3484 cas « probables » de coronavirus retirés des chiffres officiels du Texas
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jcomp/Freepik
Au Texas comme ailleurs, les autorités sanitaires ont cumulé un nombre considérable de cas « probables » de cas de coronavirus… non testés ! Ce qui les amène au Texas à retirer des statistiques quelque 3484 cas qui autrefois y figuraient. Selon The Washington Examiner :
Le département de la santé de San Antonio a commencé à séparer les cas confirmés des cas probables cette semaine, affirmait Chris Van Deusen, porte-parole de l’agence de santé de l’État, à l’Austin American-Statesman.
« L’État du Texas a dû retirer aujourd’hui 3 484 cas de son compte de cas positifs de Covid-19, parce que le Département de la santé de San Antonio a déclaré des cas “probables” de personnes n’ayant jamais été testées comme des cas positifs “confirmés” — TDHS [Texas Department of Human Services] », écrivait sur Twitter Steve Eagar, présentateur du Fox 4 Dallas Evening News, mercredi. « Quels autres départements font la même erreur ? »
Et dans plusieurs États américains, on se pose la question sur la véracité des nombres de cas positifs covidiens déclarés.
Cela me fait penser à l’une des méthodes d’enregistrement dont parlait Arruda pour compter les décès attribués au coronavirus au Québec, que dénonçait le psychologue Vincent Mathieu :
Au Québec, nous avons entendu le Dr Arruda mentionner à plusieurs reprises la question des liens épidémiologiques. C’est exactement de cette erreur dont parle le Dr Bhakdi. Selon cette façon de calculer, on inclut même dans les cas « morts de la Covid-19 » des personnes qui ont des symptômes s’apparentant à ceux de la maladie, sans faire de test pour s’en assurer. Le 16 avril 2020, le Dr Arruda déclarait dans le point de presse quotidien du gouvernement québécois :
« Il y a eu un changement de méthode dans la saisie des données et l’analyse épidémiologique de la part de la santé publique, sur des patients décédés au cours de la dernière semaine. Le choix qu’on a fait c’est de déclarer tous les patients, même les patients qui n’ont pas été testés, mais qui ont toutes les définitions pour être des patients qui sont décédés de la Covid-19. »
Autre aberration dans la façon de comptabiliser les décès, la santé publique choisit de considérer comme « mortes de la Covid-19 » des personnes qui ont simplement côtoyé de près d’autres personnes atteintes ou décédées de la Covid-19. Autrement dit, si une femme en CHSLD mourait et qu’elle occupait une chambre adjacente à un cas confirmé de Covid-19, on la déclarait morte de la Covid-19. Voici ce que déclarait le Dr Arruda lors du point de presse du 14 avril 2020 suite à une question concernant le dépistage non systématique :
« On n’attend pas l’enquête du coroner, on compte ces cas-là. On n’a pas testé tous les cas. C’est une définition de cas qu’on nomme cas en liens épidémiologiques. S’il y a des cas en CHSLD, sur le même étage 1 cas ou 2 confirmés en laboratoire, si dans la chambre à côté vous avez un cas, pas d’autres raisons de décès comme tel, on est presque sûr, à bon pourcentage, que c’est du Covid-19 ».
Je ne vois pas pourquoi après cela on pourrait se fier aux chiffres officiels sur le coronavirus.
Les suicides de désespérés sont de plus en plus nombreux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Comptera-t-on un jour le nombre de morts qu’auront occasionnés les mesures anticoronavirus, dont le confinement ? Les décès attribuables à l’hystérie entretenue par les gouvernements et les médias ? Le confinement semble faire monter le nombre de suicides, selon la Coalition pour la prévention de l’euthanasie (CPE) :
Un article de Shannon Roberts publié par Mercatornet suggère que la crise COVID-19 a amené une augmentation en suicide de désespoir. Roberts fait le lien entre les recherches indiquant que les décès liés aux opioïdes sont souvent alimentés par la solitude et le manque d’espoir, des facteurs qui ont été amplifiés par la crise COVID-19. Roberts écrit :
« De nombreux conseillers en toxicomanie vous diront qu’il s’agit de décès causés par un manque de contact, alimentés par la solitude et le manque d’espoir. Il est également bien documenté qu’un nombre croissant de jeunes hommes sans but ni emploi se sont adonnés aux opioïdes. Il est révélateur que le confinement du Covid-19 et la perte d’emploi semblent augmenter considérablement le taux de mortalité. »
Roberts cite un article de Chris McGreal publié dans The Guardian, qui indique :
« … le coronavirus semble anéantir les progrès réalisés contre l’épidémie de drogue qui a fait près de 600 000 morts aux États-Unis au cours des deux dernières décennies. »
Je dirais plutôt que c’est la façon dont on réagit au coronavirus qui est la cause de tant de désastres. CPE continue, reprenant Shannon Roberts citant Chris McGreal :
« Pire, il jette également les bases d’une recrudescence à long terme de la toxicomanie en aggravant nombre des conditions, notamment le chômage, le faible revenu et l’isolement, qui ont contribué à la montée de l’épidémie d’opiacés et aux “morts de désespoir”.
