Tucker Carlson qualifie l’avortement de « sacrifice humain » : « Il s’agit d’un combat spirituel »
Tucker Carlson.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Tucker Carlson s’en est pris aux forces surnaturelles insidieuses qui se cachent derrière la poussée mondiale visant à normaliser l’avortement comme une bonne chose : « Des forces extérieures agissent sur les gens à tout moment de l’histoire, dans toutes les cultures de la planète, pour convaincre les gens que s’ils sacrifient leurs enfants, ils seront heureux et en sécurité ».
« Il ne s’agit pas d’un débat politique », a déclaré M. Carlson. « Ils disent maintenant que l’avortement est en soi une voie vers la joie. »
« Il ne s’agit pas d’un débat politique », a-t-il encore souligné. « Il s’agit d’une bataille spirituelle. Il n’y a pas d’autre conclusion ».
M. Carlson a prononcé son discours au Centre pour la vertu chrétienne de l’Ohio, alors que les électeurs de l’État du Buckeye se préparent à voter en novembre sur une proposition d’amendement soutenue par l’ACLU et Planned Parenthood.
Cette proposition au libellé ambigu, intitulée de manière trompeuse « Le droit à la liberté de reproduction avec des protections pour la santé et la sécurité », a été universellement critiquée par les partisans de la vie, qui lui reprochent de permettre l’avortement jusqu’à la naissance et de saper les droits parentaux.
« Je suis vraiment frappé par les initiatives de vote auxquelles vous serez confrontés en novembre », a commencé l’animateur de talk-show très populaire. « Je suis frappé parce qu’elles sont très différentes de la politique que j’ai couverte pendant la majeure partie de ma vie ».
Lire la suiteUne famille allemande réfugiée aux États-Unis depuis 15 ans et faisant l’école à la maison pourrait être expulsée par l’administration Biden
La famille Romeike.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WBIR.com
25 septembre 2023, Morristown, Tennessee (LifeSiteNews) — Une famille allemande qui fait l’école à la maison pourrait être déportée sous l’administration Biden, bien qu’elle se soit installée aux États-Unis il y a près de 15 ans.
Comme l’a rapporté LifeSite en 2010, les neuf membres de la famille Romeike ont cherché refuge aux États-Unis en raison des règles strictes de leur pays d’origine qui interdisent aux parents d’éduquer leurs enfants dans les limites de leur propre maison. Un juge de Memphis leur a accordé l’asile aux États-Unis à l’époque.
En Allemagne, les Romeike avaient fait l’objet de poursuites pénales pour avoir simplement élevé leurs enfants en dehors du système scolaire approuvé par l’État. À Bissingen, dans le district de Ludwigsburg (Bade-Wurtemberg), ils risquaient des amendes exorbitantes, l’éloignement forcé de leurs enfants et une éventuelle peine d’emprisonnement.
L’ancien président Barack Obama a tenté de faire expulser la famille des États-Unis en 2012. Lui-même et le procureur général de l’époque, Eric Holder, ont fait pression sur l’Office de l’immigration pour qu’il annule la décision d’accorder l’asile.
« En Allemagne, l’objectif est de créer une société ouverte et pluraliste », a déclaré M. Holder dans un document du ministère de la Justice concernant cette affaire. « Enseigner la tolérance aux enfants de toutes origines contribue à développer leur capacité à interagir en tant que citoyens à part entière en Allemagne ».
Une longue bataille juridique s’en est suivie, et les Romeike, qui vivaient (et vivent toujours) dans l’est du Tennessee, ont finalement perdu leur appel devant la Cour suprême des États-Unis en 2014.
Lire la suiteVoici comment la condamnation des pro-vie de Washington pourraient résulter en l’annulation de la loi FACE et l’emprisonnement d’un avorteur
Joan Andrews Bell, Jean Marshall et des amies priant le chapelet en attendant le verdict de leur second procès à Washington, D.C., axé sur la loi FACE.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
21 septembre 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Dans cette série en trois parties, le journaliste de LifeSiteNews Louis Knuffke explique pourquoi les procès scandaleusement biaisés de D.C., auxquels il a assisté, pourraient finalement conduire à une victoire pour les enfants à naître.
Les huit pro-vie des récents procès du D.C. FACE Act sont maintenant derrière les barreaux, avec la menace de 11 ans de prison pesant sur eux. Toutes les tentatives de procès équitable ayant échoué, et le FACE Act étant toujours la loi du pays, que se passe-t-il maintenant ?
