Le président Trump gracie des prisonniers pro-vie
Donald Trump montrant le décret signé graciant 23 pro-vie.
Par Dorothy Cummings McLean et Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Forbes Breaking News/YouTube
23 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a gracié les militants pro-vie emprisonnés pendant la présidence de Joe Biden.
Jeudi après-midi, le président américain Donald Trump a officiellement gracié les 23 militants pro-vie, emprisonnés par le ministère de la Justice de Joe Biden pour leurs tentatives de sauver des bébés à naître.
Avant de signer les grâces, M. Trump a déclaré qu’aucun des 23 militants pro-vie n’aurait dû être « poursuivi », ajoutant que la signature des grâces était un « grand honneur ».
Les militants pro-vie graciés sont les suivants : Joan Bell, Coleman Boyd, Joel Curry, Jonathan Darnel, Eva Edl, Chester Gallagher, Rosemary « Herb » Geraghty, William Goodman, Dennis Green, Lauren Handy, Paulette Harlow, John Hinshaw, Heather Idoni, Jean Marshall, le père Fidelis Moscinski, Justin Phillips, Paul Place, Bevelyn Beatty Williams, et Calvin, Eva et James Zastrow.
Après la signature des grâces, LifeSiteNews s’est entretenu avec le mari de l’activiste pro-vie Joan Andrews, Chris Bell, qui a déclaré qu’il pensait que sa femme était toujours en détention fédérale dans un établissement pénitentiaire près de Philadelphie. Il ne sait pas quand elle sera libérée.
Lire la suiteLes médecins avaient déclaré que Tabitha était « condamnée » — six ans plus tard elle est toujours vivante
Tabitha Grace.
Par Sandi Enzminger (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Sandi Enzminger
Nous menions une vie agréable en faisant l’école à la maison avec quatre enfants dans une ferme centenaire du sud-ouest de l’Idaho lorsque nous avons décidé que deux bébés de plus serait parfait pour renforcer le principe biblique d’être moins égocentrique et plus attentif aux autres. Nous avons donc conçu deux autres fois et j’ai accouché à domicile avec l’aide d’une sage-femme, sans AUCUN test prénatal.
À tous points de vue, la deuxième de ces grossesses s’est déroulée comme la précédente, sauf qu’il s’agissait de ma grossesse la plus facile. À 39,5 semaines, j’ai perdu les eaux mais le travail n’a pas progressé. Après près de 36 heures, Tabitha Grace s’est finalement présentée par le siège et son rythme cardiaque a commencé à diminuer. Conformément à la réglementation nationale, les services médicaux d’urgence ont été prévenus et sont arrivés juste à temps pour assister à l’accouchement par le siège de notre plus petit bébé.
Avec un poids d’un peu plus de 2 kg, Tabitha était beaucoup plus petite que prévu, et nous avons donc décidé d’accepter d’être transportés en ambulance à l’hôpital pour y être évalués. À notre arrivée aux urgences, nous avons été contraints (sous la menace des services de protection de l’enfance) d’admettre Tabitha en réanimation néonatale. Une fois à l’USIN, elle a reçu des soins de stabilisation complets en matière de nutrition (lait maternel par sonde nasale), d’hydratation (IV), d’oxygène (canule nasale) et de chaleur (lampe chauffante). Les néonatologistes ont ensuite procédé à un examen approfondi de la tête aux pieds afin de déceler d’éventuelles anomalies physiques ou organes défectueux.
Lire la suiteLe site pro-avortement du ministère de la santé américain fermé dès le début du mandat de Trump
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
Créé sous l’administration Biden, un site gouvernemental proposant des informations aux femmes qui cherchent à avorter a été fermé dès le premier jour de l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Cela n’a pas été publiquement souligné lors de son investiture mais le fait est là : ReproductiveRights.gov n’est plus en ligne.
Le site avait été créé dans la foulée du renversement de la jurisprudence Roe v. Wade le 24 juin 2022 : désormais, les Etats avaient la main sur la réglementation de l’avortement et nombre d’entre eux l’ont purement et simplement interdit — il s’agissait pour Biden et les démocrates de saper ces lois favorables au respect de la vie. Le site comportait un portail permettant de saisir l’Office des droits civiques de plaintes concernant des « restrictions discriminatoires d’accès aux soins sanitaires ».
Peu de temps après que Trump a prêté serment, mardi, les tentatives d’ouverture de ces pages internet aboutissent à un message d’erreur.
Lire la suiteTrump a claqué la porte de l’OMS, promotrice de l’avortement et de l’éducation sexuelle des enfants
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Guilhem Vellut/Wikimedia Commons
C’est l’un de ses premiers décrets du nouveau Président : Trump a annoncé le retrait des Etats-Unis de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il l’avait déjà fait en mai 2020, en pleine débandade du covid, accusant l’organisation d’être « une marionnette de la Chine » ; seulement, les budgets étant déjà votés pour l’année, et Biden reprenant la main quelques mois plus tard, l’effet n’avait pas été magistral. Il le sera bien davantage cette fois.
