Les Services à l'enfance d'Ontario refusent un couple pour l'adoption, en raison de leurs croyances chrétiennes
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : a4gpa/Flickr
Le couple qui voulait adopter avait répondu à une question sur leur foi que oui, il croyait à toute la Bible. Puis la travailleuse sociale les questionnant avait fait incidemment remarquer au couple que son fils à elle était « gai », ce à quoi le couple a répondu que le comportement homosexuel était un péché, mais qu'ils s'occuperaient néanmoins avec bienveillance de tout enfant dont ils auraient la charge. Extrait de LifeSiteNews :
Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF.ca) a envoyé une lettre de mise en demeure au Simcoe Muskoka Child, Youth and Family Services ("Child Services") lui demandant d'annuler sa décision de rejeter la demande d'un couple aimant cherchant à devenir parent adoptif.
En novembre 2017, le couple « L » et « A », qui souhaitent garder l'anonymat, s'était proposé pour adopter. Ils avaient commencé la formation requise en janvier 2018 et l'ont terminée en mars. Une fois la formation terminée, un travailleur social des Services à l'enfance a questionné le couple.
Le travailleur social a posé des questions à L au sujet de ses croyances religieuses, y compris si son église « croyait toujours en certaines des parties les plus dépassées de la Bible ». Il a répondu que son église croyait et adhère à toute la Bible. La travailleuse sociale a ensuite déclaré que son fils est gai et que ces églises lui avaient dit dans le passé que l'homosexualité était un péché. L a expliqué que bien que la Bible identifie le comportement homosexuel comme un « péché », il croyait que tous les gens sont créés à l'image de Dieu et sont dignes de respect, dignité et honneur. Il a en outre expliqué que, conformément à leurs croyances, lui et sa femme fourniraient à tout enfant dont ils s'occupent un amour, un respect et une compassion inconditionnels [...]
Le couple n'a eu aucune nouvelle des Services à l'enfance pendant les six mois suivants. Puis, le 24 octobre 2018, ils ont reçu une lettre des Services à l'enfance les informant de leur décision de rejeter leur proposition comme famille adoptive.
Bébé sauvé de l’avortement tardif grâce à l’adoption
La famille Moberley.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
D.J. Moberley et son épouse Angela discutaient de l’adoption depuis des années, et après avoir eu trois enfants — Ava, Elijah et Annette — ils ont décidé d’être plus actifs dans leur désir d’adopter. Après avoir recherché les moyens d’adoption typiques, comme les agences d’adoption et les familles d’accueil, le couple s’est rendu compte que ce qu’il désirait vraiment faire était de sauver un enfant qui risquait d’être avorté.
Les Moberley avaient pensé aux nombreuses femmes qui se rendent dans les centres d’avortement à travers le pays et ont eu l’idée de commencer à essayer d’offrir personnellement l’adoption par leur famille comme une alternative. C’est pourquoi ils voulaient d’abord s’informer des choses à faire et à ne pas faire sur le plan légal pour s’assurer qu’ils n’auraient pas d’ennuis. Ils se sont donc adressés à l’une des meilleures avocates de l’État de Virginie qui se spécialise dans l’adoption : Brittany Carper, de Goodall, Pelt, Carper & Norton, PC à Stafford.
« Nous lui avons dit que nous voulions réfléchir à la possibilité d’essayer d’aller dans des cliniques d’avortement ou d’entrer en contact avec des femmes qui pensent à l’avortement pour voir si elles envisageraient l’adoption comme alternative à l’avortement » a déclaré Angela Moberley à Live Action News. « Parce qu’au fond de nous, nous pensions que, d’accord, la plupart des femmes qui cherchent des agences ne sont habituellement sur un mode de pensée abortive. Elles choisissent la vie à ce moment, alors nous avons essayé de l’utiliser comme un ministère pour tendre la main aux femmes qui sont plus préoccupées par l’avortement. »
Carper et les Moberelys ont travaillé sur les détails de ce qu’ils pouvaient et ne pouvaient pas faire ou dire dans leurs tentatives d’adoption d’un enfant d’une femme qui pensait à l’avortement. Ils ont également dû visiter un établissement d’avortement comme conseillers de trottoir. Avant de terminer la rencontre avec l’avocate Carper, ils ont tous prié ensemble pour demander à Dieu Son aide.
Lire la suiteUne agence d’adoption pourra continuer à placer les enfants uniquement dans des familles normales
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : TheVirtualDenise/Pixabay
Ça fera un peu plus d’enfants qui pourront trouver éventuellement une famille normale. Extrait de LifeSiteNews :
Le Department of Health and Human Services (HHS) du président Donald Trump a accédé à la demande de la Caroline du Sud pour une dérogation garantissant que les agences d’adoption confessionnelles de cet État puissent continuer à placer les enfants uniquement dans des foyers avec une mère et un père.