Je soutiens que cette affaire pourrait très bien servir de point d’appui pour que la Cour suprême des États-Unis invalide la loi FACE et définisse le statut de personne de l’enfant à naître.
Les nombreux motifs d’appel dans ces procès devraient donc donner aux pro-vie l’espoir d’un résultat potentiellement énorme, si une décision favorable aux défendeurs est rendue par une cour d’appel ou, si l’affaire va plus loin, par la Cour suprême.
Je voudrais résumer ici certains de ces motifs d’appel et souligner les résultats potentiels de la présente affaire, comme l’abrogation de la loi FACE, la poursuite de l’avorteur tardif Cesare Santangelo pour infanticide et la voie vers la reconnaissance judiciaire du statut de personne de l’enfant dans le ventre de sa mère.
Lire la suiteLe gouverneur de Virginie gracie le père qui s’est fâché au conseil scolaire de l’école dans laquelle sa fille avait été violée par un « transgenre »
Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Le gouverneur Glenn Youngkin a gracié Scott Smith, un père condamné pour son agressivité lorsqu’il a appris le viol de sa fille par un élève transgenre dans les toilettes scolaires.
La colère bien naturelle de Scott Smith lors d’une réunion du conseil scolaire en 2021 avait servi de prétexte à la note du procureur général Merrick Garland qui ordonnait aux forces de l’ordre fédérales de surveiller de près les citoyens qui s’exprimaient contre les politiques LGBT et COVID.
Les faits
Tout commence lorsque le conseil scolaire du comté de Loudoun a mis en œuvre une nouvelle politique autorisant les élèves de sexe masculin à accéder aux toilettes réservées aux femmes. En 2021, la fille de Scott Smith a été violée dans ces toilettes scolaires par un élève transgenre.
Scott Smith a été arrêté au cours d’une réunion du Conseil scolaire parce qu’il s’énervait en réclamant des comptes à la direction scolaire qui avait autorisé l’accès des toilettes pour femmes à des élèves transgenres. La direction scolaire avait appelé le shérif du comté. Le père de famille a résisté à la tentative d’arrestation. Cela lui a valu une condamnation pour deux chefs d’accusation.
Lire la suiteJordan Peterson ouvrirait-il les yeux sur le mal de l’avortement ?
Le Dr Jordan B. Peterson.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Wikimedia Commons/Flickr
1er septembre 2023 (LifeSiteNews) — Le Dr Jordan Peterson n’est peut-être pas encore totalement pro-vie, mais il avance régulièrement dans cette direction.
En 2017, au début de son ascension vers la célébrité, on a demandé à Peterson ce qu’il pensait de l’avortement. « L’avortement est de toute évidence mauvais », a-t-il répondu après une longue pause. « Je ne pense pas que quiconque en débatte. Vous ne recommanderiez pas à quelqu’un que vous aimez d’en subir un ». Bien entendu, il se trompe de manière inhabituelle : de nombreuses personnes débattent de cette question et beaucoup de gens recommandent à leurs proches de se faire avorter.
Peterson a poursuivi en disant que la question de la légalité était totalement différente et que notre culture sexuelle devait être corrigée avant que cette discussion puisse avoir lieu — mais il a noté qu’il n’avait pas suffisamment réfléchi à la question pour penser que sa réponse était « suffisamment bonne ».
Lors d’un entretien en 2018 avec la militante sociale conservatrice canadienne Faytene Grassechi, il a indiqué qu’il considérait l’avortement comme un dernier recours et a précisé son point de vue.
« Je crois certainement que l’avortement est moralement mauvais », a-t-il déclaré. « Je pense que c’est quelque chose que l’on fait après avoir fait un tas d’autres choses que l’on n’aurait pas dû faire, et je ne vois pas comment on peut sortir de cet argument. Vous vous retrouvez dans la position d’avoir besoin d’un avortement alors que vous avez déjà commis un grand nombre d’erreurs morales très graves ».
Lire la suiteLe Canada de Trudeau émet un « avis de voyage » pour les « personnes 2ELGBTQI+ » qui se rendent aux États-Unis
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ID Anuphon/Adobe Stock
31 août 2023, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le gouvernement fédéral canadien du premier ministre Justin Trudeau a émis un nouvel avis de voyage pour les personnes dites « 2ELGBTQI+ » qui se rendent aux États-Unis, avertissant que certains États — probablement ceux qui interdisent les « transitions de genre » des mineurs — ont des lois qui pourraient les « affecter ».
