Une militante pro-vie contre les manœuvres de l’entreprise en avortements Marie Stopes International au Kenya
Ann Kioko, militante pro-vie au Kenya.
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — capture d,écran vidéo/YouTube
Le groupe Marie Stopes Kenya, filiale de la société britannique Marie Stopes Intenational, vient de faire la demande à un tribunal kenyan d’interdire à Ann Kioko, militante de CitizenGO Africa, de mentionner à nouveau le nom de son entreprise d’avortement, de manière publique.
Ann Kioko est prise pour cible par Marie Stopes Africa pour s’être opposée à l’avortement au Kenya.
« Je pense simplement qu’ils utilisent l’activisme judiciaire pour promouvoir leur activité d’avortement au Kenya tout en étouffant la liberté d’expression de ceux qui pensent qu’ils ne devraient même pas être au Kenya », a réagi celle-ci.
Kioko avait attiré pour la première fois les foudres de l’organisation pro-avortement en 2018, lorsqu’elle l’a assigné devant les tribunaux pour promotion de l’avortement dans les médias kenyans.
« L’avortement étant illégal dans le pays, les publicités étaient non seulement contre les dispositions légales kenyanes mais aussi contre la culture du pays », explique la militante pro-vie.
CitizenGO Africa s’était attaqué au problème en écrivant une pétition au ministre de la Santé de l’époque, Sicile Kariuki, lui demandant d’enquêter et d’interdire les cliniques Marie Stopes pour leurs « activités illégales ». La pétition avait alors reçu 5000 signatures en 72 heures, illustrant la colère que les publicités pro-avortement avaient provoquée dans ce pays.
Après un premier procès, l’association MSK a été sommée de suspendre leurs services de manière immédiate.
« Cette interdiction a provoqué la colère des avorteurs du monde entier et des pressions ont été exercées sur le gouvernement kenyan pour qu’il lève l’interdiction », confie Kioko à LifeSiteNews.
« Malheureusement, ce dernier a succombé à la pression au bout d’un mois et a levé la suspension. »
Par la suite, Marie Stopes Kenya et d’autres lobbyistes de l’avortement ont tenté de poursuivre le gouvernement kenyan pour ce qu’ils ont appelé une suspension « illégale ». Aujourd’hui, ils exigent qu’Ann Kioko soit définitivement interdite de mentionner le nom de l’association MSK en public.
Caroline Farrow, responsable de CitizenGO au Royaume-Uni et en Irlande, a déclaré à LifeSiteNews combien c’est un « privilège » de travailler avec Ann Kioko.
« Quiconque a le privilège de travailler avec Ann vous dira à quel point elle est incroyablement modeste, humble et sans prétention, mais en même temps, c’est un véritable moteur du mouvement africain pro-vie », commente Caroline Farrow. « C’est une preuve de l’efficacité de son travail inlassable pour mettre en évidence les pratiques illégales de Marie Stopes, puisque cette organisation se sent obligée de la faire taire. »
« … Je suis très fière d’avoir cette femme courageuse et politiquement influente comme amie et collègue », conclut-elle
Le message d’un prêtre africain à ses confrères allemands qui « bénissent » des unions de personnes de même sexe
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Dernièrement, en Allemagne, des dizaines de prêtres avaient annoncé la « bénédiction » d’une de couples de personnes de même sexe en réaction à la déclaration de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, qui déclarait en la matière que l’Église ne pouvait bénir de telles unions.
