L’administration Trump met fin aux poursuites engagées contre des militants pro-vie et limite fortement l’emploi futur de la loi FACE
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock
25 janvier 2025, Washignton, D.C. (LifeSiteNews) — (Mise à jour.) Le ministère de la Justice de Trump (DOJ) a mis fin vendredi à trois poursuites en cours de l’ère Biden contre des militants pro-vie en vertu de la loi fédérale sur la liberté d’accès aux entrées des cliniques (FACE), avec de nouvelles exigences strictes pour les invocations futures de la loi afin d’empêcher qu’elle ne soit à nouveau utilisée comme une arme au cours des quatre prochaines années.
Monica Miller, de Red Rose Rescue et de Citizens for a Pro-Life Society, a déclaré à LifeSiteNews que ses organisations étaient « incroyablement reconnaissantes » :
Lire la suiteNous sommes incroyablement reconnaissants, et particulièrement reconnaissants à Dieu, que ce procès pathétique ait disparu. Il n’aurait jamais dû être intenté en premier lieu. En effet, les sauvetages de Red Rose n’enfreignent pas la loi FACE, car les sauveteurs de Red Rose ne bloquent pas physiquement ou n’interfèrent pas avec la liberté de mouvement de qui que ce soit. (Voir redroserescue.com pour plus d’informations sur cette stratégie de sauvetage innovante.) Mais sous le ministère de la Justice de Garland et Biden, les procureurs fédéraux n’ont fait que plier, tordre et élargir la formulation de la loi FACE pour que ce que nous faisions corresponde à leur interprétation pervertie. Si nous avions dû aller jusqu’au procès, nos avocats de la Société Thomas More étaient convaincus que nous aurions gagné contre cette accusation injuste. Le rejet de cette affaire FACE est la cerise sur le gâteau, en plus des grâces accordées par Trump aux prisonniers pro-vie qui ont été condamnés pour avoir violé la loi FACE et l’accusation supplémentaire de conspiration pour interférer avec les droits civils, ce qui a entraîné des peines d’emprisonnement draconiennes d’un an. Désormais, tous les sauveteurs pro-vie sont libres à tous les niveaux en termes de poursuites fédérales.
Nous attendons avec impatience l’abrogation de la loi FACE, la pire loi en faveur de l’avortement après Roe v Wade.
Trump va réintégrer les militaires expulsés pour avoir refusé les vaccins COVID
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
27 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump aurait l'intention de réintégrer cette semaine les membres de l'armée qui ont été expulsés pour avoir refusé le vaccin COVID-19, une piqûre expérimentale entachée d'avortement.
La directive fait suite à la promesse faite par Trump lors de son discours d'investiture de « réintégrer tous les militaires qui ont été injustement expulsés de notre armée pour s'être opposés au vaccin COVID », en leur promettant des « arriérés de salaire ».
« Le décret ordonne au secrétaire à la Défense de réintégrer tous les membres de l'armée (actifs et de réserve) qui ont été renvoyés pour avoir refusé le vaccin COVID et qui demandent à être réintégrés », indique la directive, selon Fox News, qui a reçu une « fiche d'information » sur la décision.
« De 2021 à 2023, l'administration Biden et l'ancien secrétaire à la défense Lloyd Austin ont réformé plus de 8 000 soldats uniquement en raison de leur statut vaccinal COVID-19 », a déclaré la Maison Blanche. « Après l'abrogation de l'obligation de vaccination en 2023, seuls 43 des plus de 8 000 soldats licenciés ont choisi de reprendre le service sous l'administration Biden et le secrétaire Austin.
Lire la suiteTrump rétablit la politique de Mexico et applique l’amendement Hyde pour limiter le financement de l’avortement
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
25 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a rétabli deux règles fédérales clés pour éloigner l’argent des contribuables de l’industrie de l’avortement vendredi, en signant deux décrets pour rétablir la politique de Mexico régissant l’aide étrangère et en ordonnant aux agences fédérales de reconnaître les limites de l’amendement Hyde sur la distribution de l’argent fédéral à l’intérieur du pays.
La politique de Mexico interdit aux organisations non gouvernementales d’utiliser l’argent des contribuables pour financer des avortements volontaires à l’étranger. Le président Ronald Reagan a institué cette politique pour la première fois en 1984, et le président George W. Bush l’a rétablie en 2001. Pendant des décennies, il a été considéré comme acquis que les présidents démocrates annulent la politique peu après leur entrée en fonction et que les présidents républicains la rétablissent. Le rétablissement de cette politique a été l’une des premières mesures prises par M. Trump au cours de son premier mandat, et il a déclaré lors de la campagne électorale de 2024 qu’il « envisagerait » de la rétablir.
