La Nouvelle-Zélande met en place des « zones sûres » interdisant l’activisme pro-vie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Omega/Adobe Stock
Dans le but de restreindre la liberté d’expression et de mettre un terme aux activités pro-vie, la Nouvelle-Zélande met en place des zones tampons « sûres » autour de certains établissements pratiquant l’avortement dans le pays. Les zones tampons ont jusqu’à présent été établies autour de six établissements, cinq autres ont été approuvées et entreront en vigueur à partir d’octobre et des plans futurs prévoient d’en ajouter d’autres.
En mars 2022, les législateurs ont adopté la Loi modifiant la loi sur la contraception, la stérilisation et l’avortement (zones sûres), qui a permis la création de ces zones. La loi interdit de bloquer l’entrée d’un établissement pratiquant l’avortement et de photographier ou filmer toute personne entrant dans l’établissement, mais elle interdit également d’approcher une femme souhaitant avorter pour lui proposer de l’aide et des alternatives, ainsi que de distribuer des tracts pro-vie et de participer à toute sorte de « manifestations » pro-vie.
La loi sur la zone tampon couvre une zone de 150 mètres à partir de l’entrée de l’établissement d’avortement, et toute personne en infraction peut être arrêtée et condamnée à une amende de 1 000 dollars.
Lire la suiteLe Kansas accorde un contrat de 2 millions de dollars à un réseau de ressources pour la grossesse
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Le Kansas a commencé à mettre en œuvre son programme « Alternatives à l’avortement » financé par l’État, qui servira à augmenter les ressources qui favorisent les options d'aide à la vie pour les femmes et leurs bébés. Selon le Kansas Reflector, l’État a attribué un contrat de 2 millions de dollars au Kansas Pregnancy Care Network (KPCN), fondé le 30 juin, afin de lancer un programme d’État visant à aider les femmes confrontées à des grossesses non planifiées à accoucher.
La Chambre et le Sénat du Kansas avaient précédemment adopté le projet de loi sur les alternatives à l’avortement, auquel le gouverneur Laura Kelly avait opposé son veto en avril. La Chambre et le Sénat ont annulé ce veto. Le trésorier de l’État, Steven Johnson, ancien membre de la Chambre des représentants du Kansas, a été désigné pour choisir un groupe chargé de mettre en place un programme de sensibilisation à l’échelle de l’État visant à aider les femmes à éviter l’avortement et à accéder aux services de prise en charge de la grossesse. Le mois dernier, un accord a été signé qui permettra à la nouvelle organisation de recevoir 50 000 dollars à titre d’avance de trésorerie pour le démarrage.
KPCN sera supervisée par des directeurs comprenant l’ancienne sénatrice de l’État Mary Pilcher-Cook, l’ancien représentant des États-Unis Tim Huelskamp, Vicki Tiahrt (l’épouse de l’ancien représentant des États-Unis Todd Tiahrt) et Ron Kelsey, président de Planned Parenthood Exposed [P.P. démasqué]. L’épouse de Ron Kelsey, Donna, est directrice générale de la Kansas City Pregnancy Clinic, qui fournit des services et des ressources aux femmes confrontées à des grossesses non désirées.
Lire la suiteLe gouverneur de Pennsylvanie met fin au financement des centres de ressources pour la grossesse après 30 ans
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Le département des Services sociaux de Pennsylvanie (DHS) a annoncé la semaine dernière qu’il ne renouvellerait pas son contrat avec Real Alternatives, un centre de ressources pour la grossesse (PRC) qui gère 77 établissements dans tout l’État.
Selon New Castle News, Real Alternatives a reçu 60 millions de dollars de financement de l’État depuis 2012, et plus de 134 millions de dollars au total depuis le milieu des années 1990. Bien que le budget de l’État, signé par le gouverneur Josh Shapiro, ait alloué 8,2 millions de dollars à un poste qui allait traditionnellement aux PRC — une augmentation de 2 millions de dollars par rapport à l’année dernière — il a été annoncé que Real Alternatives ne recevrait plus aucun de ces fonds. Le bureau de M. Shapiro sollicitera d’autres « prestataires de services de santé pour les femmes » qui pensent pouvoir bénéficier de ce financement.
