Kamala Harris voudrait « éliminer la liberté de religion » et a un programme anticatholique « extrême », dénoncent des personnalités catholiques
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — L'éventuelle présidence de Kamala Harris représenterait une menace pour les libertés religieuses des catholiques et la vie des bébés à naître, avertissent des personnalités catholiques.
La vice-présidente Kamala Harris est actuellement le choix du Parti démocrate pour l'élection présidentielle de 2024. Sauf changement de dernière minute, les démocrates la désigneront officiellement au cours de la première semaine d'août.
Ses antécédents d'opposition aux catholiques et aux valeurs catholiques suscitent des inquiétudes.
Sous l'administration Biden-Harris, le ministère de la Justice a appliqué de manière agressive et sélective la Loi sur la liberté d'accès aux entrées des cliniques (FACE Act), en s'en prenant notamment à des pères pro-vie pacifiques comme Mark Houck.
Ce même ministère de la Justice a également publié, par l'intermédiaire du Bureau fédéral d'enquête (FBI), un document accusant sans fondement d'« extrémisme » les catholiques qui assistent à la messe traditionnelle en latin. Le FBI a même espionné des églises pratiquant la messe en latin sous l'administration Biden-Harris.
De même, le procureur général de Biden, Merrick Garland, et le ministère de la Justice ont publié un document suggérant que les parents et les activistes inquiets qui s'opposaient à la politique d'identité raciale et à l'idéologie sexuelle dans les salles de classe étaient assimilés à des terroristes nationaux.
Lire la suiteAimez-les tous : les parents de Margo Naranjo ont également besoin de notre soutien pour continuer à s’occuper d’elle
Mike et Cathy Naranjo.
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mike Naranjo/Facebook
25 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Presque tous les matins, je suis réveillée par des coups et des raclements. C’est mon mari en fauteuil roulant qui se rend aux toilettes. Son fauteuil d’intérieur n’est pas conçu pour être autopropulsé ; il le déplace en frappant des pieds contre le sol et en s’accrochant aux cadres de portes. Ce bruit me rappelle que je dois sortir du lit, préparer le petit-déjeuner et le lunch de mon mari et sortir son fauteuil roulant électrique de l’armoire extérieure. Finalement, je devrai me procurer la rampe d’accès portable et l’installer ici et là pour que mon mari puisse se rendre dans la rue et filer au travail. Près de six ans après l’ablation de sa tumeur cérébrale, on lui a découvert des tumeurs de la colonne vertébrale. Comme la tumeur cérébrale, elles ne sont pas malignes. Mais comme la tumeur cérébrale, elles sont mal placées. Et je suis tellement, tellement reconnaissante pour les chocs et les éraflures, car ils signifient que mon mari est en vie et en pleine forme.
La lecture de l’histoire de Margo Naranjo, une jeune femme laissée gravement handicapée par un conducteur imprudent à Nacogdoches, au Texas, le 16 juin 2020, est déchirante, d’autant plus que j’ai commencé l’histoire à l’avant-dernier chapitre : le fiancé de Margo est maintenant fiancé à une autre, et ses parents ont (ou avaient) décidé de mettre fin à sa vie en supprimant la nutrition et l’hydratation assistées médicalement. Mais ce n’est pas ainsi que l’histoire a commencé. Elle a commencé par l’espoir.
Les parents de Margo, Cathy et Mike, ont offert des prières publiques sur les médias sociaux presque tous les jours depuis l’accident de leur fille et ont écrit franchement sur les détails de ses soins. Malheureusement, ils ont maintenant supprimé le compte rendu de ces quatre années, ce qui signifie qu’il sera difficile pour presque tous ceux qui ont vu cette vidéo troublante détaillant les plans pour la mort et les funérailles de Margo, âgée de 28 ans, de connaître toute l’histoire. Je suis reconnaissante d’avoir eu le temps de lire le début.
