Mgr Paprocki, évêque d’Illinois, dénonce le lobby LGBT dans l’Eglise
Mgr Thomas Paprocki, diocèse de Springfield, Illinois.
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Auteur d’un décret très clair sur l’impossibilité pour l’Eglise de permettre aux homosexuels non repentis d’accéder à la communion ou de recevoir des funérailles catholiques, Mgr Paprocki est depuis lors en proie à de violentes critiques. L’évêque de Springfield, Illinois, est revenu publiquement à la charge en soulignant que les protestations qui lui sont adressées depuis l’intérieur de l’Eglise prouvent qu’un « puissant lobby LGBT » s’y est infiltré.
Et quitte à dire ce qu’il a sur le cœur, Mgr Paprocki a désigné nommément le père jésuite James Martin, récemment nommé consulteur de la Salle de presse du Vatican, qui fait partie de ceux qui ont dénoncé la mise au point doctrinale et pastorale de l’évêque américain. Le P. James Martin, S.J. est notamment l’auteur du livre au titre équivoque, Building a Bridge (« Construire un pont ») où il invite les catholiques « gays » à entamer des « conversations » avec leurs évêques afin que l’Eglise s’oriente doucement vers l’acceptation de l’homosexualité comme faisant partie de la Création, rappelle Pete Baklinski de LifeSiteNews.
Lire la suiteIncroyable! Les bébés à naître commencent l'apprentissage de la langue dans l'utérus
Provient de (SPUC.org.uk) traduit par Campagne Québec-Vie
Une étude a démontré que les bébés à naître peuvent faire la différence entre quelqu'un qui leur parle en anglais et quelqu'un qui leur parle en japonais.
En utilisant une technologie non invasive de détection afin de mesurer les variations de la fréquence cardiaque fœtale, des chercheurs du Centre médical de l'Université du Kansas ont constaté que les bébés dans le ventre de leur mère peuvent faire la distinction entre deux langues différentes rythmiquement. Une intervenante bilingue a effectué deux enregistrements, d'un extrait, l'un en anglais et l'autre en japonais, que l'on a faits entendre aux bébés à naître.
Les chercheurs ont observé que la fréquence cardiaque changeait quand les bébés entendaient la langue non familière, distincte rythmiquement (le japonais), après avoir entendu un extrait en langue anglaise. Cependant, leur fréquence cardiaque ne changeait pas quand on leur présentait un deuxième extrait en anglais à la place d'un extrait en japonais.
Lire la suiteIl y a dix ans de cela, Jessica s'est presque fait avorter. Aujourd'hui mère et fils propagent une passion pour la vie
Bonne nouvelle : la clinique d'avortement dont il est question dans cet article va fermer ses portes incessamment. – N.D.E.
Par Rachel Leigh (Pregnancy Help News) traduit par Campagne Québec-Vie
Lorsque Jessica Ricke a mis les pieds dans un Women’s Choice Center en 2005, c’était dans l’intention de mettre fin à la vie de son enfant à naître au moyen de l’avortement.
Aujourd’hui, soit une douzaine d’années plus tard, Ricke est maintenant directrice du développement du centre, jouant un rôle clé dans l’obtention de 1,2 millions de dollars depuis octobre 2015, [somme] dont la majeure partie a été consacrée à l’achat d’une unité médicale mobile.
Bien sûr, la vie de Ricke aujourd’hui contraste beaucoup avec celle qu’elle vivait à 21 ans, alors qu’elle était célibataire et faisait face à une grossesse non planifiée.