« Pendant des décennies, l’argent des contribuables a servi à financer Real Alternatives. Mon administration ne poursuivra pas ce modèle — nous veillerons à ce que les femmes de cet État reçoivent les soins de santé génésique qu’elles méritent », a déclaré M. Shapiro dans un communiqué de presse. « En m’élisant au poste de gouverneur, les Pennsylvaniens ont clairement indiqué qu’ils soutenaient la liberté de choix des femmes, et je défendrai fermement ce droit ».
L’existence des centres de ressources pour la grossesse ne modifie pas les lois sur l’avortement ; ils donnent simplement aux femmes des ressources tangibles au cas où elles choisiraient de ne pas avorter. Un sondage réalisé à la fin de l’été dernier auprès de 1 600 personnes a révélé que « 74 % des Américains interrogés ont déclaré soutenir le financement public des centres de ressources pour les femmes enceintes après avoir pris connaissance de leurs services » (c’est nous qui soulignons).
Parmi eux, 66 % des personnes se sont déclarées « libérales ».
Lire la suiteLes centres de grossesse d’urgence sauvent les bébés à naître et les mères de l’avortement — c’est pourquoi les gauchistes les détestent
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hero Images/Adobe Stock
24 juillet 2023 (LifeSiteNews) — En juin, CNN a publié ce qui était présenté comme un exposé intitulé « Google a gagné 10 millions de dollars en autorisant des publicités trompeuses contre l’avortement provenant de “fausses cliniques”, selon un rapport ». Le rapport en question a été publié par le soi-disant Center for Countering Digital Hate (Centre de lutte contre la haine numérique), une organisation pro-avortement et pro-LGBT qui se présente comme un « groupe de défense des droits de l’homme » dont la raison d’être est de faire pression sur les autorités pour qu’elles censurent les discours qu’elles désapprouvent. À l’instar du Southern Poverty Law Center, le Center for Countering Digital Hate se contente de compiler des rapports sur des personnes ou des organisations exprimant des opinions auxquelles il s’oppose, de diffuser ces rapports auprès de médias amis, puis d’utiliser la couverture médiatique (par des organisations telles que CNN) pour demander au gouvernement de prendre des mesures.
L’objectif de leur « exposé » sur Google était de cibler les centres de grossesse d’urgence offrant aux femmes des alternatives à l’avortement. Comme l’indique le rapport de CNN : « Certaines personnes cherchant “cliniques d’avortement près de chez moi” sur Google ont trouvé des résultats les orientant vers des “centres de grossesse d’urgence” qui pourraient tenter de dissuader les femmes d’avorter et proposer des techniques d’inversion de la pilule abortive qui n’ont pas fait leurs preuves sur le plan médical. » Remarquez ici que a) ils considèrent que dissuader des femmes d’avorter est une mauvaise chose en soi et b) ils mentent sur les techniques d’inversion de la pilule abortive. Des bébés sont nés après que des professionnels de la santé sont intervenus avec succès à mi-chemin d’un traitement par pilule abortive — cela est indéniable.
Lire la suiteUne mère adolescente exprime sa gratitude envers le centre de grossesse pro-vie qui l’a aidée à choisir la vie
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
15 juin 2023 (LifeSiteNews) — Dans un article anonyme publié mardi par The Federalist, une mère adolescente a exprimé sa sincère gratitude à l’égard du centre de ressources pour la grossesse qui lui a donné l’amour, le soutien et les fournitures nécessaires pour choisir la vie pour son fils.
« Je n’ai jamais rêvé d’être entourée de l’amour chaleureux et du bonheur que j’éprouve aujourd’hui », écrit la jeune femme, qui dit être devenue enceinte à son « grand désarroi » à l’âge de 15 ans seulement.
