Les injections covid visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des «milliards de personnes» selon un médecin sud-africain
Le Dr Shankara Chetty.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
23 novembre 2021 Port Edward, Afrique du Sud (LifeSiteNews) — Un éminent médecin, à qui l’on doit d’avoir fait avancer le développement de traitements précoces pour le COVID-19, a déclaré que, selon lui, le but de la pandémie et des campagnes de vaccination est de « contrôler et de tuer une grande partie de notre population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés ».
Le Dr Shankara Chetty, médecin de famille en Afrique du Sud qui, selon son site internet, a « traité 7000 patients atteints du COVID-19 sans une seule hospitalisation ou un seul décès », a combiné ses connaissances médicales avec ses observations des dictats gouvernementaux et de la censure des médias pour étayer ses conclusions.
Alors qu’il participait à une réunion Zoom de personnes qui semblaient être des médecins, Chetty a commencé ses remarques en posant une question : « Je pense que la perspective concernant ce qui se passe est d’une importance vitale. Nous devons comprendre quel est l’objectif. Tout le monde sait qu’il y a des incohérences, et surtout de la coercition, mais nous devons comprendre pourquoi. Quelle est la raison de tout ceci ? »
Il a ensuite identifié, comme l’aspect « le plus important » pour répondre à ces questions, le « pathogène qui cause tous les décès dans la maladie COVID » : la protéine « spike » qui est portée par le virus et qui est ce que le vaccin doit produire dans le corps du receveur.
« Si je devais vous donner mon avis sur ce qui se passe à l’échelle mondiale, a-t-il déclaré, la protéine “spike” est l’une des toxines ou l’un des poisons les plus sophistiqués que l’homme ait jamais fabriqués. Et le but de cette toxine est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. »
Le médecin, largement reconnu pour avoir mis au point la « thérapie du 8e jour pour le COVID-19 », destinée aux patients qui sont entrés dans la phase inflammatoire ─ la plus dangereuse de la maladie ─, a ensuite déclaré que « ce qui semble avoir transpiré ici, [c’est] qu’ils ont conçu un virus et lui ont ajouté cet emballage de qualité militaire appelé “protéine de pointe” ».
Lire la suiteEurope : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Un médecin licencié pour avoir dit « le fœtus est un être humain »
Le Dr Jacques de Vos en procès.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
L’homme moderne a prétendu se baser sur la science pour rejeter la religion, maintenant, alors que la science lui présente une idée qui lui déplaît, il la rejette également pour suivre ses sentiments et ses envies. La science lui dit-elle que le produit de la fécondation humaine est humain, il refuse d’en entendre davantage. C’est pourquoi un médecin se fait poursuivre par son ordre pour avoir énoncé une simple vérité. Les pro-vie pourront dire « Nous serons de ceux qui auront vu et qui pourtant auront cru » (G. K. Chesterton dans Hérétique). Extraits de la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC) :
Un médecin sud-africain fait face à des accusations de conduite non professionnelle après avoir expliqué à une femme des faits scientifiques sur l’enfant à naître.
Selon Sowetan Live, Jacques de Vos aurait dit à une patiente que « le fœtus est un être humain » et que l’avortement le tue. Peu après que M. de Vos [à ne pas confondre avec Jacques Devos] eût exposé ces faits scientifiques, son emploi prit fin et il lui fut interdit d’exercer la médecine.
M. De Vos fait maintenant face à quatre accusations de conduite non professionnelle portées contre lui par le Health Professions Council of South Africa dans le cadre d’une enquête qui a débuté cette semaine. Selon l’article, de Vos aurait « violé » l’autonomie de la patiente « avec ses propos antiavortement ».
Le directeur de la recherche et de l’éducation de SPUC confirme l’opinion du Dr de Vos :
Le Dr McCarthy a dit : « D’un point de vue scientifique, la question de savoir quand une nouvelle vie humaine commence est relativement peu controversée. La vie humaine commence à la fécondation comme unique cellule. La conception marque le passage des cellules produites par le père et la mère à une cellule au génome humain complet qui constitue un nouvel être humain. »
Il a continué : « La vie à naître in utero est sans aucun doute humaine, et les preuves en sont écrasantes. Comme les parents sont humains — appartenant à l’espèce Homo sapiens — et que l’embryon est orienté vers la croissance à leur image, le nouvel être vivant est aussi humain. Cette nouvelle vie est évidemment à la fois très jeune et très petite, mais elle n’en est pas moins humaine que nous le sommes maintenant. »
« D’un point de vue scientifique et médical, les faits exposés par Jacques de Vos sont indubitablement vrais. »