Officiellement, c’est pour cesser d’engraisser un organisme dont la mauvaise gestion de la crise covid est avérée. Mais il pourrait y avoir d’autres raisons, bien plus fondamentales et bien plus noires qui justifieraient un tel retrait : l’OMS est un soutien actif de l’éducation sexuelle des enfants, et son programme délétère en termes de prétendus « droits sexuels », dès la naissance, comprend également une promotion radicale de l’avortement et un combat pour les « soins d’affirmation du genre » sur les enfants.
De nombreux pays pauvres, dans lesquels ses différents programmes sont mis en œuvre, se battent pour son éviction, bien souvent au prix d’une diminution des aides financières internationales : tout se paye, surtout la non-soumission au diktat occidental ultra-progressiste. Le geste américain est donc non seulement symbolique, mais aussi salvateur, écornant la gouvernance mondiale qui prétend, sous couvert de santé, contrôler les populations et diffuser sa propagande.
Lire la suiteLa Chambre des représentants des États-Unis adopte un projet de loi imposant aux écoles d’interdire les garçons des équipes féminines
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
17 janvier 2025 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants des États-Unis, contrôlée par les républicains, a adopté un projet de loi visant à interdire aux hommes de participer à des compétitions sportives pour femmes et filles — y compris ceux qui se disent « transgenres » — en retenant les fonds fédéraux aux écoles qui refusent de s’y conformer.
Baptisé « Loi de 2025 sur la protection des femmes et des filles dans les sports », le projet de loi a été adopté principalement selon les lignes partisanes, tous les républicains, rejoints par deux démocrates, ayant voté en faveur de son adoption.
Comme le résume le 119e Congrès, la mesure, qui va maintenant au Sénat, « prévoit que c’est une violation du titre IX des amendements à l’éducation de 1972 pour les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral d’opérer, de parrainer ou de faciliter les programmes ou activités athlétiques qui permettent aux individus de sexe masculin de participer à des programmes ou activités destinés aux femmes ou aux filles ».
« Le titre IX interdit la discrimination fondée sur le sexe dans les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral, y compris dans les écoles primaires et secondaires publiques et dans les collèges et universités. Selon le projet de loi, le sexe est basé sur la biologie reproductive et la génétique d’un individu à la naissance ».
Lire la suiteLe décret de Trump contre l’idéologie du genre semble reconnaître le statut de personne dès la conception
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressmaster/Adobe Stock
22 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le nouveau décret du président Donald Trump affirmant la réalité biologique immuable du sexe comprend un langage reconnaissant le statut de personne dès la « conception ».
« “Femme” signifie une personne appartenant, dès la conception, au sexe qui produit la grande cellule reproductrice », indique le décret « Défendre les femmes contre l’extrémisme de l’idéologie du genre et restaurer la vérité biologique au sein du gouvernement fédéral » (accentuation ajoutée).
Andrew T. Walker, professeur d’éthique et de théologie publique, a qualifié ce texte de « brillamment furtif ».
Les États-Unis ne disposent toujours pas d’une loi, d’un amendement ou d’une politique fédérale visant expressément à reconnaître la qualité de personne dès la conception, et de nombreux États continuent d’autoriser le meurtre de la vie humaine après la conception et avant la naissance par le biais de l’avortement, bien que la Constitution reconnaisse le droit inhérent de toute personne à la vie.
Lire la suiteLes républicains réintroduisent un projet de loi exigeant de donner des soins aux bébés ayant survécu à un avortement
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
17 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le sénateur républicain James Lankford (OH) a réintroduit le Born-Alive Abortion Survivors Protection Act (BAASPA) au Sénat américain jeudi, dans l’espoir d’obtenir un vote pour appliquer l’interdiction de l’infanticide au tout début de la présidence Trump.
La loi BAASPA exigerait que les nouveau-nés ayant survécu à un avortement bénéficient du « même degré de compétence professionnelle, de soins et de diligence » que ceux qui auraient été prodigués à la suite d’une naissance prévue, puis qu’ils soient « immédiatement transportés et admis à l’hôpital ». Les médecins contrevenants risquent jusqu’à cinq ans de prison, et ceux qui vont au-delà de la négligence délibérée et commettent un « acte manifeste » pour tuer le nouveau-né seront punis en vertu de la loi fédérale actuelle sur le meurtre.
Il y a vingt ans, le Congrès a techniquement interdit l’infanticide à l’échelle nationale, à l’unanimité, en adoptant la loi fédérale sur la protection des enfants nés vivants (BAIPA). Mais cette loi ne prévoyait pas de sanctions ni de mécanismes d’application, ce que la loi BAASPA est censée corriger.
