Archevêque de San Francisco : « Les Etats-Unis peuvent endurer le mensonge du mariage homosexuel. Mais nous, nous n'y participerons pas, ni ne nous tairons »
Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Saint Louis, lundi 19 juin 2015. Si la Cour Suprême des Etats-Unis d'Amérique décide de redéfinir le mariage dans les prochains jours, rien n'empêche la conférence épiscopale américaine de proclamer la vérité, explique l'archevêque, qui fait le point sur la question.
« Quoiqu'il arrive à la fin du mois, rien de ce que la Cour Suprême dira ne peut changer ce qu'est le mariage. Aussi continuerons-nous à le promouvoir et à le défendre ». Ainsi s'est exprimé l'archevêque de San Francisco, son Em. Salvatore Cordileone, porte-parole du Comité pour la promotion et la défense du mariage (Subcommittee for the Promotion and Defense of Marriage) de la conférence épiscopale américaine (USCCB, United States Conference of Catholic Bishops).
Lire la suiteLes victoires américaines pour la défense de l'enfant à naître
Sur le site de média-presse.info du 25 septembre 2014 :
Lire la suite(...)Le procédé d’avortement dit par naissance partielle a été interdit (Ban 2003). II consiste à provoquer l’accouchement et à tuer l’enfant en lui perçant la tête au niveau de la fontanelle dès qu’elle est au dehors du corps de la mère. 10.000 bébés ont ainsi eu la vie sauve en 3 ans.
La loi du Texas a obligé les cliniques d’avortement à être équipées au même titre que les cliniques chirurgicales ; elle a été considérée comme constitutionnelle par la Cour Suprême.
Les petites sœurs des Pauvres ont été obligées par le juge Sonia Sotomayor de payer dans leurs cotisations le remboursement de l’avortement et de la contraception. Elles ont refusé. Au nom de la liberté de conscience, la Cour suprême leur a donné raison.
Il y avait autour des avortoirs des « zones tampon ». Une femme du nom d’Eleanor McCullen avait été arrêtée dans une de ces zones car elle essayait de dissuader une femme de se faire avorter. Les zones tampons ont été supprimées par le Cour Suprême. Ce qui permet aux pro-vies de manifester autour des avortoirs. (...)
75% des cliniques d'avortement aux États-Unis pourraient fermer leurs portes...
Sur le site de média-presse.info du 9 mai 2014 (via choisir la vie.ch):
(Photo : afagen sur flickr.com, licence creative commons)
La chaîne de télévision MSNBC diffuse des informations en continu vers les États-Unis et le Canada. C’est la plus ancienne de ce type. Elle est classée à gauche et politiquement correcte (pléonasme !). En effet elle déplore que les lois pro-vie qui sont progressivement votées par une série d’Etats vont aboutir à la fermeture de 75 % des avortoirs (...)
Prenons un exemple d’une de ces lois. Dans le Mississipi, il est exigé que les avortements soient effectués par un spécialiste en gynéco-obstétrique. Résultat il ne reste plus qu’une seule clinique d’IVG, elle-même menacée. L’idée a fait école dans plusieurs autres Etats du Sud. (...)
Une très bonne nouvelle pour ce pays où la majorité des habitants sont pro-vie!
La chambre des représentants américains veut inciter les compagnies d'assurances à ne pas couvrir les avortements
Sur le site du journal La Presse du 28 janvier 2014 :
(Si seulement le président américain pouvait avoir un minimum de compassion envers les enfants à naître torturés et éliminés sur le territoire américain.)
(Photo : cfishy sur flickr.com, licence creative commons)
L'utilisation de fonds publics fédéraux pour des avortements est déjà interdite aux États-Unis, via des amendements et décrets régulièrement renouvelés, mais le texte républicain entend rendre cette interdiction permanente. (...)
La proposition de loi «libère les contribuables de la charge d'avoir à subventionner la pratique monstrueuse de l'avortement et les couvertures maladies qui incluent l'avortement», expliquait en janvier le représentant républicain Bob Goodlatte. (...)
La chambre des représentants, majoritairement républicaine, peut faire passer ce projet de loi. Mais le président Obama pourra y apposer son veto...
Une évolution de victoire en victoire aux États-Unis dans la bataille de l'avortement
Sur le site du Journal La Presse du 10 janvier 2014 :
(Photo : Sylvain.collet sur flickr.com, licence creative commons)
Un nombre sans précédent d'États américains a adopté au cours des dernières années par voie législative des mesures restrictives qui visent à limiter, parfois considérablement, le droit constitutionnel des femmes à l'avortement.
Le Guttmacher Institute, centre d'études favorable au libre choix, décrit le phénomène comme un «assaut tous azimuts» pouvant, à terme, mener à une révision des principes énoncés par la Cour suprême il y a 40 ans dans le célèbre jugement Roe contre Wade.
«C'est absolument inusité. Nous n'avons jamais observé un changement de paradigme d'une telle ampleur sur une aussi courte période de temps», note en entrevue à La Presse une analyste de l'organisation, Elizabeth Nash.
L'année dernière, souligne-t-elle, 22 États américains ont adopté 70 mesures restreignant l'accès à l'avortement, ce qui porte à 205 le nombre de dispositions de ce type approuvées depuis 2011. Le total est supérieur, en trois ans, à celui observé pour l'ensemble de la décennie s'étalant de 2001 à 2010. (...)
