Un centre d’avortements reconverti en clinique gratuite pour les pauvres et dédiée à la Sainte Vierge
Par Léo Kersauzie (média-catholique.info)
Etats-Unis – En Virginie, la Fondation catholique Blessed Virgin Mary a fait l’acquisition d’une clinique spécialisée dans les avortements (l’Amethyst Health Center) et l’a transformée en un centre médical gratuit dédié à la Vierge Marie et ouvert aux plus démunis.
Le centre médical est maintenant appelé Clinique médicale gratuite Mère de la Miséricorde. Il a été inauguré le 6 décembre et a été transféré aux organismes de bienfaisance catholiques du diocèse d’Arlington.
Mgr. Michael Burbidge, évêque d’Arlington, est venu bénir la clinique.
Le directeur de la clinique, le Dr Scott Ross, a déclaré au journal américain The Washington Post que le personnel est particulièrement heureux de faire « quelque chose de bien » là où précédemment, des enfants étaient mis à mort dans le ventre de leur mère.
Le Dr Ross a rappelé qu’à l’époque, des groupes pro-vie venaient régulièrement prier devant ce centre pratiquant des avortements et que leurs prières ont été récompensées.
De plus, la Fondation Blessed Virgin Mary a également récupéré le numéro de téléphone de la ligne pour les femmes voulant avorter, et redirige maintenant vers un centre d’aide pour les femmes enceintes en difficulté.
Le cri d’alarme des parents d’un enfant « transgenre » à propos de l’idéologie qui détruit leur fille
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Il faut se battre, et refuser de se soumettre ! Ainsi pourrait-on résumer le message d’un couple de parents interrogés par Breitbart News à propos de l’actuel « voyage » de leur fille Danielle, une étudiante qui fait sa « transition » pour devenir garçon. Le cri d’alarme de Kristie Sisson, la maman, vise l’idéologie du genre et surtout l’idéologie transgenre qui fait pression sur les parents américains pour qu’ils acceptent les traitements de blocage de la puberté et autres mutilations associées au soi-disant changement de sexe des jeunes, parfois très jeunes. C’est un mouvement « radical » qui doit être combattu, insiste-t-elle. Car il détruit des vies.
L’histoire de sa fille Danielle est exemplaire, tristement exemplaire. « Tout cela nous est tombé dessus par surprise », explique Kristie Sisson. « Car Danielle a eu une enfance normale, elle a fait tout ce que font les filles : se déguiser en princesse, jouer avec les poupées, se maquiller, se parfumer, porter des bijoux. »
Lire la suitePour 7 000$, l'avorteur exécutera l'avortement d'un enfant à naître de 26 semaines
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Bethesda, Maryland, 27 novembre 2017 (LifeSiteNews) – Un nouvel appel sous couvert a révélé que, pour des milliers de dollars, l’un des avorteurs américains les plus tristement célèbres est prêt à avorter des bébés sains de mères en bonne santé, enceintes de 28 semaines.
Au-delà de 28 semaines de grossesse, l’avorteur LeRoy Carhart avortera des bébés « au cas par cas » si leurs mères et eux-mêmes sont en bonne santé.
La plupart des bébés naissent à 40 semaines. Une étude a démontré qu’un nombre important de bébés survivent lorsque la naissance survient dès la 22e semaine, [à] 5 mois de grossesse.
Priests for Life (Prêtres pour la Vie) et Abortion-Free New Mexico (Nouveau-Mexique exempt d’avortement) ont contacté AbortionClinics.org, la compagnie sous laquelle Carhart opère dans Bethesda au Maryland. L’employée de Carhart a dit au correspondant que sur la base de la taille, du poids et de l’historique médical, cela coûterait 7 000$ pour avorter un bébé sain de 26 semaines.
Lire la suiteDes infirmières témoignent avoir été forcées d'aider à des avortements : « Je fais encore des cauchemars »
Cathy Decarlo, une infirmière de New York qui a été forcée d’aider à des avortements, s’émeut à une conférence de presse sur la colline du Capitol.
Par Katie Yoder (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Image : YouTube
9 novembre 2017 (NewsBusters) — Bien que plusieurs médias libéraux proclament l’avortement comme « droit des femmes », ils censurent le fait que l’avortement met en danger les droits des femmes dans la profession médicale; ces femmes qui sont forcées d’aider à pratiquer des avortements ou qui risquent de perdre leur emploi.
