Témoignage d’un pro-vie : « À mes amis sur Twitter pour qui c’est important, j’ai dit qu’un jour je raconterai l’histoire qui explique pourquoi je suis aussi pro-vie »
Par NaughtyDerek (compte Tweeter) — traduit par Campagne Québec-Vie
J’étais alors âgé d’environ 22 ans et vivais plutôt pour faire la fête. Je me saoulais chaque soir à mon pub favori avant de me rendre au centre-ville pour me diriger vers une fête ou un bar.
Rien n’allait pour moi. Un travail sans issue, je vivais avec mes parents, ma voiture fonctionnait à peine. Quelques années seraient passées, et je l’aurais probablement accidentée contre un tronc d’arbre en conduisant.
À ma fête, je suis sorti avec un groupe d’amis, et je me suis saoulé énormément. Je suis tombé sur une connaissance, une fille assez jolie, et nous avons eu une aventure d’un soir.
Quelques mois passèrent, et je travaillais la nuit à remplir les étagères d’une épicerie, lorsque je reçus un appel. C’était la fille que j’avais rencontrée le jour de mon anniversaire. Elle était enceinte.
Misère*. Je fais 9.50 de l’heure et travaille de chez moi. Qu’est-ce que j’étais censé faire ? J’appelle un gars que je connais qui est pasteur.
Lire la suiteTrès mauvaise nouvelle : des parents perdent la garde légale de leur fille parce qu’ils s’opposent à sa « transition » pour devenir un garçon
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Une famille dont le nom n’a pas été divulgué se trouve frappée, dans l’Ohio aux Etats-Unis, par une décision de justice qui doit tout à l’idéologie du genre. S’étant opposé à la « transition » de leur fille qui s’identifie comme garçon, un couple de parents s’est vu priver de la garde légale de cette enfant mineure afin qu’elle puisse devant la justice obtenir l’accès aux traitements et hormones sans leur consentement.
Dans un premier temps, les services locaux de protection de l’enfance ont obtenu le droit de la représenter devant la justice, droit qui incombe normalement à son père et à sa mère. L’adolescente, 17 ans, est désormais juridiquement entre les mains des Hamilton County Job and Family Services, afin que le tribunal tire les conséquences de sa « dysphorie de genre ». En attendant, elle vit chez ses grands-parents maternels.
Pour l’idéologie genre les parents n’ont aucun droit de refuser la « transition » de leurs enfants
La jeune fille a commencé à souffrir de dépression et d’anxiété en 2016, date à laquelle elle a été hospitalisée. Les médecins devaient tout de suite proposer la solution miracle : la dysphorie de genre se soigne avec des hormones. Ils prétendaient lui administrer de la testostérone et autres substances permettant à la patiente de devenir un « mâle ». En apparence seulement, cela va sans dire : il s’agit de favoriser l’apparition des caractères sexuels secondaires qui donnent une allure masculine, mais l’ADN reste le même.
Lire la suite« Nous devons combattre l’avortement avec des armes spirituelles », déclare un ancien « grand sorcier » sataniste
Par Liane Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, le 1er novembre 2017 (LifeSiteNews) — Zachary King, un ancien grand sorcier d’une église satanique, qui s’est converti par l’intervention miraculeuse de la Vierge Marie, proclame que l’avortement est une bataille spirituelle qui doit être menée avec des armes spirituelles.
« Je sais que l’avortement est un sacrifice satanique », déclara Z.King lors d’une conférence, sur la guerre spirituelle, organisée par Serviam Ministries à Toronto.
« Pourquoi le diable tente-t-il de tuer l’enfant à naître? », demanda-t-il. « Satan a peur de certaines choses. L’innocence en est une. Vous ne pouvez atteindre plus innocent que le bébé dans le ventre de sa mère. »
Zachary King, qui est aveugle à cause du diabète, raconta à 800 personnes, lors d’une conférence le 28 octobre [2017], son remarquable cheminement vers l’Église catholique.
Élevé dans une maison baptiste, Zachary King se passionna pour la magie à l’âge de 10 ans, agressé sexuellement par une enseignante à l’âge de 11 ans, il rejoint formellement un groupe satanique et vendit son âme au diable à l’âge de 13 ans.
Lire la suiteLa Californie s’apprête à devenir le premier État américain à imposer l’accès à l’avortement sur les campus universitaires
Par Reinformarion.tv
Une loi en ce sens a été voté par le Sénat californien : le texte va désormais passer devant la chambre des représentants de l’Etat. Il lui faudra en outre obtenir la signature du gouverneur, démocrate.
