son importance. Si l’on me choisit avec ces demandes, cela dénote l’importance qu’elles ont pour Campagne Québec-Vie.
Des catholiques ont parfois une image négative du mouvement parce que des affirmations polémiques sur la situation dans l’Église y sont souvent prononcées. Si les lecteurs pouvaient avoir la chance de visiter les bureaux de CQV, ils y trouveraient la douceur d’un dialogue où ils seraient certainement vraiment écoutés, ce qui ne veut pas dire automatiquement approuvés. Mais le véritable dialogue n’a rien à voir avec l’absence de convictions. Au contraire. Quoi de plus ennuyant et stérile qu’une conversation entre deux personnes relativistes ? Entre cela et un documentaire en direct, en contemplation silencieuse par caméra cachée, sur l’hibernation des marmottes, je choisis le deuxième, j’y aurai du moins appris quelque chose…
« Les Évangiles sont des reportages, n’en déplaise à certains… »
C’est le titre d’un livre comme ce pourrait l’être de plusieurs livres sérieux de théologie, contredisant ce que l’on retrouve parfois chez certains diplômes en sciences religieuses québécois.
Lire la suiteLes centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes ont reçu des millions de dollars de l’administration Trump
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AdobeStock
Les centres de grossesse pro-vie ont reçu des millions de dollars pour aider les mères et les bébés dans le besoin ce printemps, grâce au fonds d’aide du Cares Act.
Selon les recherches du Guardian, l’administration Trump a donné plus de 4 millions de dollars aux centres de ressources pour les femmes enceintes par le biais du Programme de protection des chèques de paie (Paycheck Protection Program : PPP) du Cares Act. Cependant, le journal note que l’estimation est probablement faible, et que les centres de grossesse pourraient avoir reçu jusqu’à 10 millions de dollars par le biais de ce programme.
Cet argent supplémentaire arrive à un moment critique. Ces petites associations communautaires à but non lucratif fournissent des services gratuits à des dizaines de milliers de mères et de bébés chaque année, et beaucoup d’entre elles signalent une augmentation des appels à l’aide durant la [fausse*] pandémie. En mars et avril, l’Abortion Pill Rescue Network de Heartbeat International déclare avoir aidé deux fois plus de mères et de bébés qu’il ne le fait habituellement.
Parmi les bénéficiaires de ces subventions figurent Heartbeat International et Obria, qui fournissent tous deux conseils gratuits, aide matérielle et bien d’autres choses encore afin d’aider les mères à choisir la vie pour leurs bébés à naître.
Selon l’article :
Plus de 2 700 centres de crise pour femmes enceintes sont affiliés à Heartbeat International dans le monde entier, et ce dernier a lui-même obtenu un prêt PPP de 350 000 à 1 million de dollars, selon les données publiées par la SBA. Heartbeat International a déclaré que ceci permettrait de sauver 42 emplois…
Le SBA a approuvé la clinique Obria de San Jose en Californie pour un prêt maximum de 350 000 dollars du PPP, et le groupe a déclaré qu’il pourrait ainsi sauver 31 emplois. Le réseau de cliniques Obria reçoit déjà une subvention fédérale de l’administration Trump, dont une allocation par le biais du Title X pour la planification familiale pouvant atteindre 5,1 millions de dollars sur trois ans.
Les centres de grossesse pro-vie viennent en aide à des centaines de milliers de femmes et de bébés chaque année aux États-Unis, et la plupart fonctionnent principalement grâce à des dons et des bénévoles. Certains reçoivent des fonds du gouvernement pour soutenir leur travail de soutien à la vie, mais beaucoup d’autres n’en reçoivent pas.
Des milliers de centres de grossesse sont situés dans des communautés à travers les États-Unis, offrant des ressources gratuites aux familles ayant ou attendant un enfant. Ces services comprennent souvent conseils,tests de grossesse, échographies, tests de MST, couches, vêtements pour bébés et pour femmes enceintes, lits d’enfant, conseils post-avortement, cours sur l’art d’être parent et bien d’autres choses encore. Certains fournissent un logement temporaire, une aide à l’emploi et à l’éducation, de la nourriture et subviennent également à d’autres besoins de base.