Le nouvel avis émane d’Affaires mondiales Canada et figure dans la section « Lois et coutumes » pour les « voyageurs 2ELGBTQI+ ». Il se lit comme suit : « Certains États ont adopté des lois et des politiques qui pourraient affecter les personnes 2ELGBTQI+ ».
« Vérifiez les lois locales et celles de l’État concerné », conclut le document.
Mardi, la ministre canadienne des Finances, Chrystia Freeland, a pris la défense de l’avis aux voyageurs LGBT se rendant aux États-Unis, déclarant aux journalistes que le gouvernement essayait de protéger « la sécurité de chaque Canadien ».
« Ayant eu le privilège de servir en tant que ministre des Affaires étrangères du Canada, je sais que nos conseils aux voyageurs sont rédigés de manière très professionnelle », a-t-elle déclaré.
« Nous avons des professionnels au sein du gouvernement dont le travail consiste à examiner attentivement le monde et à vérifier s’il existe des dangers particuliers pour certains groupes de Canadiens ».
Lire la suiteLe Kansas accorde un contrat de 2 millions de dollars à un réseau de ressources pour la grossesse
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Le Kansas a commencé à mettre en œuvre son programme « Alternatives à l’avortement » financé par l’État, qui servira à augmenter les ressources qui favorisent les options d'aide à la vie pour les femmes et leurs bébés. Selon le Kansas Reflector, l’État a attribué un contrat de 2 millions de dollars au Kansas Pregnancy Care Network (KPCN), fondé le 30 juin, afin de lancer un programme d’État visant à aider les femmes confrontées à des grossesses non planifiées à accoucher.
La Chambre et le Sénat du Kansas avaient précédemment adopté le projet de loi sur les alternatives à l’avortement, auquel le gouverneur Laura Kelly avait opposé son veto en avril. La Chambre et le Sénat ont annulé ce veto. Le trésorier de l’État, Steven Johnson, ancien membre de la Chambre des représentants du Kansas, a été désigné pour choisir un groupe chargé de mettre en place un programme de sensibilisation à l’échelle de l’État visant à aider les femmes à éviter l’avortement et à accéder aux services de prise en charge de la grossesse. Le mois dernier, un accord a été signé qui permettra à la nouvelle organisation de recevoir 50 000 dollars à titre d’avance de trésorerie pour le démarrage.
KPCN sera supervisée par des directeurs comprenant l’ancienne sénatrice de l’État Mary Pilcher-Cook, l’ancien représentant des États-Unis Tim Huelskamp, Vicki Tiahrt (l’épouse de l’ancien représentant des États-Unis Todd Tiahrt) et Ron Kelsey, président de Planned Parenthood Exposed [P.P. démasqué]. L’épouse de Ron Kelsey, Donna, est directrice générale de la Kansas City Pregnancy Clinic, qui fournit des services et des ressources aux femmes confrontées à des grossesses non désirées.
Lire la suiteLes politiques scolaires transgenres sont à l’origine des malheurs d’une jeune fille de Virginie
Par Jonathan Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
6 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Au Canada, des politiciens progressistes et le mouvement LGBT affirment actuellement qu’il devrait être illégal pour les parents d’être informés lorsque leur enfant décide de faire une « transition », et que le personnel scolaire et les enfants devraient garder cela secret des pères et mères. Une campagne de peur a été lancée pour souligner le prétendu danger d’inclure les parents dans les décisions graves qui changent la vie de leurs enfants.
J’espère qu’ils suivent l’actualité.
Selon des informations publiées cette semaine, une collégienne de Virginie s’est enfuie de chez elle et a fini par être victime de trafic sexuel dans plusieurs États. Elle a fait cette fugue en partie parce que le collège n’avait pas dit à ses parents qu’elle s’identifiait comme un homme et qu’elle était victime d’intimidation. Selon le New York Post :
Lire la suite« Ils m’ont volé le droit de protéger ma fille », a déclaré au Washington Examiner Michele Blair, grand-mère et mère adoptive de Sage, aujourd’hui âgée de 16 ans. Sage — qui a eu une enfance difficile et a souffert de problèmes de santé mentale — a commencé à fréquenter l’école secondaire du comté d’Appomattox à l’âge de 14 ans le 10 août 2021 ». C’est à cette école qu’elle a commencé à s’identifier comme un homme, en utilisant des pronoms et un nom masculins et en utilisant les toilettes pour hommes, selon un procès intenté par Mme Blair devant le tribunal fédéral de Virginie le mois dernier.