Devant ce geste provocateur, un prêtre africain, l’Abbé Gabriel Honoré Lissouck II de l’archidiocèse de Douala au Cameroun, a écrit un long message intitulé « Message d’un prêtre à ses confrères allemands » sur sa page Facebook à l’adresse au clergé allemand approuvant l’homosexualité, leur rappelant que, outre le rappel de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, les Écritures saintes et la Tradition condamnent fermement la sodomie :
Je viens humblement vous rappeler ainsi qu’aux évêques et théologiens qui vous soutiennent que cette déclaration ne vient que pour rappeler ce que disent les Ecritures Saintes à propos de l’homosexualité. Dès le commencement, nous avons hérité de nos ancêtres dans la foi que l’homosexualité était une relation contre-nature passible même de peine de mort : « Si un homme couche avec un homme comme on fait avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable, ils seront punis de mort : leur sang est sur eux. » (Lv 20, 13. Lv 18, 22). Saint Paul… n’a cessé de condamner cet acte contre-nature : « Dieu les a livrés à des passions d’ignominie : leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature ; de même aussi les hommes, au lieu d’user de la femme selon l’ordre de la nature, ont, dans leurs désirs, brûlés les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme, et recevant dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement. » (Rm 1, 26-27 ; 1 Co 6, 10 ; 1 Tm 1, 10). A la suite de cela le Catéchisme de l’Eglise affirme que : « La Tradition a toujours déclaré que “les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés” (décl. “Persona humana”). Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas. » (CEC n°2357). Il a donc toujours été question de considérer l’homosexualité comme un acte profondément mauvais.
Plus loin, le prêtre reproche à ses confrères allemands d’invoquer le slogan « l’Amour gagne » comme prétexte à leur hérésie, soulignant que Dieu, qui est Amour, n’approuve pas n’importe quel amour :
Que signifie votre slogan « l’Amour gagne » ? Tout amour est-il agréé par Dieu ? L’amour de l’argent doit-il gagner ? L’amour de la zoophilie doit-il gagner ? L’amour de la gloire doit-il gagner ?
Plus loin, l’Abbé Lissouck II, leur rappelant la première Épître de saint Jean qui avertit les chrétiens des antéchrists de la dernière heure qui sortiront d’entre eux car n’étant pas d’eux, leur demande de revenir de leur hérésie ou de sortir de l’Église et de la laisser continuer sa mission salvatrice, car il est préférable pour l’Église de se défaire de ses mauvais membres qui s’obstinent dans leur perversité plutôt que de risquer de périr avec eux, affirme-t-il en citant le Christ qui disait : « Si donc ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi : car mieux vaut pour toi qu’un seul de tes membres périsse, et que ton corps tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne » (Mt 5:29).
Il termine son message en disant que ce que les catholiques veulent ce sont des modèles, des amoureux du Christ et de l’Église, de saints qui vont redonner à l’Église sa splendeur d’antan.
Un saint pour le mois de juin, Charles Lwanga — tout autre chose que les fredaines LGBT
Saint Charles Lwanga.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wulman83/Wikimedia Commons
En ce mois de juin — que certains appellent bizarrement le mois de la « fierté », sous-entendant par-là toute sorte de pratiques énumérées dans le sigle LGBT (bien qu’il y en aurait davantage paraît-il…) — dédié au Sacré-Cœur de Jésus, il est bon de se rappeler les saints qui ont leur fête inscrite ce mois-ci, comme saint Jean-Baptiste, décapité pour avoir rappelé à Hérode qu’il ne pouvait pas prendre la femme de son frère…
Aujourd’hui, jeudi 3 juin, c’est la fête de saint Charles Lwanga et de ses compagnons martyrs.
Savez-vous pourquoi il a été exécuté ? Ayant refusé, ainsi que ses compagnons, de participer au vice contre nature du roi Mwanga, et s'étant ainsi attirer la colère de cet individu, il a refusé d’apostasier.
