Trump dénonce les «bureaucrates mondiaux» de l'ONU qui appuient l’avortement «jusqu’au moment de l’accouchement»
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore un exemple du travail pro-vie de Trump, Extrait de LifeSiteNews :
Lors de son discours de mardi devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le président Donald Trump a interpellé les « bureaucrates mondiaux », qui cherchent à imposer l’avortement sur demande aux nations qui respectent le droit à la vie.
Dans les dernières remarques de son vaste discours, le président a déclaré que les Américains « ne se lasseraient jamais de défendre la vie des innocents ».
« Nous savons que de nombreux projets des Nations Unies ont tenté d’affirmer un droit mondial à l’avortement financé par les contribuables et sur demande, jusqu’au moment de l’accouchement », a-t-il déclaré. « Les bureaucrates mondiaux n’ont absolument pas d’affaire à attaquer la souveraineté des nations qui veulent protéger des vies innocentes. Comme beaucoup de nations ici aujourd’hui, en Amérique [États-Unis], nous croyons que chaque enfant, né et à naître, est un don sacré de Dieu. »
La veille, le secrétaire américain de la Santé et des Services sociaux, Alex Azar, avait présenté une déclaration commune à l’ONU au nom de 19 pays, déclarant qu’il n’existe « aucun droit international à l’avortement » et condamnant « l’utilisation de termes et expressions ambiguës, tels que santé et droits sexuels et génésiques dans les documents des Nations Unies, car ils peuvent miner le rôle critique de la famille et promouvoir des pratiques, comme l’avortement ».
Azar affirme que la famille est « l’institution fondatrice de la société »...
Un chauffeur Uber licencié pour avoir refusé de conduire une femme à l’avortoir
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Stock Catalog/Flickr
Ce chauffeur Uber s’était retrouvé à conduire une étudiante universitaire à un avortoir, distant de la demeure de la jeune femme d’environ une heure. Quand le chauffeur eut appris la destination, il reconnut sans doute la destination vers laquelle il devait se diriger, car il demanda si c’était à un avorteur qu’ils allaient, il se sentait mal à l’aise.
Tout en conduisant, il tenta de faire changer d’avis sa cliente en lui racontant combien sa femme avait elle-même souffert de l’avortement. Sans doute parce que l’étudiante ne manifestait pas de changement dans son dessein, le conducteur prit la décision, qu’il devait peser en lui-même depuis qu’il avait compris de quoi il en retournait, de s’arrêter, ce qui s’avéra être à mi-chemin en pleine campagne, devant une station d’essence solitaire.
Il expliqua à la jeune femme qu’il ne pouvait pas l’emmener à cet avortoir et qu’elle ne trouverait pas d’autre chauffeur Uber par ici, mais qu’il pouvait la reconduire chez elle. Cet infortuné chauffeur resta une bonne demi-heure sur place, offrant la possibilité à sa cliente de rentrer chez elle, pendant que celle-ci appelait diverses connaissances afin d’obtenir un moyen de se rendre à son rendez-vous, auquel elle se rendit d’ailleurs. Maintenant cette femme songe à poursuivre l’ex-chauffeur Uber. Extrait de LifeSiteNews :
Uber a définitivement expulsé un chauffeur du nord de l’État de New York pour avoir refusé d’emmener une étudiante universitaire de 20 ans à un centre d’avortement.
L’incident s’est propagé dans les médias grand public après que l’étudiante eut écrit sur Reddit au sujet du « pire jour de ma vie ».
Uber a confirmé « que le chauffeur a été rejeté du service parce que ses actions violaient les directives communautaires de l’entreprise », selon Yahoo Lifestyle.
Bien que le chauffeur lui ait proposé de la ramener chez elle, l’étudiante a refusé et, après avoir rejoint son « copain »*, a appelé un taxi et est allée jusqu’au bout du processus d’avortement.
Elle veut maintenant poursuivre le conducteur en justice et demande des conseils juridiques sur Reddit.
*Parenthèses rajoutées. — A. H.
Un jeune garçon «cérébralement mort» se réveille après que ses parents aient signé les formulaires de don d'organes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore une histoire de personne considérée comme « morte cérébralement », risquant de se faire tuer par le prélèvement de ses organes. Le concept de « mort cérébrale » est tout simplement faux, puisque des gens l’ont été considérés puis se sont réveillés. Extrait de LiveActionNews :
En 2018, Trenton McKinley, à 13 ans s'est fracturé le crâne en plusieurs endroits après que la petite remorque dans laquelle il était se fût retournée et lui a cogné la tête sur le béton. Pendant des jours, les médecins ont dit que l'adolescent était en état de mort cérébrale et ses parents étaient allés jusqu'à signer les papiers de don d'organes. Puis Trenton s'est réveillé.