… “Le nombre de surdoses d’opiacés monte en flèche et je ne pense pas qu’il sera facile de revenir en arrière”, déclara le Dr Mike Brumage, ancien directeur du West Virginia office of drug control policy.
“Je suis un fervent partisan de l’idée que le contraire de la dépendance n’est pas la sobriété, le contraire de la dépendance est le contact. Il est clair que ce que nous avons perdu avec la pandémie, c’est le contact”, déclara-t-il. »
J’imagine que ce médecin veut dire par là que le contact social est essentiel à la sobriété. CPE poursuit, plus loin :
Lorsque l’on considère l’épidémie de suicide sous le rapport de notre culture, il semble que Brumage ait raison, que l’augmentation du taux de suicide est étroitement liée à l’augmentation de la solitude culturelle et de l’isolement social.
Quand un acteur américain annonce que sa fille de 11 ans sera désormais un garçon…
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) — Photo : PxHere
C’est au tour de l’acteur Khary Payton, connu pour son rôle dans Walking Dead, d’annoncer sur les réseaux sociaux que sa fille biologique* de 11 ans est désormais son fils transgenre.
« Voici mon enfant », écrit Payton, en publiant une photo de l’enfant souriant. « L’une des personnes les plus heureuses et les mieux adaptées que j’aie jamais connues. Mon fils, Karter […] Vous voyez, il est né fille mais s’est toujours identifié comme un garçon. »
À cela, bien sûr, nous sommes tous censés réagir d’une manière très compréhensive et approbatrice, sous peine d’être accusés ensuite d’attitude discriminatoire !
En 2020, il devient malheureusement « normal » que des célébrités annoncent que leurs enfants sont nés dans le mauvais corps, et pour cela, ils doivent subir une « transition ». Cette « transition » consiste à aligner leur corps sur ce qu’ils ressentent actuellement.
Les changements commencent par la manière de se coiffer, de s’habiller, puis on lui affuble un nouveau nom. Plus grave, viennent ensuite les bloqueurs de puberté, les traitements hormonaux et enfin la mutilation et l’ablation des organes génitaux. Voilà les terribles souffrances infligées aux enfants transgenres, sans compter celles psychologiques auxquelles personne ne fait écho.
« C’est son voyage, et je suis là pour ça. J’espère que vous avez tous l’occasion de ressentir l’amour inextinguible que je ressens en ce moment », a osé ajouter la star.
La réaction des autres célébrités, bien sûr, a été prévisible : de nombreux messages de félicitations ont fusé dans les commentaires de la publication de Payton.
La confusion des sexes, quelque chose à célébrer ?
La réalité est qu’une génération entière d’enfants est devenue le cobaye d’une expérience sociale aux conséquences catastrophiques, dénonce la rédaction de LifeSiteNews.
Les enfants courent le risque affreux de rester mutilés et modifiés pendant toute leur vie. Le plus probable est que par la suite, ils se drogueront, se mutileront et chercheront désespérément les moyens de se sentir bien à nouveau.
Et à ce moment-là, les médias, les célébrités et une grande partie de la classe politique — les mêmes qui les exaltent maintenant — et qui promeuvent l’idéologie transgenre, disparaîtront sans laisser de trace et laisseront ces jeunes à leurs tourments…
*Remarquez que puisqu’une femme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, elle ne peut donc pas devenir homme, d’où il est absurde de parler de « femme biologique » quand on veut mentionner une vraie femme, car en fait de femme, il n’y a que des femmes biologiques. La même chose est vraie pour les « hommes biologiques ». — A. H.