Le Miracle Hill Ministries de Greenville s’était retrouvé au beau milieu d’un différend au cours de l’année dernière, au sujet de son refus d’accepter des parents adoptifs homosexuels, rapporte le Greenville News, et sans la dérogation fédérale, l’organisme aurait été forcé de choisir entre compromettre ses valeurs ou fermer son programme d’accueil. Le gouvernement républicain Henry McMaster a demandé cette dérogation afin que Miracle Hill puisse continuer à recevoir des subventions fédérales sans changement pour satisfaire une modification des règles mise en œuvre neuf jours avant que Barack Obama quitte la présidence.
Discours complet du Président Trump pour la marche pour la Vie à Washington
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici le texte du discours que le Président des États-Unis, Donald Trump a prononcé hier lors de la Marche pour la Vie à Washington de 2019. C’est la deuxième fois que Trump donne un discours lors d’une Marche pour la Vie, il tient somme toute, un langage très pro-vie. Extrait du The Mike Church Show World HQ :
Je suis très fier d’accueillir des dizaines de milliers de familles, d’étudiants et de personnes de toutes confessions et de tous horizons dans notre capitale nationale à l’occasion de la 46e Marche pour la vie. C’est un mouvement fondé sur l’amour et fondé sur la noblesse et la dignité de toute vie humaine. Quand nous regardons dans les yeux d’un nouveau-né, nous y voyons la beauté, l’âme humaine et la majesté de la création de Dieu.
Nous savons que chaque vie a un sens et que chaque vie vaut la peine d’être protégée. En tant que président, je défendrai toujours le premier droit de notre Déclaration d’indépendance — le droit à la vie. Au cours de ma première semaine au pouvoir, j’ai rétabli la politique de Mexico. Nous avons pris des mesures audacieuses pour protéger les libertés religieuses des médecins, des infirmières et des organismes de bienfaisance comme les Little Sisters Of The Poor (Petites sœurs des pauvres). Nous avons fait une nouvelle proposition visant à empêcher que l’argent des contribuables servant au Title Ten s’en aille financer toutes les cliniques qui effectuent des avortements.
Nous appuyons le choix affectueux de l’adoption et du placement en famille d’accueil, y compris par le soutien de services d’adoption confessionnels. Et j’appuie les efforts du Sénat américain pour rendre permanent l’amendement Hyde, qui interdit le financement de l’avortement par les contribuables dans les projets de loi de dépenses. Aujourd’hui, j’ai signé une lettre que j’ai adressée au Congrès, lui signifiant clairement que s’il m’envoyait une loi qui amoindrissait la protection de la vie humaine je lui opposerai le veto.
Et nous avons l’appui nécessaire pour maintenir ces vetos. Chaque enfant est un don sacré de Dieu. Comme l’indique le thème de la Marche pour la vie de cette année, chaque personne est unique dès le premier jour. C’est une phrase très importante. Unique dès le premier jour. Et si vrai. Je tiens à remercier les Américains qui ont traversé le pays pour marcher pour la vie, et je tiens particulièrement à remercier tant de jeunes gens qui nous donnent espoir en l’avenir.
Ensemble, nous travaillerons pour sauver la vie des enfants à naître, afin qu’ils aient la chance de vivre et d’aimer, de s’épanouir et de rêver, de bénir notre nation et de réaliser leur plein et glorieux potentiel. Je vous remercie. Que Dieu vous bénisse, vous et vos familles, et que Dieu bénisse les États-Unis.
Le mouvement LGBT prétend maintenant représenter les « valeurs familiales », qualifiant les chrétiens de « dangereux »
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixabay
21 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Il était une fois, alors que la révolution sexuelle n’en était qu’à ses débuts, où l'on se moquait des conservateurs sociaux pour leurs « valeurs familiales » et la lourdeur inhérente que cette expression de plus en plus politique semblait impliquer. Les parcs ennuyeux avec leurs clôtures à piquets blancs, leurs mariages et (souvent) une série d’enfants représentaient tout ce à quoi les révolutionnaires sexuels voulaient échapper, et tout ce dont ils voulaient libérer la société. La libération sexuelle offrait aux gens l’occasion de s’engager dans un « amour libre » sans être liés, et lorsque les années 60 se sont transformées en années 70, les États-Unis sont devenus une nation totalement transformée.