Lire la suiteUne statue satanique pro-avortement décapitée, les responsables de l’Université de Houston crient au vandalisme
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 8photo/Freepik
20 juillet 2024, Houston (LifeSiteNews) — Une statue pro-avortement sur le campus de l’Université de Houston, critiquée pour ses détails d’apparence satanique, a été décapitée pendant l’ouragan Beryl, dans ce que les responsables de l’école appellent un acte de vandalisme intentionnel.
Comme LifeSiteNews l’a déjà rapporté, les étudiants pro-vie ont protesté contre la sculpture « Witness » de l’artiste Shahzia Sikander, une imposante figure féminine dorée avec des cheveux tressés en forme de cornes de bélier, des protubérances en forme de tentacules à la place des bras, et un col de dentelle en l’honneur de la défunte Ruth Bader Ginsburg, juge de la Cour Suprême des États-Unis radicalement pro-avortement.
Mme Sikander a expliqué qu’elle voulait que son œuvre reflète « l’esprit infatigable des femmes qui se battent collectivement depuis des générations pour leur droit à disposer de leur propre corps », censé avoir été rejeté par l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade. De nombreuses femmes sur le campus ont exprimé le message inverse, une femme ayant subi un avortement l’ayant qualifiée de source de « traumatisme intense » qui interfère avec ses efforts de « chaque jour pour se rétablir et faire face au regret ».
Lire la suiteLa campagne de Kamala Harris pourrait constituer une menace unique pour l'avenir du mouvement pro-vie
Kamala Harris visitant un avortoir de Planned Parenthood au Minnesota.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran
23 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Le président Joe Biden a été traîné hors la course à la présidence, ruant et criant. Dans un mouvement fluide et orchestré, la vice-présidente Kamala Harris a mis les dominos en mouvement, avec des démocrates clés s'alignant derrière sa candidature en succession rapide. Soudain, le ticket Trump-Vance est confronté à une série d'inconnues. Harris est historiquement impopulaire — mais va-t-elle ramener les électeurs désillusionnés par le déclin évident de Biden ? Qui sera son colistier ?
La course a été remise à zéro. Et dans le sillage de l'ascension soudaine de Harris, la presse est certaine d'une chose : plus encore qu'auparavant, il s'agira désormais d’une élection [sur le thème] de l'avortement.
Comme l'a déjà noté Lila Rose de Live Action, en tant que procureur général de Californie, Harris a ciblé les journalistes pro-vie sous couverture, David Daleiden et Sandra Merritt, après que leurs reportages révolutionnaires sur la vente de parties de corps de bébés par l'industrie de l'avortement aient secoué le pays en 2015. Elle a ordonné une descente dans l'appartement de Daleiden, a fait voler son ordinateur portable et a tout fait pour que les images d'infiltration de Planned Parenthood — l'un des plus grands donateurs de sa campagne — ne voient jamais le jour.
En tant que vice-présidente, l'avortement est l'un des rares sujets pour lesquels Mme Harris s'est montrée passionnée. Elle est la première vice-présidente à visiter une clinique d'avortement, en se rendant sur le site de Planned Parenthood dans le Minnesota. (Je me demande si des bébés ont été tués pendant que Harris se promenait dans les couloirs.) Sa principale contribution à la campagne de réélection de Biden, aujourd'hui avortée, a consisté à parcourir le pays dans le cadre d'une tournée sur la « santé reproductive », en vantant les mérites de l'avortement et en condamnant les lois pro-vie comme étant cruelles et inhumaines. La principale plate-forme de Mme Harris a été une pile de bébés morts — et cela ne fera que s'intensifier dans les jours à venir.