Le gouverneur de Californie ordonne à nouveau l’arrêt des messes dans les églises
Gavin Newsom.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Le prétexte est l’augmentation du nombre de cas de coronavirus connu… Si en Californie comme au Québec on a augmenté le nombre de tests, il n’y a rien d’étonnant à trouver plus de gens atteints du coronavirus.
Voici donc les églises refermées dans une trentaine de comtés en Californie, à quoi peut-on s’attendre avec un Legault qui impose le masque obligatoire dans tous les lieux publics fermés au Québec ?
Le gouverneur Gavin Newsom ordonne le reconfinement, selon LifeSiteNews :
En raison de l’augmentation du nombre de nouveaux cas de COVID-19, le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, a de nouveau interdit les services religieux dans les églises de 29 comtés. Lors d’une conférence de presse donnée lundi, Newsom a laissé entendre que certaines des nouvelles restrictions pourraient rester en place jusqu’à ce qu’un vaccin soit mis au point.
« Nous constatons une progression dans la propagation du virus, c’est pourquoi il nous incombe à tous de reconnaître sobrement que la COVID-19 ne disparaîtra pas tant qu’il n’y aura pas de vaccin ou de thérapie efficace », trancha-t-il.
C’est-à-dire dans un ou deux ans ? N’y aura-t-il pas une immunité collective comme il arrive normalement avec les autres virus ? N’y a-t-il pas déjà des thérapies efficaces ? Absurde...
Tous les établissements :
Newsom a ordonné à tous les comtés de Californie de fermer les opérations intérieures des restaurants, des cinémas, des zoos, des musées, ainsi que des lieux comme les salles de quilles. « En outre, les bars, les brasseries et les pubs doivent cesser toutes leurs activités, tant intérieures qu’extérieures, dans tout l’État, sauf s’ils proposent des repas à places assises en plein air. L’alcool ne peut être vendu que dans le cadre de la même transaction d’un repas ».
Présentement, 29 comtés ont reçu l’ordre de cesser les services religieux intérieurs. Les manifestations intérieures sont également interdites, alors que les manifestations pourraient toujours avoir lieu à l’extérieur. De plus, les centres commerciaux, les centres de mise en forme et plusieurs autres industries ne sont pas autorisés à ouvrir.
Mais plus particulièrement les églises :
Même si le comté de San Francisco ne figure pas sur la liste, la ville et le comté de San Francisco ont menacé, par la voix du directeur de la santé publique Tomás J. Aragón, l’archevêché dirigé par l’archevêque Salvatore Cordileone, d’une ordonnance de restriction temporaire en raison de son non-respect présumé des ordonnances relatives au coronavirus.
Le procureur municipal Dennis J. Herrera exigeait de confirmer avant la fin du mois de juin « que l’archidiocèse cessera[it] d’offrir des services religieux intérieurs, sauf pour les funérailles comptant jusqu’à 12 participants et ainsi que pour la diffusion en direct comme décrit ci-dessus ; en outre des exigences de couvre-visage et de distanciation sociale, ces ordonnances seront respectées lors de tous les services en plein air ».
L’archidiocèse de San Francisco s’est ensuite plié aux ordres du gouvernement.
Pourtant, l’archidiocèse de San Francisco avait (hélas) mis en place des protocoles pour les messes, allant jusqu’à interdire la communion sur la langue (ce qui n’est pas plus dangereux que dans la main, l'interdire est canoniquement illégal).
Les athées:
Le père Joseph Illo, prêtre de San Francisco, commente sur son blog ces événements : « Il est évident que certaines personnes au sein des médias et du gouvernement municipal trouvent la religion intolérable. Ils détestent la religion ».
En effet, bien des gens détestent l’idée de religion, et le coronavirus sert de prétexte à bien des forfaitures.
Un juge ordonne au gouvernement américain de laisser les avorteurs prescrire des pilules par entrevue vidéo
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock
Les partisans du confinement sont souvent d’une incohérence remarquable, prenez ce juge fédéral américain qui a annulé la règle de la FDA n’autorisant la prescription de la pilule abortive RU-486 aux femmes qu’en personne, pour des raisons de santé, sous prétexte que le confinement oblige les femmes à choisir entre se mettre, ainsi que leurs proches, en danger de contamination, ou de « garder » une grossesse. Les femmes ne peuvent venir à l’avortement ? L’avortement ira aux femmes ! Ce juge oublie que si la femme n’est pas présente physiquement cela empêche le médecin de vérifier son état de santé, le stade de sa grossesse, et si elle n’a pas de grossesse ectopique (deux points importants). Selon LifeSiteNews :
La loi ne peut pas exiger des femmes qu’elles consultent un médecin en personne pour obtenir des pilules abortives, alors qu’elles subissent le confinement COVID-19, a déclaré lundi le juge américain Theodore Chuang.