Mais bien que le personnel de l’école ait activement été impliqué dans le désir de Sage de devenir un garçon et ait été au courant des brimades répétées dont elle était victime, ils ont « délibérément caché » le changement de sexe et n’ont impliqué ses parents que lorsqu’il était trop tard et que Sage s’était enfuie. Elle a ensuite fini par être violée par plusieurs hommes pendant des mois dans quatre États différents, selon la poursuite.
Elon Musk accuse une école californienne d’avoir provoqué la confusion sexuelle de son fils
Elon Musk.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
1er septembre 2023 (LifeSiteNews) — L’entrepreneur milliardaire Elon Musk accuse les écoles californiennes de gauche d’être à l’origine de la confusion de genre de son fils avec des idéologies qu’il qualifie de « virus de l’esprit éveillé (wokisme) » et pense qu’il s’agit d’une menace sérieuse pour la civilisation, selon un extrait d’une nouvelle biographie.
Walter Isaacson est l’auteur d’une biographie de près de 700 pages intitulée Elon Musk, dont la sortie est prévue le 12 septembre. Jeudi, M. Isaacson a rendu public un extrait du manuscrit qui révèle le scepticisme de Musk à l’égard des idéologies de gauche, dont certaines seraient à l’origine de l’adoption par son fils aîné d’une identité « transgenre » et communiste.
Le propriétaire de X, anciennement Twitter, et PDG de Tesla est « extrêmement préoccupé par les dangers de ce qu’il appelle le “virus de l’esprit éveillé” qui, selon lui, infecte l’Amérique », écrit M. Isaacson dans l’extrait obtenu par le Wall Street Journal. « À moins que le virus de l’esprit éveillé, qui est fondamentalement anti-science, anti-mérite et anti-humain en général, ne soit stoppé, la civilisation ne deviendra jamais multiplanétaire », m’a-t-il dit gravement.
L’auteur poursuit en expliquant que « les sentiments anti-woke de Musk ont été en partie déclenchés » par la décision de son fils Xavier de « s’identifier » en tant que fille à l’âge de 16 ans. Le garçon aurait envoyé un SMS à la belle-sœur de Musk pour lui dire « je m’appelle maintenant Jenna » et lui aurait précisé : « Ne le dis pas à mon père ».
Au départ, Musk « était généralement optimiste ». Cependant, son état d’esprit a changé lorsque « Jenna a dépassé le stade du socialisme pour devenir totalement communiste et se mettre à penser que tous les riches sont mauvais ». M. Musk a ajouté : « j’ai fait de nombreuses ouvertures, mais elle [sic] ne veut pas passer de temps avec moi ».
Lire la suiteUn évêque du Massachusetts interdit aux élèves de répandre l’idéologie LGBT dans les écoles catholiques
Mgr Robert J. MacManus. De l'autre côté, la Nativity School of Worcester arborant le drapeau LGBT.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
22 août 2023, Worcester, Massachusetts (LifeSiteNews) — Un évêque catholique du Massachusetts a interdit aux élèves des écoles du diocèse de Worcester d’adopter des comportements de changement de sexe et d’exprimer ou de célébrer une « attirance pour le même sexe ».
Mgr Robert McManus a officiellement publié le 29 juin une politique imposant aux élèves de porter des uniformes adaptés à leur sexe, d’utiliser les salles de bain et de jouer dans les équipes sportives correspondant à leur sexe biologique.
Les règles interdisent également aux élèves « d’exprimer, de célébrer ou de défendre “l’attirance pour le même sexe d’une manière qui pourrait causer de la confusion ou de la distraction” », a rapporté le Daily Mail.
Selon le Patch, Mgr McManus a expliqué dans un mémo qu’embrasser l’attirance pour le même sexe ou la dysphorie de genre revient à rejeter la vérité sur la façon dont Dieu nous a créés.
« Nous ne servons le bien de personne en falsifiant la vérité, car seule la vérité nous libère pour la vie pleine que Dieu offre à chacun d’entre nous », a-t-il écrit. « Ainsi, lorsqu’une personne éprouve une attirance pour le même sexe ou une forme de dysphorie de genre, ces luttes ne changent pas le fait biologique de la façon dont Dieu a créé cette personne, et il serait mensonger pour l’Église catholique ou nos écoles catholiques de prétendre le contraire ».
Cette politique, qui prend effet dès la prochaine année scolaire et s’applique à 21 écoles du diocèse, s’est déjà heurtée à la résistance des ordres religieux qui dirigent deux écoles catholiques de Worcester.
Lire la suite