Lire la suiteLa prochaine Terri Schiavo de l’Amérique ? Une mère partage ses plans pour mettre fin à la vie de sa fille handicapée Margo Naranjo
Margo Naranjo.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
22 juillet 2024 (LifeSiteNews) — C’est une vidéo vraiment horrifiante. — Pendant 18 minutes, Cathy Naranjo explique dans une vidéo publiée sur Facebook — maintenant supprimée — que sa famille a décidé de retirer à leur fille adulte Margo Naranjo le « soutien à la vie » dont elle a besoin depuis qu’elle a subi une grave lésion cérébrale à la suite d’un accident de voiture en 2020. Margo est assise près de sa mère, ouvrant et fermant les yeux, bougeant la bouche. Cathy se dit « très nerveuse », puis commence à parler des funérailles et de la « célébration de la vie » de Margo, tandis que celle-ci remue à ses côtés.
Cathy a expliqué que quelques temps avant l’accident, la famille était assise autour de la table et plaisantait sur le fait que si quelque chose leur arrivait, ils voudraient que quelqu’un « les débranche », et a affirmé que Margo avait dit à ce moment-là qu’elle ne voudrait pas être « maintenue en vie par des machines ». Cathy a également affirmé qu’à l’âge de 24 ans, Margo « était très claire à ce sujet » et qu’elle voulait mourir plutôt que de « ne pas avoir de qualité de vie », bien qu’elle n’ait « malheureusement » rien « écrit ». Cathy poursuit : « Je suis sûre à 100 % qu’elle savait ce qu’elle disait ».
Mais comme le rapporte LifeSiteNews, ce que Cathy entend par enlever les machines, dans ce cas, c’est enlever la nutrition et l’hydratation artificiellement administrées à Margo. « Dans l’État du Texas, cela est considéré comme une forme de maintien en vie », a déclaré Cathy. « Il est éthique et légal de l’enlever dans des situations comme celle-ci » — ici, elle a fait un geste vers sa fille. « Elle est suivie par d’excellents médecins en soins palliatifs ». Mme Naranjo a insisté sur le fait que Margo ne mourrait pas de faim, mais qu’il s’agissait simplement de respecter ses souhaits.
Lire la suiteL’entreprise John Deere abandonne les politiques woke
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Splits/Adobe Stock
Il est possible de venir à bout de ces politiques Diversity Equity Inclusion (DEI) qui sévissent en Occident et tout particulièrement aux Etats-Unis ! L’entreprise bien connue John Deere, spécialisé dans la fabrication de matériel agricole, vient de le prouver — et cela fait du bruit outre-Atlantique. Elle a annoncé abandonner un certain nombre de politiques mises en place pour souscrire à cette idéologie woke, en particulier LGBT, parce que « la confiance de nos clients est de la plus haute importance ». Le boycott des mécontents a porté ses fruits.
Tout n’est donc pas perdu… Si les programmes DEI sont toujours très présents dans l’horizon entrepreneurial, ils sont quelque peu mis à mal, nous l’avions déjà remarqué en mars dernier, et subissent plusieurs ajustements notables, en raison justement de leur mauvaise réception par un certain public, mais également en fonction de conséquences néfastes au sein même des entreprises.
John Deere ne veut plus être woke
C’est le Daily Mail qui le rapporte : la marque au cerf dont le chiffre d’affaires s’élevait à 61 milliards de dollars pour 2023, a annoncé qu’elle abandonnait les politiques DEI comme les « messages à motivation sociale », les « quotas de diversité », les « identifications des pronoms » ou encore les séances de formation du personnel sur la « personne de genre », tout en se distanciant également des « défilés, de festivals de sensibilisation sociale ou culturelle ».
« Les groupes de ressources d’affaires se concentreront exclusivement sur le développement professionnel, le réseautage, le mentorat et le soutien aux efforts de recrutement de talents. » La vieille entreprise a déclaré qu’elle recentrait ses messages sur l’agriculture, la faim et les questions liées à la marque. Et qu’elle rompait ses liens avec Human Rights Campaign, qui évalue les entreprises en partie sur leur respect des politiques progressistes, telles que la fourniture de « prestations de santé positives et inclusives pour les transgenres ».