Des jeunes chrétiens déjà, qui étaient « pages » du roi avaient été victimes de sa vindicte, décapités ou percés d’un coup de lance, saint Joseph Mkasa, qui avait reproché au roi ses débauches, et saint Denis Sebuggwawo, qui avait instruit dans la foi un autre page. Après l’assassinat de ce dernier, le roi, qui détestait les chrétiens en partie pour le refus qu’il se faisait opposer, fit comparaître devant lui les autres pages chrétiens, selon EWTN :
Saint Charles Lwanga, qui avait succédé à Joseph Mkasa à la tête des « pages », baptisa secrètement quatre d’entre eux qui étaient des catéchumènes ; parmi eux, saint Kizito, un garçon de treize ans que Lwanga avait sauvé à plusieurs reprises des desseins du roi. Le lendemain matin, tous les pages furent rassemblés devant Mwanga, et les chrétiens reçurent le l’ordre de se séparer des autres : sous la conduite de Lwanga et de Kizito, l’aîné et le plus jeune, ils s’exécutèrent — quinze jeunes hommes, tous âgés de moins de vingt-cinq ans. Ils furent rejoints par deux autres personnes déjà arrêtées et par deux soldats. Mwanga leur demande s’ils avaient l’intention de rester chrétiens. « Jusqu’à la mort », répondirent-ils. « Alors mettez-les à mort ! »
Le lieu d’exécution désigné, Namugongo, était à trente-sept miles, et le convoi partit immédiatement. Trois des jeunes gens furent tués sur la route ; les autres subirent un emprisonnement cruel de sept jours à Namugongo pendant qu’on préparait un immense bûcher. Puis, le jour de l’Ascension, le 3 juin 1886, ils furent emmenés, dépouillés de leurs vêtements, ligotés et enveloppés dans des nattes de roseau. Les fagots vivants furent déposés sur le bûcher (un des garçons, saint Mbaga, fut d’abord tué d’un coup sur la nuque par ordre de son père qui était le bourreau en chef), et on y mit le feu.
Comme saint Charles Lwanga et ses compagnons martyrs, refusons de participer, ne fût-ce qu'en agitant un drapeau arc-en-ciel, aux débauches LGBT.
Saint Charles Lwanga et ses compagnons, priez pour nous qui sommes au milieu d’un monde pervers et décadent.
Le Texas limite l’avortement, le Gabon en étant l’accès, l’Iowa veut déclarer qu’il n’est pas un droit
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : prostooleh/Freepik
Le gouverneur du Texas, Greg Abbot, vient de signer une nouvelle loi interdisant l’avortement des enfants à naître dont on peut détecter les battements de cœur, selon Gènéthique :
Le gouverneur du Texas a signé mercredi la « heartbeat bill », qui interdit l’IVG « dès que les battements de cœur du fœtus sont perceptibles, soit vers la sixième semaine de grossesse ». En signant, Greg Abbot a déclaré : « la loi garantit que chaque enfant non né dont le cœur bat sera sauvé des ravages de l’avortement ».
Le Gabon, de son côté, a adopté une loi qui élargira l’accès à l’avortement, d’après Gènéthique :
Un projet de loi modifiant les conditions de dépénalisation de l’IVG a été adopté au Gabon vendredi 14 mai en séance plénière de l’Assemblée nationale.
Le Gabon fait passer la limite de l’avortement de 10 à 12 semaines de grossesse, tandis qu’il supprime la notion de gravité quant à la « détresse » dont doit faire preuve la femme pour obtenir l’avortement dans les limites légales ; de plus le médecin n’aura plus à évaluer ladite détresse ― autant dire que n’importe quel avortement pourra s’opérer jusqu’à la 12e semaine.
Dans l’État d’Iowa, la législature a approuvé en première lecture un projet d’amendement à sa Constitution qui, s’il est approuvé une seconde fois, sera proposé à l’approbation de la population iowienne par referendum, rapporte LifeNews :
Le corps législatif de l’Iowa a officiellement approuvé un amendement déclarant qu’il n’existe aucun droit de tuer des bébés lors d’un avortement. L’amendement constitutionnel de l’État doit être approuvé une fois de plus par le corps législatif, puis être approuvé par les électeurs lors du scrutin pour intégrer la Constitution de l’Iowa.
Les députés du Malawi crient « non » lorsqu’on leur demande de débattre de l’élargissement de l’avortement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
L’Assemblée nationale du Malawi a refusé de débattre d’un projet de loi pro-avortement au début du mois, refusant même l’idée de libéraliser l’avortement dans le pays.
Le projet de loi sur l’Interruption de grossesse légaliserait l’avortement en cas de viol, d’inceste, de condition fatale chez l’enfant à naître, ou lorsque la santé physique ou mentale de la mère est mise en danger pendant la grossesse. Dans la nation africaine du Malawi, l’avortement n’est actuellement légal que pour sauver la vie de la mère, bien que tuer délibérément un enfant à naître ne soit jamais médicalement nécessaire.