[...]
Mais la veille du jour où les médecins allaient éteindre le respirateur artificiel, Trenton a commencé à bouger ses mains et ses pieds. Quand il s'est réveillé, il a dit qu'il avait vu le paradis.
« J'étais dans un lieu découvert, marchant droit devant moi, » dit-il. « Il n'y a pas d'autre explication que Dieu. Il n'y a pas d'autre moyen. Même les médecins l'ont dit. »
La 1ère personne reconnue non-binaire aux États-Unis reconnaît qu’il est un homme et avoue qu’il avait des problèmes mentaux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : TeroVesalainen/Pixabay — Mise à jour : 10 janvier 2020
La première personne aux États-Unis à s’être fait reconnaître non-binaire par un tribunal avoue maintenant que ses décisions étaient prises sous l’impulsion de ses problèmes mentaux. Cet homme qui pendant un temps croyait être une femme, après une grave crise mentale, puis, ne se croyant plus femme, voulait être reconnu comme non-binaire. Dernièrement, il a voulu revenir à son statut d’homme, qu’il a d’ailleurs toujours été.
James Shupe (Jamie étant son nom de « non-binaire ») explique lui-même qu’il souffrait de stress post-traumatique, ayant servi dans l’armée pendant 18 ans, qu’il a été agressé sexuellement par un homme de sa famille pendant sa jeunesse, qu’il a été influencé par de la propagande transgenre en ligne, qu’il a regardé de la pornographie durant des années, et que des médecins pensaient qu’il avait un trouble bipolaire ou un trouble de la personnalité. Il nous fait donc comprendre que ces sentiments d’être ou autre n’étaient dusqu’à ses problèmes mentaux.
Tous les médecins, infirmières, thérapeutes, sauf un, et juges l’ont confirmé dans la voie du transgenrisme, craignant pour le moins les groupes de pression LGBT. Extrait de Contre info :
Lorsque le fantasme d’être une femme a pris fin, j’ai demandé à deux de mes médecins de me permettre de devenir non binaire au lieu d’être une femme pour me sortir de l’ordinaire. Les deux ont accepté facilement. Après m’avoir rempli d’hormones — l’équivalent de 20 pilules contraceptives par jour — ils ont chacun écrit une lettre de changement de sexe. (…) Pour échapper à l’illusion d’être devenu une femme, j’ai fait quelque chose de tout à fait sans précédent dans l’histoire américaine. En 2016, j’ai convaincu un juge de l’Orégon de déclarer mon sexe non binaire — ni homme ni femme (…) La décision historique du tribunal m’a catapulté vers une renommée instantanée au sein de la communauté LGBT. Dix jours après, les médias ne m’ont pas laissé dormir (…) Devenir une femme m’avait fait entrer dans le New York Times. Convaincre un juge que mon sexe n’était pas binaire, mes photos et mon histoire ont été publiées dans des publications du monde entier. Puis, avant même que l’encre du juge n’ait séché sur sa décision de justice en Orégon, un organisme d’aide juridique LGBT basé à Washington DC m’a contacté. « Nous voulons vous aider à changer votre certificat de naissance », ont-ils proposé. En quelques mois, j’ai remporté une autre victoire historique après que le Department of Vital Records m’ait délivré un tout nouvel acte de naissance de Washington DC, où je suis né. Un groupe local, Whitman-Walker Health, a fait passer mon statut de sexe sur mon acte de naissance en « inconnu ». C’était la première fois dans l’histoire des actes de naissance qu’un acte de naissance était imprimé avec une mention autre qu'homme ou femme.
(…)
Ce n’est que lorsque j’ai dénoncé en 2017 la stérilisation et la mutilation d’enfants et de militaires transgenres que les organisations LGBT ont cessé de m’aider. La plupart des médias se sont retirés avec eux. Du jour au lendemain, je suis passé d’un libéral chéri à un paria conservateur.
[…]
(…) Je n’ai aucun trouble de développement sexuel. Toute ma confusion sexuelle était dans ma tête. J’aurais dû être soigné. Au lieu de cela, à chaque étape, des médecins, des juges et des groupes de défense des droits se sont livrés à ma fiction.
Un centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide
« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel
Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteQuelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.
« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.
Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :
« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.