De même, l’amendement Hyde est traditionnellement inclus chaque année dans les budgets fédéraux sans grande objection et on estime qu’il a sauvé plus de deux millions de vies depuis son adoption il y a plusieurs décennies, en interdisant que l’argent des contribuables finance directement des avortements, sauf en cas de viol, d’inceste ou de menace pour la vie de la mère. Le président Joe Biden a proposé de le supprimer dans les budgets qu’il a soumis au Congrès et s’est efforcé, tout au long de sa présidence, de distribuer des fonds à des entités impliquées dans l’avortement.
Lire la suiteUne ex-avorteuse explique pourquoi elle s’est détournée de l’industrie de l’avortement
Le Dr Catherine Wheeler.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Facebook
24 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Ancienne avorteuse devenue avocate pro-vie, Dr Catherine Wheeler, a révélé comment le Christ l’a sauvée de l’industrie de l’avortement.
Le 24 janvier, Mme Wheeler s’est adressée à des dizaines de milliers de pro-vie du monde entier lors de la 52e Marche nationale pour la vie à Washington, D.C., expliquant comment elle a pris conscience de la réalité de l’avortement au cours de son internat en médecine.
« Pendant mon internat, j’ai été initiée à l’avortement, en particulier pour les bébés ayant des besoins spéciaux, que nous aurions appelés anomalies et défauts de naissance », s’est-elle souvenue.
« Dans cette situation, on nous a dit que la femme avait le droit de choisir et que nous n’étions pas là pour juger », a-t-elle expliqué.
Lire la suiteLe vidéo-message de Donald Trump à la Marche pour la Vie à Washington : « Votre cause est juste et très pure »
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : EWTN/YouTube
Donald Trump s’est adressé vendredi par vidéo à la 52e Marche pour la vie à Washington D.C., au lendemain de la grâce accordée à 23 défenseurs de la vie qui avaient été emprisonnés sous l’administration de Joe Biden.
Après avoir rappelé l’arrêt historique Dobbs, qui a renversé l’arrêt Roe v. Wade et rendu la question de l’avortement « au vote du peuple », comme il l’a dit, Trump a déclaré : « Nous allons à nouveau défendre fièrement les familles et la vie », en insistant sur le thème de la facilitation du choix de la vie. « Nous protégerons nos acquis, nous nous efforcerons de tendre une main bienveillante aux mères et aux familles, et nous encouragerons l’adoption », a-t-il déclaré.
« Nous allons enfin enquêter sur les attaques contre les centres d’aide aux femmes enceintes et les églises », a-t-il poursuivi, faisant référence à un deux poids, deux mesures flagrant sous l’administration Biden. Il a ensuite évoqué la grâce qu’il a accordée aux militants pro-vie pacifiques.
Lire la suiteLe président Trump gracie des prisonniers pro-vie
Donald Trump montrant le décret signé graciant 23 pro-vie.
Par Dorothy Cummings McLean et Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Forbes Breaking News/YouTube
23 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a gracié les militants pro-vie emprisonnés pendant la présidence de Joe Biden.
Jeudi après-midi, le président américain Donald Trump a officiellement gracié les 23 militants pro-vie, emprisonnés par le ministère de la Justice de Joe Biden pour leurs tentatives de sauver des bébés à naître.
Avant de signer les grâces, M. Trump a déclaré qu’aucun des 23 militants pro-vie n’aurait dû être « poursuivi », ajoutant que la signature des grâces était un « grand honneur ».
Les militants pro-vie graciés sont les suivants : Joan Bell, Coleman Boyd, Joel Curry, Jonathan Darnel, Eva Edl, Chester Gallagher, Rosemary « Herb » Geraghty, William Goodman, Dennis Green, Lauren Handy, Paulette Harlow, John Hinshaw, Heather Idoni, Jean Marshall, le père Fidelis Moscinski, Justin Phillips, Paul Place, Bevelyn Beatty Williams, et Calvin, Eva et James Zastrow.
Après la signature des grâces, LifeSiteNews s’est entretenu avec le mari de l’activiste pro-vie Joan Andrews, Chris Bell, qui a déclaré qu’il pensait que sa femme était toujours en détention fédérale dans un établissement pénitentiaire près de Philadelphie. Il ne sait pas quand elle sera libérée.
Lire la suiteLes médecins avaient déclaré que Tabitha était « condamnée » — six ans plus tard elle est toujours vivante
Tabitha Grace.
Par Sandi Enzminger (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Sandi Enzminger
Nous menions une vie agréable en faisant l’école à la maison avec quatre enfants dans une ferme centenaire du sud-ouest de l’Idaho lorsque nous avons décidé que deux bébés de plus serait parfait pour renforcer le principe biblique d’être moins égocentrique et plus attentif aux autres. Nous avons donc conçu deux autres fois et j’ai accouché à domicile avec l’aide d’une sage-femme, sans AUCUN test prénatal.