A l’heure actuelle, aucune université publique de Californie ne fournit l’avortement dans les centres de santé présents sur les campus ; en cas de « besoin », les jeunes femmes sont adressées à des avortoirs extérieurs.
La proposition de loi prévoit l’obligation pour les universités de fournir des avortements chimiques jusqu’à la 10e semaine de la grossesse. « Après tout, les femmes ne perdent pas leur droit constitutionnel de mettre fin à leur grossesse simplement parce qu’elles sont étudiantes », a déclaré la sénatrice démocrate auteur du texte.
Le financement de ces avortements médicamenteux, dont la demande s’élèverait à une trentaine par mois, serait assuré par des « bienfaiteurs » privés.
Les questionnaires des écoles et le genre : on demande à des enfants de 10 ans s’ils veulent changer de sexe
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Les écoles publiques aux États-Unis sont coutumières de ce genre d’enquêtes-questionnaires qui fournissent une quantité incroyable de données de tout acabit. Mais le bouchon est poussé de plus en plus loin – et pas dans le bon sens. Dans le Missouri, des élèves âgés de 10 et 11 ans se sont vus remettre une série de questions extrêmement intrusives, parmi lesquelles : « Etes-vous transgenre ou pensez-vous à changer de sexe ? » Et il fallait qu’ils répondent.
Déjà aux prises avec une promotion sans précédent du genre, ces enfants se voient forcés de réfléchir et donc de mettre en doute la réalité biologique qui est la leur. Une énième façon de répandre la confusion dans ces personnalités pré-adolescentes en pleine élaboration.
Ces questionnaires qui déroutent les enfants
Comme nous le rapporte le journaliste Alex Newman, les documents controversés demandaient également à ces élèves de 6e année, s’ils pensaient au suicide, à la consommation de drogues, aux actes homosexuels, etc…
Sur le papier, ils n’étaient pas obligés de répondre, mais les parents cités dans les media ont déclaré qu’on avait dit aux enfants, à l’école, qu’ils auraient des « ennuis » s’ils refusaient.
Lire la suiteUne vidéo en accéléré montre une participation massive à la Marche pour la Vie de 2018
45e Marche pour la Vie à Washington, le 19 janvier 2018.
Par LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie
19 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Quelle était la taille de la foule lors de la Marche pour la Vie de 2018 ?
Obtenir un compte précis d’une foule aussi nombreuse est une perspective atroce, mais pour avoir une idée de la foule, Students for Life of America a mis au point une vidéo de toute la Marche, en accéléré et de 60 secondes.
Regardez-la ! :
Voyez tout le reportage de LifeSite du March for Life 2018 ici.
Donald Trump interviendra en direct à la Marche pour la vie américaine
Par Reinformation.tv
Le président des Etats-Unis a fait annoncer par l’attachée de presse de la Maison Blanche, Sarah Sanders, qu’il adressera un message en direct aux participants à la manifestation depuis la roseraie de la résidence présidentielle.
« Nous sommes heureux d’annoncer que le président sera le premier président en exercice à s’adresser à la Marche pour la vie en direct par satellite depuis la Maison Blanche », a indiqué Sarah Sanders lors d’une conférence de presse mercredi. « Le Président est déterminé à protéger la vie des enfants à naître et s’enthousiasme de pouvoir participer à cet événement historique », a-t-elle précisé.
D’autres présidents républicains sont intervenus lors de Marches pour la vie à Washington mais par le biais de messages préenregistrés.
Et à l’inverse de ses prédécesseurs, à l’action plus ambiguë dans le domaine de la protection de la vie, Trump a déjà pris d’importantes mesures en signant notamment une loi qui permet aux Etats de cesser de subventionner « Planned Parenthood » (le Planning familial américain est l’un des principaux pourvoyeurs d’avortement dans le pays) et en nommant des personnalités fortement attachées au respect de la vie à des postes-clef dans son administration.
Trump a également mis fin à la réglementation d’Obama obligeant les employeurs à agir contre leur conscience en finançant des assurances couvrant les contraceptifs et les pilules à effet abortif.
Une quatrième immigrée clandestine mineure exige l’avortement
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
La jeune fille, actuellement dans un abri pour clandestins mineurs, a fait sa demande il y a quinze jours dans le cadre d’une « class action » qui a été engagée contre l’administration pour obliger celle-ci à fournir systématiquement l’avortement aux mineures qui le demandent.
