Un couple adopte huit frères et sœurs pour ne pas les séparer
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2015 – Scott et Mélissa Groves se sont fiancés six mois après leur premier rendez-vous amoureux. Un an plus tard, ils sont nouvellement mariés et sont également parents d’Autumn, la fille de Mélissa, issue d’une relation précédente. Leur vie ensemble n’était que le commencement et ils désiraient ajouter des enfants à leur famille. D’après People, à l’âge de cinq ans, Autumn, demanda un petit frère au Père Noël.
Ils ne savaient pas que le vœu de leur fille se réaliserait plusieurs fois.
Selon The Daily Mail, le couple avait le cœur brisé après avoir appris qu’il ne serait pas possible pour eux d’avoir des enfants. Après avoir visité une tante qui était famille d’accueil, ils décidèrent de devenir aussi une famille d’accueil. Puis, quelques semaines avant d’obtenir leur permis, ils reçurent un appel téléphonique au sujet de deux jeunes frères – Noé, 3 ans et Chase, 22 mois.
“Ces deux-là nous prirent par le cœur presque instantanément, et je réalisai juste après que si cette chance se présentait, nous voudrions les garder dans nos vies pour toujours,” rapporte Mélissa Groves à The Daily Mail. “Peut-être que c’était le destin, peut-être que c’était une intervention divine, je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que le ‘court’ séjour des garçons se termina par leur adoption.”
Le couple devint une famille d’accueil en 2003, et pendant la décennie suivante, leurs vies furent changées à jamais par cette décision.
Lire la suiteMariage et adoption pour les homosexuels — 63 % des Slovènes s'y opposent par référendum
Par Pour une école Libre au Québec
Le 20 décembre 2015 (Pour une école libre au Québec) -- Selon les résultats de la Commission électorale d'État, les Slovènes ont voté contre une loi qui permettrait aux couples de même sexe de se marier et d'adopter des enfants.
Quelque 63,48 pour cent des électeurs se sont déclarés opposés à la loi, tandis qu'environ 36,52 % l'appuient, selon les résultats préliminaires après le dépouillement de plus de 99 pour cent des votes.
Personnel avorteur adopté: "Mettre un fœtus de 26 semaines dans un sachet est difficile"
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Le 12 novembre 2015 -- Cette note provient d'un membre du personnel d'un centre d'avortement, ayant été elle-même adoptée. Son établissement a récemment commencé à avorter après la 26ème semaine :
Cela fait quelques jours que c'est devenu vraiment extrêmement pénible... Je ne sais pas ce qui rend cela si difficile à 26 semaines plutôt qu'à 13. Je ne sais pas pourquoi tenir ce corps inerte est devenu à ce point dur...
Lire la suiteAprès avoir vu les vidéos de Planned Parenthood, l’offre d’un couple d’adopter fait le tour de la Toile
Par Murray Vasser de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
10 novembre 2015 - La quatrième d’une série de vidéos d’enquête filmées en caméra cachée montrait une employée de Planned Parenthood trier négligemment les restes en morceaux d’un fœtus avorté, à la recherche de pièces à vendre. « C’est un bébé, un autre petit garçon », s’amuse-t-elle en saisissant une jambe déchiquetée.
Après avoir vu cette vidéo, Kevin Cook, étudiant d’Asbury Theological Seminary, dans le Kentucky, a posté la réponse suivante :
Lire la suiteL’Indiana prêt à entrer dans l’Histoire en tant que premier État à autoriser les « boîtes à bébés » pour sauver les bébés de l’abandon
Par Pamela Stenzel de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
19 février 2015 – L’Indiana s’apprête à entrer dans l’Histoire. Le 28 décembre 2014, les nouvelles d’Indianapolis relataient ce fait divers :
La police mène l’enquête sur la mort d’un nouveau-né qui semblait être une petite fille, dont le corps a été retrouvé dimanche dernier à Eagle Creek Park, dans le nord-ouest de la ville. Le bébé a été trouvé près de l’immeuble 8200 sur Wilson Road, à environ 30 mètres de l’aire de stationnement. Il était enveloppé d’un sweat-shirt bleu portant le logo d’« Aviation Maintenance Vincennes University-Indianapolis », d’après la police métropolitaine d’Indianapolis. Un joggeur a trouvé le corps du bébé vers 16 h 30. La petite fille a été déclarée morte sur les lieux. D’après la police, elle était âgée d’au moins un jour.