À tous points de vue, la deuxième de ces grossesses s’est déroulée comme la précédente, sauf qu’il s’agissait de ma grossesse la plus facile. À 39,5 semaines, j’ai perdu les eaux mais le travail n’a pas progressé. Après près de 36 heures, Tabitha Grace s’est finalement présentée par le siège et son rythme cardiaque a commencé à diminuer. Conformément à la réglementation nationale, les services médicaux d’urgence ont été prévenus et sont arrivés juste à temps pour assister à l’accouchement par le siège de notre plus petit bébé.
Avec un poids d’un peu plus de 2 kg, Tabitha était beaucoup plus petite que prévu, et nous avons donc décidé d’accepter d’être transportés en ambulance à l’hôpital pour y être évalués. À notre arrivée aux urgences, nous avons été contraints (sous la menace des services de protection de l’enfance) d’admettre Tabitha en réanimation néonatale. Une fois à l’USIN, elle a reçu des soins de stabilisation complets en matière de nutrition (lait maternel par sonde nasale), d’hydratation (IV), d’oxygène (canule nasale) et de chaleur (lampe chauffante). Les néonatologistes ont ensuite procédé à un examen approfondi de la tête aux pieds afin de déceler d’éventuelles anomalies physiques ou organes défectueux.
Lire la suiteLe site pro-avortement du ministère de la santé américain fermé dès le début du mandat de Trump
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
Créé sous l’administration Biden, un site gouvernemental proposant des informations aux femmes qui cherchent à avorter a été fermé dès le premier jour de l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Cela n’a pas été publiquement souligné lors de son investiture mais le fait est là : ReproductiveRights.gov n’est plus en ligne.
Le site avait été créé dans la foulée du renversement de la jurisprudence Roe v. Wade le 24 juin 2022 : désormais, les Etats avaient la main sur la réglementation de l’avortement et nombre d’entre eux l’ont purement et simplement interdit — il s’agissait pour Biden et les démocrates de saper ces lois favorables au respect de la vie. Le site comportait un portail permettant de saisir l’Office des droits civiques de plaintes concernant des « restrictions discriminatoires d’accès aux soins sanitaires ».
Peu de temps après que Trump a prêté serment, mardi, les tentatives d’ouverture de ces pages internet aboutissent à un message d’erreur.
Lire la suiteTrump a claqué la porte de l’OMS, promotrice de l’avortement et de l’éducation sexuelle des enfants
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Guilhem Vellut/Wikimedia Commons
C’est l’un de ses premiers décrets du nouveau Président : Trump a annoncé le retrait des Etats-Unis de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il l’avait déjà fait en mai 2020, en pleine débandade du covid, accusant l’organisation d’être « une marionnette de la Chine » ; seulement, les budgets étant déjà votés pour l’année, et Biden reprenant la main quelques mois plus tard, l’effet n’avait pas été magistral. Il le sera bien davantage cette fois.
Officiellement, c’est pour cesser d’engraisser un organisme dont la mauvaise gestion de la crise covid est avérée. Mais il pourrait y avoir d’autres raisons, bien plus fondamentales et bien plus noires qui justifieraient un tel retrait : l’OMS est un soutien actif de l’éducation sexuelle des enfants, et son programme délétère en termes de prétendus « droits sexuels », dès la naissance, comprend également une promotion radicale de l’avortement et un combat pour les « soins d’affirmation du genre » sur les enfants.
De nombreux pays pauvres, dans lesquels ses différents programmes sont mis en œuvre, se battent pour son éviction, bien souvent au prix d’une diminution des aides financières internationales : tout se paye, surtout la non-soumission au diktat occidental ultra-progressiste. Le geste américain est donc non seulement symbolique, mais aussi salvateur, écornant la gouvernance mondiale qui prétend, sous couvert de santé, contrôler les populations et diffuser sa propagande.
Lire la suiteLa Chambre des représentants des États-Unis adopte un projet de loi imposant aux écoles d’interdire les garçons des équipes féminines
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
17 janvier 2025 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants des États-Unis, contrôlée par les républicains, a adopté un projet de loi visant à interdire aux hommes de participer à des compétitions sportives pour femmes et filles — y compris ceux qui se disent « transgenres » — en retenant les fonds fédéraux aux écoles qui refusent de s’y conformer.
Baptisé « Loi de 2025 sur la protection des femmes et des filles dans les sports », le projet de loi a été adopté principalement selon les lignes partisanes, tous les républicains, rejoints par deux démocrates, ayant voté en faveur de son adoption.
Comme le résume le 119e Congrès, la mesure, qui va maintenant au Sénat, « prévoit que c’est une violation du titre IX des amendements à l’éducation de 1972 pour les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral d’opérer, de parrainer ou de faciliter les programmes ou activités athlétiques qui permettent aux individus de sexe masculin de participer à des programmes ou activités destinés aux femmes ou aux filles ».
« Le titre IX interdit la discrimination fondée sur le sexe dans les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral, y compris dans les écoles primaires et secondaires publiques et dans les collèges et universités. Selon le projet de loi, le sexe est basé sur la biologie reproductive et la génétique d’un individu à la naissance ».
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