« Aucun enfant ne devrait se voir refuser des soins médicaux simplement parce qu’il n’est pas désiré », a déclaré M. Lankford. « Aujourd’hui, si une procédure d’avortement échoue et qu’un enfant naît vivant, les médecins peuvent simplement ignorer le bébé qui pleure sur la table et le regarder mourir lentement par négligence. Ce n’est pas un avortement, c’est un infanticide ».
Lire la suiteAnalyse selon une perspective chrétienne et pro-vie des premiers décrets de Donald Trump à l’aube de son second mandat présidentiel
Donald Trump.
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
Le 20 janvier 2025, jour marquant le début du second mandat de Donald Trump à la présidence des États-Unis, a également été celui de la signature d’une série de décrets ambitieux et stratégiques. Parmi les multiples mesures adoptées, nous en avons retenu neuf, qui méritent une attention particulière :
1) « Protéger les femmes contre l’extrémisme de l’idéologie de genre et rétablir la vérité biologique dans le gouvernement fédéral »,
2) « Mettre fin à la discrimination illégale et rétablir l’égalité des chances fondée sur le mérite »,
3) « Restaurer la liberté d’expression et mettre fin à la censure fédérale »,
4) « Réaffirmer la protection des frontières »,
5) « Retirer les États-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé »,
6) « Restaurer la responsabilité dans les postes influents de l’administration publique »,
7) « Mettre fin aux politiques DEI (Diversité, Équité, Inclusion) »,
8) « Prioriser les intérêts américains dans les accords environnementaux internationaux », et
9) « Recentrer les politiques migratoires sur l’application stricte des lois ».
Ces décrets, analysés par Campagne Québec-Vie dans une perspective chrétienne, témoignent d’une volonté de réformer en profondeur plusieurs domaines critiques. Si beaucoup d’entre eux alignent les États-Unis sur des principes fondamentaux de justice et de bien commun, nous avons l’espoir qu’ils puissent aller encore plus loin dans la défense de la foi, de la famille et de la vie, de la conception à la mort naturelle. Ces réformes, qui se veulent un retour vers des valeurs universelles, soulèvent également la question de leur mise en œuvre concrète pour garantir un impact durable et véritablement bénéfique.
Lire la suiteTrump signe un décret qui bannit les hommes des prisons pour femmes et les transgenres de l’armée
Donald Trump.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
21 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a annulé un décret qui permettait aux personnes atteintes de confusion sexuelle de servir dans l’armée.
M. Trump a annulé 78 des décrets de l’ancien président Joe Biden, y compris une poignée d’entre eux qui ont favorisé l’agenda LGBT. Cette décision a été saluée par les groupes conservateurs.
L’une des directives annulées de Joe Biden est le « décret 14004 du 25 janvier 2021 (permettant à tous les Américains qualifiés de servir leur pays sous l’uniforme) », selon le site internet de la Maison-Blanche.
Le décret de M. Biden stipulait que « les États-Unis ont pour politique de veiller à ce que toutes les personnes transgenres qui souhaitent servir dans l’armée américaine et qui peuvent satisfaire aux normes appropriées soient en mesure de le faire ouvertement et sans discrimination ».
Lire la suiteLa santé d’un garçon canadien s’améliore dans un hôpital américain alors que des médecins montréalais voulaient lui retirer l’assistance respiratoire
Le fils de Nicolas Tétrault.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : GoFundMe
Des parents canadiens ont dû se rendre aux États-Unis pour sauver la vie de leur fils, parce que des médecins avaient annoncé qu'ils retireraient son assistance respiratoire contre leur volonté et avaient proposé de prélever ses organes.
Nicolas Tétrault a expliqué au Federalist que son fils, Arthur, s’est retrouvé à l’hôpital pour enfants de Montréal à la suite d’une noyade accidentelle. « Il est difficile d’avoir toujours une attention parfaite, et cela n’a pas été le cas », a-t-il déclaré. « Nous aurions dû le faire ; mais à l’époque, nous ne voulions pas installer une clôture autour de la piscine de la maison qui ne nous appartenait pas. »
Un accident tragique
Alors qu’il avait quitté la maison pour aller chercher l’un de ses enfants à l’école, M. Tétrault a oublié de fermer une porte, permettant ainsi à Arthur d’accéder à la piscine, ce qui a entraîné sa noyade. Tétrault a déclaré que le corps d’Arthur était « presque gelé ». Les médecins ont commencé à augmenter lentement la température d’Arthur, lui ont fait passer une IRM et lui ont administré des sédatifs pour éviter les crises d’épilepsie. Tout cela fait des soins habituellement prodigués ; une fois le patient stabilisé, les sédatifs sont supprimés et le tube respiratoire est retiré pour vérifier si le patient est capable de respirer seul.
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