Linda Znachko, membre de He Knows Your Name Ministries, a par la suite réclamé l’enfant, et Monica Kelsey, de Safe Haven Baby Boxes, l’a baptisée Amelia Grace Hope. Le 17 janvier a été organisée en l’honneur d’Amelia Grace Hope une belle cérémonie commémorative, après quoi le corps a été enterré pour honorer sa courte vie. Le décès de ce nouveau-né était absurde et cette enfant méritait certainement mieux que d’être retrouvée morte de froid dans les bois.
Lire la suiteUn jeune couple adopte un bébé trisomique, célèbre sa première année
Par Rebecca Downs de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
En mai dernier, Andy et Mercedes Laura ont adopté Sunflower, qui souffre de la trisomie 21 (syndrome de Down), trois jours après sa naissance et ils en ont fait un rapport détaillé sur YouTube et les médias sociaux.
Travaillant avec des personnes nécessitant des soins particuliers, le jeune couple a ressenti le besoin d’adopter un bébé trisomique. Malheureusement, 90% des enfants diagnostiqués avant leur naissance comme étant porteurs de ce syndrome sont avortés.
Lire la suiteUne adolescente d’Alaska a envoyé pendant des semaines du lait maternel à l’enfant qu’elle avait donné en adoption
Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Une adolescente d’Alaska, après avoir donné son bébé en adoption, s’est sacrifiée, pour le bien de son enfant, en donnant son lait maternel à la famille adoptive du bébé.
En plus de généreusement partager son enfant en optant pour l’adoption, Kaleena Pysher, dix-neuf ans, a réussi à fournir à son bébé du lait, même si les parents adoptifs vivent hors de l’état. Elle a aussi réussi cela malgré le sentiment complexe de séparation qu’elle vivait, sachant que le cadeau qu’elle offrait était un cadeau d’amour.
Lire la suiteAdoption urgente
(Photo : John Ensor sur flickr.com, licence creative commons)
On lit qu’une femme de Québec, Mme Sara Lessard sonne l’alarme concernant le délai des vacances de Noel qui reporteront le résultat d’un test génétique à sa trentième semaine de grossesse pour savoir si oui ou non son enfant à naître pourra avoir une chance de 25 % d’être malade et donc de savoir si oui ou non elle le fera avorter. Mme Lessard doit savoir qu’un réseau de professionnels de la santé se spécialise dans l’adoption à la naissance d’enfants malades. Il s’agit D’Emmanuel, l’amour qui sauve, à Drummondville. Ainsi, qu’elle accouche en paix. Si son enfant nait en santé, alors elle se sera inquiétée pour rien et elle aura évité de vivre un avortement. Et si l’enfant nait malade et qu’elle se sent toujours incapable d’assumer cette réalité, alors les adoptants du réseau de Drummonville n’attendent que cela. Ils sentent l’appel dans leur cœur d’accueillir cet enfant. Par ailleurs, le service de soutien Adoption Vivere est gratuit et confidentiel et peut lui permettre de choisir l’adoption ouverte (contacts directs avec l’enfant), semi-ouverte (contacts indirects) ou fermée, trois options fort intéressantes pour tous.
Isabelle O’Connor
Gatineau (Québec)
Magnifique lettre d'une maman à son fils placé en adoption
Sur le site du Journal de Montréal du 3 septembre 2014, un article à lire et une lettre à lire en entier :
Après avoir donné son bébé en adoption il y a de nombreuses années, une femme de la Rive Sud de Montréal a décidé d’expliquer son geste déchirant dans une lettre devenue virale sur le web.