L’organisme de gauche, l’American Civil Liberties Union (ACLU), a représenté plusieurs groupes, dont l’American College of Obstetricians & Gynecologists (ACOG), dans un procès demandant la suspension de la règle de la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis selon laquelle la mifépristone, la première moitié de l’abortif chimique RU-486, doit être administrée en personne, citant l’urgence de santé publique du coronavirus décourageant les voyages non essentiels.
Le juge Chuang a reconnu que cette règle constituait un « obstacle important » en cas de pandémie et a déclaré que, « compte tenu notamment du délai limité dans lequel un avortement médicamenteux ou tout autre avortement doit avoir lieu, une telle atteinte au droit à l’avortement constituerait un préjudice irréparable », rapporte le Washington Post.
« En amenant certaines patientes à décider entre renoncer ou retarder considérablement les soins d’avortement, ou risquer d’être exposées au COVID-19 elles-mêmes, leurs enfants et les membres de leur famille, le devoir d’être présente en personne représente un sérieux fardeau pour de nombreuses patientes de l’avortement », ajouta le juge. Il a toutefois reconnu que les États peuvent toujours réglementer les pilules abortives « au-delà » des exigences de la FDA.
Le danger de distribuer la pilule abortive à distance :
De voir les femmes en personne avant de leur prescrire les pilules mortelles permet aux avorteurs de vérifier l’âge de l’enfant à naître — la combinaison abortive de pilules n’est censée être utilisée sur les bébés que jusqu’à 10 semaines de grossesse — et de détecter la possibilité d’une grossesse extra-utérine
Tout ceci sans compter l’horreur de l’avortement : tuer un enfant à naître éminemment innocent. L’avortement n’est pas un soin, tuer n’a jamais été un soin ; l’avortement ne constitue pas un droit.
Par ailleurs, ce jugement montre une indéniable incohérence : si le but du confinement est de protéger des vies, pourquoi augmenter le risque des femmes se faisant avorter ?
Un implant contraceptif occasionne plus de douleurs et de saignements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : katemangostar/Freepik
Il s’agit de l’implant contraceptif Essure qui provoquerait plus de saignements et douleurs au bas-ventre des femmes que la ligature des trompes (opération de stérilisation) ; c’est vous dire si cette méthode anticonceptionnelle est nuisible, en plus d’être immorale, comme l’autre. Selon une étude commandée par la Food and Drug Administration américaine, rapporte Gènéthique :
Selon les résultats provisoires d’une étude post-commercialisation commandée par la Food and Drug Administration américaine et rapportée par CNN, le dispositif de contraception permanente Essure est associé à des taux plus élevés de douleurs chroniques du bas-ventre ou du bassin et de saignements utérins anormaux qu’en cas de ligature des trompes. Ce dispositif contraceptif a été retiré du marché américain en 2018, en raison d’effets secondaires préoccupants.
L’étude, portant sur 1100 Américaines, révèle que les douleurs chroniques du bas de l’abdomen, ou du bassin, se retrouvent chez plus de 9 % des femmes essayant l’Essure contre 4,5 % pour les stérilisées, tandis que 16,3 % des femmes du premier groupe ont des saignements anormaux contre 10,2 % du second.
Sans surprise, l’agence pharmaceutique qui a fabriqué l’implant veut poursuivre l’étude jusqu’en 2025 :
Réagissant à ces premiers résultats de l’enquête, le groupe pharmaceutique Bayer qui a fabriqué l’implant a déclaré que l’étude devant se poursuivre jusqu’en 2025, « il était trop tôt pour tirer des conclusions ».
Vraiment ?
Le procureur général de Floride enquête sur un avortoir où fut pratiqué l'avortement d'une victime de viol
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est suite à une pétition lancée par LifeSiteNews que le procureur général de Floride a décidé de mener une enquête au sujet de l’avortoir ayant pratiqué un avortement sur une jeune fille de quinze ans, amenée là par son violeur qui a d’ailleurs filmé les scènes de viols pour en mettre les vidéos sur PornHub, site qui reçoit la pornographie de ses utilisateurs.