« Je n’étais pas en relation avec le père de l’enfant, » a affirmé Ricke. « En ayant grandi dans la foi catholique et étant contre l’avortement, lorsque j’ai eu ma grossesse non planifiée, je me sentais apeurée et voulais régler le problème, toutefois en ignorant comment y procéder. J’ai donc regardé dans les Pages Jaunes pour un avortement. La première chose qui a capté mon attention fut l’annonce du Women’s Choice Center. »
Lire la suiteUne législatrice décrit la « petite tête parfaitement formée » d'un bébé avorté, trouvé par un chien
Peggy Lehner
Par Claire Chretien (LifeSiteNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Une sénatrice de l'État de l'Ohio a raconté avoir tenu la tête « absolument parfaite » d'un bébé avorté, suppliant ses collègues de voter pour l'interdiction de l'avortement par démembrement.
La sénatrice républicaine Peggy Lehner a relaté une expérience traumatisante de l'époque où elle travaillait dans un centre de crise de grossesse. Un couple lui a apporté une boîte de chaussures, ne sachant pas à quel autre endroit aller.
« Ils m'ont dit: “Nous ne savions pas où aller, mais notre chien fouillait dans les poubelles dans la ruelle derrière notre maison” - l'arrière de la clinique locale d'avortement donne sur cette ruelle - “et il a ramené à la maison, dans sa gueule, une... une compresse de gaze. Quand nous avons voulu la lui retirer, des morceaux d'un petit bébé sont tombés sur le plancher”, » a raconté Lehner.
Lire la suiteGardant son bébé après avoir été violée, une jeune femme trouve l’espoir et rejette l’avortement
Par Nancy Flanders (Live Action News) traduit par Campagne Québec-Vie
Washington (district de Columbia) – PJ* n’avait que quatorze ans lorsque dans le temps de Noël 2010, des amis lui ont présenté l’homme qui allait la violer. Militaire, celui-ci était en congé pour Noël au village d’à côté. Les parents de PJ n’avaient pas coutume de permettre à leur fille d’être avec des gens qu’ils ne connaissaient pas, mais ils étaient eux aussi une famille militaire, et leur aînée venait de terminer son entraînement dans l’armée. Pour autant ils jugeaient cet homme digne de confiance. Mais dans le sous-sol de ses parents, entourée de plusieurs témoins qui garderont le silence, PJ fut violée.
Cinq mois plus tard, PJ découvrit qu’elle était enceinte. Jusque-là elle n’avait rien dit à ses parents ; quand elle le leur a tout dévoilé, ses parents, bouleversés, furent remplis de colère mais se sentaient aussi responsables. Angela, la mère de PJ, considéra alors l’avortement comme option pour sa fille. Elle explique :
Lire la suite« Je pensais vraiment qu’il fallait que je l’emmène pour un avortement. J’étais pro-vie, mais avec des exceptions. Je ne voulais pas le faire, mais j’avais appris que c’était la chose à faire en cas de viol. Mon mari, par contre, m’a dit qu’il ne voulait aucunement prendre part à la mort d’un enfant – que c’était tout de même une vie humaine. Mais partout où nous allions, la réponse d’amis aussi bien que de personnes de foi était catégorique : il fallait interrompre la grossesse. »
Selon un pédiatre, l’idéologie « transgenre » violente et abuse les enfants
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Elle est présidente de l’American College of Pediatricians, pédiatre elle-même et mère de famille catholique. Michelle Cretella prend la parole sur LifeSite News pour dénoncer la violence, la maltraitance que l’idéologie transgenre fait subir aux enfants, via le fameux protocole de transition censé non pas soigner (car il ne faut plus parler de trouble mental), mais « réviser » leur assignation sexuelle de naissance.
Les arguments sont biaisés, les études faussées – mais le raz-de-marée est puissant.
La « transidentité » : la nouvelle norme
Michelle Cretella le rappelle : il y a quelques années, peu auraient imaginé ces histoires d’accès controversé aux toilettes hommes/femmes… Et pourtant, cette idéologie acharnée « a infecté nos lois » et dérive aujourd’hui – c’est le drame – sur nos enfants, « avec le soutien croissant apparent de la communauté médicale professionnelle ». Ceux qui affichent une opinion divergente sur le sujet se voient aussitôt disqualifiés…
Lire la suiteViolet fut sauvée de l’avortement lorsque sa mère quitta la clinique de Planned Parenthood
Ally et son bébé Violet
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Cela lui prit beaucoup de force et courage, mais Ally, qui avait fait l’objet de pression pour qu’elle se fasse avortée, sortit de la clinique où elle avait un rendez-vous pour un avortement.