Bracelets d’identification asexués dans un hôpital pédiatrique du Colorado
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
L’hôpital pour enfants d’Aurora, dans le Colorado aux Etats-Unis, vient de rendre publique sa décision de ne plus faire figurer le sexe des petits patients sur les bracelets d’identification qui leur sont remis, dans le but avoué d’apporter un soutien visible aux enfants qui se disent « transgenre ». Cet établissement pédiatrique veut se mettre à l’heure du respect de « l’identité de genre unique » de ceux qui ne se reconnaissent pas comme appartenant à leur propre sexe biologique. Qu’à cela ne tienne, ils seront asexués, au moins à leurs propres yeux. Le lobby transgenre a encore frappé
Nouvelle victoire du politiquement correct, la démarche répond à l’inflation de la confusion parmi les mineurs. Une porte-parole du Colorado Children’s Hospital, le Dr Natalie Nokoff, qui s’est fait une spécialité du traitement des patients se revendiquant « transgenre », a indiqué à la presse : « Nous voyons de plus en plus de patients qui ont des identités de genre diverses » – diverses au sens où elles ne sont pas conformes à la réalité visible et se décline selon l’interminable catalogue les orientations sexuelles possibles.
Lire la suiteLe cardinal Cupich a santionné le P. Paul Kalchik, ce prêtre qui a brûlé un drapeau LGBT
Cardinal Blase Cupich de Chicago.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV) — Source de la photo : Claire Chretien/LifeSiteNews
Le cardinal Blase Cupich de Chicago chercherait-il à confirmer les allégations selon lesquelles l’ex-cardinal McCarrick, prédateur homosexuel, a favorisé sa nomination — comme l’affirme Mgr Carlo Maria Viganò — au moins en partie en raison de son ouverture aux LGBT, il ne s’y serait pas pris autrement. Il vient de renvoyer un prêtre de son archidiocèse, apparemment parce que le P. Paul Kalchik a décidé de brûler un drapeau arc-en-ciel frappé d’une croix lors d’une cérémonie privée, interdiction lui ayant été signifiée par le cardinal Cupich de le brûler en public. Celui-ci lui a même demandé de subir une expertise psychiatrique.
Ledit drapeau avait été installé au-dessus de l’autel de la paroisse de la Résurrection en 1991 par celui qui en était alors le curé, le P. Daniel Montalbano, pour signaler le caractère « gay-friendly » du lieu, et cachait le crucifix en bois sculpté surplombant l’autel. La messe d’intronisation du drapeau avait été présidée par le cardinal Bernardin, dont le P. Montalbano était proche.
[...]
Celui-ci venait d’arriver à la paroisse de la Résurrection après l’incendie accidentel qui avait frappé l’église qu’il avait desservie auparavant, l’espace de trois semaines : celle de Saint-Sébastien dans le quartier Lakewood de Chicago qui s’honorait d’accueillir la « diversité ». Entre immigrés portoricains, sud-américains ou polonais, les « gays » y avaient toute leur place, et même des messes rien que pour eux. Montalbano lui-même était co-fondateur de l’Archdiocesan Gay and Lesbian Outreach and Bonaventure House. Bien avant l’actuel mode pro-LGBT, dès 1973, Saint-Sébastien accueillait des messes pour les « gays » catholiques sponsorisées par « Chicago Dignity », sortant d’ailleurs victorieux d’un clash avec l’archidiocèse en 1990 qui voulait davantage les contrôler. L’intention symbolique du drapeau est donc incontestable.
Lire la suiteLes échecs de M. Soros
George Soros.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The New York Times / Voici la source de la photo : Niccolò Caranti, Wikimedia, CC BY-SA 3.0
Bien qu’il soit riche, George Soros, sur le plan politique, avoue qu’il est en train de perdre son pari.
La nouvelle pourrait en réjouir plus d’un : le milliardaire George Soros croit qu’il est en train de perdre son pari, celui de créer un monde libéral, dépourvu de frontières. « Je défends des principes, que je gagne ou que je perde. Mais malheureusement, je perds à de trop nombreux endroits en ce moment », a-t-il récemment déclaré au journaliste Michael Steinberger du New York Times.
Cet aveu peut surprendre, mais il décrit une certaine réalité : de nombreux chefs politiques de par le monde acceptent de moins en moins les contraintes exigées par les préceptes du mondialisme et du multiculturalisme, si chers aux yeux de M. Soros.
Oui, George Soros a fait beaucoup d’argent : un milliard et demi en une seule journée lorsqu’il avait spéculé sur la livre anglaise en 1992. Mais ses objectifs sont, désormais, plus politiques que financiers. Et c’est à titre de financier des grandes causes libérales qu’il voit le tapis lui glisser sous les pieds.
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