Le 8 novembre 2017, des dirigeants pro-vie et des législateurs ont assisté à une conférence de presse au Capitole, à Washington, pour appuyer la « Loi sur la protection de la conscience » de 2017 (Conscience Protection Act of 2017). Le projet de loi protège la conscience de ceux qui, dans les systèmes de santé financés par le gouvernement fédéral, s’opposent à pratiquer ou à participer à un avortement. Des infirmières, que la loi concernerait, ont témoigné lors de l’événement.
La loi, présentée par la représentante républicaine du Tennessee, Diane Black, permettrait aux professionnels de la santé d’intenter des poursuites s’ils subissent de la discrimination pour avoir refusé de pratiquer des avortements. La loi « fournirait des recours judiciaires pour les hôpitaux, les systèmes de santé, les organismes religieux de bienfaisance, les églises et les compagnies d’assurances qui sont obligés de participer aux avortements ou d’offrir une protection en cas d’avortement », a rapporté une journaliste de The Hill, le 8 novembre.
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Trafic d’organes d’enfants avortés : Planned Parenthood visé par une enquête du Département de la Justice de ce pays
Par Olivier Bault (Reinformation.tv)
Le Département de la Justice américain a ouvert une enquête visant le géant de l’avortement Planned Parenthood. Cette enquête concerne les juteux profits réalisés par le Planning familial américain grâce à la vente illégale de tissus et organes humains prélevés sur les enfants avortés. Cette affaire, qui avait été révélée par la publication de vidéos tournées en caméra cachée par le Center for Medical Progress (CMP), a déjà fait l’objet d’un rapport à charge du Congrès des Etats-Unis. Du fait de l’opposition des milieux pro-avortement, il n’a cependant toujours pas été possible à Donald Trump de réaliser sa promesse de supprimer les subventions fédérales en faveur de Planned Parenthood.
Dans une lettre à la commission de la justice du Sénat, le Département de la Justice a demandé une copie des documents pris en compte par les sénateurs dans le cadre de leurs auditions. L’enquête du Département de la Justice est saluée par les organisations de défense du droit à la vie car sous la présidence Obama, ce même Département de la Justice avait refusé de faire respecter la loi qui interdit d’acheter et de vendre des tissus humains.
Lire la suite« Call me by your name », le nouveau film d’Hollywood qui ne parle pas de pédophilie – mais de pédérastie
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Il était attendu. Depuis l’été, des « trailers » aiguisaient l’intérêt et la curiosité des cinéphiles, mais aussi des observateurs attentifs du phénomène LGBT. Le film « Call me by your name » (« Appelle-moi par ton nom ») est sorti sur les écrans outre Atlantique le week-end de Thanksgiving : il met en scène la relation amoureuse éphémère, le temps d’un été, entre un homme de 24 ans et un jeune garçon de 17. Si l’on ne peut parler littéralement de pédophilie, on peut parler de pédérastie ou encore d’éphèbophilie.
L’écart d’âge n’est pas choquant entre hétérosexuels ? Il ne doit pas l’être non plus entre les homosexuels. Encore une fois, tout est une question de consentement… Et on normalise toujours un peu plus ces relations, en les sortant même du cercle strictement gay : la « romance » a valeur universelle.
« Le film le plus romantique de l’année »
C’est flou, c’est délicat… « une beauté lunaire » disent les critiques unanimes. Rolling Stone l’a déclaré « le film le plus romantique de l’année », « un classique instantané ». Le New Yorker y a vu « un triomphe érotique, émotionnellement aigu et extraordinairement sensuel »… Bref une « charmante » histoire qui va sûrement rafler des Oscars à la 90e cérémonie à venir – il est d’ailleurs déjà ressorti en tête des nominations aux Spirit Awards, prix américains du cinéma indépendant.
Lire la suiteUne belle crèche à la Maison Blanche
La crèche de la maison blanche.
Par Reinformation.tv — Image : capture d'écran vidéo/NTD News
Elle a été présentée en vidéo par Melania Trump, et si certains tordront leur nez en voyant que l’Enfant Jésus est déjà arrivé dans la maison où Donald Trump exerce le pouvoir, on peut observer que la vérité de Noël est éternelle et que la présence du Petit Roi couronné est une bonne nouvelle qui devrait faire taire toutes les critiques.