Les choses ont changé depuis. Nous avons dépassé de loin l’implosion du mariage traditionnel, l’essor de la culture du flirt et le milieu Playboy inauguré par feu Hugh Hefner. Non seulement le « mariage » homosexuel a été imposé aux cinquante États par la Cour suprême des États-Unis en 2015, mais le mouvement transgenre a ensuite pris le pays d’assaut, avec le pari élitiste des politiciens progressistes, des médias et de l’industrie du divertissement qui ont embarqué à bord avec enthousiasme. Et avec cette deuxième vague de la révolution sexuelle — précédée, accompagnée et aidée par l’explosion culturelle de la pornographie numérique — les libertins ont changé leurs tactiques.
Vous remarquerez que les militants LGBT ne se moquent plus des valeurs familiales. Au lieu de cela, la rhétorique a été complètement renversée : ils prétendent maintenant que c’est leur côté qui représente les « valeurs familiales » et que ce sont les conservateurs sociaux — et plus particulièrement les chrétiens traditionalistes — qui constituent une menace réelle pour ces valeurs. Ce sont les chrétiens, les révolutionnaires de la sexualité l’affirment maintenant de manière accusatrice, qui sont « homophobes », « transphobes » et une menace active pour leurs propres enfants s’ils tiennent aux valeurs morales qui ont maintenu ensemble la civilisation occidentale pendant 2 000 ans. Selon les militants LGBT, ce sont ceux qui ont des valeurs traditionnelles qui sont directement responsables du suicide des gais et des transgenres.
Lire la suiteLe Kansas cherche à contraindre les agences d’adoption qui placent les enfants uniquement dans des familles normales
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
Les enfants ont besoin d’un père et d’une mère, et de tristes individus voudraient les priver de la possibilité d’en avoir.
Le nouveau gouverneur du Kansas veut empêcher les agences de placement d’enfants en adoption de les mettre uniquement dans des familles normales, ayant un père et une mère, c’est-à-dire, de pouvoir ne pas les envoyer dans des duos d’homosexuels, par exemple. Extrait de CNA :
« S’il y a moyen d’enjoindre à l’agence de ne pas le réaliser, je le ferai », a déclaré Laura Kelly, le nouveau gouverneur, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, selon l’Associated Press.
Kelly, une démocrate, a déclaré que son personnel examine si l’État peut bloquer l’application d’une nouvelle loi préservant les agences d’adoption d’être forcées de placer des enfants dans des maisons, et ce d’une façon qui irait à l’encontre de la croyance religieuse des agences.
Cette loi a été adoptée à l’issue d’un débat concernant les organismes religieux qui placent les enfants maltraités et négligés, et qui ne placeraient pas les enfants dans des foyers où vivent des couples homosexuels.
Chuck Weber, directeur général de la Conférence catholique du Kansas, est sûr que la loi sera maintenue, selon l’Associated Press. Les auteurs du projet de loi ont pris soin de le rédiger avec soin pour s’assurer qu’il résisterait à une contestation constitutionnelle, a-t-il dit.
D’autres États ont connu des débats similaires ces dernières années. Les prestataires de services de protection de l’enfance confessionnels de plusieurs États, dont le Massachusetts, l’Illinois, la Californie, New York et le District de Columbia, ont été forcés de fermer leurs services d’adoption et de placement familial parce qu’ils croyaient que les enfants devraient être placés chez un père et une mère mariés.
Trump encourage l’adoption : elle «souligne que chaque enfant - né ou à naître - est désiré et aimé»
Donald Trump, président des États-Unis. — Photo officielle de la maison blanche par Sheilah Craighead.
Extrait d'un article de Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Washington, D.C., 2 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Cette semaine [dernière], le président Donald Trump a publié sa deuxième proclamation annuelle pour le Mois national de l’adoption, saluant l’adoption et la mise en adoption pour les enfants comme autant de gestes d’amour qui enrichissent la société américaine.
« L’adoption est une bénédiction pour toutes les personnes concernées. Elle apporte un secours nécessaire aux parents biologiques qui, pour quelque raison que ce soit, ne sont peut-être pas en mesure d’élever un enfant », a déclaré le président mercredi. « Elle favorise l’amour des foyers pour enfants. Il permet aux individus d’agrandir leur famille et de partager leur amour. Et elle favorise des familles fortes, ce qui est essentiel pour assurer des communautés fortes et un pays vigoureux. »
« L’adoption affirme la valeur inhérente de la vie humaine et souligne que chaque enfant - né ou à naître - est désiré et aimé », a poursuivi Trump. « Les enfants, quels que soient leur race, leur sexe, leur âge ou leur handicap, méritent d’être accueillis avec amour dans des familles qui leur sont propres. Ce mois-ci, nous honorons les milliers de familles américaines qui ont grandi grâce à l’adoption. »
Le président a spécifiquement mis en valeur le pouvoir de l’adoption à « montrer aux femmes qu’elles ne sont pas seules dans une grossesse imprévue », a appelé à continuer d’aider les familles désireuses d’adopter, et s’est engagé à soutenir les enfants placés en famille d’accueil.