Le Nyasa Times rapporte que lorsque le débat sur le projet de loi a été proposé, « presque tous les députés ont crié “non” ». Le premier vice-président du parlement, Madaliso Kazombo, a déclaré « les non l’emportent », et la motion visant à débattre du projet de loi fut rejetée. Le député de Mwanza Central, Nicholas Dausi, a déclaré que le projet de loi ne devrait pas être autorisé parce que « les femmes ne devraient pas être autorisées à tuer. »
En septembre, le Père Henry Saindi, porte-parole de la conférence des évêques du Malawi, a déclaré au The Nation : « Je sais qu’ils essaient d’inventer des expressions telles que l’avortement sans risque, mais ce que nous disons, c’est que l’avortement est l’avortement. Peu importe comment la vie est venue, la vie est sacrée... Nous disons non à ce qui est proposé. »
Le Malawi, ainsi que d’autres nations africaines, subit une pression intense de la part des pays occidentaux qui veulent qu’il légalise l’avortement. La conférence pro-avortement She Decides regroupe 50 pays et vise à développer l’avortement et la contraception dans les pays africains.
Obianuju Ekeocha, présidente de Culture of Life Africa, a demandé aux délégués européens de la conférence She Decides si l’un d’entre eux avait demandé aux Africains leur avis sur le financement des avortements dans leur pays. « De nombreux pays occidentaux, dont le Canada et les Pays-Bas, ont décidé de se réunir pour collecter des fonds », fit-elle remarquer. « Pas des fonds destinés à de la nourriture pour les Africains. Pas de fonds pour l’eau aux Africains. Pas de fonds que les Africains peuvent utiliser comme ils le souhaitent. Au lieu de cela, ils s’associent pour collecter des millions de dollars qu’ils consacrent au soi-disant avortement sans risque. Le plus consternant, c’est que ces pays occidentaux n’ont même pas pensé à demander aux Africains ce qu’ils veulent ! »
Les militants pro-avortement de She Decides Malawi étaient présents devant le parlement lorsque le débat sur le projet de loi a été rejeté.
Le président de la Tanzanie, John Pombe Magufuli, qui refusait le vaccin covid et s’attirait les foudres de Bill Gates et de l’OMS, est décédé
Par Nsango ya Bisu (Médias Presse Info) ― Pour les sources et les liens, référez-vous à l'article d'origine
Tanzanie — Après avoir passé l’année dernière à contester le récit mondial sur le COVID-19, les confinements et les vaccins, le président tanzanien John Pombe Magufuli a été déclaré mort le 17 mars à 61 ans. Plusieurs mystères entourent les circonstances de son décès.
L’annonce officielle du décès du Président de Tanzanie a eu lieu le 17 mars, lorsque la vice-présidente Samia Suluhu Hassan a révélé au cours d’un discours télévisé à la nation la mort de Magufuli. « Chers Tanzaniens, il est triste d’annoncer qu’aujourd’hui, 17 mars 2021, vers 18 heures, nous avons perdu notre courageux chef, le président John Magufuli, décédé d’une maladie cardiaque à l’hôpital Mzena de Dar es-Salaam où il était soigné », a proclamé Hassan.
Samia Hassan a déclaré que le président Magufuli avait été admis à l’hôpital le 6 mars mais en était sorti le lendemain. Une semaine plus tard, il a été de nouveau pris en charge pour sa maladie cardiaque, qui, selon Hassan et les autorités gouvernementales, était la cause de sa mort.
Le président Magufuli a fait la une des journaux pour avoir défié le récit mondial et refusé la réponse au COVID-19 souhaitée par les instances internationales. Le Président avait refusé la fermeture des églises, appelant au contraire les gens à prier Dieu au lieu d’avoir peur, et rassurant les autres catholiques que le virus ne serait pas transmis par la Sainte Eucharistie. « Le coronavirus ne peut pas survivre dans le corps eucharistique du Christ ; il sera bientôt brûlé », avait-il dit.
Contrairement à la majorité du monde occidental, Magufuli avait refusé de confiner le pays, et le pays n’a signalé aucune information sur le COVID-19 à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis le 29 avril 2020. En juin, Magufuli avait déclaré que le pays avait éradiqué le virus.