Le Paycheck Protection Program (PPP) a été créé pour aider les petites entreprises et les organisations à but non lucratif pendant la [fausse*] pandémie de coronavirus. Bien qu’elle ne fût pas censée y être admissible, la chaîne d’avortement Planned Parenthood a également récolté environ 80 millions de dollars grâce au programme PPP — enlevant par là de l’argent aux petites entreprises et organisations qui pâtissent au milieu du confinement. Des rapports indiquent que l’administration Trump est en train de prendre des mesures pour récupérer les fonds partis vers la chaîne en avortement, et enquête sur la manière dont les demandes ont été approuvées.
*Commentaires d’Augustin Hamilton.
New York : projet de loi pour faire examiner les centres de grossesse pro-vie par les avorteurs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pch.vector/Freepik
La Chambre de l’État de New York a voté et envoyé au Sénat un projet de loi qui propose la formation d’un comité composé en partie d’avorteurs et de partisans de l’avortement, afin de mener une enquête et produire un rapport sur les centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes. Si vous voulez mon humble avis, c’est plutôt l’inverse qui devrait être fait. L’un des points sur lesquels se pencherait cette commission est si les centres en question fournissent de l’information sur l’accès à l’avortement, selon LifeNews :
Le projet de loi (S6311/A8212) prévoit la création d’un comité, comprenant des avorteurs et des militants de l’avortement, pour aider le commissaire à la santé de l’État de New York à examiner les actes des centres de grossesse pro-vie et à produire un rapport sur ceux-ci. Il exigerait également que les centres de grossesse soumettent à l’État d’énormes quantités de paperasses, notamment des renseignements sur les femmes qu’ils accueillent.
Selon Catholic News Agency, l’objectif du projet de loi est de permettre au commissaire à la santé de déterminer si les centres de grossesse pro-vie « offrent des informations précises et non coercitives sur les soins de santé et un accès opportun à une gamme complète de services de santé reproductive et sexuelle ».
Dans le langage pro-avortement, « santé reproductive et sexuelle » signifie : avortement, stérilisation, contraception.
Les évêques catholiques et les pro-vie lancent l’alarme parmi leurs rangs :
Les évêques catholiques de New York et les plus éminents pro-vie de l’État demandent aux New-Yorkais de contacter leurs législateurs et de les exhorter à s’opposer.
Planned Parenthood persuade une femme d’avorter sans en aviser son époux...
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Drobotdean/Freepik
MT Hall était l’ancien directeur du centre de ressource pour grossesse Birthright. L’auteur pro-vie Terry Lanora raconte l’histoire d’une femme enceinte ayant visité le centre. La femme arrivant heureuse et joyeuse d’avoir un enfant, fond soudainement en larme lors de son départ et confia à Hall une triste histoire. Hall raconte :
C’était sa quatrième grossesse, mais serait son troisième bébé [à naître vivant]. Lors de sa dernière grossesse elle s’était rendue à Planned Parenthood. Elle laissa savoir que son mari était au chômage et l’employée lui fit ressentir beaucoup de culpabilité. La travailleuse avait une opinion très négative sur le temps que prendrait le mari à obtenir un nouvel emploi. Elle lui lança qu’elle n’avait aucun droit de lui mettre un plus grand fardeau sur les épaules et que cela était injuste pour les enfants qu’elle avait déjà*, et cætera.
Le pire** est que cette femme la convainquit d’avoir un avortement sans même en discuter avec son mari !
Selon d’anciens employés de Planned Parenthood, il y a un quota d’avortements que les employés doivent « vendre ». Selon des témoignages, les travailleurs sont formés afin de mettre la pression sur les femmes afin qu’elles se fassent avorter.
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