Si John Deere n’a pas entièrement désavoué la DEI (son site web vante toujours sa « culture inclusive »), le changement de cap reste majeur pour une marque aussi connue qui avait, depuis 2020, investi largement dans ces politiques woke : dans son rapport annuel de 2022, note The National Review, John Deere avait répertorié « la diversité, l’équité et l’inclusion » comme l’un de ses « sujets les plus prioritaires ».
Lire la suiteLes pompiers célèbrent l’anniversaire du bébé « Safe Haven » déposé à la caserne... il y a 18 ans !
Colleen Katich.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lake County Fire Rescue/Facebook
Il y a 18 ans, une petite fille a été déposée dans une caserne de pompiers de Clermont, en Floride, dans le cadre du programme Safe Haven [Refuge sûr] de l’État, qui vise à sauver la vie des nouveau-nés risquant d’être abandonnés. Ce programme permet aux parents d’amener anonymement des nourrissons d’un certain âge dans des lieux sûrs spécifiques, plutôt que de les abandonner lorsqu’ils se sentent incapables d’assumer leurs responsabilités parentales. Cette petite fille, Colleen Katich, vient d’obtenir son diplôme de fin d’études secondaires et a été honorée par la caserne des pompiers sur Facebook.
« Il y a dix-huit ans, Colleen a été déposée à la station 112 de Clermont dans le cadre du programme “Safe Haven” du comté », a écrit Lake County Fire Rescue. « Aujourd’hui, elle vient d’obtenir son diplôme de fin d’études secondaires et s’épanouit ! Elle a récemment retrouvé certains de ses héros à la station 112 et un camion a même été baptisé à son nom ! Joignez-vous à nous pour féliciter Colleen de sa grande réussite. Nous sommes très fiers de toi ! »
« [La famille adoptive de Colleen] est restée en contact avec la caserne. Au fil des ans, elle nous envoyait des cartes d’anniversaire, des cartes de Noël et nous suivions ses progrès au fur et à mesure que Colleen grandissait », a déclaré Dan Miller, chef de bataillon à la retraite du Lake County Fire Rescue.
Selon WFTV9, Colleen prévoit commencer l’école de cosmétologie à l’automne.
Il existe une version de la loi Safe Haven dans chaque État. En Floride, les parents peuvent laisser leur nouveau-né, âgé d’une semaine au maximum, dans un hôpital, une station de services médicaux d’urgence ou une caserne de pompiers où travaillent à plein temps des techniciens de services médicaux d’urgence, des auxiliaires médicaux ou des pompiers. Lorsqu’un enfant est déposé [dans l’un de ces refuges sûrs], il reçoit des services médicaux d’urgence et les autorités organisent le transport de l’enfant vers l’hôpital le plus proche qui fournit des services d’urgence. L’enfant est ensuite placé en vue d’une adoption et les parents biologiques ne sont pas poursuivis pour abandon d’enfant.
Depuis son lancement il y a plus de 20 ans, le Safe Haven for Newborns de Floride aurait sauvé plus de 400 bébés.
Paul Vaughn, père pro-vie de 11 enfants, évite la peine de prison après son témoignage pacifique
Paul Vaughn.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
2 juillet 2024, Nashville, Tennessee (LifeSiteNews) — Le militant pro-vie Paul Vaughn a été condamné à trois ans de liberté surveillée, évitant ainsi la prison pour son témoignage pacifique en faveur de la vie, malgré les poursuites zélées du ministère de la Justice de Biden.
Vaughn, père de 11 enfants, risquait jusqu’à 10 ans et demi de prison et 260 000 dollars d’amende après avoir été condamné en janvier pour avoir violé la loi FACE (Freedom of Access to Clinic Entrances) et s’être engagé dans une « conspiration contre les droits ».