Lire la suiteLa Tanzanie ne veut pas des vaccins covid (et ne confine d’ailleurs absolument pas)
Par Nsango ya Bisu (Médias Presse Info)
C’est passé quasiment inaperçu en Europe mais la ministre tanzanienne de la Santé Dorothy Gwajima a annoncé le 1er février que le pays n’a pas besoin de vaccins et « ne prévoit pas d’en recevoir », au grand dam de Bill et Melinda Gates et de l’ensemble de leurs organismes satellites.
Mme Gwajima a expliqué que la Tanzanie est un pays sûr. La ministre de la Santé a simplement rappelé à la population l’importance de l’hygiène de base, notamment de fréquemment se laver les mains*, de manger des aliments sains, et d’utiliser des remèdes naturels comme le pays peut facilement en procurer.
Quelques jours auparavant, le président catholique John Magufuli avait qualifié les vaccins de dangereux et d’inutiles en disant que « Dieu protégera » la nation.
En mars, le président Magufuli avait décidé de maintenir les églises ouvertes et encourageait les Tanzaniens à fréquenter les lieux de culte et à travailler normalement.
La Tanzanie (60 millions d’habitants) est l’un des rares pays au monde qui ne participent pas à l’hystérie du covid-19 et qui ne publient pas de « données sur les infections ».
*C'est ce que disait l'inénarrable Horacio Arruda quand il parlait de l'inutilité des masques, si ce n'est de leur dangerosité, au début de l'année 2020... — A. H.
Une étude dévoile les possibles risques d’infertilité liés aux vaccins covid
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Boris Gonzales/Pixabay
Des voix scientifiques s’élèvent contre les vaccins anti-covid insuffisamment testés et aux conséquences à moyen et long termes inconnues. Sont pointés du doigt également des probables risques d’infertilité. Une nouvelle étude argentine jette des ombres et des doutes sur cette question. La protéine spike est similaire à la protéine syncytine, qui est produite pour le développement du placenta.
Depuis la première annonce des vaccins anti Covid, des voix se sont fait entendre dans la communauté scientifique appelant à prêter attention aux éventuels problèmes concernant la fertilité que les vaccinés pourraient subir. Bien sûr, ces voix ont été immédiatement étouffées par la propagande pro-vaccin habituelle qui ne peut même pas admettre à distance que les vaccins ne sont pas la panacée face à la covid comme à d’autres maux.
Et même si de nombreuses personnes pensent qu’en fait il est un peu curieux qu’un vaccin puisse avoir pour effet de rendre les hommes ou les femmes stériles, ce ne serait pourtant pas la première fois qu’à travers la pratique de la vaccination de masse de vraies mesures malthusiennes sont mises en place pour contrôler les naissances.
Lire la suite« Le cas le plus célèbre, pour ceux qui ont la mémoire courte, a eu lieu en Afrique et a été déterré en février 2015, rappelle un journaliste qui s’intéresse de cette question, Paolo Gulisano. La Conférence épiscopale du Kenya a dénoncé que 30 % des flacons de vaccin antitétanique utilisés lors d’une campagne parrainée et promue par l’OMS et l’Unicef, l’année précédente, contenait du Hcg, l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, une hormone qui peut empêcher la grossesse [lorsqu'administrée sous la forme d'un vaccin*]. Les faits ont été mis au jour par une commission scientifique, mandatée par l’Église du Kenya et le ministère kényan de la Santé pour vérifier si dans les vaccins contre le tétanos maternel et néonatal utilisés durant la campagne était présente cette hormone capable de faire de ces vaccins un outil clandestin de régulation des naissances. La commission d’enquête a confirmé les faits, mais l’OMS et l’Unicef n’ont jamais répondu de ces responsabilités. »
Biden relancera le financement de l’avortement à l’étranger ― les évêques africains inquiets
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Phil Roeder/Flickr
Joe Biden, nouveau président élu frauduleusement, a nommé Samantha Power administratrice de l’USAID, agence gouvernementale gérant l’aide des États-Unis aux pays en développement. Mme Power s’était distinguée par le passé par son activisme pro-LGBT. Devant ce président pro-avortement et la nouvelle administratrice, les évêques africains expriment leurs inquiétudes, selon International Family News :
Lire la suiteNouvel administrateur à l’USAID.