L’administration a refusé de donner suite à cette demande, en affirmant que la fourniture d’aide à l’accès à l’avortement, en dehors des cas de viol, d’inceste ou de danger pour la vie de la mère est contraire à la loi fédérale. La jeune fille, dite « Jane Moe » a la possibilité de rentrer dans son pays d’origine ou encore de se faire prendre en charge par un « parrain » pour ne plus être sous le contrôle du gouvernement américain et ainsi obtenir l’intervention de manière privée.
Droit à l’avortement pour les immigrées clandestines mineures exigé aux Etats-Unis
Les services fédéraux de la santé ont précisé ne pas penser devoir faciliter son accès à l’avortement, « par souci de l’intérêt bien compris de la mère ».
La décision de s’adresser à l’administration, plutôt que d’avoir recours à une « solution » existante, atteste de l’existence d’une campagne de pression pour faire plier celle-ci et créer une obligation pour les pouvoirs publics de procurer des avortements aux mineures étrangères qui ne peuvent les obtenir dans leur pays d’origine (en attendant l’ensemble des femmes originaires de ces pays).
Le pseudonyme pris par « Jane Moe », en référence à l’affaire Roe v. Wade qui a vu la Cour suprême des Etats-Unis, dans un abus de pouvoir manifeste, reconnaître l’avortement comme un droit constitutionnel, révèle clairement cette intention.
C’est une véritable instrumentalisation qui pour l’heure fonctionne, puisque les tribunaux américains ont dans les trois affaires précédentes donné raison aux mineures. L’affaire a été portée devant la Cour suprême par l’administration Trump.
Un Évêque américain réaffirme ses directives au sujet des funérailles par rapport aux gens s'étant engagés dans un «mariage» entre personnes de même sexe
L'évêque Robert Morlino sur EWTN le 2 novembre 2017 — image extraite de YouTube.
Par Claire Chretien (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Madison, dans le Wisconsin, le 3 novembre 2017 — L'évêque catholique Robert Morlino prend la défense de ses directives données aux prêtres, qui prescrivent de refuser des funérailles aux homosexuels non-repentants, disant que c'est là l’« enseignement clair de l'Église. » Il a clarifié, face à une déplaisante campagne réclamant qu'il soit démis de ses fonctions d'évêque, que cela n'indiquait en aucune façon « que nous ne nous soucions pas de la communauté homosexuelle. »
Morlino, évêque du diocèse de Madison, au Wisconsin, en est venu à affronter les tirs parce que ses prêtres ont reçu une directive leur rappelant ce que le Code de Droit Canonique dit au sujet des funérailles catholiques par rapport aux « pécheurs publics notoires, » comme ceux qui se sont engagés publiquement dans un « mariage » de personnes de même sexe.
Des médias de son État qui sont sympathiques à la cause homosexuelle l'ont attaqué, ainsi que des groupes de « catholiques » dissidents qui rejettent l'enseignement de l'Église sur la morale sexuelle.
« Le contexte » des directives diocésaines est « important », a dit Morlino lors de l'Émission The World Order de Raymond Arroyo sur EWTN.
« Nous avons régulièrement des questions qui nous arrivent de divers pasteurs ou de prêtres qui conseillent sur ces sujets, » a-t-il expliqué. « Et nous avons une façon régulière de communiquer avec les prêtres – l'envoi de courriels aux prêtres le samedi par le vicaire-général – qui envoie simplement des réponses brèves à leur questions. »
Lire la suiteUn juge de cet État juge inconstitutionnel le délai de réflexion avant d’obtenir un avortement
Par Reinformation.tv
Le gouvernement des juges est indispensable à la culture de mort… Le juge Terry Lewis vient de rendre permanente une injonction temporaire accordée l’an dernier par la Cour suprême de Floride à une clinique d’avortement contestant la mise en place d’un délai de réflexion obligatoire de 24 heures entre une demande d’intervention et sa réalisation.
Le juge a indiqué que l’Etat n’avait pas démontré son intérêt à faire appliquer la mesure ni que cet éventuel intérêt ait été défendu de la manière la plus restrictive possible. Il a notamment rejeté l’argument selon lequel la plupart des interventions médicales sont en pratique soumises à un délai, même si celui-ci n’est pas légal, ainsi que l’argument mettant en avant l’avantage de pouvoir obtenir un consentement mieux éclairé.
L’avortement continuera ainsi de constituer une des seules interventions médicales invasives à être pratiquées sur-le-champ, et ce lors d’une première visite à un avortoir.