God Bless America!
L'Église catholique américaine poursuivie en justice pour cause de refus d'avortements dans les hôpitaux catholiques
Sur le blog de Jeanne Smits du 6 décembre 2013 :
(La Basilique-sanctuaire de l'Immaculée Conception aux États-Unis)
(Photo : AgnosticPreachersKid sur wikimedia.org, licence creative commons)
L’ACLU (American Civil Liberties Union) association laïciste, poursuit en justice la Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis pour obtenir la condamnation de leurs directives anti-avortement, a-t-elle annoncé lundi. Les évêques, et à travers eux l’Eglise, sont accusés d’empêcher la procuration de soins médicaux nécessaires aux femmes enceintes en état de détresse, entraînant des refus de soins (« medical negligence », en droit américain).
Le procès sera plaidé devant la cour fédérale du Michigan où l’ACLU représentera une femme qui se plaint de ne pas avoir reçu des informations adéquates sur son état ni des soins appropriés, alors qu’elle s’était présentée dans l’hôpital catholique de la ville de Muskegon à 18 semaines de grossesse, après avoir perdu les eaux, malgré le risque d’infection que cela lui faisait courir. Mais qui ne s’est pas réalisé…
(...)
Pour certains, le plus important, c'est d'avorter... Pour lire la suite de ce très intéressant article, cliquez ici.
Le Mississippi sera-t-il le premier État américain sans avortement?
Sur le site du Monde Diplomatique de décembre 2013 :
(L'État du Mississippi, grand comme le Royaume-Uni)
(Photo :Hergebruik van die lêer sur wikimedia.org, licence Creative Commons)
(...)
Le Mississippi deviendra-t-il le premier Etat américain à ne plus pratiquer l’avortement ? Le symbole serait fort, alors que ce territoire de trois millions d’âmes, vaste comme l’Angleterre, est aussi le plus pauvre des Etats-Unis. La clinique de Jackson se trouve en effet en infraction vis-à-vis d’une loi votée au niveau de l’Etat en 2012, qui requiert que les médecins pratiquant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) soient conventionnés avec un hôpital proche qui s’engage à prendre en charge leurs patientes en cas de problème. Les trois gynécologues de l’établissement se sont tous vu refuser ces conventions. « Aucun hôpital n’a accepté. Pour des raisons idéologiques, par peur, ou parce que certains de nos médecins ne sont pas résidents du Mississippi, explique Mme Derzis.(...) Les législateurs savaient parfaitement que cela nous mettrait en péril. »
Le gouverneur républicain Phil Bryant n’a pas masqué son intention de faire du Mississippi le premier abortion free state (Etat où l’avortement ne se pratique plus) du pays.(...)
Des hôpitaux aux Mississippi qui ont vraiment à coeur la santé des femmes et des enfants.
Un sondage sur ce que pensent les électeurs démocrates américains de l'avortement
Sur le site de Nouvelles de France du 18 novembre 2013 :
(Photo : paulhami sur flickr.com, licence Creative Commons)
Un sondage réalisé par Harper Polling sur l’électorat démocrate de Pennsylvanie (un État dans la moyenne du pays en matière de conservatisme) permet de mieux comprendre ce que pense le sympathisant démocrate moyen.
(...)52% des démocrates de Pennsylvanie pensent que l’avortement devrait être légal dans la plupart des cas ou dans tous les cas, 43% qu’il devrait être illégal ou légal seulement dans les cas de viol, d’inceste ou lorsque la vie de la mère est en danger. Contrairement aux idées reçues, les hommes sont davantage favorables à l’accès à l’avortement (+4 points).
Autre constat inquiétant pour l’oligarchie, les jeunes démocrates sont plus susceptibles de soutenir les restrictions d’accès à l’avortement (qui se multiplient depuis quelques années) : 60% des démocrates âgés de 18 à 35 ans pensent que l’avortement devrait être soit totalement illégal (16%) ou illégal sauf dans les trois cas évoqués supra (44%).
Un projet de loi pour interdire l'avortement après 22 semaines de grossesse aux États-Unis
Sur le site du journal La Presse du 18 juin 2013:
(La Chambre des représentants américaine)
La Chambre des représentants à majorité républicaine doit déposer aujourd’hui le projet de loi le plus restrictif du Congrès en matière d’avortement en une décennie. Le texte vise à interdire l’avortement après la 22e semaine de grossesse aux États-Unis.La Cour suprême des États-Unis permet l’avortement jusqu’à ce que le foetus soit apte à vivre en dehors de l’utérus, soit à partir de la 24e semaine.Le projet de loi de la Chambre n’a aucune chance d’être adopté par le Sénat, où les démocrates sont majoritaires. L’état major républicain de la Chambre a néanmoins accepté de le soumettre à un vote pour satisfaire une demande de sa base électorale. Celle-ci a contribué à faire adopter des lois semblables dans certains États au cours des derniers mois, notamment au Dakota du Nord et en Arkansas où les limites ont été fixées à six et 12 semaines.La base républicaine est particulièrement aux abois depuis les révélations sur les pratiques de Kermit Gosnell, ce médecin de Philadelphie reconnu coupable récemment d’avoir tué trois bébés après des avortements ratés.(...)