« Nous sommes heureux que le juge ait fait preuve d’indulgence à l’égard de Paul lors de l’audience de détermination de la peine d’aujourd’hui, et je sais que Paul est incroyablement reconnaissant de pouvoir célébrer la fête de l’Indépendance avec sa famille », a déclaré Steve Crampton, avocat principal de la Thomas More Society et avocat de M. Vaughn, dans un communiqué.
« Mais il n’en reste pas moins que sa condamnation est une profonde injustice », a ajouté M. Crampton. « Il est bien connu que La Déclaration d’indépendance, adoptée officiellement en ce jour il y a 248 ans, établit : “Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, parmi lesquels figurent la vie, la liberté et la recherche du bonheur” ».
Lire la suiteMelinda Gates soutient la candidature de Joe Biden à l’élection présidentielle et affirme que l’avortement empêche qu’il y ait trop d’enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : natara/Adobe Stock
26 juin 2024 (LifeSiteNews) — Comme je l’ai noté dans cet espace le 3 juin, Melinda French-Gates — qui a divorcé de son mari adultère Bill en 2021 — a quitté la Fondation Bill et Melinda Gates en mai et a rapidement engagé une fortune d’un milliard de dollars dans les guerres de l’avortement. Bill et Melinda ont toujours été des adeptes de l’avortement, mais Melinda a clairement fait savoir que le fœticide serait l’un de ses principaux objectifs en tant que philanthrope solo. C’est pour cette raison qu’elle a récemment annoncé son soutien à Joe Biden.
Dans un éditorial pour CNN, Mme French-Gates a fait remarquer qu’elle n’avait jamais soutenu un candidat à la présidence auparavant (non pas que ses allégeances aient jamais été mises en doute) en raison de son travail avec les dirigeants des deux camps, mais que les politiques pro-vie de la précédente administration Trump l’avaient fait changer d’avis cette fois-ci. M. Trump, a-t-elle noté, « a délibérément nommé des juges à la Cour suprême qui renverseraient Roe v. Wade », affirmant également que l’avortement est un « soin de santé » et que « l’accès à des services de base comme les contraceptifs » était également menacé.
Pour enfoncer le clou, elle a fait suivre son éditorial d’une entrevue vidéo de sa fille Phoebe Gates, âgée de 21 ans, publiée sur X et légendée comme suit : « Il y a deux ans aujourd’hui, l’arrêt Roe v. Wade a été annulé et la génération de mes filles a perdu un droit fondamental avec lequel j’ai grandi. J’ai récemment discuté avec ma fille, Phoebe, de l’importance de la liberté de reproduction et de la raison pour laquelle les élections de cette année sont si cruciales ».
Lire la suiteUne nouvelle chanson pro-vie exprimant le point de vue d’un bébé avorté monte en flèche au palmarès des chansons country
Rachel Holt.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
24 juin 2024 (LifeSiteNews) — Une émouvante chanson en faveur de la vie, exprimant le point de vue d’un bébé qui n’a jamais eu la chance de naître, a grimpé en flèche au palmarès des chansons country.
Sortie le 21 juin, « I Was Gonna Be » (« J’allais être ») est une chanson country écrite par Chris Wallin, auteur-compositeur à Nashville, et interprétée par la jeune artiste country Rachel Holt : elle raconte la courte vie d’un bébé à naître qui a été tué par avortement.
« Je voulais simplement que les gens entendent la voix des sans-voix », a déclaré Chris Wallin lors d’une récente entrevue accordée à Breitbart. « Je crois vraiment qu’un évènement voulu de Dieu s’est produit ».
Au cours de la fin de semaine, ce puissant hymne pro-vie s’est hissé à la cinquième place au palmarès des chansons country sur iTunes. Il est aujourd’hui en 6e position.
Wallin, qui a écrit des chansons à succès pour les vedettes de la chanson country Toby Keith, Trace Adkins et Garth Brooks, a fait équipe avec Rachel Holt, une chanteuse de 18 ans originaire d’Indiana, pour lancer cette chanson pro-vie.
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