« Si quelqu’un m’avait dit, il y a quatre ans à peine, que ma vie serait marquée par plus de bénédictions que je ne pourrais en compter, je l’aurais regardé avec une incrédulité totale », a-t-elle ajouté.
L’auteur de la lettre a déclaré que « l’avortement a été ma décision immédiate » après avoir découvert qu’elle était enceinte. Aînée de quatre enfants d’une famille dont la mère était toxicomane, la jeune femme a déclaré qu’elle « pouvait à peine s’occuper de moi, sans parler de mes trois frères et sœurs plus jeunes ».
« La simple idée d’apporter une nouvelle vie, à mon âge, dans cette situation chaotique était plus que je ne pouvais supporter — ou du moins c’est ce que je pensais », écrit-elle.
C’est alors qu’un professeur de lycée lui a recommandé de s’adresser au Pregnancy and Family Care Center (PFCC) de Leesburg, en Floride, qui fait partie du Christian Care Center affilié à la Leesburg First Baptist Church.
Lire la suiteL’Associated Press recommande l’emploi du terme « centre anti-avortement » pour les centres pro-vie d’aide aux femmes enceintes
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Paul Bradbury/Caia Image/Adobe Stock
3 Février 2023 (LifeSiteNews) — Un changement récemment découvert dans le guide de rédaction d’Associated Press (AP) incite les journalistes à utiliser le terme « centres anti-avortement » au lieu de « centres d’aide aux femmes enceintes » (crisis pregnancy centers) lorsqu’ils écrivent sur des organisations pro-vie qui offrent une assistance aux femmes confrontées à des grossesses non planifiées.
Le guide indique que « les centres de conseil anti-avortement, les “centres de grossesse de crise” qui s’opposent aux avortements » et les « centres anti-avortement » sont tous des termes acceptables pour décrire « les centres mis en place pour détourner ou décourager les femmes d’avorter ».
« Si vous utilisez le terme de centre anti-avortement, expliquez par la suite que ces centres sont souvent connus sous le nom de “centres de grossesse de crise” (entre guillemets) et que leur objectif est de dissuader les gens de se faire avorter. »
Le guide conseille également aux journalistes d’« éviter les termes potentiellement trompeurs tels que centres de ressources pour la grossesse ou centres de conseil sur la grossesse ou centres d’aide aux femmes enceintes », car « ces termes n’indiquent pas que l’objectif général des centres est d’empêcher les avortements ».
Le Daily Signal a déterminé que le guide de rédaction a été mis à jour entre le 20 et le 27 novembre. Le changement d’orientation est indiqué à la fin du guide thématique sur l’avortement sur le site internet d’AP.
Lire la suiteItalie : 400 000 € pour aider les femmes enceintes dans le Piémont
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Le conseiller régional pour le Piémont, Maurizio Marrone, du parti Fratelli d’Italia, a annoncé la subvention de 400 000 € aux associations de défense de l’enfant à naître, avec pour but de soutenir économiquement les femmes renonçant à avorter, rapporte Le blog d’Yves Daoudal :
En quelque sorte ministre des Affaires sociales du Piémont (« assessore » de la « giunta » régionale), membre éminent de Fratelli d’Italia, Maurizio Marrone annonce le versement de 400 000 € aux associations de défense de la vie. Cette subvention doit permettre d’« organiser le soutien économique, pendant 18 mois », des femmes qui renoncent à avorter. Concrètement, l’argent servira à payer les loyers, les factures ou les produits pour nourrissons.
Il est également prévu par la région d’ouvrir des guichets de ces associations dans les centres de « planification familiale », à l’instar de leur présence dans les hôpitaux.