Avant de continuer mon propos, précisons que PornHub est le site pornographique de la compagnie MindGeek, vaste société qui fait des centaines de millions avec ce site ordurier ; le siège social de cette société se trouve très exactement à Montréal…
Selon LifeSiteNews :
Le procureur général de Floride, Ashley Moody, a commandé une enquête sur un centre d’avortement qui a pratiqué un avortement sur une jeune fille de 15 ans qui est devenue enceinte après avoir été agressée à plusieurs reprises, ces viols ayant été filmés et les vidéos finalement téléversés sur Pornhub. Le ravisseur de la jeune fille a emmené celle-ci à un avortoir pour un avortement illégal afin de dissimuler ses crimes.
Le procureur général Moody veut maintenant savoir si le centre d’avortement a omis de signaler « l’abus ou la négligence » de la mineure et si cette omission a « permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire ».
« D’après le rapport, il ne semble pas que les inspecteurs ni le Département des Enfants et des Familles aient reçu de rapport de maltraitance ou de négligence de la part du prestataire [...] Plus troublant pour moi est le fait qu’il semble qu’un homme de trente ans sans lien de parenté avec la mineure l’ait emmenée chez le fournisseur et qu’aucun rapport d’abus ou de négligence n’ait apparemment été lancé », écrit Moody dans une lettre datée du 4 juin 2020 au Département de l’Application de la loi de Floride. La lettre a été obtenue par LifeSiteNews.
« D’après les faits contenus dans les rapports, il semble qu’une enquête plus approfondie serait justifiée fin de s’assurer que le prestataire n’a pas permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire. Je demande à vos agents de mener une enquête plus approfondie sur ces faits et de les suivre où qu’ils mènent », ajoute-t-elle.
L’enquête a été ouverte après que LifeSiteNews eût publié et diffusé une pétition au sujet de l’avortement pratiqué sur la jeune fille de 15 ans qui était devenue enceinte lors d’agressions sexuelles répétées, dont les vidéos ont été téléversées sur Pornhub.
Précisons que l’avortoir aurait entre autres enfreint la loi sur le consentement parental de l’État ; évidemment, s’il n’a pas établi le lien de parenté, cela veut dire qu’il n’a pas demandé l’avis des parents avant de procéder.
Un site internet sur le suicide assisté conduit une jeune fille à sa mort
Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Photo (rognée) : Freepik
Le 22 mai 2019, Jackie Bieber trouva sa fille Shawn Shatto sur le sol de sa chambre, froide et insensible. Elle tenta de la réanimer, mais en vain.
Au début, elle ne réalisa pas que Shawn était morte par suicide. Ce qu’elle allait bientôt apprendre, c’est que sa fille, qui souffrait de dépression et d’anxiété, avait reçu des instructions et avait été encouragée à se suicider par le biais d’un site internet d’aide au suicide.
Un article écrit par Jennifer Passmore, publié par Moms.com, explique la situation :
Shawn était aux prises avec la dépression et l’anxiété depuis des années, elle voyait un thérapeute et prenait des médicaments. Au départ, Bieber ne pensait pas que sa fille avait pris sa propre vie. C’est-à-dire jusqu’à ce qu’elle découvre plusieurs choses troublantes sur le téléphone portable de sa fille, notamment des messages provenant d’un site internet qui enseigne aux gens comment se suicider.
La tante de Shatto, Elizabeth Hoffman, affirme : « Ils l’encourageaient à franchir la ligne d’arrivée du suicide ». Sur le site, plusieurs personnes lui disaient quel genre de médicaments mélanger pour se suicider. Ils eurent ensuite l’audace de lui souhaiter « bonne chance » et « bon voyage ». Bieber pense que si ce n’avait été ce site internet, sa fille serait peut-être encore en vie aujourd’hui.
Jackie réagit en voulant protéger les gens comme sa fille en travaillant à faire adopter la loi Shawn (House Bill 1827). Passmore rapporte :
Depuis le jour où Shawn s’est suicidée, Jackie a plaidé en faveur de la « Loi Shawn », qui « renforce les sanctions contre toute personne qui aide au suicide, mais surtout celui de personnes âgées de moins de 18 ans ou souffrant d’un handicap mental ». Bieber aimerait que la loi Shawn soit signée par le gouverneur de Pennsylvanie Tom Wolf. Elle ne veut pas que quelqu’un se sente aussi perdu et désespéré que sa fille l’était le jour de sa mort.