Il y a 10 ans, Stéphanie Tsujio prenait la décision la plus difficile de sa vie: remettre son garçon entre les mains d’une autre femme afin que ce dernier puisse jouir d’une qualité de vie supérieure.
Durant toutes ces années, elle a gardé le secret. Seules quelques personnes très proches connaissaient les détails de cette histoire.
Aujourd’hui, elle a décidé de s’ouvrir et de s’adresser directement à son enfant dans le très touchant texte «Lettre à mon garçon» qu’elle a publié sur son blogue. (...)
EXTRAITS DE LA LETTRE :
«C’est important pour moi que tu saches que je ne t’ai pas abandonné, que je ne t’ai pas rejeté non plus. Je t’ai aimé et je t’aimerai toujours. (…) J’avais 18 ans, j’étais en appart, aux études, avec un emploi à temps partiel dans une boutique de vêtements.»
«Mon plus grand souhait était de t’offrir le meilleur pour toi, que tu ne manques de rien et que tu puisses jouir d’une vie saine à la hauteur de celle que ma mère m’a offerte.»
«Durant nos neuf mois ensemble, j’ai tout fait: je t’ai cajolé, j’ai chanté pour toi, je t’ai parlé, je t’aimais déjà inconditionnellement, même avec tes coups de pied dans mes côtes durant mes examens d’école. À ta naissance, durant les quatre jours qui ont suivi, on passait notre temps à se regarder, à s’observer, à s’aimer. Le temps était le nôtre, le futur était à toi.»
«Elle avait l’air d’une maman. Le plus dur, et je vais m’en souvenir pour le restant de mes jours, a été d’entendre la porte se fermer lorsque tu es parti dans les bras de tes nouveaux parents. Je m’étais retournée pour ne pas te voir partir, j’étais redevenue une enfant dans les bras de ma mère, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps… C’était si difficile.»
«Mon plus grand souhait est de te rencontrer un jour, de t’écouter parler de tout et de rien, d’apprendre à te connaître et de te parler des neuf mois de vie commune qu’on a eus ou, du moins, de simplement de savoir que tu vas bien.»
Donner son enfant en adoption quand on ne peut s'en occuper est un geste d'amour.
L'adoption internationale en perte de vitesse...
Sur le site du journal La Presse du 8 janvier 2014 :
(Photo : monkeyc.net sur flickr.com, licence creative commons)
Il n'a jamais été plus difficile d'adopter un enfant. Le nombre d'adoptions internationales a atteint un creux historique en 2013 au Québec, révèlent des chiffres obtenus par La Presse. Les obstacles sont nombreux pour les aspirants parents.
Selon des données du Secrétariat à l'adoption internationale du Québec qui seront officiellement publiées d'ici quelques semaines, il y a eu 217 adoptions à l'étranger par des familles de la province l'an dernier. Le pire score depuis 1990, plus vieille statistique disponible, avec 535 adoptions. Leur nombre a ensuite grimpé pour atteindre des sommets en 1996 (977) et en 2004 (908).
«Les pays reçoivent tellement de demandes qu'ils ont resserré leurs critères», explique Pauline Jubinville, de la Société Formons une famille, qui supervise des adoptions dans plusieurs États asiatiques.(...)
«Ils ont assez de candidatures pour être difficiles. Ils peuvent choisir.»
Et pendant ce temps, des dizaines de milliers d'enfants sont avortés chaque année au Québec... laissant les parents qui attendent depuis des années pour adopter un enfant, bredouilles et malheureux...
On peut se rappeler l'interview du pédiatre de l'hôpital Ste-Justine Jean-Francois Chicoine avec le journaliste Normand Lester, sur les avortements tardifs... et l'impossibilité pour les parents de contacter ces mères qui veulent avorter de leur enfant au dernier trimestre de la grossesse.