Le 25 septembre dernier, le parti Fratelli d’Italia s’est retrouvé gagnant des élections italiennes, à la tête d’une coalition comprenant la Lega et Forza Italia. Giorgia Meloni, chef de Fratelli d’Italia, et maintenant premier ministre d’Italie, a exprimé sa volonté d’aider les femmes enceintes de sorte qu’elles choisissent de garder leur bébé plutôt que de l’avorter ; le geste de Maurizio Marrone est donc en droite ligne de cette pensée.
Après avoir été mère adolescente, elle a utilisé son passé douloureux pour lancer une aide aux mères célibataires
Jennifer Maggio.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
La jeune vie de Jennifer Maggio a été marquée par des pertes déchirantes, des traumatismes émotionnels, des abus et de multiples grossesses non planifiées — des obstacles qui semblent impossibles à surmonter, sauf qu’elle avait une arme puissante : sa foi. Élevée par un père toxicomane qui s’est marié six fois après la mort soudaine de sa mère alors qu’elle n’avait que 17 mois, Maggio aspirait à une relation stable et aimante. Au lieu de cela, elle s’est orientée vers une alliance malsaine avec un jeune homme qui allait devenir l’auteur de ses grossesses. Elle a fait deux fausses couches, mais à 17 ans, elle a donné naissance à un garçon en bonne santé.
Maggio a déclaré à Live Action News : « Après la naissance de mon fils, un an plus tard, je suis devenue enceinte de ma fille. J’étais tellement gênée et honteuse que j’ai même envisagé l’avortement, mais j’ai été élevée dans l’église et je savais que c’était mal. Une amie qui avait avorté m’avait raconté qu’elle était tourmentée par des cauchemars de bébés qui criaient. Cela aussi a eu un impact ».
Jennifer était heureuse d’avoir choisi la vie pour ses bébés, mais ses proches se demandaient pourquoi elle n’était pas abstinente, compte tenu de ses antécédents religieux. De même, beaucoup se demandaient pourquoi elle ne mettait pas fin à sa relation avec son petit ami abusif.
« La vérité, c’est que j’étais une femme brisée qui se noyait dans la dévastation, errant dans la vie à la recherche de joie, d’espoir, de paix et de restauration », a déclaré Maggio. « La plupart du temps, j’avais l’impression de pouvoir à peine respirer ou fonctionner, et encore moins penser clairement. Je savais que j’avais déçu ma famille et j’avais la certitude d’être excommuniée de Dieu. »
À 19 ans, Maggio élevait deux enfants, vivait dans un logement social et dépendait de l’aide sociale et des coupons alimentaires pour vivre. Seule, sans beaucoup d’argent et isolée de sa famille et de ses amis, avec peu de compétences parentales, Maggio a lutté pour dépasser sa situation. Bien qu’elle ait obtenu son diplôme de fin d’études secondaires en tant que major de sa promotion et qu’on lui ait offert des bourses d’études universitaires dans tout le pays, elle dit avoir gaspillé ces opportunités.
Lire la suiteUn pro-vie influence un avorteur qui commence à montrer les échographies aux femmes enceintes
William Haag.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : William Haag
Depuis cinq ans, le défenseur de la vie William Haag prie devant un centre d’avortement en Espagne et salue son avorteur dans l’espoir qu’il démissionne et devienne chrétien.
Aujourd’hui, selon M. Haag, l’avorteur semble changer lentement d’avis. L’homme a récemment commencé à montrer aux mères enceintes les échographies de leurs bébés à naître et à encourager les femmes qui hésitent à demander de l’aide aux pro-vie locaux.
Il est « moins athée qu’avant notre rencontre », a déclaré Haag à Aleteia dans une nouvelle interview.
Selon le média catholique, Haag et l’avorteur sont lentement devenus amis au fil des ans ; ils vont même dîner ensemble pour discuter de Dieu et de l’avortement.
Haag, qui participe à la campagne des 40 jours pour la vie en Espagne, a déclaré que son action en faveur de la vie n’a pas pour but de gagner ou de trouver un sentiment d’accomplissement personnel ; il s’agit de montrer de l’amour aux autres.