Les vœux d’Obama brillaient au contraire par leur laïcisme : le précédent président des Etats-Unis se contentait de souhaiter de « bonnes fêtes ».
En décembre dernier, date à laquelle il n’occupait pas encore la Maison Blanche, Trump promettait : « Nous allons recommencer à dire “Joyeux Noël” ».
Cela semble bien parti.
Un évêque offre une messe à l’extérieur d’une clinique notoire d’avortements tardifs
L’évêque de Witchita, Carl Kemme, marchant en procession avec l’Eucharistie dans un événement à l’extérieur de la célèbre clinique d’avortements tardifs de George Tiller.
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese of Wichita
Wichita, Kansas, 10 novembre 2017 (LifeSiteNews) — L’évêque de Wichita, au Kansas, Mgr Carl Kemme, accompagné de sept prêtres de son diocèse, a célébré une messe pour la vie le dernier samedi du mois d’octobre, à l’endroit où George Tiller, célèbre pour ses avortements tardifs, exerçait ses activités.
Mgr Kemme a remercié les centaines de personnes présentes à la messe venues prier pour les enfants à naître. « [Ce sont] les dons de Dieu les plus précieux et uniques, la vie humaine », a rapporté le journal Catholic Advance. Mgr Kemme a dit qu’ils faisaient quelque chose de mystique, qu’ils entouraient la clinique d’avortement de grâce sacramentelle et sanctifiante.
« Ici, dans des lieux comme celui-ci, partout au pays et dans le monde, le prince des ténèbres et de la mort est honoré et adoré », a dit Mgr Kemme. « Ici et dans les autres bâtiments comme celui-ci, les démons se réjouissent lorsque les ténèbres deviennent encore plus noires et que la mort est rendue plus horrible, à cause du choix de détruire une vie créée à l’image et à la ressemblance de Dieu. »
Lire la suiteUn évêque pro-vie remporte, contre le Cardinal ultralibéral Cupich, la direction du Comité des activités pro-vie des évêques américains
L’archevêque Joseph Naumann de Kansas City, Kansas.
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie — Lisa Bourne/LifeSiteNews
Baltimore, Maryland, 14 novembre 2017 (LifeSiteNews) — L’Archevêque Joseph Naumann de Kansas City, dans l’état du Kansas, l’ardent défenseur pro-vie, a battu ce matin l’Archevêque de Chicago, l’ultralibéral Blase Cupich ; il devient le prochain chef des efforts pro-vie des évêques américains.
Naumann a gagné la course à la direction de la Conference of Catholic Bishops' Committee on Pro-Life Activities (Comité des activités pro-vie de la Conférence épiscopale américaine). Il a gagné avec 54% de suffrages et le soutien de 96 évêques, contre 46% de suffrages pour Cupich et le soutien de 82 évêques.
La course entre Cupich et Naumann a offert aux évêques l’opportunité de définir leur vision pour les activités pro-vie.
Le vote représentait aussi un « baromètre du soutien envers le Pape François dans la hiérarchie américaine, » a finement fait remarquer le Wall Street Journal [...]
Lire la suiteDans cet État, les manuels scolaires glorifiant l’homosexualité, obligatoires dans les écoles publiques
Par Reinformation.tv
L’exigence d’inclure la propagande en faveur des homosexuels et des transgenres dans les manuels d’histoire dans les curriculums des écoles publiques de la maternelle à la quatrième en Californie, à la suite d’une décision prise en 2011 au nom de « l’éducation équitable » est désormais assortie du bannissement de tout manuel ne répondant pas à ces critères dans le domaine de l’histoire et des sciences sociales.
L’objectif est de faire connaître les réalisations et les apports des personnes de la communauté LGBTQ à l’histoire de manière explicite, en les présentant comme décisifs pour la culture et l’histoire des Etats-Unis, comme le fait l’éditeur scolaire Houghton Mifflin Harcourt.
Peu importe d’ailleurs que l’« identité » homosexuelle des personnes concernées soit controversée. Cet éditeur, très peu suspect de résistance aux injonctions du lobby gay, vient de voir l’un de ses manuels recalé par l’administration californienne au motif que le poète Langston Hughes n’est pas identifié comme homosexuel. La maison d’édition a eu beau souligner que l’on manque de preuves à cet égard, l’administration scolaire a cédé devant les pressions du mouvement LGBTQ, et le manuel est donc interdit dans les écoles californiennes.