Jusqu’à présent, la loi Shawn a été adoptée par la Chambre des représentants et se trouve maintenant au Sénat. Si vous souhaitez contribuer à l’adoption de cette loi, vous pouvez appeler votre sénateur local et lui demander de voter en faveur de la loi.
La loi Shawn est un moyen actif pour protéger les gens contre le suicide assisté et les sites internet qui instruisent et encouragent les gens au suicide.
[…]
Shawn Shatto n’est pas la première personne aux prises avec la dépression et l’anxiété à tomber sur un site internet d’aide au suicide donnant des instructions, et encourageant au suicide.
Ne croyez pas le mouvement pour le suicide assisté quand il dit que le suicide et le suicide assisté sont différents, alors que le mouvement pour le suicide assisté est également impliqué dans la propagation du suicide.
[…]
Joe Biden, s’il était élu, forcerait les organismes religieux à payer pour la contraception
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Joe Biden tient absolument à payer les vices des uns avec les sous des autres ; il obligerait à nouveau les organismes religieux à financer la contraception par le biais de la couverture d’assurance des salariés. Selon LiveActionNews :
Le candidat démocrate présumé à la présidence, Joe Biden, a promis mercredi que s’il était élu, il mettrait fin à l’exemption au mandat sur la contraception de l’Affordable Care Act mise en place par l’administration Trump. La Cour suprême a décrété cette semaine que l’administration Trump avait le pouvoir d’exempter les petites sœurs des pauvres et autres organisations religieuses du mandat. Cependant, si Biden remporte la présidence, il aura le pouvoir de supprimer cette exemption.
« Si je suis élu, je rétablirai la politique Obama-Biden qui existait avant l’arrêt Hobby Lobby [de la Cour suprême en 2014] : prévoir une exemption pour les lieux de culte et un accommodement pour les organisations à but non lucratif ayant une mission religieuse », déclara Biden suite à l’arrêt Little Sisters of the Poor v. Pennsylvania qui confirme l’exemption.
L’U.S. Navy retire son interdiction de participation aux services religieux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le corps de marine américain, l’U.S. Navy avait récemment interdit aux militaires en service, sous prétexte de coronavirus, de se rendre à des services religieux, ordre qui a été retiré face aux nombreuses protestations qu’il avait soulevées, selon LifeSiteNews :
L’U.S. Navy a révisé sa politique interdisant à ses membres en service d’assister en personne à des services religieux. Ceux qui désobéissaient et assistaient aux services religieux risquaient la cour martiale.
[...]
Ce changement vient quelques jours seulement après que le First Liberty Institute eût envoyé une lettre au nom de l’officier Daniel Schultz et de plusieurs autres militaires concernés par l’ordonnance, demandant à l’U.S. Navy de leur accorder un accommodement afin qu’ils pussent assister à des services religieux intérieurs.
Ce recul survient également après la pétition lancée par LifeSiteNews le 30 juin dernier, recueillant rapidement plus de 18 000 signatures demandant au président Donald Trump, qui avait précédemment déclaré que les services religieux étaient essentiels, d’intervenir.
L’archevêque Timothy Broglio, archevêque des forces armées des États-Unis, a publié le 5 juillet une déclaration dans laquelle il qualifie l’interdiction d’« odieuse pour les catholiques ».
Le 24 juin, la marine avait émis un ordre interdisant aux troupes d’assister à des services religieux intérieurs, bien que d’autres actes tels que l’emploi des transports en commun, l’organisation de rassemblements sociaux de toute taille et la participation à des manifestations fussent autorisés.
L’ordre stipule spécifiquement qu’« il est interdit aux membres du service de visiter, de fréquenter ou de participer à des services religieux intérieurs ».
La marine militaire a maintenant annulé l’ordonnance, qui, selon les défenseurs de la liberté religieuse, constituait un abus flagrant de la liberté de culte des militaires.
Un mémorandum du sous-secrétaire d’État à la Marine Gregory Slavonic envoyé au commandant du corps des Marines et au chef des opérations navales a donné de nouvelles indications concernant l’ordre, déclarant que rien de ce qui figurait dans les instructions précédentes « ne doit être interprété comme limitant la fréquentation des lieux de culte où les participants peuvent appliquer de manière appropriée les mesures de réduction de la transmission COVID-19, en particulier la distanciation sociale et l’utilisation du couvre-visage ».
Les marins peuvent à nouveau aller à la messe, mais je crains pour eux qu’il ne leur faille supporter encore les simagrées covidiennes…