« Aimer les avorteurs est un échec et mat spirituel », a-t-il déclaré à Aleteia. « Nous renonçons à tout succès personnel ou collectif juste pour rechercher le bien de ces personnes, même si plus tard cela apportera en fait beaucoup plus de bien sous la forme de bébés qui seront sauvés de l’avortement. »
Haag dit qu’il a commencé il y a bien des années par simplement sourire et saluer l’avorteur à l’extérieur du centre d’avortement. Et, bien sûr, il a prié.
« Il est difficile de comprendre la mentalité des avorteurs, alors nous devons y aller petit à petit sans les juger et seulement en étant guidés par l’Esprit Saint », a-t-il expliqué.
L’avorteur a avorté environ 30 000 bébés à naître au cours de ses 30 ans de carrière, a précisé M. Haag. Mais au fur et à mesure que leur amitié a progressé, M. Haag a déclaré qu’il avait des raisons d’espérer que l’homme se convertisse et abandonne sa pratique destructrice de vie.
Lire la suiteUne grossesse inattendue et l'aide d'un centre de grossesse ont été une bénédiction pour cette maman
Misty et sa fille.
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
L’industrie de l’avortement cultive l’idée que mener une grossesse inattendue à terme entraîne nécessairement la fin de tout ce qui est bon dans la vie d’une femme. Les centres de ressources pour la grossesse de tout le pays pensent différemment, car ils comprennent intimement que des circonstances inattendues peuvent conduire à de grands cadeaux et à des bénédictions inimaginables. Récemment, Shout My Story, dont la mission est de contrer le récit de Shout Your Abortion en présentant des profils de femmes qui ont choisi la vie dans des circonstances difficiles, a présenté une femme dont le premier enfant a 18 ans de plus que le plus jeune.
Mais comme cette maman et sa famille l’ont découvert, « inattendu » n’est pas forcément un mot funeste.
« Lorsque j’ai appris que j’étais enceinte, j’étais très émue », a déclaré Misty, la mère présentée. « Ce n’était pas du tout planifié. Je me disais que cela n’était pas arrivé depuis six ans. Peut-être que ça y est, c’est fini. Peut-être que nous n’en aurons pas d’autres ». Misty et son conjoint ont réfléchi à ce qu’un nouveau bébé signifierait pour leur famille, qui comprend sa fille de 18 ans et ses fils de 10 et 6 ans. Le conjoint de Misty a huit ans de plus qu’elle, et il pensait à l’âge qu’il aurait lorsque cet enfant terminerait ses études secondaires. Pour sa part, Misty s’est rendu compte que « tôt ou tard, je devrai arrêter de travailler ».
Misty et son conjoint n’ont pas été les seuls à être ébranlés par la nouvelle. La fille de Misty n’était initialement « pas contente » de sa mère et « elle m’a dit que j’étais trop vieille » pour avoir un bébé. Misty a admis que « l’arrivée d’un nouveau petit était un peu effrayante pour tout le monde ».
Si Misty n’a jamais mentionné qu’elle avait envisagé l’avortement dans son témoignage vidéo, elle n’a pas hésité à chercher une aide extérieure pour accueillir le nouveau membre inattendu de la famille. Elle a fait des recherches sur Internet pour trouver des endroits où elle pourrait trouver de l’aide. Le centre de ressources pour femmes enceintes Southside Women’s Services, situé dans la banlieue de Chicago, est apparu dans sa recherche.
Misty a été surprise lorsqu’elle a passé une échographie lors de sa toute première visite. « C’est à ce moment-là que j’ai vraiment compris », a-t-elle déclaré. « OK, c’est vrai. Il y a un bébé là-dedans ». Faisant référence à son défenseur des patients, elle dit : « Joséphine m’a aidée. Nous avons prié ensemble. Elle m’a posé différentes questions pour savoir comment je me sentais, si j’avais besoin d’aide pour trouver différentes ressources et un médecin, c’était génial. Une expérience formidable. »
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