Campagne Québec-Vie encore attaqué, car il «s’agit d’abord d’un groupe idéologique». C’est-à-dire ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore une fois, un journaliste, peut-être en manque d’inspiration, s’attaque à Campagne Québec-Vie, une attaque de surface par ailleurs et sans grand argument. Il rapporte, dans L’Œil Régional, les propos d’une intervenante, Mélodie Georget, de la Table de concertation en petite enfance qui s’indigne qu’un groupe ouvertement opposé à l’avortement puisse prétendre conseiller les femmes en la matière.
Il s’agit de quelques-unes de nos cartes « enceinte et inquiète ? », épinglées sur des babillards de Belœil, par lesquelles nous invitons les femmes précisément enceintes et inquiètes à nous contacter par téléphone pour obtenir de l’aide et du soutien. Mais, d’après L’Œil Régional :
Lire la suiteToutefois, la femme en détresse qui contacte le numéro de téléphone ou se rend sur le site internet est plutôt prise en charge par le groupe chrétien antiavortement Campagne Québec-Vie.
Et si les jeunes filles enceintes couraient à l'église pour y recevoir de l'amour et du soutien?
Par Amy Ford -- traduit par Campagne Québec-Vie
Amy Ford est co-fondatrice d'Embrace Grace, Inc., un organisme qui désire inspirer à l'église l’idée d’offrir un soutien affectif, pratique et spirituel aux jeunes filles célibataires qui font face à une grossesse imprévue.
Imaginez que les filles enceintes d’un enfant non planifié courent à l'église pour y recevoir de l'amour et du soutien, au lieu de fuir l'église à cause de la honte et de la culpabilité?
Et si l'église accueillait ces mamans à bras ouverts et les aidait à se brancher à une famille spirituelle?
Et si les églises travaillaient en partenariat avec des centres de grossesse locaux pour éradiquer l'avortement dans leur communauté par le biais de l'espérance et de l'amour de Dieu?
Lire la suiteLa fondation OLO (oeufs, lait, jus d'orange) vient en aide aux femmes enceintes
Marie Allard, du journal La Presse, nous présente un témoignage sur cette fondation pour les femmes enceintes aux revenus modestes:
«Je me prive de boire du lait pour en donner à mes enfants», dit Patricia Brown, de Pointe Saint-Charles, son dernier-né de 4 mois sur les genoux. «À presque 7$ pour quatre litres, c'est trop cher.» Seule exception: pendant ses quatre grossesses, Mme Brown a pu consommer tout le lait qu'il lui fallait.
C'est grâce à la Fondation OLO, qui remet gratuitement aux femmes enceintes sous le seuil de faible revenu des oeufs, du lait et du jus d'orange (OLO). «J'ai été choyée, témoigne la mère, en couvant des yeux son petit Léo Patrick. Ça donne de beaux enfants!»