Ally découvrit qu’elle était enceinte après avoir pris un test gratuit de grossesse au Ventura County Pregnancy Center (Centre de grossesse du comté de Ventura). Les gens du centre lui ont montré également une échographie de son bébé et lui ont parlé de ses options et du développement du fœtus. Ally se sentit bouleversée et décida de s’en aller. Elle a affirmé que les personnes du centre de grossesse lui assuraient qu’elles seraient là pour elle, peu importe ce qu’elle choisirait de faire.
Lire la suiteRuby ne devait jamais marcher ni parler, maintenant elle a 12 ans, et ses vidéos sont incroyables
Ruby Ardolf
Par Dorothy Cummings McLean (LifeSiteNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Ruby Ardolf est une jeune fille de 12 ans, atteinte d'une maladie génétique rare, le syndrome de Stromme, qui cause une déficience visuelle, la microencéphalie, des problèmes intestinaux, un retard de croissance et des troubles de développement. Il y a seulement 12 cas comme le sien dans monde.
Les débuts de la vie de Ruby ont été très difficiles. La grossesse était imprévue; son père n'était pas d'accord avec la décision de sa mère, Angie, de la garder. Sa première échographie a inquiété le technicien. Chaque nouvelle échographie apportait plus de mauvaises nouvelles. Parmi les nombreux diagnostics et prédictions, les médecins ont affirmé que Ruby ne pourrait peut-être jamais marcher ni parler.
Lire la suiteUn article du Harvard Law Journal conclut: L’enfant à naître est une vraie personne selon la Constitution
Par Calvin Freiburger (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un article publié dans le Harvard Law Journal, le journal de la faculté de droit de l’Université Harvard, l’étudiant pro-vie Josh Craddock montre comment l’avortement contrevient à la Constitution des États-Unis.
En effet, le 14ème amendement de la Constitution américaine déclare et protège le droit à la vie de toute personne humaine. M. Craddock explique qu’à l’époque de l’adoption de cet amendement à la Constitution, il était clair que le terme « personne humaine » incluait l’enfant dans le sein de sa mère. En effet, au milieu du 19e siècle, presque tous les États de la fédération américaine avaient des lois très strictes interdisant l’avortement, et ces lois étaient classifiées comme protégeant les citoyens contre « les offenses à la personne ». Ces lois étaient issues d’autres lois britanniques, datant du 13e siècle, qui considéraient l’avortement comme étant un homicide volontaire et ce « aussitôt que l’enfant a une apparence et une âme humaine », dès le 40ème jour après la conception.
Lire la suiteCour suprême des États-Unis : l'État ne peut discriminer contre les écoles religieuses
(pouruneécolelibre) - Aujourd’hui, la Cour suprême des États-Unis a statué par 7 juges à 2 qu’il est inconstitutionnel pour le gouvernement d’exclure les organisations religieuses des programmes gouvernementaux qui offrent des avantages « laïques ».
Dans l’affaire considérée, l’État du Missouri rembourse en partie les frais encourus par des organismes comme les écoles qui installent pour des raisons de sécurité publique des surfaces en caoutchouc sur leurs aires de jeux. L’État du Missouri avait décidé que l’école maternelle de l’église luthérienne Trinité (Trinity Lutheran Church) ne pouvait prétendre à ce remboursement en raison du caractère confessionnel de cette école.
Ce refus a soulevé des questions profondes sur la manière d’interpréter la Constitution américaine qui interdit à l’État de soutenir un quelconque culte tout en ne discriminant pas contre des personnes ou des organisations religieuses.
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