Elle riait en allant a son 9e avortement. Mais quand on lui montra son bébé...
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixabay
Le livre d’Abby Johnson, The Walls Are Talking : Former Abortion Clinic Workers Tell Their Stories (Les murs nous parlent : Histoires d’anciennes employées de cliniques d’avortement), contient des témoignages d’anciennes employées ayant travaillé pour l’industrie de l’avortement. Ces histoires ont des thèmes différents, et chacune d’entre elles présente un évènement ayant marqué une employée. L’une de ces histoires, nommée « Frequent Flyers » (voyageuses fréquentes), concerne une jeune femme qui a eu neuf avortements.
L’auteur de ce chapitre, gardant l’anonymat, explique que les femmes venant se faire avorter à répétition à son lieu de travail se faisaient appeler « frequent flyers » par le personnel. Même si les employés étaient dévoués à promouvoir et à fournir des avortements, plusieurs d’entre eux avaient des sentiments de réprobation à l’égard de ces « frequent flyers ». L’ancienne employée raconte :
« Lorsqu’Angie est arrivée pour sa neuvième procédure, même ceux d’entre nous dont le salaire reposait sur ces avortements ont secoué la tête et ont dit “Vraiment? Tu es sérieuse?”
Bien que cela allât à l’encontre de ma propre idéologie, je voulais qu’Angie démontre un peu de remords. Je ne voulais pas éprouver ce sentiment envers les nombreuses femmes qui venaient pour deux, trois ou même quatre avortements, mais neuf? Cela, je le sentais, méritait au moins une minime expression de regret ou de honte. »
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Par Nacquanna Comeaux and Jay Hobbs de Live Action News - Traduit par Campagne Québec Vie
Le 8 décembre 2015 (Live Action News) -- Après trois décennies à offrir aux femmes des alternatives à l’avortement bénéfiques pour la vie, Les centres Hope Pregnancy (Grossesse Espoir) de la Brazos Valley apparaissent comme étant parmi les cliniques médicales d’aide à la grossesse les plus célèbres à travers le pays.
Mais ce n’est pas la récente croissance de Hope Pregnancy dans le bastion de Planned Parenthood qui mérite d’être célébrée, précise rapidement le directeur exécutif Tracy Franck. C’est la différence que la clinique, équipée en échographie, réalise dans la vie de sa clientèle plus que jamais croissante.
Lire la suiteDes quadruplés avortés naissent avec des bras « enroulés l'un autour de l'autre »
Par Ben Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Une travailleuse de l'industrie de l'avortement a quitté son emploi dans un centre de Planned Parenthood - et a finalement convaincu quatre de ses collègues de quitter l'industrie de l'avortement - peu de temps après avoir été témoin d'une femme avortant ses quadruplés. Ils sont presque tous nés morts, alors que la femme était assise sur la toilette ou trébuchait dans le couloir, se tordant de douleur.
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Le milliardaire Warren Buffett avec Barack Obama
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
28 septembre 2015 - Trois semaines après que j’eus quitté mon emploi à la clinique, Planned Parenthood m’a emmenée devant les tribunaux. On me demande tout le temps : «Pourquoi t’auraient-ils amenée à la cour? Avaient-ils quelque chose à cacher?». Eh bien, oui. Ils avaient absolument quelque chose à cacher. Ils ne voulaient pas que je partage les informations présentées dans cet article. Mais révélons la vérité sur ces choses, d’accord?
Lire la suiteLe jour où mon patron m’a annoncé que nous allions commencer à avorter des bébés viables…comme celui-ci
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Je ne l’oublierai jamais. Nous étions en conférence dans les bureaux de Planned Parenthood alors qu’on nous révélait les plans de ce qui serait la plus grande clinique d’avortement de l’Occident.
Tout le monde célébrait la nouvelle. Je crois même que certaines personnes pleuraient de joie (?). Peut-être s'agissait-il de joie. Peut-être s'agissait-il de leur propre conscience qui tentait de camoufler leur véritable tristesse qu’ils ne pouvaient se permettre de révéler. Je l’ignore.
De toute façon, c’était un grand jour. Nous allions devenir les chefs de file des services d’avortement. Nous allions être capables de planifier 75 avortements par jour, 6 jours par semaine. Nous allions être le géant en matière d’avortement. En fait, mes supérieurs avaient l’habitude de dire que nous allions « diriger le plus grand avortoir des États-Unis ». Cela nous faisait rire, car nous trouvions que ces mots utilisés par les militants pro-vie étaient absolument hilarants. Nous savions qu’ils l’utilisaient irrévérencieusement, mais nous y prenions plaisir. Le fait qu’ils créaient leur propre langage pour décrire ce que nous faisions, nous réjouissait dans notre travail.
Lire la suiteNous attendions avec joie d’adopter son bébé. Puis, je reçus l’appel fatidique: « Je me suis fait avorter »
Je songeais que c’était peut-être là ma punition. Je l’avais convaincue de tuer son premier bébé. Et maintenant elle tue son deuxième enfant…
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Je ne me souviens pas de l’année. C’était avant ma prise en charge de la Clinique. Je travaillais alors comme “conseillère en avortement”. Un ami me contacta un jour à propos de sa fille de 18 ans. Il me parla de sa fille, de son style de vie débauché, qu’elle consommait de la drogue, qu’elle avait des amants et était très active sexuellement, et qu’elle venait de tomber enceinte. Le but de sa visite : Me demander de convaincre sa fille de se faire avorter.
C’était un scénario auquel j’étais habituée. Des parents m’appelaient ou venaient me voir à la clinique. Ils essayaient de me convaincre que l’avortement était la meilleure solution pour leur fille. J’étais facilement convaincue: J’étais sûre qu’une adolescente n’avait pas besoin d’être mère. J’étais sûre que l’avortement était toujours ce qu’elles pouvaient faire de mieux.
Mon ami et sa fille vinrent me visiter à la clinique, et quand je vis la jeune fille, j’étais absolument certaine qu’elle avait besoin d’un avortement. Elle avait des tatouages partout sur ses bras et sur sa poitrine. Je pouvais deviner que c’était pour couvrir des cicatrices. Elle avait les cheveux teints en noir, des traces de trous dans la figure où il y avait des boucles auparavant, et il semblait qu’elle n’avait pas pris de douche depuis longtemps. Oui, cette fille n’avait pas besoin d’être mère. Elle ne pouvait prendre soin d’elle-même, encore moins d’un bébé. Elle avait 18 ans… n’avait pas de travail, pas d’argent. Elle échouait ses cours à l’école, se droguait, fréquentait des personnes de mauvaise réputation, sans parler de son père qui l’avait menacée de la chasser de la maison familiale si elle ne se faisait pas avorter.
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