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Vérone, cité de Roméo et Juliette, devient « ville pour la vie »
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Cette ville du nord de l'Italie, où Shakespeare situe sa pièce « Roméo et Juliette », vient d'adopter une motion pro-vie.
Society for the Protection of Unborn Children nous apprend :
Les conseillers municipaux ont approuvé « un projet pour la prévention de l'avortement et la promotion de la maternité », proposée par Alberto Zelger, membre du parti de la Ligue, qui avait trois objectifs : déclarer Vérone « ville pour la vie », financer des projets locaux pro-vie et promouvoir un projet régional permettant aux femmes enceintes de donner anonymement leur bébé pour adoption.
[...] la motion a été adoptée par 21 voix contre six. Outre les membres du parti de la Ligue, elle était soutenu par le maire Federico Sboarina et par le chef du Parti démocratique, de centre gauche, Carla Padovani.
[...]
M. Zelger a présenté la motion 434 au début de l'année pour qu'elle coïncide avec le 40e anniversaire de la loi italienne sur l'avortement. Elle contient des déclarations pro-vie fortes, dont la deuxième affirme que le comité « reconnaît que la vie de chaque personne, de la conception à la mort naturelle, doit être accueillie et protégée dans tous ses aspects ». [...] la motion demande que le financement des organisations pro-vie soit inscrit au budget de Vérone, nommément le Projet Gemma, un service périnatal d'adoption, et un projet du Centre pro-vie diocésain.
Les associations proavortement se désolent par ailleurs du taux de plus en plus élevé de gynécologues et de paramédicaux objecteurs de conscience, qui atteint les 90 % dans certaines régions comme le sud profond ou encore le Latium. Leur impact est d’ailleurs tel que certaines régions sont en train de basculer du côté […] pro-vie comme vient de le faire la ville de Vérone. En août dernier, le centre de sécurité régional de Naples a par exemple signé une convention avec l’association la Paroisse pour la vie.
Cet accord permet entre autres aux pro-vie d'aller jusque dans les avortoirs pour aider les femmes à garder leur enfant à naître, selon Le salon beige.
Un juge des Etats-Unis méconnaît le droit d’une agence d’adoption catholique de refuser un couple d’adoptants homosexuels
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
C’est une décision qui fera date aux Etats-Unis, et qui marque une nouvelle régression des droits des institutions catholiques face à la déferlante LGBT. Le juge fédéral américain Paul D. Borman a décidé vendredi dans le Michigan de rejeter la demande d’une agence d’adoption catholique, la St. Vincent Catholic Charities de Lansing, et de déclarer recevable la plainte de la très gauchiste ACLU visant son refus de choisir des couples d’adoptants homosexuels. En permettant à l’affaire judiciaire de ce poursuivre, le juge fédéral a adopté une position aux répercussions considérables, puisque ce sont toutes les associations religieuses des Etats-Unis qui risquent d’en subir les conséquences
L’affaire concerne très précisément les associations caritatives recevant des subventions publiques, et porte sur le fait de savoir si elles peuvent continuer de les percevoir si elles rejettent – pour des raisons religieuses, ou de conscience – les couples demandeurs de même sexe. L’affaire Dumont v. Lyon est l’une des toutes premières à passer devant un juge et à ce titre, focalise l’attention de tous ceux qui veulent savoir dans quelle direction s’affirmera la jurisprudence en la matière.
Lire la suiteUne adolescente, plutôt que de se faire avorter, place son bébé en adoption : « J’ai pris cette décision par pur amour »
À gauche Emily la mère adoptive, à droite Hannah Mongie tenant son fils Taggart Kaden Marsh.
Par Carole Novielli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hannah Mongie/Instagram
Hannah Mongie découvrit qu’elle était enceinte environ deux mois après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires. Elle aimait le père du bébé […] mais en septembre 2015, le père de l’enfant, Kaden, décéda soudainement quelques jours après avoir entendu le battement de cœur de son bébé qui était encore dans le ventre de sa mère.
La nouvelle a dévasté la jeune mère enceinte, qui a alors été confrontée à la décision la plus difficile de sa vie : soit d’élever son bébé ou de le placer en adoption, dans une famille aimante.
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