Les préoccupations portent sur l’USAID, l’agence gouvernementale américaine qui gère l’aide aux pays en développement. Le 13 janvier, Biden a annoncé la nomination de Samantha Power au sein de l’administration de cette agence. Elle est une journaliste et diplomate lauréate du prix Pulitzer qui, pendant la présidence de Barack Obama, a joué un rôle au sein du Conseil National de Sécurité où elle s’est distinguée entre autres activités, par son soutien à la cause LGBT+.
Un président pro-avortement, pro-LGBT+
Selon certains dirigeants de l’Église catholique africaine, contactés par AciAfrica, la nomination de Power va déclencher « une attaque culturelle et idéologique » sur le continent noir « par la promotion de programmes contraires à la culture africaine, tels que l’avortement et l’homosexualité ». Mgr Emmanuel Badejo, du diocèse d’Oyo au Nigéria, estime que Power complique une situation déjà défavorable, considérant que Biden, bien qu’il se dise catholique, est sur le point de devenir « le président le plus radicalement pro-avortement et pro-LGBT+ de l’histoire des Etats-Unis ».
Le prélat est donc convaincu que les quatre prochaines années seront très difficiles pour l’Église. « Nous devons renforcer la foi afin de survivre au conflit » qui va inévitablement surgir avec la nouvelle politique américaine, témoigne Mgr Badejo. Un jugement quasiment identique à celui exprimé il y a quelque temps par le président des évêques catholiques américains, Mgr José Horacio Gómez.
Avortement : les entités de l’ONU font pression sur le Malawi
Par Rebecca Oas (C-Fam) — Photo : Pxfuel
Les législateurs du Malawi sont confrontés à de fortes pressions pour libéraliser les lois sur l’avortement du pays pendant la session parlementaire en cours. Les chefs religieux demandent que le projet de loi sur l’interruption de grossesse [avortement*] soit abandonné. Pendant ce temps, les organisations bénéficiant de sources de financements internationaux, ainsi que les entités des Nations Unies, se coordonnent pour s’assurer que le projet de loi soit adopté.
À l’heure actuelle, le Malawi n’autorise l’avortement que pour sauver la vie de la mère [l’avortement n’est jamais « nécessaire » (dans le sens machiavélique) pour la vie de la mère*]. Le projet de loi permettrait des avortements « sûrs » et « légaux » en cas d’anomalies fœtales, de viol ou d’inceste, et si la grossesse est censée menacer la santé physique ou mentale de la mère. La Fraternité chrétienne de médecine et de médecine dentaire du Malawi a souligné que des exceptions similaires en matière de santé ont « conduit d’autres pays à pratiquer réellement l’avortement à la demande ». Il est également à noter que si l’exception pour viol et inceste a une limite de gestation de 16 semaines, il n’y a pas de telle restriction sur l’exception liée à la santé.
Un projet de loi similaire fut présenté en 2017, un an après qu’une Commission spéciale du droit eut publié un rapport appelant à des modifications des lois nationales sur l’avortement. La Commission du droit a cité l’organisation internationale pro-avortement Ipas, basée aux États-Unis, comme assurant le financement du projet.
L’un des partisans les plus ardents du projet de loi proposé est Emma Kaliya, présidente de la Coalition pour la prévention des avortements à risque (COPUA). Le COPUA a été créé en 2010 avec le soutien d’Ipas, après qu’Ipas, avec le ministère de la Santé du Malawi et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), eut mené une évaluation stratégique nationale sur l’avortement.
Un autre groupe de soutien clé du projet de loi est le Center for Solutions Journalism, également basé au Malawi, qui reçoit un financement d’Ipas, du COPUA et d’Amplify Change, une organisation qui promeut l’avortement et d’autres projets de « santé et droits sexuels et reproductifs » dans les pays en voie de développement, financée par le Danemark, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et d’autres fondations basées dans les pays occidentaux.
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